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Pour le secteur des titres-services aussi, le numérique devient la normalité

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Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi, de la Formation et de la Transition numérique, a assisté, ce mercredi 14 septembre à l’une des formations organisées par l'Espace Public Numérique Mobile, destinée notamment aux employés du secteur des titres-services.

A travers son Espace Public Numérique Mobile (EPNM), Espace Cultures & Développement ASBL propose, avec le soutien de la Région de Bruxelles-Capitale, des formations au numérique. Parmi les participants, on retrouve notamment des employés des titres-services ravis de pouvoir gagner en autonomie, en se familiarisant avec les applications en ligne. Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi, de la Formation et de la Transition numérique, a assisté, ce mercredi 14 septembre à l’une de ces formations.

Les entreprises de titres-services encouragent les aide-ménagères et tous les employés à se former car la simplification et le gain de temps sont au rendez-vous. Les employés des titres-services sont directement concernés. Dans ce secteur comme dans bien d’autres les interfaces numériques pour encoder les prestations et interagir avec les sociétés employeuses sont très utiles.

L’objectif de ces formations destinées notamment au secteur des titres-services est d’apprendre à signer un contrat sans se déplacer, d’utiliser l’application It’s Me. Les participant.e.s ont conscience de la nécessité de s’investir dans ces formations, car le risque est grand de se trouver dépassée, même pour prendre un simple rendez-vous.

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Du sport près de chez vous ? 31 chances de plus pour pratiquer

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Les skateparks font partie des infrastructures sportives de proximité financées par la Région

C’est fait, 31 projets de nouveaux aménagements sportifs de proximité sont sélectionnés. Subventionnés à hauteur de 75% par la Région, ils verront prochainement le jour et permettront aux Bruxellois de pratiquer un sport à côté de chez eux.

Quelles infrastructures ?

Des instruments de fitness et des parcs de « street workout » à Anderlecht, Neder-Over-Heembeek, Ganshoren ou encore Jette. Des tables de « Teqball » (sport combinant football et tennis de table) installées le long de l’Avenue du Suffrage à Schaerbeek. De nouveaux skateparks à Watermael-Boisfort et Woluwe-Saint-Lambert….

« Sport pour tous »

« Je me réjouis du nombre de propositions intéressantes, déposées par les communes, pour valoriser la pratique du sport de proximité. Investir dans de tels projets s’inscrit dans notre politique du « sport pour tous » et facilite l’accès des Bruxellois aux activités sportives. Ces aménagements et rénovations permettront une pratique libre du sport tout en favorisant la détente, le divertissement et le lien social », déclare Bernard Clerfayt.

Une initiative qui vise à une meilleure répartition

En janvier dernier, Bernard Clerfayt a lancé un appel à projets à destination des 19 communes bruxelloises pour augmenter le nombre d’installations sportives de proximité. Le concept est simple : valoriser la pratique du sport grâce à l’aménagement ou la rénovation d’infrastructures sportives dans des lieux qui manquent justement de ce type d’aménagement.

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Réduire l'exclusion numérique en Région bruxelloise

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Le numérique facilite notre quotidien.

Le 8 septembre 2022, l’ASBL « Lire et Ecrire » a adressé une lettre ouverte au Ministre bruxellois de la Transition Numérique, Bernard Clerfayt, dans laquelle elle dénonce la dématérialisation numérique. En réponse à ceci, le Ministre rappelle la nécessité de rendre la numérisation, et ses nombreux bienfaits, accessibles à tous les Bruxellois, sans pour autant exclure une partie de la population. 

Un développement digital nécessaire 

La crise sanitaire a accéléré la numérisation de tous les pans de notre société. Et pourtant aujourd’hui encore, une partie de la population n’est pas en mesure d’utiliser les outils numériques ou d’y avoir accès. La Fondation Roi Baudouin a d’ailleurs récemment révélé ses derniers chiffres : près d’un Belge sur deux est en  vulnérabilité numérique.

Le numérique joue un rôle essentiel, puisqu'il facilite la vie des citoyens: gain de temps, amélioration de la qualité de services publics, renforcement de la sécurité,… Il est donc important de permettre à ceux qui maitrisent le numérique d’y avoir accès et à ceux qui ne le maitriseraient pas, de se l’approprier, tant il présente de nombreux avantages. 

«  Pas question d’abandonner une partie de la population en raison de la numérisation des services publics. Elle ne doit jamais être l’occasion d’une privation de droits ou d’accès aux droits. Au contraire, elle peut même les encourager grâce à l’automaticité des droits. Mais pas question non plus de priver la société des bienfaits de la numérisation. Aujourd’hui, nous mettons tout en œuvre pour permettre à chacun de s’approprier le numérique», avance Bernard Clerfayt

Une politique d'accompagnement pour lutter contre l'exclusion numérique

Dès cet automne, en Région Bruxelloise le gouvernement se penchera sur une ordonnance visant à offrir, aux citoyens, toutes les démarches administratives en ligne. Pour ceux qui ne jongleraient pas avec les applications ou plateformes, les services publics devront prévoir un plan d’accompagnement visant à les aider à s’approprier le numérique ou prévoir une alternative. 

« Une administration accessible 24/7 et portant une attention particulière aux publics en difficulté, voilà une qualité de service souhaitée par tous ! », conclut le Ministre amarante.

Accueil temporaire des animaux de compagnie des réfugiés ukrainiens

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Jeune femme avec son chien - Les réfugiés ukrainiens qui peinent à trouver un logement avec leur animal de compagnie peuvent trouver une solution d'hébergement temporaire et utiliser la convention d'accueil temporaire.

Les réfugiés ukrainiens arrivés chez nous avec des animaux de compagnie peinent à trouver un logement. La présence d’animaux peut paraître plus contraignante pour les particuliers, et les centres d’accueil peuvent difficilement faire face aux besoins supplémentaires liés à la présence d’animaux. Favoriser une solution temporaire pour leurs animaux peut donc faciliter leur accès à un logement.

Accueil par les refuges et les particuliers

Les refuges bruxellois qui le peuvent tentent de répondre aux demandes des réfugiés. Les Bruxellois peuvent eux aussi aider les réfugiés ukrainiens en accueillant temporairement un animal de compagnie. Rappelons cependant que même si l’accueil est provisoire, cela exige du temps et de l’attention, de même qu’un logement adapté.

Une convention pour rassurer le maître et l’accueillant

Il manquait un cadre qui soit rassurant. C’est pourquoi le Ministre du Bien-être animal Bernard Clerfayt a suggéré la mise à disposition d’une convention d'accueil temporaire pour les animaux de compagnie. Celle-ci aidera les réfugiés ukrainiens arrivés chez nous avec un animal à trouver une solution. Elle est envoyée à tous les refuges bruxellois et à toutes les communes. Cette convention est un document de base qui peut être adapté. Elle est bilingue (FR/UK et NL/UK).

Mesures pour renforcer la stérilisation des chats en Région de Bruxelles-Capitale

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La stérilisation des chats est la solution pour éviter le pire, de trop nombreux chats errants qui courent de grands dangers dans la ville.

Malgré l’obligation de stérilisation de 2018, la surpopulation féline pose toujours problème en Région bruxelloise. Face à ce constat, Bernard Clerfayt, ministre bruxellois du Bien-être animal, a décidé de renforcer sa politique de stérilisation des chats pour une meilleure gestion de la population des chats.

Le Ministre du bien-être animal, Bernard Clerfayt, renforce la politique de stérilisation des chats :

  1. Tout chat transitant par un refuge devra désormais être stérilisé avant d’être remis à son propriétaire.
  2. Tous les chats résidant en Région bruxelloise devront être identifiés. Actuellement, l’obligation d’identification ne concerne que les chats nés après le 1er novembre 2017 ou les chats donnés et vendus après cette date. Cette mesure facilitera donc le contrôle de l’obligation de stérilisation.
  3. Il sera désormais possible, pour les refuges, de mettre à l’adoption des chatons « orphelins » (arrivés au refuge sans leur mère, dont la mère est décédée ou qui doivent être séparés de leur mère) à partir de 8 semaines, contre 13 semaines précédemment. Cela permettra notamment de libérer plus rapidement une place dans les refuges.

3600 chats accueillis dans les refuges

Le nombre de chats qui peuplent les rues de Bruxelles ne semble pas diminuer avec le temps. Ce phénomène est tel que depuis longtemps le chat est l’espèce la plus présente dans les refuges bruxellois. En 2021, ceux-ci ont accueilli 3.600 chats et 850 chiens. Faute de places, ils n’ont parfois d’autre choix que de recourir à l’euthanasie.

C’est pour endiguer ce phénomène que la stérilisation des chats a été rendue obligatoire en 2018, en Région bruxelloise, pour tous les chats dès l’âge de 6 mois. Néanmoins, la situation reste problématique. Ainsi, seul 1 chat sur 5 arrivant dans les refuges est stérilisé.

Généraliser la stérilisation des chats pour éviter le pire

« Face à la prolifération des chats, il n’y a qu’une seule solution : la stérilisation. En renforçant et complétant les mesures actuelles, je veux assurer une meilleure gestion de la population des chats. Car actuellement, ce sont eux les premières victimes de cette surpopulation. Ils naissent dans la nature ou sont abandonnés et deviennent bien souvent des chats errants qui, dans le pire des cas, doivent être euthanasiés ou, au mieux, subir les désagréments d’une vie d’errance (maladie, bagarre, famine, etc.) », détaille Bernard Clerfayt.

A noter que ces mesures ont été adoptées par le Gouvernement en première lecture. Le projet de texte doit encore passer la rampe du Conseil d’Etat avant son adoption définitive.

Le néerlandais en mode emploi

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L'application Brulingua

L’étude réalisée conjointement par l’Institut bruxellois de statistique et d’analyse (IBSA) et le Bureau fédéral du Plan apporte un éclairage précieux sur l’importance de la connaissance du Néerlandais en Région de Bruxelles-Capitale. D’autant plus que « la mobilité interrégionale et des accords de coopération entre les autorités flamandes et bruxelloises visant à rendre plus d’offres d’emploi en Flandre accessibles aux Bruxellois » se sont concrétisés.

Comme le rappellent les auteurs dans leur introduction, « en 2019, près de la moitié des offres d’emploi reçues et publiées par Actiris affichait explicitement des exigences en français et en néerlandais ».

L’étude montre aussi que la maîtrise du Néerlandais est plus déterminante pour l’accès à l’emploi dans certains secteurs. « Les chercheurs d’emploi cherchant à travailler dans les domaines de la vente, de la sécurité et de l’administration publique profitent plus que les autres d’un niveau moyen ou élevé de connaissance du néerlandais. Les deux premiers secteurs entraînent plus souvent des contacts avec des clients qui en Région bruxelloise peuvent être néerlandophones. » Si l’accession à un niveau élémentaire a du sens pour tous les chercheurs d’emploi, les programmes intensifs doivent viser les chercheurs d’emploi qui « semblent profiter plus que les autres d’une connaissance du néerlandais ».

Dans leur conclusion les auteurs pointent la décision du Gouvernement « de consacrer 30 millions d’euros de son budget lié au plan de relance (sur un budget total de 395 millions d’euros) à l’amélioration des compétences numériques et linguistiques des chercheurs d’emplois. Une partie du budget prévu par le Gouvernement bruxellois devrait permettre des politiques qui visent à améliorer la connaissance du français ou du néerlandais pour des Bruxellois ne maîtrisant pas au moins une de ces deux langues. »

Rejoignez les testeurs officiels de Smart Move

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Le plan de mobilité Smart Move de la Région de Bruxelles-Capitale

Des déplacements plus respectueux de l’environnement, plus économiques et moins stressants, c’est l’objectif du gouvernement bruxellois avec le plan Smart Move.

La Région de Bruxelles-Capitale est à la recherche de plusieurs centaines de personnes disposées à tester son application mobile Smart Move.

Les testeurs recherchés sont tout autant des Bruxellois que des navetteurs de Flandre et de Wallonie. Ils recevront un budget virtuel qui sera consommé au fur et à mesure des trajets et des moyens de transport utilisés. Une évaluation aura lieu fin septembre. Un test à plus grande échelle suivra en 2023.

La tarification intelligente au kilomètre est l’un des projets du plan Smart Move. Le gouvernement bruxellois veut passer d'une taxation sur la possession d'un véhicule à une tarification selon l’usage qui vise à réguler le trafic des véhicules personnels.

Mettre à disposition et diffuser des alternatives multimodales de mobilité ira de pair avec ce nouveau mode calcul de la taxe de circulation.