Toutes les actualités du Ministre, les actualités politiques liées directement ou indirectement aux compétences sur lesquelles le cabinet travaille.

Actiris publie la liste des 108 métiers qui recrutent

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Actiris, l'agence régionale pour l'emploi, accompagne les chercheurs d'emploi bruxellois vers les métiers qui recrutent.

Certaines professions font leur apparition dans la liste des métiers qui recrutent : analyste financier, réceptionniste hôtelier ou encore aide familiale. A contrario, d'autres métiers disparaissent comme les conseillers en crédits, les géomètres, gérants de magasins de détail ou encore les agents immobiliers. Parmi les professions plus récurrentes : le corps enseignant, le personnel soignant, les métiers du numérique ou encore de la construction.

Bilan de compétences professionnelles

« On compte en Région bruxelloise, 25.739 postes vacants dont de nombreux métiers qui recrutent. Pour permettre aux employeurs d’engager, il faut mieux former et accompagner les chercheurs d’emploi. C’est pourquoi, dès le mois de septembre, tous les chercheurs d’emploi bénéficieront d’un bilan de compétences professionnelles, linguistiques et numériques. Et sur base de celui-ci, un plan d’actions et de formation sera établi. Il permettra de mieux les orienter sur le marché de l’emploi, et notamment vers tous ces métiers à la recherche criante de bras », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l'Emploi.

Se former aux métiers qui recrutent

Actiris publie la liste de certaines études et formations liées à ces métiers. Poursuivre celles-ci augmente les chances de trouver un emploi.

Dans certains cas, Actiris a la possibilité d'octroyer une dispense de disponibilité aux chercheurs d'emploi qui suivent une formation, un stage ou des études tout en continuant à percevoir les allocations de chômage. La dispense permet aux chercheurs d'emploi d’augmenter leurs chances d’intégration sur le marché de l’emploi, de préférence vers un métier qui recrute.

(Source : communiqué de presse d’Actiris de ce 28 juin 2023)

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Inflation : la Région soutient les communes bruxelloises

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Inflation : la Région soutient les communes bruxelloises

Le Ministre bruxellois des Pouvoirs locaux, Bernard Clerfayt a proposé d’octroyer un montant exceptionnel de 15 millions d’euros aux 19 communes bruxelloises.

La répartition se fera sur base des critères de la Dotation Générale aux Communes. Cette clé de répartition permet de distribuer les subsides en tenant compte de divers critères propres à chaque commune : population, nombre de demandeurs d’emploi ou encore rendement des recettes fiscales.

Maintien de la qualité des services

« Une enveloppe de 15 millions d’euros sera répartie entre les communes bruxelloises. Ce montant est un moyen de les soutenir dans ces temps difficiles, de leur permettre de continuer à offrir des services de qualité et de poursuivre leurs projets, souvent ralentis par manque de moyens », explique Bernard Clerfayt.

Les communes bruxelloises face à une augmentation des dépenses de 11%

Et en période de forte inflation, les citoyens le savent bien, les prix augmentent. Les dépenses communales ne font pas exception : hausse des coûts salariaux due aux indexations successives, frais liés aux bâtiments (énergie, entretien, rénovation, etc.), charges de la dette impactées par l’augmentation des taux d’intérêt, etc. 

D’ailleurs, selon la dernière étude de Belfius sur les finances communales, les dépenses ordinaires des communes ont enregistré une progression exceptionnelle de 11% entre 2022 et 2023.

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23.000 places de formation en 2023

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La formation, clé pour l'emploi.

En 2023, Bruxelles Formation aura proposé 23.000 places de formation. 17.000 sont consacrées aux formations professionnalisantes dont 4.300 aux métiers qui recrutent.

« Aujourd’hui, les Bruxellois ont l’embarras du choix pour acquérir les compétences nécessaires à leur insertion sur le marché de l’emploi. Le bilan de compétences et le parcours vers l’emploi, qui seront imposés dès le mois de septembre, viendront renforcer les possibilités pour améliorer le niveau de qualification. C’est en investissant dans la formation que nous augmenterons la mise à l’emploi des Bruxellois », insiste Bernard Clerfayt.

La formation, clé pour l'emploi

Les nouvelles sont au beau fixe concernant le taux d’emploi à Bruxelles. Pour autant, il faut maintenir les efforts et continuer à améliorer les compétences des Bruxellois. Et la mise à l’emploi des Bruxellois passe par la formation.

La formation augmente les chances de trouver un emploi. Deux ans après leur entrée en formation, 71% des chercheurs d’emploi ont quitté le chômage pour l’emploi, contre 54% en l’absence de formation. 

Parce que le marché de l’emploi bruxellois est exigeant

La formation est d’ailleurs au cœur des politiques d’emploi du Ministre bruxellois, Bernard Clerfayt. « En Région bruxelloise, nous n’avons pas un défi d’emploi mais un défi des compétences. Nous sommes une région qui compte 835.000 postes de travail, dont 60% requièrent un niveau de qualification élevé.  Pour permettre aux Bruxellois de décrocher un emploi, ils doivent se former. Il faut former plus et mieux ! »,commente le Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation.

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40% d’animaux en moins dans les refuges bruxellois depuis 2019

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Les chats sont les plus nombreux à se trouver dans les refuges

En 2022, les neuf refuges bruxellois ont recueilli 5.070 animaux, soit 40% de moins qu’en 2019. À l’occasion de la journée mondiale de lutte contre l’abandon d’animaux, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal, rappelle que pour continuer à faire diminuer les chiffres, il mise sur la sensibilisation mais aussi une meilleure gestion de la population des chats qui sont toujours les plus nombreux à se retrouver dans les refuges (56%)

« Je me réjouis de cette baisse. Moins d’animaux dans les refuges, ça veut dire moins d’animaux errants, abandonnés ou saisis. C’est aussi une bonne nouvelle pour les refuges qui peuvent profiter d’une plus grande capacité d’accueil et donc offrir de meilleures conditions de vie à leurs pensionnaires », explique Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal.

L’obligation de la stérilisation

Si le nombre de chats recueillis par les refuges est au plus bas depuis 2015, ils étaient tout de même encore 2.833 en 2022. Parmi ceux-ci, 80% ont été adoptés. Et comme chaque année, on peut observer un pic de prise en charge par les refuges juste avant l’été.

« Même si le nombre de chats stérilisés qui arrivent au refuge augmente (20%), cela reste insuffisant. C’est pourquoi, dans le cadre du renforcement de la législation sur la stérilisation et l’identification des chats, j’ai décidé d’imposer aux refuges la stérilisation de tous les chats transitant chez eux », ajoute Bernard Clerfayt.

Stérilisation et identification vont de pair

À cette nouvelle mesure, vient s’ajouter l’obligation d’identifier son chat. « La stérilisation est obligatoire depuis 2018 et l’identification ne concernait que les jeunes chats. Or l’un ne va pas sans l’autre. L’identification est tout aussi importante et permet de restituer son chat à son maître. La stérilisation et l’identification sont donc les meilleurs moyens de lutter efficacement contre la surpopulation féline. Nous verrons l’impact de ces mesures dans les années à venir », conclut le Ministre.

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Bien-être animal : Bernard Clerfayt confirme son soutien aux associations

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Bien-être animal : appel à projets

La Région bruxelloise lance un nouvel appel à projets à destination des asbl actives dans le domaine du bien-être animal. Les projets doivent s’inscrire dans l’un des trois objectifs suivants :

  1. Sensibilisation et information
  2. Soutien aux propriétaires d’animaux domestiques
  3. Aide aux animaux blessés, perdus ou abandonnés

Un budget total de 200.000 euros est réservé au financement des projets, avec un montant maximal de 30.000 euros par projet. Les associations ont jusqu’au 10 septembre pour envoyer leur dossier de candidature à Bruxelles Environnement.

Exemples de projets

Organisation de conférence, campagne de communication, stage d’éducation canine, aides aux frais vétérinaires pour les personnes disposant de revenus modérés, ferme pédagogique ou encore création d’une plateforme pour animaux perdus…, les projets éligibles doivent viser à améliorer le bien-être des animaux.

Indispensable secteur associatif

« Nous avons renforcé la législation sur la gestion des chats, arrêté une liste des reptiles qui peuvent être détenus, interdit l’utilisation des pièges à colle, nous avons défini des conditions de transport non commercial des animaux agricoles … Et je présenterai avant l’été le Code bruxellois du bien-être animal en gouvernement. Si le travail des pouvoirs publics est important, celui du secteur associatif l’est tout autant », explique Bernard Clerfayt pour annoncer le lancement d’un nouvel appel à projets.

4 fois plus de soutien aux associations œuvrant au bien-être animal

« Dans un contexte urbain, il est de l’intérêt de tous de faire cohabiter l’Homme et les animaux en parfaite harmonie. C’est pourquoi, j’ai multiplié par quatre le montant alloué au soutien des associations depuis 2019. C’est en travaillant main dans la main que nous pourrons continuer à améliorer la qualité de vie des animaux », conclut le Ministre amarante.

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En route vers l’administration du futur avec « Bruxelles Numérique »

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Bruxelles numérique, pour des services publics inclusifs et accessibles.

L’avant-projet d’ordonnance « Bruxelles Numérique » est approuvé par le gouvernement. Ce projet d’envergure vise à encadrer le développement des services publics bruxellois en ligne. L’objectif ? Permettre aux Bruxellois qui le souhaitent, d’effectuer leurs démarches administratives en ligne et garantir l’accès des services publics à tous. 

Encadrer l’essor du numérique au bénéfice des Bruxellois

« Bruxelles Numérique » est le premier texte belge qui va réglementer l’essor du numérique en garantissant aux citoyens des services publics plus inclusifs et accessibles. 

« J’estime qu’en 2023, les Bruxellois doivent pouvoir jouir d’une administration accessible en ligne 24/24 et 7/7. Avec Bruxelles Numérique, je veux faciliter la vie des citoyens », commente Bernard Clerfayt.

Selon le baromètre de la Fondation Roi Baudouin, les Bruxellois sont les plus grands utilisateurs du numérique. Il faut dire que les avantages sont nombreux : gain de temps, rapidité de traitement, sécurité, réduction des déplacements… Et surtout une administration accessible 24/7.

Nouveaux droits pour les usagers

Pour accompagner au mieux le développement numérique des institutions publiques bruxelloises, l’ordonnance « Bruxelles numérique » prévoit de créer des nouveaux droits au bénéfice de tout usager :

  • le droit pour tout usager à l’universalité des accès à ses démarches administratives en ligne ;
  • le droit pour tout usager de se voir proposer un accompagnement par les administrations pour la réalisation de ses démarches en ligne ;
  • le droit d’interagir avec un agent de l’autorité publique pour réaliser ses démarches administratives, a minima par un accueil physique et/ou un service téléphonique et un contact par voie postale ; 
  • le droit pour les personnes porteuses de handicap que les démarches administratives disponibles en ligne utilisent les technologies les rendant plus accessibles. 

Une transition inclusive 

Nous ne sommes pas tous égaux face au numérique. « Bruxelles Numérique » intègre donc deux principes : l’inclusion et l’accessibilité.

« Il n’est pas question de supprimer les guichets physiques. Cette numérisation doit se faire de façon intelligente, d’où la mise en place d’une stratégie d’accompagnement réglementée. Nous avons souhaité inclure toutes les parties, c’est pourquoi notre texte a fait l’objet d’une consultation très large qui a permis de faire évoluer notre projet », précise Bernard Clerfayt.

Pour ceux qui le souhaitent, l’ordonnance prévoit le droit d'interagir avec un agent de l’autorité publique, a minima par un accueil physique et/ou un service téléphonique et un contact par voie postale.

« Bruxelles Numérique » résulte d’une large consultation

Unia, Brupartners, Brulocalis, le Conseil bruxellois des personnes handicapées, … Une large consultation a eu lieu sur le texte de “Bruxelles Numérique”. Au total, onze organisations ont été consultées et leurs recommandations ont été majoritairement intégrées dans le projet de texte afin de répondre au mieux à tous les avis. 

Un délai de 5 ans

En pratique, les institutions publiques devront rendre disponible en ligne toute nouvelle démarche administrative. Elles disposeront d’un délai de 5 ans pour rendre conformes les démarches existantes.

Le projet d’ordonnance est actuellement entre les mains du Conseil d’État qui a 30 jours pour émettre un avis.

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«Jamais la Région bruxelloise n’avait accordé une intervention aussi importante au bénéfice des agents communaux»

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Intervention inédite de la Région pour revaloriser les salaires des agents locaux

Ce vendredi 23 juin se tient la Journée Internationale des Services Publics. C’est aussi cette date qu’ont choisie les syndicats, en front commun, pour manifester devant le cabinet du Ministre-président et faire entendre leurs revendications. Pourtant, grâce à la volonté de Bernard Clerfayt, jamais les Pouvoirs Locaux n’auront été autant revalorisés que sous cette législature. Explications. 

75 millions d’euros pour revaloriser les salaires des agents communaux

Depuis plusieurs années, tout le monde s’accorde à dire qu’il faut revaloriser les salaires des agents communaux. La Région bruxelloise avait d’ailleurs, lors des précédentes législatures, fait des promesses.  Mais force est de constater que ces déclarations avaient été suivies de peu d’effet… jusqu’ici. 

En effet, en 2021, Bernard Clerfayt a conclu un accord sectoriel avec les syndicats d’un montant total de 75 millions d’euros, dont 56,3 proviennent directement de la Région. En pratique, la Région a mis sur la table 22,5 millions d’euros en 2021, 11,3 millions supplémentaires en 2022, 11,2 millions en plus en 2023 et mettra encore 11,3 millions en 2024 pour revaloriser les statuts des agents communaux. 

Ces montants permettent d’augmenter les traitements des agents, d’allonger les échelles, de donner un coup de pouce pour les pensions, de financer des chèques-repas. Le principal des moyens, 53,5 millions, a été affecté aux salaires, souhait principal des représentants des travailleurs.

Rattraper les salaires des communes flamandes, wallonnes 

C’est un fait, les salaires des agents communaux bruxellois étaient les plus faibles des trois Régions. Les écarts avec les barèmes pratiqués en Flandre et en Wallonie sont importants. Avec l’accord intervenu, on constate que le niveau moyen en Wallonie/Flandre est atteint ou dépassé pour les travailleurs au niveau d’étude les plus bas (E et D). Et il est fortement résorbé pour les autres (secondaire et post-secondaire).

Evolution des salaires des agents des services communaux

« Il me semblait légitime d’accorder une revalorisation de l’ensemble des services des pouvoirs locaux, certains l’attendaient depuis plus de 15 ans. Et en juillet prochain, ce sera au tour des agents niveau B (Bachelor) de bénéficier d’une augmentation salariale de 6%. Jamais la Région bruxelloise n’avait accordé une intervention aussi importante au bénéfice des agents des pouvoirs locaux. Si je comprends la grogne des syndicats, pour les agents communaux, on a fait le job ! », conclut Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois des Pouvoirs Locaux.

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