Places d'accueil pour la petite enfance

Extrait de presse
Petite enfance : 2100 nouvelle places

Extraits de l'article publié par l'hebdomadaire 7Dimanche

La Région de Bruxelles-Capitale, à l’initiative du ministre-président Rudi Vervoort et du ministre de l’Emploi Bernard Clerfayt, et la Fédération Wallonie-Bruxelles, à l’initiative de la ministre de l’Enfance Bénédicte Linard, ont confirmé cet engagement pour soutenir l’accueil de la petite enfance et la création de places à Bruxelles.

Ainsi, entre 2014 et 2021, ce sont 1367 places subventionnées qui avaient été ouvertes sur le territoire bruxellois pour environ 195 postes de travail. La nouvelle période qui s’ouvre dès 2022 prévoit au total quelque 300 emplois ACS pour 2.100 places d’accueil en Région bruxelloise.

Petite enfance

Extrait de presse
Accueil de la petite enfance: 2100 nouvelles places créées en Région Bruxelloise

Extrait de l'article publié par La Capitale

Au total, 2.100 nouvelles places d’accueil seront créées à Bruxelles d’ici 2026, dans le cadre du plan « 1000 premiers jours ».
L’engagement avait été pris lors d’un Gouvernement conjoint en mars de cette année.
La Région de Bruxelles-Capitale, à l’initiative du ministre-président Rudi Vervoort et du ministre de l’Emploi Bernard Clerfayt, et la Fédération Wallonie-Bruxelles, à l’initiative de la ministre de l’Enfance Bénédicte Linard, ont confirmé cet engagement pour soutenir l’accueil de la petite enfance et la création de places à Bruxelles.

[…] La nouvelle période qui s’ouvre dès 2022 prévoit au total quelque 300 emplois ACS pour 2.100 places d’accueil en Région bruxelloise.

[…]

 

Transport des personnes, "Il y a de la place pour plus d'emplois et plus d’activité économique"

Extrait de presse
Extrait de l'article publié pour le journal Le Soir "Les chauffeurs de taxi pourraient bénéficier d'une "solution intermédiaire".

Extrait de l'article publié par Le Soir

L’exécutif bruxellois, en attendant son Plan taxi, se serait mis d’accord pour chercher en urgence une façon de contourner l’interdiction de travailler touchant les chauffeurs Uber. Le secteur taxi affirme qu’il pourrait alors à son tour bloquer la capitale.

[…] Hasard de calendrier (ou pas), jeudi matin se tenait une réunion de l’exécutif bruxellois en partie consacrée à ce « nouveau » Plan taxi prévu de longue date. Réunion qui a abouti cette fois à un accord. Le nouveau texte, qui se veut « ambitieux », selon le communiqué de presse du ministre-président, Rudi Vervoort (PS), vise un numerus clausus et un statut unique pour les taxis et les LVC, et devrait être prêt pour cet été.

Pour les détails, il faudra repasser. « Le gouvernement a choisi de ne pas communiquer de chiffres avant d’avoir consulté le secteur », commente notamment le ministre de l’Emploi, Bernard Clerfayt (Défi). « Je pense qu’il y a de la place sur ce marché pour plus d’emplois et plus d’activité économique. Le taxi est un pan à part de l’économie : plus l’offre augmente, plus la demande augmente. Car le prix comme la disponibilité sont ici des facteurs essentiels. Il faut en tout cas absolument sortir par le haut de cette crise et réformer pour mieux servir les utilisateurs et la mobilité bruxelloise. » […]

Dans cette crise, le numérique est la constante. Et vous, comment ça va avec les applications en ligne ?

Actualité
Sondage à propos de l'utilisation du Covid Safe Ticket

En trois clics, dites-nous où vous en êtes. Cela nous aidera à orienter les actions pour aider les Bruxellois à prendre ces outils plus facilement en main. Voici notre sondage Covid Safe Ticket.

>>> Participez à notre sondage Covid Safe Ticket ICI.

Si les mesures sanitaires fluctuent selon les rebonds de cette pandémie, la pertinence des outils en ligne pour mener une vie quotidienne dans les meilleures conditions possibles est, quant à elle, acquise et durable.

Alors, nous trouvons important de savoir où en sont les Bruxellois avec ces outils. Avez-vous pu facilement installer votre Covid Safe Ticket ? Et pour afficher vos vaccinations ou tests, pas de soucis ?

Aider les Bruxellois au plus vite sans perdre de vue le long terme

Que ce soit pour la vaccination ou pour obtenir son Covid Save Ticket, l’accès aux plateformes en ligne est la voie la plus directe. Depuis le début de cette crise, le Ministre de la Transition numérique a multiplié les initiatives pour aider les Bruxellois moins familiarisés aux interfaces numériques à acquérir les compétences nécessaires.

En mai et juin derniers, des actions ont été menées dans les communes où le taux de vaccination est le plus faible. Des animateurs multimédia ont assuré ce service dans plusieurs communes. Pédagogues, ils ont accompagné les Bruxellois les plus éloignés du numérique en leur apportant une aide immédiate. Les participants seront aussi informés sur les possibilités offertes par les Espaces Publics Numériques (EPN) à Bruxelles.

De plus, le Ministre a lancé le Plan d’Appropriation numérique. Pour ce faire, il mise sur l’accessibilité des outils numériques, la formation dès le plus jeune âge et l’accompagnement vers une transformation digitale accessible pour tous. La fracture numérique est en effet la résultante de deux composantes, d’une part, l’accès au matériel numérique et, d’autre part, le manque de compétences numériques.

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Le point sur l’actualité avec Bernard Clerfayt : mesures sanitaires, économie, emploi, etc.

Actualité
Le Ministre de l'Emploi Bernard Clerfayt dans les studios de BX1 lors de l'émission "L'Interview" avec Fabrice Grosfilley

Le Ministre bruxellois Bernard Clerfayt était l’invité de Fabrice Grofilley dans l’Interview de BX1+ ce jeudi 18 novembre 2021. Voici un compte-rendu de cette émission.

Sécurité des données sur Bruvax

À propos de la question de la protection des données personnelles sur la plateforme Bruvax, Bernard Clerfayt souligne l’importance et la difficulté de trouver un équilibre entre la facilité d’usage et la sécurité des données. Dans le cas présent, des personnes fraudaient, étaient mal intentionnées. Une sécurité supplémentaire a été implémentée sans que cela n’alourdisse la facilité d’inscription pour la vaccination.

Pandémie et mesures sanitaires

Le Ministre souligne avant tout que nous sommes face à un virus qui ne cesse d’évoluer. « Tous ceux qui ont à décider doivent piloter à vue » constate Bernard Clerfayt qui relève la nécessité d’adapter constamment les mesures à une nouvelle réalité. Face à la poussée des contaminations, il faut prendre des mesures.

Inévitablement, chaque fois que des mesures doivent être prises, « cela handicape la vie sociale, la vie économique, la vie festive, nos relations ». Bernard Clerfayt fait remarquer que « c’est une nécessité si on veut lutter collectivement contre cette maladie ».

Recul du chômage ?

Le Ministre bruxellois de l’Emploi rappelle le maintien des mesures telles que le chômage temporaire et le droit passerelle et la suspension des faillites. Ces mesures devaient être arrêtées au 1er janvier.

« Je pense qu’il va falloir prolonger les mesures. » dans le cas où les restrictions sanitaires doivent être maintenues, constate le Ministre.

Le chiffre du chômage nous dit deux choses. « C’est à la fois l’évolution de l’emploi, si l’emploi s’améliore, le chômage diminue. Mais c’est aussi l’évolution de la population et plus précisément le nombre de personnes qui viennent s’inscrire. » Aujourd’hui on peut faire des hypothèses sur les deux facteurs, on ne sait pas encore dans quelle proportion ces deux déterminants expliquent les chiffres peu alarmants du chômage aujourd’hui.

Les chercheurs d’emploi bruxellois peuvent-ils se tourner vers la Flandre ?

De nombreux emplois sont à pourvoir en Flandre, qui est quasiment en situation de plein emploi. À Bruxelles nous avons une gigantesque réserve de main d’œuvre. Comme le rappelle le Ministre, « il ne faut pas être parfait néerlandophone pour aller travailler en Flandre, on peut avoir des bases et apprendre sur le lieu de travail. »

L’accord entre Actiris et le VDAB permet pour les inscrits chez Actiris de bénéficier des services du VDAB.

De plus, souligne Bernard Clerfayt, il faut que la distance cesse d’être un obstacle : ce n’est pas beaucoup plus loin de traverser la ville que de rejoindre des destinations proches en Flandre.

« Nous travaillons avec le VDAB pour faire tomber les stéréotypes », ces a priori qui écartent parfois les travailleurs bruxellois. « Nous voulons montrer que les travailleurs bruxellois ont les mêmes compétences que d’autres dès l’instant où ils suivent des formations adéquates. »

Quels enseignements de la visite royale au Danemark ?

« Le Danemark est une petite économie ouverte comme la Belgique, sa seule richesse est le travail et le talent. » Le ministre a pu constater lors des rencontres l’efficacité du système danois pour remettre les personnes au travail, qu’elles soient en maladie invalidité, au chômage ou au sortir des études. « Tout de suite on les active pour la remise à l’emploi. » Au Danemark les services des CPAS sont fusionnés avec les maisons locales de l’emploi. Quelle que soit la raison pour laquelle vous vous trouvez sans emploi, « c’est le même service local qui cherche à vous remettre au travail dans les entreprises locales avec lesquelles ces “jobs centers” entretiennent de relations proches ». Bernard Clerfayt a constaté que le travail à temps partiel était alors une solution pour retrouver le lien avec le monde du travail et ne pas perdre les compétences professionnelles acquises. En Belgique, regrette le ministre de l’Emploi, on a un système un peu binaire « soit on a un emploi temps plein, soit on a pas un emploi temps plein, et dans ce cas-là, on vit d’allocation, heureusement, mais on est sans lien avec le monde du travail ». Ces « flexi-jobs » sont intéressants pour maintenir ce lien estime Bernard Clerfayt, « c’est un débat à avoir avec le fédéral ».

Interdiction de l’abattage sans étourdissement préalable

« Il y a une discussion pour déposer un texte qui puisse rejoindre une plus large majorité. Le texte n’est pas encore déposé de manière formelle auprès du Greffe du parlement, mais il circule auprès des groupes du parlement pour obtenir un consensus le plus large possible sur un texte qui va dans le sens des interdictions qui existent maintenant en Flandre et en Wallonie. »

« Ce point est en dehors de l’accord du gouvernement. Chaque député sera libre de son vote et votera en son âme et conscience sur cette question de savoir si on peut utiliser les techniques les plus modernes pour réduire la souffrance animale sans atteindre aux libertés religieuses. »

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Plan de lutte contre les métiers en pénurie

Extrait de presse
Coupure de presse du quotidien "L'Écho" - interview de Bernard Clerfayt - "La construction dit charcher des milliers de bras, mais ne transmet pas des milliers d'offres"

Extraits de l'article paru dans "L'Écho"

Le ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation Bernard Clerfayt (DéFI) lancera en 2022 un plan de lutte contre les métiers en pénurie dans quatre secteurs.

[…] Quatre secteurs en pénurie ciblés

[…] En quoi consistera le plan de lutte contre les métiers en pénurie, annoncé quelques heures plus tôt par le ministre-président? On retient de son exposé sur cette problématique qu’il y aura tout d’abord des tables rondes dans quatre secteurs: la construction, la logistique, la santé et le numérique. «La grande difficulté, c’est que des secteurs qui se plaignent de ne pas trouver de main-d’œuvre n’adressent pas leurs demandes à l’office de l’emploi. C’est typiquement le cas de celui de la construction qui déclare chercher des milliers de bras, mais qui ne transmet pas des milliers de demandes. Tout le monde devra se mettre autour de la table où l’on se dira vraiment les choses les yeux dans les yeux. Il faut préciser les profils recherchés, vérifier si les formations existantes sont bonnes, les adapter si nécessaire, voire en créer sur mesure, ce que l’on fait déjà !»

[…] Et à choisir, est-il favorable à des mesures incitatives façon Dermagne ou plutôt du punitif version Georges-Louis Bouchez? «Je pense qu’on doit mettre toutes ces mesures autour de la table. Je n’ai pas envie d’un combat idéologique, mais plutôt d’un débat pragmatique. Des gens veulent travailler, des entreprises veulent engager. Comment se fait-il qu’ils ne se rencontrent pas? Est-ce qu’il y a un manque de confiance? Certains employeurs disent qu’on leur envoie des gens qui n’ont pas le niveau. Travaillons sur la formation à donner. Si quelqu’un est venu, c’est qu’il a envie de travailler.» Hausse du revenu de formation

[…]  «Le budget 2022 permettra de porter le revenu de formation – qui est passé de 1 à 2 euros l’an dernier pour toutes les formations – à 3 euros de l’heure pour les métiers en pénurie. C’est une mesure incitative, mais ce n’est pas la panacée non plus. C’est un signal positif pour dire qu’il y aura moyen de gagner sa vie dans ces secteurs-là», justifie-t-il tout en appelant surtout les parents à encourager leurs enfants à aller au bout de leurs études. «À Bruxelles, les opportunités d’emploi sont dans des secteurs avec un niveau d’exigence plus élevé qu’ailleurs. Continuer à avoir trop de jeunes qui sortent de l’école sans diplôme, c’est remettre la charge sur les services de l’emploi et de la formation.»

(Titres services)

[…] «La volonté est de prévoir un mécanisme d’indexation automatique et sans doute de faire un rattrapage d’inflation partiel sur lequel je ne peux rien dire maintenant, car cela sera d’abord soumis aux partenaires sociaux. C’est une activité qui abîme les gens et il faut penser à aménager les fins de carrière à partir de 50 ou 55 ans, je ne sais pas encore. Une partie du budget permettra d’améliorer les conditions de travail des femmes et de généraliser l’exigence de formation au sein de ce secteur»

(Une dynamique de renouveau)

[…] «Je suis très satisfait de voir comme Bruxelles vibre bien. On observe une dynamique de renouveau dans toute une série de quartiers, des commerces de proximité qui ouvrent leurs portes. Bruxelles retrouve sa capacité de ville qui draine, qui met des gens en contact, et de là découlent la créativité et la productivité. La ville attire aussi les gens qui ont plus de difficultés. Dans son livre «Triumph of the City», le professeur d’Harvard Edward Glaeser dit que le succès des villes se mesure à la pauvreté qu’elles attirent. La densité de population, d’activités économiques et sociales crée des opportunités qu’il n’y a nulle part ailleurs. Voilà pourquoi les personnes précaires viennent en ville. Il ne faut pas s’en réjouir, mais c’est un phénomène naturel des villes. Il faut arrêter de considérer que Bruxelles ferait tout mal, que tout irait mal, parce qu’elle attire la pauvreté.»

Abattage sans étourdissement

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L'interdiction de l'abattage rituel fera débat au parlement

Extrait de l'article publié par le quotidien "Le Soir"

[…] Autre sujet qui divise la majorité régionale : le bien-être animal, compétence relevant elle aussi de Bernard Clerfayt. Lequel a déposé, la semaine dernière, un projet d’ordonnance visant à interdire, sur le sol bruxellois, l’abattage rituel sans étourdissement, comme c’est déjà le cas en Wallonie et en Flandre, « dont les décrets ont été confirmés par la Cour de justice de l’Union européenne et la Cour constitutionnelle », insiste-t-on chez Défi.