Labellisée amie des animaux

Extrait de presse

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure

(Ixelles a remporté le label d’or Commune amie des animaux 2020.)

Prime de stérilisation des chats, création d’espaces “chiens en liberté” , projet “1 000 nichoirs” : ces dernières années, Ixelles multiplie les initiatives en faveur du bien-être animal sur son territoire. Ce mardi, la commune a emporté la première édition du label d’or qui récompense la localité bruxelloise la plus entreprenante en matière de respect du bien-être animal. […]

[…] “Les communes qui mènent des politiques concrètes en matière de bien-être animal répondent à un souhait grandissant de leurs habitants. En tant qu’acteur de première proximité, elles ont un impact direct sur la vie de milliers d’animaux. Je relance d’ailleurs une nouvelle édition de cet appel à projet. Les communes qui ont envie de développer des projets ou de poursuivre leurs démarches peuvent introduire leur demande auprès de Bruxelles Environnement avant le 15 mai”, annonce le ministre du Bien-être animal Bernard Clerfayt (Défi).

 

Ixelles remporte le label d’Or « Commune Amie des Animaux »

Communiqué de presse

Ce mardi 30 mars Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal, a remis le label d’Or « Commune Amie des Animaux » à la commune d’Ixelles. Ce label récompense la commune bruxelloise qui a le plus œuvré en faveur du bien-être animal, avec le soutien financier de la Région. 

 

Près d’une famille belge sur deux possède un animal de compagnie. En Région bruxelloise, on compte plus de 90.000 chiens et près de 100.000 chats. Et avec la crise sanitaire, le nombre d’adoptions a connu une légère hausse. Les Bruxellois sont donc de plus en plus nombreux à posséder un animal et à s’intéresser au bien-être de leurs compagnons.

Afin de soutenir les communes dans la mise en œuvre de projets visant à améliorer le bien-être animal, la Région bruxelloise a lancé un appel à projets 2020 leur permettant de bénéficier d’un subside d’un montant de 7.000€ et d’obtenir le Label « Commune Amie des Animaux ». Au total, 15 communes ont participé à cet appel et ont soumis 35 projets. Parmi les projets les plus innovants, relevons un parcours Agility à Schaerbeek, une charte du bien-être animal à Anderlecht, une brochure d’informations détaillées à Evere, etc.

Les communes avaient également l’occasion de concourir pour remporter le label d’Or. Pour l’obtenir, il faut respecter au moins 6 critères sur une liste de 11 tels que avoir un échevin en charge du bien-être animal, posséder au moins une zone d’espace de liberté pour chiens sur son territoire, mener une politique de gestion respectueuse des chats errants, octroyer une prime de stérilisation des chats domestiques ou encore informer et sensibiliser les citoyens.

Cette année, le grand gagnant est la Commune d’Ixelles. Elle respecte 9 des 11 critères et a mis sur pied de nombreux projets : prime à l’adoption en refuge, prime pour la stérilisation des chats, carte de nourrissage pour les chats errants ou encore mise en place d’un conseil consultatif du bien-être animal.

« Les communes qui mènent des politiques concrètes en matière de bien-être animal, répondent à un souhait grandissant de leurs habitants. En tant qu’acteur de première proximité, elles peuvent avoir un impact direct sur la vie de milliers d'animaux. C’est pourquoi, j’ai décidé de les soutenir dans la mise en œuvre de projets spécifiques. Je relance d’ailleurs une nouvelle édition de cet appel à projet. Les communes qui ont envie de développer des projets ou de poursuivre leurs démarches peuvent introduire leur demande auprès de Bruxelles Environnement avant le 15 mai », détaille Bernard Clerfayt.

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Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45

Bruxelles, première région d’Europe à interdire la détention des otaries

Communiqué de presse

Depuis ce 4 avril 2021, il est strictement interdit de détenir des cétacés et des pinnipèdes en Région bruxelloise. Si personne ne veut croire en l’ouverture d’un delphinarium sur le territoire bruxellois, la mesure est surtout symbolique. Objectif : faire tache d’huile et amener les régions et pays voisins à prendre des dispositions similaires.

On le constate chaque jour, les citoyens sont de plus en plus soucieux du bien-être des animaux. Et ils sont nombreux à manifester de vives inquiétudes sur le sort réservé aux dauphins, orques, marsouins mais aussi otaries ou phoques exploités dans les delphinariums et autres parcs. 

Parallèlement, le monde scientifique nous alerte régulièrement sur la captivité de ces animaux marins. Selon lui, il s’agit d’êtres intelligents et dotés de capacités cognitives développées. Leur détention dans un milieu clos pour le seul divertissement du public, alors qu’ils sont habitués à parcourir plusieurs centaines de kilomètres, peut dès lors s’apparenter à l’enfermement d’un humain dans une cellule de prison.

C’est pourquoi, sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal, depuis ce 4 avril, la détention de cétacés et de pinnipèdes (otarie, phoque et morse) est interdite en Région bruxelloise. 

« Si plusieurs de nos voisins ont déjà interdit la détention de cétacés, nous sommes les premiers à interdire celle des otaries, phoques et morses. L’objectif est évidemment de rendre impossible l’établissement d’un parc aquatique sur le territoire bruxellois mais surtout d’adresser un message fort aux autres régions et pays qui l’autorisent encore. Les impacts négatifs de la captivité de ces animaux sur leur santé physique et mentale sont connus depuis longtemps. Encore une fois, nous devons repenser notre relation aux animaux. Prenons-nous réellement du plaisir à voir ces animaux sauter dans l’eau contre quelques poissons ? Est-ce cette image d’animaux-esclaves que nous voulons véhiculer auprès de nos enfants ? »,s’interroge le Ministre bruxellois.

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Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45

Changement en vue pour les propriétaires de chiens et de chats

Communiqué de presse

A partir de ce 1er mai, les coordonnées des propriétaires de chiens et de chats ne seront plus publiques. Les responsables des animaux devront donc manuellement autoriser que ces données soient rendues visibles. Ceci afin de se conformer à la réglementation RGPD.

Chaque année près de 4.000 chiens sont perdus en Région bruxelloise et se retrouvent dans un refuge. 1 chien sur 5 est confié à un nouveau propriétaire parce que son maître n’a pu être retrouvé. Un enregistrement correct des données permet d’éviter ce type de situation.

Par ailleurs, afin de se conformer au RGPD, les données enregistrées sur la puce d’un animal de compagnie ne seront plus publiques à partir de ce 1er mai. Les propriétaires doivent donner leur consentement explicite pour rendre leurs données personnelles publiques.

Comment faire ? Surfez sur les plateformes officielles d’enregistrement de ces animaux, DogID (www.dogid.be) pour les chiens et CatID (www.catid.be) pour les chats.

Muni de sa carte d’identité, de son code PIN et du numéro de puce à 15 chiffres du chat ou du chien, présent dans la « section III. Marquage de l’animal » sur le passeport, les propriétaires peuvent modifier les paramètres de la puce et passer d’un mode privé à un mode public.

La démarche est déjà possible pour les félins, et dès le 1er mai pour les chiens.

« Grâce aux informations reprises dans les bases de données CatID et DogID, de nombreux animaux perdus retrouvent leurs maîtres. Il est donc important que les propriétaires d’animaux entreprennent les démarches nécessaires pour ne pas perdre leurs animaux de vue »,déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal.

L’identification et l’enregistrement des chiens sont obligatoires en Région bruxelloise depuis le 1er septembre 1998. Ceux des chats, depuis le 1er novembre 2017.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45

Enregistrement des animaux sur DogID et CatID : votre accord désormais indispensable pour que les données soient publiques

Actualité
Il est désormais nécessaire de modifier les paramètres de la puce d'identification du chien ou du chat

A partir du 1er mai, les coordonnées des propriétaires de chiens et de chats ne seront plus publiques, par défaut en tout cas. Les responsables des animaux devront donc autoriser manuellement que les données liées à l'enregistrement des animaux sur DogID et CatID soit rendu visible. Ceci afin de se conformer à la réglementation RGPD (le règlement européen de protection des données personnelles).

DogID et CatID, des données qui doivent rester accessibles en cas de perte de l’animal

Chaque année près de 4.000 chiens sont perdus en Région bruxelloise et se retrouvent dans un refuge. 1 chien sur 5 est confié à un nouveau propriétaire parce que son maître n’a pu être retrouvé.

Un enregistrement correct des données permet d’éviter ce type de situation.

À partir de ce 1er mai les propriétaires doivent donner leur consentement explicite pour rendre leurs données personnelles publiques.

« Grâce aux informations reprises dans les bases de données CatID et DogID, de nombreux animaux perdus retrouvent leurs maîtres. Il est donc important que les propriétaires d’animaux entreprennent les démarches nécessaires pour ne pas perdre leurs animaux de vue », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal.

Comment faire pour que les données restent publiques ?

Surfez sur les plateformes officielles d’enregistrement de ces animaux, DogID (www.dogid.be) pour les chiens et CatID (www.catid.be) pour les chats.

Muni de sa carte d’identité, de son code PIN et du numéro de puce à 15 chiffres du chat ou du chien, présent dans la « section III. Marquage de l’animal » sur le passeport, les propriétaires peuvent modifier les paramètres de la puce et passer d’un mode privé à un mode public.

La démarche est déjà possible sur CatID pour les félins, et dès le 1er mai sur DogID pour les chiens.

Enregistrer son animal est obligatoire

L’identification et l’enregistrement des chiens sont obligatoires en Région bruxelloise depuis le 1er septembre 1998. Ceux des chats, depuis le 1er novembre 2017.

Maltraitance animale

Communiqué de presse
128 plaintes pour maltraitance animale en 2020

Extrait de l'article publié par La Capitale

Jusqu’au mois de novembre 2020, Bruxelles Environnement a enregistré 128 plaintes pour maltraitance animale en région bruxelloise.

[…] 6 procès-verbaux de constat infractionnel ont été dressés par les inspecteurs de Bruxelles Environnement précise le cabinet de Bernard Clerfayt, ministre en charge du Bien-être animal, qui nous communique les
chiffres.

[…] Pour rappel et à titre de comparaison, en 2019, Bruxelles Environnement avait enregistré 189 plaintes pour maltraitance animale en 2019, dont 151 ont été jugées recevables.

Nouvelle aire pour les chiens

Extrait de presse

Extrait de l'article publié par La Capitale

[…] Elle [Shaerbeek] possède le label Commune respectueuse du bien-être animal. « C’est une tradition dans cette commune d’y être attentif. Ce parcours d’exercices est un geste supplémentaire envers le bien-être des chiens. On l’a vu avec le covid, le contact avec l’animal est essentiel », déclare Bernard Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois du Bien-être animal. « Grâce à un soutien financier de la Région bruxelloise d’un montant de 3.000€, les 6.290 chiens de la commune mais aussi d’ailleurs pourront profiter d’un espace de jeux inédit pour se dépenser en toute sécurité ».