Job day d'Infrabel

Infrabel cherche 150 nouveaux collaborateurs à Bruxelles

Extraits de l'article publié par lacapitale.be

L'un des plus gros employeurs de Belgique lance une grande campagne de recrutement. Infrabel cherche 930 nouveaux collaborateurs en 2022 dont 150 à Bruxelles.

[…] « Infrabel se donne les moyens de gagner la guerre des talents qui règne à Bruxelles. Elle offre des emplois de
qualité avec une possibilité d'évolution et un emploi qui a du sens car le rail est le futur », déclare Bernard
Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois de l'Emploi.

[…]

Lire l'article sur le site (abonnés)

Intégrer la formation dans le parcours du chercheur d'emploi

Extrait de presse, L'Echo : "Les chercheurs d'emploi bruxellois bientôt obligés de se former".

Extraits de l'article paru dans L'Echo du 29 avril :

À la suite d’une série de séminaires visant à déterminer les priorités pour les deux années à venir, le gouvernement de Rudi Vervoort (PS) a présenté ce jeudi à la presse sa nouvelle feuille de route.

[…] En matière d’emploi, une nouveauté sémantique a toutefois fait son apparition puisqu’il est question de mettre en place, d’ici à la fin de la législature, l’obligation d’un bilan de compétences et d’un parcours de formation choisi et adapté pour les chercheurs d’emploi bruxellois. Interrogé en marge de la conférence de presse, Bernard Clerfayt (DéFI) explique qu’il reviendra, en effet, à Actiris de dresser, pour tous les demandeurs d’emploi un bilan des compétences linguistiques, numériques et professionnelles. Pour rappel, une partie de l’enveloppe obtenue dans le cadre du plan de relance européen servira à développer des modules de test pour objectiver le niveau des demandeurs d’emploi sur base d’un référentiel commun en langues et en numérique.

«Et puis les chercheurs d’emploi qui n’ont pas trouvé de travail après un an seront obligés de choisir une trajectoire d’acquisition de compétences supplémentaires. L’objectif est donc de monter en compétences via une obligation de formation, mais chacun sera totalement libre de choisir dans quel domaine. Par exemple, il n’est pas question de forcer quelqu’un à devenir chauffeur poids lourd sous prétexte qu’il y a une pénurie. Mais on ne pourra pas non plus se contenter d’attendre que le travail arrive tout seul», résume le ministre régional de l’Emploi et de la Formation.

Et Bernard Clerfayt d’insister sur le fait qu’il ne s’agit donc pas de sanctionner les chômeurs qui refusent un métier en pénurie, comme l’avait proposé de façon «provocatrice» le président du MR Georges-Louis Bouchez. «Si je caricature le débat politique: certains, à gauche, pensent que les chômeurs sont des victimes et d’autres, à droite, que ce sont des feignasses qui n’ont qu’à traverser la rue pour trouver du boulot. Or, même s’il peut y avoir un peu des deux, ce n’est jamais aussi caricatural. Bien sûr qu’il y a des gens compétents qui ne trouvent pas d’emploi parce qu’il n’y en a pas assez. Mais dans un marché de l’emploi concurrentiel comme à Bruxelles, il faut aussi parfois faire un effort et se former pour gagner la guerre des talents.»

À ce stade, aucun régime de sanction n’est toutefois défini pour les demandeurs d’emploi qui refuseraient de se former. «Cela pourra toujours être intégré dans le processus de sanction de disponibilité à l’emploi. Mais je ne veux pas insister sur le fait que l’on va sanctionner les chômeurs, je veux expliquer que c’est dans leur intérêt de se former, que ce soit l’apprentissage d’une langue, du numérique ou de la réorientation dans une nouvelle filière. La possibilité de reprendre des études pour un métier en pénurie en conservant l’allocation chômage reste un mécanisme trop peu utilisé», déplore le ministre amarante.
Pour inciter les Bruxellois à s’accrocher dans un parcours de formation de longue durée, le revenu de formation sera porté à 3€/heure pour les métiers en pénurie. «Un accord avec le Fédéral pour défiscaliser cette indemnité de formation permettra de garantir aux chercheurs d’emploi son plein usage.»

[…]

Quelles implications pour les communes en retard avec leur budget ?

Extrait de presse, La Dernière Heure : "Pas de budget, pas de panique, mais pas d'investissements"

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure :

Nous avons interrogé le cabinet de Bernard Clerfayt, en charge des Pouvoirs locaux, pour comprendre ce que les retards de budget peuvent impliquer pour les communes et leurs habitants.

[…] “Par exemple, si une commune veut ouvrir une crèche, elle ne peut pas, cela dépend de l’investissement”, explique le cabinet du ministre. Pour le moment, neuf communes n’ont pas transmis leur budget à la Région : Anderlecht, Ganshoren, Saint-Gilles, Saint-Josse, Etterbeek, Bruxelles, Forest, Ixelles et Boitsfort. Certaines ont déjà voté, comme les comme dernières, et doivent juste le transmettre à la tutelle.

Une fois transmis, l’autorité de tutelle a 40 jours pour mettre des recommandations “On regarde surtout les prévisions de recette pour voir si une taxe n’est pas surestimée ou sous-estimée, on émet des recommandations et, si elles ne sont pas appliquées, on peut refuser le budget et la commune doit tout recommencer. C’est très rare.”

[…] Dans les faits, 10 des 19 communes bruxelloises sont suivies par un inspecteur régional : Berchem, Ganshoren, Molenbeek, Anderlecht, Evere, Schaerbeek, Saint-Gilles, Watermael Boitsfort et Etterbeek. “ Ces communes ont eu des difficultés. Puisqu’elles ne peuvent pas rendre un budget en déficit, elles sollicitent l’aide de la Région. Un prêt leur est alors alloué, prêt qu’elles ne doivent pas rembourser, mais qui est conditionné au suivi des comptes de la commune par un inspecteur régional. Celui-ci émet des recommandations a priori.” Le budget est ensuite voté en conseil et passe par la même phase d’analyse a posteriori que pour les autres.

[…]

 

Critères discriminants pour l'engagement

Extrait de presse, La Libre : "Des balayeurs affirment être poussés à déménager à Bruxelles pour être engagés"

Extrait de l'article publié par La Libre

[…]  Ils m’ont tous dit : ‘Non, tu habites Schaerbeek, la priorité, c’est ceux qui habitent 1000 Bruxelles’. L’un m’a dit : tu n’as pas droit au contrat. Et il m’a conseillé de déménager.

[…] “Il est interdit de mettre en place des quotas ou de se baser sur le lieu de résidence pour l’engagement”, confirme la porte-parole de Bernard Clerfayt (Défi), ministre bruxellois des Pouvoirs locaux, sans se prononcer sur le cas concret de Bruxelles. “ Préciser dans une offre d’emploi qu’on recrute une personne résidant dans une telle commune est illégal et discriminatoire. Si une personne estime qu’elle n’est pas engagée car elle n’habite pas dans la commune qui propose le poste, elle peut déposer plainte. On pourrait ensuite procéder à un test de discrimination et poursuivre devant les tribunaux compétents.” […]

Allocations familiales pour les familles ukrainiennes

Extrait de presse, La Dernière Heure : "Les Ukrainiens percevront des allocations familiales".

Extrait de l'article paru dans la Dernière Heure

Sur proposition de Bernard Clerfayt et Sven Gatz, ministres bruxellois des Allocations familiales, le
gouvernement bruxellois a débloqué 27,5 millions pour permettre aux enfants réfugiés d’Ukraine de percevoir des allocations familiales.

En Région bruxelloise, l’accès aux allocations familiales sera possible pour chaque parent ukrainien. Afin d’ouvrir ce droit, l’enfant devra être inscrit au Registre National et être domicilié en région bruxelloise.

[…] « La majorité des familles ukrainiennes bénéficiant de la protection provisoire est composée de femmes et d’enfants. Dans ce cadre, les allocations familiales, qui sont un droit inconditionnel, constituent le meilleur outil de lutte contre la pauvreté infantile. Garantir l’octroi de ces allocations pour les enfants réfugiés, c’est leur permettre de reprendre une vie un peu plus digne en Région bruxelloise », rappelle Bernard Clerfayt. […]

Le ministre Bernard Clerfayt invité du magazine d'actualité +d'Actu

Logo de +d'Actu, le magazine d'actualité de BX1

Lors de l’émission +d’Actu de BX1+ du 22 avril 2022, le ministre Bernard Clerfayt a répondu à plusieurs questions d’actualité. Voici un compte-rendu de ses réponses relatives à ses matières de compétence.

40.000 nouveaux emplois créés en 2021 d’après Actiris. Il n’y a pas eu d’effets de la crise du Covid ?

La crise du Covid a ralenti la baisse du chômage. Depuis quelques années nous avons une forte baisse du chômage […]. L’État fédéral et la Région ont dépensé beaucoup pour maintenir les entreprises fragilisées et les emplois. Ce soutien à l’activité économique crée aujourd’hui une activité économique croissante.

À Bruxelles on a des emplois mais ce ne sont pas les Bruxellois qui en profitent. Va-t-on pouvoir corriger cela ?

On a 760.000 emplois sur le territoire de la Région mais seulement la moitié sont occupés par les Bruxellois. Il y a une guerre des talents à Bruxelles. Beaucoup de navetteurs viennent postuler pour les emplois et les Bruxellois n’ont pas toujours les compétences requises pour accéder aux emplois. On a un vrai enjeu de montée en compétence, des compétences qui seront nécessaires pour les emplois de demain.

Peut-on donner du travail aux sans-papiers ?

La loi telle et la répartition des compétences entre l’État fédéral et la Région sont telles que la Région peut donner un donner un permis de travail pour un travailleur qui vient de l’étranger s’il a des compétences que l’on ne trouve pas en Région bruxelloise et qui sont essentielles pour une entreprise. Nous le faisons en accordant des milliers de permis de travail chaque année. Mais c’est l’État fédéral qui a gardé la compétence d’accorder l’accès au territoire.

Qu’en est-il des entreprises de titres-services qui demandent des suppléments au motif de l’augmentation des frais de transport ?

L’entreprise a le droit de demander des frais à ses clients, mais le client a le droit de changer d’agence dès qu’il estime que le service est trop cher. Il y en plus de 200 actives en Région bruxelloise.

À propos des titres-services, vous aviez annoncé travailler à une réforme. Où en est-on ?

Le gouvernement a approuvé une note qui encadre ce projet de réforme. Nous l’avons soumise aux partenaires sociaux et j’espère avoir une réponse au courant du mois de mai.

Le titre service coûtera 10 euros au lieu de 9 euros ?

Nous remboursons le titre-service 24 euros à l’entreprise qui paye le salaire. Chaque année cette intervention est indexée alors que l’usager paye toujours 9 euros. L’usager qui paye 9 euros reçoit un service d’une valeur de 15 euros supplémentaires. J’espère que la décision de cette réforme se fera avant l’été.

À propos de l’abattage rituel, n’y a-t-il pas un déni des autres méthodes d’abattages plus cruelles encore ?

Actuellement l’étourdissement est imposé pour tout abattage en Région bruxelloise, sauf pour raisons religieuses. Le débat est de savoir s’il convient ou pas de supprimer cette exception. La Région wallonne l’a fait et tous les partis politiques, PS, MR, CdH, Écolo, ont voté, idem pour les partis de la majorité en Flandre. Aujourd’hui la question se pose à Bruxelles. Cette question sera débattue au parlement et je voudrais que le parlement écoute toutes les parties concernées pour que les parlementaires, en âme et conscience, puissent choisir. Cette question n’est plus dans les mains du gouvernement. Je peux avoir un avis en tant que ministre du Bien-être animal et vous dire que le Conseil du Bien-être animal a émis un avis très clair sur cette question.

Laisse obligatoire pour les chiens en forêt de Soignes ?

Bernard Clerfayt refuse la "Laisse partout" d'Alain Maron

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure

En février dernier, le ministre de l’Environnement bruxellois Alain Maron (Ecolo) annonçait vouloir s’aligner sur la Wallonie et la Flandre concernant la promenade canine en forêt de Soignes.

Bernard Clerfayt (Défi) se pose en porte-voix des signataires (de la pétition s'y opposant -ndlr) en voulant interférer dans les plans de son collègue au gouvernement, “il faut sortir de la vision binaire, trouver un équilibre” . Et d’ajouter qu’il s’agit là des besoins éthologiques du chien que de courir, creuser, renifler…

[…] Bernard Clerfayt énumère les alternatives à la “laisse partout”. D’abord, il s’agit d’améliorer la signalétique.
“Les gens ne savent pas s’ils se promènent en Flandre ou en Wallonie, et ils s’en foutent. Il faut leur proposer une signalétique claire et lisible.” Actuellement, sur le territoire bruxellois de la forêt, certaines zones imposent la laisse, d’autres non, mais la signalétique est si timide qu’elle sème la confusion. Ensuite, le ministre du Bien-être animal souhaite limiter le nombre de chiens par personne, une manière d’interdire les “dog-walkers”. “Je peux comprendre pour les familles qui ont deux ou trois chiens, par exemple, mais à partir d’un certain moment, ça commence à ressembler à une activité économique” , précise-t-il, arguant que plus il y a de chiens, plus les dommages sont perceptibles.
Dans le même esprit, le bourgmestre empêché de Schaerbeek entend qu’il faut respecter le cycle de la nature, et de la faune, menacée par la pression récréative de la forêt. “Il y a peut-être des périodes de nidification, ou de mise bas, où l’on pourrait dire que pendant un mois ou un mois et demi, les règles seront plus strictes parce que la nature l’impose.” Enfin, c’est aussi au niveau de la formation des gardes forestiers que Bernard Clerfayt souhaite appuyer.

[…] L’aboutissement d’une législation est encore loin, et les ministres doivent faire appel à des experts afin de bien cadrer les besoins éthologiques dont les négligences sont responsables de
“tous les problèmes qu’on rencontre avec des chiens en ville ”, dixit Clerfayt.

2100 nouvelles places pour accueillir les jeunes enfants en Région de Bruxelles-Capitale

Extrait de presse, Le Soir : «5000 bambins de plus pourront être accueillis»

Extrait de l'article paru dans Le Soir

L’effort ne serait pas possible sans la décision des Régions wallonne et de Bruxelles-Capitale d’aider la Fédération Wallonie-Bruxelles à financer nouvelles structures et personnel supplémentaire.

[…] C’est la Région de Bruxelles-Capitale qui a donc lancé le mouvement au début de l’année en annonçant 2.100 places nouvelles, dont 876 immédiatement pour 25 projets jugés prioritaires et 1.224 d’ici 2026 pour les communes dont le taux de couverture est inférieur à 33 % (minimum européen). Un premier budget de 6,75 millions d’euros est annoncé par les ministres Rudy Vervoort (PS) et Bernard Clerfayt (Défi) pour les structures, ainsi que 2 millions d’euros de plus pour le personnel supplémentaire. Pour les projets futurs, un appel d’offres sera lancé d’ici juin. […]

Une liste des objets problématiques pour le bien-être animal

Extrait de presse, La Capitale : «Poissons, la Région veut interndire la vente de bocaux».

Extraits de l'article publié par La Capitale

[…] Ce mercredi plusieurs députés ont interpellé le ministre du Bien-être animal Bernard Clerfayt (DéFI) qui planche sur la création d’un Code du Bien-être animal pour réformer la législation vieille de 35 ans. « Nous examinons, dans le cadre de l’élaboration du futur Code du Bien-être animal, une liste d’objets pour lequel nous pourrions faire une demande générale d’interdiction de commercialisation », annonce le ministre.

[…] « Par exemple, on sait que le bocal rond a un impact sur le stress des poissons. Les feux d’artifice ou certains types de collier pour chien comme les colliers électriques posent aussi question au niveau du bien-être animal. »
Pour le moment, l’utilisation de bocaux est autorisée en région bruxelloise. « On pourrait l’interdire mais on ne va pas commencer à contrôler la taille de l’aquarium dans chaque ménage. Interdire la vente de bocaux serait bien plus efficace », commente le ministre.

[…] « Notre demande sera plus forte si elle est suivie par la Région wallonne et la Région flamande », estime-t-il. Une fois la liste complète des objets « problématiques » établie, Bernard Clerfayt compte en discuter avec les autres ministres du Bien-être animal pour les convaincre d’emboîter le pas.

« Ce label a de plus en plus de succès »

Extrait de presse, La Capitale : «Schaerbeek remporte le label d'Or Commune Amie des Animaux».

Extrait de l'article publié par La Capitale

Sacrée deuxième commune bruxelloise la plus proactive en matière de bien-être animal par Gaia, Schaerbeek ajoute un nouveau titre à son palmarès. Elle a reçu le label d’Or Commune Amie des Animaux, une récompense attribuée par la Région bruxelloise.

[…] « Ce label a de plus en plus de succès », se réjouit le ministre du Bien-être animal Bernard Clerfayt (DéFI). « On se rend compte que notre rapport à la nature est une grande question fondamentale aujourd’hui et parmi les grandes questions, il y a aussi notre rapport aux animaux domestiques et en particulier les chiens. »

[…] Pour la prochaine édition, les communes devront répondre à 8 des 13 critères dont la distribution de chèques vétérinaires et le soutien à l’éducation canine. « On les a ajoutés suite aux remarques des vétérinaires et des associations qui s’inquiètent du nombre grandissant d’abandon », précise le ministre.