Titres-services

Extrait de presse, L'Echo : "À Bruxelles, un titre-service coûtera 10 euros"

Extrait de l'article publié par L'Echo

Le ministre de l’Emploi bruxellois, Bernard Clerfayt (DéFi), et ses collègues du gouvernement régional se sont accordés ce jeudi sur la réforme de la politique des titres-services dans la capitale.

Avec deux grands axes au menu, conformément à l’accord de majorité. D’une part, garantir la pérennité d’un
système dont le financement dérivait dangereusement au gré des indexations de salaires. D’autre part,
améliorer les conditions de travail. Le tout en maintenant l’emploi dans un secteur qui occupe 27.000 personnes
dans la capitale, dont une majorité écrasante de femmes (97%).

De 9 à 10 euros par titre

Depuis 2016 en effet, quand la Région a repris la gestion des titres-services, le prix pour le grand public n’avait pas changé. Or, les deux tiers du prix réel d’un titre sont à charge des finances publiques. Indexations successives obligent, et puisqu’on n’avait pas touché au prix utilisateurs, la charge pour le budget bruxellois a augmenté de 35% en six ans, passant de 13,04 à 17,59 euros pour chacun des 16 millions de titres émis chaque année à Bruxelles.

[…] Selon les projections, à utilisation égale (16 millions de titres-services émis par an) et vu les prévisions d’inflation, ces mesures devraient permettre d’éviter une charge supplémentaire de 18 millions d’euros pour le budget bruxellois en 2023. Au total, 250 millions d’euros seront consacrés à la politique de titres-services, soit un quart du budget emploi de la Région.

«Tout le monde peut comprendre que tout augmente, même ça. Cette réforme était inévitable vu la hausse des
coûts», explique Bernard Clerfayt, qui juge le nouveau montant équilibré: «En fixant le prix à la barre
symbolique de 10 euros, nous répercutons la moitié de l’inflation sur l’utilisateur.»

Autre volet de la réforme sur lequel insiste le ministre amarante: l’amélioration des conditions de travail des
aides-ménagères. «Certaines femmes vivent des situations très désagréables, avec du dénigrement et parfois
aussi du harcèlement. Il faut mieux les protéger.»

[…] Quant aux entreprises, elles devront proposer des contrats de minimum 20h de travail par semaine, la
transparence sera exigée sur les frais complémentaires et une partie devra revenir aux aides-ménagères. Les
contrôles dans le secteur seront renforcés. Au total, un budget de 5 millions d’euros a été dégagé pour financer
ces politiques de bien-être.

[…] «Nous répercutons la moitié de l’inflation sur l’utilisateur », ce qui est équilibré, estime le ministre de l’Emploi Bernard Clerfayt (DéFi).

"Les Futurs de Bruxelles"

Extrait de presse, La Capitale : 1000 citoyens consultés sur "Les Futurs de Bruxelles".

Extrait de l'article publié par "La Capitale"

[…] Des citoyens bruxellois seront consultés au cours des prochaines semaines et prochains mois sur la manière de mieux structurer les pouvoirs et institutions de la Région-capitale, a annoncé mardi le ministre bruxellois des Pouvoirs locaux, Bernard Clerfayt (DéFI).

Celui-ci a été mandaté par le gouvernement régional pour interroger les citoyens bruxellois, premiers touchés
par le fonctionnement de leurs institutions, mais également les acteurs concernés par les thématiques qui
seront abordées, en lien avec le fonctionnement de la Région centrale du pays. […]

Budget 2023

Extrait de presse, La Dernière Heure : "Bruxelles boucle son budget"

Extrait de l'article publié par la Dernière Heure

[…] Elke Van den Brandt et Bernard Clerfayt pourraient compter sur 10 millions d’euros chacun pour poursuivre, l’une le déploiement de son plan Good Move, l’autre la formation et la mise à l’emploi des Bruxelloises et Bruxellois infraqualifiés.
Rappelons enfin que, à l’instar de la mesure prise par la NVA au niveau flamand, la majorité socialiste, écologiste et DéFI a décidé de geler l’indexation des loyers pour les passoires énergétiques, c’est-à-dire les logements avec les plus faibles niveaux PEB. Une mesure annoncée fin de semaine dernière et dont la gestation a été particulièrement douloureuse : le long blocage de DéFI laissant, ici aussi, apparaître de profondes fractures au sein de l’exécutif régional.

Accord sur le budget 2023

Le gouvernement bruxellois a lui aussi un accord sur le budget

Extrait de l'article paru dans La Libre

Quelques heures après le fédéral, le gouvernement bruxellois a, lui aussi, conclu mardi son conclave budgétaire, en parvenant à un accord sur le budget 2023. Les négociations avaient été interrompues vendredi après-midi, après le claquage de porte de Bernard Clerfayt (Défi), ministre de l’Emploi, qui avait jugé le budget titres-services insuffisant et craignait de voir 1 500 emplois passer à la trappe.

“La ligne de force, ce que ce budget tente de faire, c’est de protéger le mieux possible les gens, dans la mesure des moyens budgétaires disponibles à moyen terme ”, nous indique une source bruxelloise. L’accord vise également à limiter le surendettement public. Plusieurs points sont à souligner. Le gouvernement bruxellois s’est accordé pour réduire le salaire des ministres, en s’alignant sur le fédéral, qui s’est engagé à réduire de 8 % le traitement des membres de l’exécutif.

[…] Quinze millions supplémentaires sont aussi prévus pour les communes via la dotation régionale. […] une enveloppe de 10 millions d’euros pour soutenir l’emploi.

 

 

Services administratifs en ligne

Les Bruxellois, plus grands utilisateurs des services administratifs en ligne de Belgique

Extraits de l'article publié par Sud Presse

La Fondation Roi Baudouin a publié, en septembre dernier, les résultats de son nouveau baromètre de l'inclusion numérique. Celui-ci souligne que c'est en Région bruxelloise que l'utilisation des services administratifs en ligne a le plus progressé. […]

[…] Ces résultats montrent bien que le citoyen se dirige de plus en plus vers la voie numérique. Conscient de cette réalité, Bernard Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois de la Transition numérique, va d'ailleurs présenter dans les semaines qui y arrivent un projet d'ordonnance, Bruxelles Numérique, visant à rendre accessible en ligne toutes les démarches administratives.
« 8 Bruxellois sur 10 utilisent l'administration en ligne, un chiffre qui a largement augmenté suite à la crise Covid et la fermeture de nombreux services publics. Et si les Bruxellois sont de plus en plus demandeurs d'effectuer leurs démarches administratives depuis chez eux, je compte bien accélérer ce phénomène en imposant aux administrations la numérisation de leurs services mais également en proposant un accompagnement pour les publics les plus éloignés du numérique », commente Bernard Clerfayt.

Article sur le site de Sud Presse

Télétavail pour cause d'économie d'énergie ?

Extrait de presse, La Capitale : "Bernard Clerfayt, veut examiner la décision de Saint-Josse d’imposer un jour de télétravail par semaine"

Extrait de l'article publié par La Capitale

Le bourgmestre de Saint-Josse-ten-Noode et l’un des échevins ont décidé cette semaine d’imposer un jour de télétravail par semaine dès le 14 octobre. Le ministre bruxellois en charge des Pouvoirs locaux, Bernard Clerfayt (DéFI) va demander à la commune de Saint-Josse de lui transmettre sa décision d’imposer une journée de télétravail par semaine à ses fonctionnaires
pour économiser l’énergie. Le ministre souhaite prendre connaissance de cette décision pour pourvoir exercer sa tutelle, a-t-il fait savoir vendredi, en réponse à des questions des députés Juan Benjumea Moreno (Groen) et Ahmed Mouhssin (Ecolo). […]

Bernard Clerfayt a annoncé par l’intermédiaire de son collègue Alain Maron, chargé de lire sa réponse, que la commune n’avait pas encore transmis la décision à son administration – ce qui n’est d’ailleurs pas obligatoire – mais qu’il demanderait qu’elle le fasse pour lui permettre d’exercer sa tutelle. Il a ajouté que cette mesure ne faisait pas partie de la série de mesures d’économie d’énergie que le gouvernement a transmises aux communes dans une circulaire.

Campagne de sensibilisation à la lutte contre l'abandon

Extrait de presse, La Capitale : "Adopter un animal, c'est prendre un engagement"

Extrait de l'article publié par La Capitale

À l’occasion de la journée mondiale des animaux le 4 octobre, la Région bruxelloise, avec le club de football de l’Union Saint-Gilloise, sensibilise davantage les Bruxellois à la lutte contre l’abandon d’animaux.

[…]  le ministre bruxellois du Bien-être animal s’est dernièrement associé au club de football de l’Union Saint-Gilloise, afin de mettre en place une campagne de lutte contre l’abandon des animaux.

[…] « Les animaux méritent qu’on prenne soin d’eux. Décider d’adopter un chien ou un chat, c’est prendre un engagement. Alors, ce 4 octobre, célébrons nos compagnons qui, eux, ne dérogent jamais à leur unique devoir : nous rendre heureux », déclare Bernard Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois du Bien-être Animal.

Indexation des allocations familiales

Extrait de presse, La Capitale : "Allocations familiales : l'index maintenu"

Extrait de l'article paru dans La Capitale :

[…] À Bruxelles, les allocations familiales sont indexées sur base de l’inflation. Elles évoluent donc en fonction du pouvoir d’achat. Le but ? Soutenir les familles et lutter contre la précarité infantile.
[…] « Le système bruxellois d’indexation des allocations familiales se montre efficace et je compte bien le maintenir. Il n’est d’ailleurs pas normal qu’en Flandre ce type de mesure ne soit pas d’application, alors que nous devons faire face à une augmentation considérable du coût de la vie. En ces temps difficiles, cette indexation automatique nous permet donc de garantir une source indispensable de revenu pour les familles bruxelloises », déclare Bernard Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois des Allocations Familiales.

Dotation Générale aux Communes (DGC)

Extrait de presse, L'Echo : "Vers une indexation exceptionnelle de la dotation régionale aux communes"

Extraits de l'article paru dans L'Echo

Avec une indexation automatique de 2%, la dotation générale aux communes (DGC) octroyée par la Région bruxelloise n'est plus suffisante en ces temps d'inflation record.

[…] Un accord de principe est intervenu au sein du gouvernement bruxellois pour que les 19 communes bénéficient d' une indexation exceptionnelle de 5,5% de la DGC pour l'année 2022. Reste encore à trouver les budgets en identifiant des sous-utilisations de crédits. Est-ce qu'une solution similaire sera mise en place en 2023? Il est trop tôt pour l'assurer, mais le cabinet du ministre bruxellois des Pouvoirs locaux Bernard Clerfayt (DéFI) indique que son projet de réforme de la DGC prévoit de sortir de la règle des 2% pour calquer l'indexation de la DGC sur l'inflation réelle . "C'est un point qui sera discuté lors du conclave budgétaire", précise sa porte-parole. […]

Lire l'article en ligne (payant)

Contrôle des chômeurs

Extrait de presse, La Libre : "Contrôle des chômeurs : Bruxelles sanctionne moins que les autres Régions"

Extraits de l'article paru dans La Libre

[…] En Région de Bruxelles-Capitale, le nombre de sanctions adressées (disponibilité active et passive) est passé de 5 883 en 2019 à 784 en 2020, et à 431 en 2021 (sur 16 552 contrôles) selon des données fournies par Bernard Clerfayt (Défi), ministre bruxellois de l’Emploi, en réponse à une question de la députée bruxelloise Bianca Debaets (CD&V).

[…] La différence entre Régions sur le nombre de sanctions, même ramenée au nombre d’habitants, est considérable. La Belgique compte en effet, selon les derniers chiffres de l’Onem, 289 249 chômeurs complets indemnisés, dont 105 017 en Flandre, 121 800 en Wallonie et 62 432 à Bruxelles.

[…] “À Bruxelles, nous avons décidé d’assouplir la procédure de sanctions puisque, avec le Covid et le lockdown, non seulement les employeurs ne recrutaient plus, ou très peu, mais en plus, de nombreux travailleurs se sont retrouvés au chômage temporaire. À situation exceptionnelle, mesure exceptionnelle. De plus , on ne peut comparer Bruxelles avec la Flandre car les procédures ne sont pas identiques ”, pointe la porte-parole de Bernard Clerfayt, qui concède que “ sur le fond, une sanction est une sanction et une exclusion, une exclusion ”.

[…] “Les chiffres de sanctions actuels sont à mettre en parallèle avec le fait que, légalement, nous ne pouvons pas sanctionner un chercheur d’emploi sans lui donner la possibilité de se défendre en présentiel. Et jusqu’en juin 2021, nous ne pouvions pas organiser tant que les mesures liées au virus n’étaient pas assouplies, reprend le porte-parole d’Actiris. De facto, cela signifie que toutes les personnes qui étaient impliquées dans une procédure d’évaluation en 2021 ont recommencé à zéro le processus. Car chaque chercheur d’emploi a droit à une évaluation de son dossier tous les 12 mois. Au second semestre 2022, nous reviendrons à des chiffres de contrôles et de sanctions équivalents à ce qu’ils étaient avant le Covid.”