Métiers en pénurie

Extrait de presse
Bernard Clerfayt: une obligation de formation mais en laissant le choix

Extraits de l'article paru dans la Dernière Heure

(Bernard Clerfayt:)

“ Georges-Louis Bouchez et Paul Magnette (NdlR : selon lui, pour le MR, la solution aux pénuries est le travail forcé et la sanction) sont dans une posture politique. Ce n’est pas par le clash que se résoudra le problème. On voit que les personnes qui sont durablement au chômage ont un profil de compétences pas adapté. Il faut faire un gros effort de formation ”, nous indique Bernard Clerfayt (Défi), ministre bruxellois de l’Emploi. “ Mais j e ne suis pas d’accord qu’on doit obligatoirement se former dans un métier en pénurie. Dire : vous devez être maçon ou infirmier ne fonctionnera pas si les gens ne veulent pas faire ces métiers. De plus, les exclure transfère les personnes du chômage au CPAS. Cela dit, il faut rappeler à ces gens l’obligation de se former, mais dans le métier de leur choix. ”

Formations dans la construction : misez sur un avenir durable!

Actualité
Orientez-vous vers une formation dans la construction grâce au pôle Emploi-formation Construcity

Vous voulez vous lancer dans l’écoconstruction ? obtenir une certification de chauffagiste ? la déconstruction et remise en œuvre vous tente ? le gros-œuvre, c’est votre affaire ? vous aimeriez vous former au montage de sanitaires et à l’installation de chauffage ? Voici toutes les infos utiles sur les formations dans la construction.

C’est la rentrée, il est temps de vous lancer !

Construcity.brussels, le pôle Formation-emploi du secteur de la construction en Région de Bruxelles-Capitale, vous oriente vers tous types de formations : en alternance, formation professionnelle à temps plein, de promotion sociale… C’est le moment de les contacter, ils organisent des séances d’information à propos des formations dans la construction.

Car Bruxelles aura toujours besoin de maçons

Environnement, innovations, technologies et construction circulaire : métiers et formations dans la construction évoluent sans cesse. Se lancer dans la construction, c’est découvrir un secteur passionnant dans lequel le travail ne manque pas. L’an dernier, le secteur de la construction a engagé plus de 1000 personnes.

On estime que la stratégie de rénovation du bâti existant à Bruxelles créera pas loin de 8000 emplois dans les années à venir !

Les défis sont énormes et chacun peut y trouver sa place.

Attention, formations indispensables !

Le secteur de la construction est ouvert à toute personne motivée, attirée par le travail bien fait et prête à se lancer dans une formation.

Bruxelles aura toujours besoin de peintres, carreleurs, menuisiers, couvreurs, terrassiers, ventiliste, conducteur d’engins de chantier, maçon, voiriste, coffreur, chauffagiste, plombier… Bruxelles aura toujours besoin de main d’œuvre qualifiée dans le secteur de la construction !

Liens utiles et exemples de formations dans la construction :

Infrabel forme aux métiers du rail

Extrait de presse
Infrabel Academy, le première "école du rail" du pays

Extrait de l'article de La Capitale

L’Infrabel Academy, la première « école du rail » de Belgique, a été officiellement inaugurée mercredi, jour de rentrée des classes, à Molenbeek-Saint-Jean, à proximité immédiate de la gare de Bruxelles-Ouest. Les 300 formations et cours divers nécessaires à la gestion quotidienne des 3.600 km de lignes ferroviaires du pays y sont désormais centralisés, là où ils étaient précédemment dispensés localement, aux quatre coins du pays.

[…] Bernard Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle, a rappelé qu’il était difficile pour Actiris d’envoyer du personnel qualifié auprès d’Infrabel et que ce genre de structure allait faciliter la collaboration entre les organismes.

Formation en alternance : convaincre plus d’entreprises de former des stagiaires

Actualité
Formation en alternance

2.280 personnes en formation en alternance sont toujours à la recherche d’un stage pour cette année académique 2020-2021.

Pour inciter plus d’entreprises à accueillir des stagiaires, le gouvernement bruxellois renforce la prime tuteur pour 2021-2022. Le montant de la prime passe de 1.750€ à 3.000€ et la condition de l’âge du stagiaire est supprimée. Jusqu’à présent la prime était octroyée pour les jeunes de moins de 25 ans.

Un budget de 6.450.000€ est dégagé pour cette mesure pouvant bénéficier à plus de 2.000 entreprises formatrices.

Des formations en adéquation avec les attentes des employeurs

« Je suis convaincu que la formation en alternance peut contribuer à accélérer la relance socio-économique de la Région bruxelloise. Elle permet de former des personnes aux compétences attendues par les employeurs. Ceux-ci sont encore trop peu nombreux à former des stagiaires au sein de leur entreprise. Grâce à cette prime de 3.000€ et à l’assouplissement des conditions d’octroi, j’espère que nous assisterons à une mobilisation massive du monde économique pour la formation en alternance », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle.

La formation en alternance fait l’unanimité

A Bruxelles, l’efp-sfpme et Syntra proposent ce type formation. La formation en alternance est une pédagogie permettant l’acquisition des compétences tant en centre de formation qu’en entreprise. En 2018 déjà, le gouvernement bruxellois avait adopté une réforme pour booster le dispositif de l’alternance et avait notamment instauré une prime tuteur accessible aux entreprises qui s’engagent dans la formation d’un jeune de moins de 25 ans en alternance.

« L’alternance, voie royale vers l’emploi », « L’alternance, c’est du win-win », « La formation en alternance a le vent en poupe » ou encore « L’alternance est un filière d’excellence » ; ces dernières années, l’alternance fait l’unanimité auprès de tous : acteurs économiques, politiques et même le Palais Royal. Pourtant, si les jeunes et les moins jeunes sont toujours plus nombreux à opter pour la formation en alternance, beaucoup sont encore à la recherche d’une entreprise formatrice pour valider leur année.

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Soutien aux entreprises formatrices

Extrait de presse
3000 euros pour les entreprises qui forment des stagiaires

Extraits d'un article publié par La Capitale

Le gouvernement bruxellois a marqué son accord pour l’octroi d’une prime de 3.000 euros à destination des entreprises formatrices. L’objectif : augmenter le nombre d’employeurs qui s’engage à former des stagiaires en alternance.

« Je suis convaincu que la formation en alternance peut contribuer à accélérer la relance socio-économique de la Région bruxelloise tant elle permet de former des personnes aux compétences attendues par les employeurs. Ceux-ci sont encore trop peu nombreux à former des stagiaires au sein de leur entreprise. Grâce à cette prime de 3.000€ et à l’assouplissement des conditions d’octroi, j’espère qu’au-delà des belles déclarations, nous assisterons à une mobilisation massive du monde économique pour l’alternance », déclare Bernard Clerfayt.

Une prime de 3.000€ pour les entreprises formatrices de l’alternance dès la rentrée

Communiqué de presse

Sur proposition de Bernard Clerfayt, le gouvernement bruxellois a marqué son accord pour l’octroi d’une prime de 3.000 euros à destination des entreprises formatrices. L’objectif : augmenter le nombre d’employeurs qui s’engagent à former des stagiaires en alternance.

« L’alternance, voie royale vers l’emploi », « L’alternance, c’est du win-win », « La formation en alternance a le vent en poupe » ou encore « L’alternance est un filière d’excellence » ; ces dernières années, l’alternance fait l’unanimité auprès de tous : acteurs économiques, politiques et même le Palais Royal. Pourtant, force est de constater que, dans les faits, si les jeunes et les moins jeunes sont toujours plus nombreux à opter pour cette filière de formation, beaucoup sont encore à la recherche d’une entreprise formatrice, pour pouvoir valider leur année.

En 2018 déjà, le gouvernement bruxellois avait adopté une réforme pour booster le dispositif de l’alternance et avait notamment instauré une prime tuteur accessible aux entreprises qui s’engagent dans la formation d’un jeune de moins de 25 ans en alternance.

Il n’en reste pas moins que pour l’année académique 2020-2021, 2.280 personnes inscrites en alternance à Bruxelles  sont toujours à la recherche d’une place de stage. En effet, la formation en alternance est une méthode pédagogique qui prévoit l’acquisition des compétences tant en centre de formation qu’en entreprise. A Bruxelles, l’efp-sfpme et Syntra proposent ce type formation.

C’est pourquoi le gouvernement bruxellois entend renforcer la prime tuteur pour l’année académique 2021-2022 :

  • Le montant de la prime passe de 1.750€ euros à 3.000€
  • La condition de l’âge est supprimée

« Je suis convaincu que la formation en alternance peut contribuer à accélérer la relance socio-économique de la Région bruxelloise tant elle permet de former des personnes aux compétences attendues par les employeurs. Ceux-ci sont encore trop peu nombreux à former des stagiaires au sein de leur entreprise. Grâce à cette prime de 3.000€ et à l’assouplissement des conditions d’octroi, j’espère qu’au-delà des belles déclarations, nous assisterons à une mobilisation massive du monde économique pour l’alternance », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle.

Un budget de 6.450.000€ est dégagé pour cette mesure pouvant bénéficier à plus de 2.000 entreprises formatrices.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Langues et numérique, premières priorités de la formation en Région de Bruxelles-Captale

Extrait de presse
Comment Bruxelles va investir dans la formation

Extrait de l'article de La Libre

[…] Comme La Libre le révélait en février dernier, 100 millions d’euros issus de cette enveloppe seront consacrés dans les cinq années à venir à la requalification des demandeurs d’emploi et à l’optimisation des politiques d’inclusion à l’emploi.

Mais, plus concrètement, à quoi cet argent européen dédié à l’emploi et à la formation professionnelle à Bruxelles va-t-il servir ?
Tout d’abord, il va permettre de doper l’apprentissage des langues nationales et l’usage des outils numériques par les Bruxellois et Bruxelloises. C’est la plus grosse part du gâteau. Sur base des recommandations formulées par l’Europe, le gouvernement Vervoort a en effet décidé d’investir plus de 30 millions d’euros dans la mise en place d’une nomenclature unique permettant d’uniformiser le bilan des compétences à la fois linguistiques et numériques de tous les chercheurs d’emploi inscrits chez Actiris. “ Les études réalisées par l’observatoire View (.brussels, NdlR) indiquent que le taux de sortie vers l’emploi passe de 34 % à 46 % pour les chercheurs d’emploi ayant une connaissance de la deuxième langue nationale” , épingle le ministre de tutelle Bernard Clerfayt (Défi).

[…]