Rémunération des bourgmestres absents pour cause de maladie

Extrait de presse
Le traitement de Roberti à l'analyse

Extraits de l'article publié par La Capitale

L’avis par le cabinet d’avocats concernant le traitement du bourgmestre en titre Stéphane Roberti, rendu ce mardi, a été soumis à l’analyse de Bruxelles Pouvoirs locaux. Le ministre bruxellois Clerfayt entend moderniser le texte bruxellois.

[…] « Il y a un vide juridique par rapport à un mandataire politique malade. Il faut que la loi soit plus claire », explique cette dernière, qui attend l’interprétation de Bruxelles Pouvoirs locaux demandée par le ministre bruxellois Bernard Clerfayt (DéFI).
Si ce dernier préfère ne pas se prononcer dans l’immédiat, il nous informe qu’il laisse quelques jours à son administration pour interpréter ladite note. « La question que je me pose est : sur quel article se base-t-on quand il y a contradiction ? Dans tous les cas, il n’est pas question que la commune paie deux traitements de bourgmestre, comme ça a été le cas au début de l’année. Ce serait un non-sens », avance l’élu amarante. Pour Clerfayt, il serait intéressant de s’inspirer de la Flandre et la Wallonie qui ont modernisé leur loi concernant le remplacement d’un bourgmestre absent depuis plus de trois mois. « Il faut mettre en ordre le texte bruxellois.
L’articulation des articles n’est pas suffisamment claire », conclut-il, estimant toutefois que l’interprétation de son administration ne prendra pas la même direction que l’avis des avocats.