Le réseau bruxellois de fibre optique

Extrait de presse
La fibre optique, le trésor caché de Bruxelles

Extraits de l'article publié par l'Echo

[…] La fibre est au terrestre ce que la 5G sera pour le mobile: un standard. […] Celui de la Région fait plus de 400 km de long et est baptisé Irisnet, du même nom que l’entité qui en a la responsabilité. Peu le savent, mais ce réseau est utilisé par l’ensemble des administrations publiques régionales et locales, qui sont reliées entre elles et au reste du monde via la fibre.

[…] «Aujourd’hui, la Région est le plus grand opérateur de fibre optique sur son territoire», se plaît d’ailleurs à dire Bernard Clerfayt, ministre bruxellois de la Transition numérique et de la Simplification administrative. «Nous sommes l’une des seules villes au monde à disposer de notre propre réseau de fibre optique. C’est une opportunité unique pour le développement numérique de la Région».

[…] Sous l’impulsion du ministre, un cadastre de l’ensemble du réseau disponible est en cours de réalisation et les différents propriétaires de réseaux se sont mis d’accord sur une mise en commun de leurs infrastructures, pour créer un seul grand réseau bruxellois. Une mutualisation qui a un objectif bien précis: commercialiser le surplus de capacité. Car ce réseau est utilisé certes, mais «à 15, peut-être 20% de sa capacité maximale» selon le ministre. La Région a donc décidé de commercialiser le surplus de son réseau aux opérateurs télécoms du pays et elle pourrait y faire au passage une belle opération financière. «Cette commercialisation se fera dans le cadre du marché public Irisnet 3», précise Bernard Clerfayt.

[…] L’objectif du ministre Clerfayt est d’instaurer une meilleure coopération et coordination entre les différents acteurs et ainsi profiter des chantiers prévus pour y installer la fibre et sa gaine spécifique ou augmenter la capacité de la fibre déjà installée. L’autre atout de la Région avec ce réseau, c’est une souveraineté numérique inattendue. Rares sont les territoires pouvant aujourd’hui se targuer d’être propriétaires de leur réseau de communication. […] Le réseau régional de fibre optique va être mutualisé et commercialisé aux opérateurs télécoms.

 

My Brussels

Extrait de presse

Extrait de l'article de la Dernière Heure

[…] “Notre ambition est d’y ajouter plus de services, ceux des communes notamment. Cette application va évoluer en permanence” , explique le ministre bruxellois de la Transition numérique Bernard Clerfayt (Défi). Ainsi, les 19 communes bruxelloises auront bientôt la possibilité de diffuser leur contenu via l’application et d’entrer en interaction avec leurs administrés. “Les citoyens ont eux aussi l’occasion de proposer de nouveaux services digitaux au CIRB” , poursuit Bernard Clerfayt, qui met ici en exergue “la volonté d’interactivité avec les Bruxellois” à travers cette application. Dans un premier temps, tout Bruxellois voulant soumettre un projet ou une idée doit passer par le site web mybrussels.knok.be/fr. Dans un avenir proche, il pourra le faire directement via l’application. […]

Disponibilité des PC portables pour les élèves

Extrait de presse

Extrait de l'article publié par Le Soir

[…] Autre option : aller frapper aux portes du secteur public. C’est la piste empruntée par le gouvernement bruxellois avec son projet « Recyle IT », lancé dans la foulée du premier confinement. A l’initiative du ministre de la Transition numérique, Bernard Clerfayt, tous les PC déclassés des administrations bruxelloises doivent désormais être confiés au Centre informatique de la Région bruxelloise (CIRB). Lequel, lorsque c’est possible, les reconditionne au profit d’élèves du secondaire dans le besoin (jusqu’ici, quelques administrations bruxelloises de bonne volonté avaient pris l’habitude de faire don de leurs anciens ordinateurs à des ASBL, mais la pratique n’était pas généralisée).
Mais là encore, mieux vaut s’armer de patience : l’offre disponible est soumise au renouvellement de leur parc informatique par les administrations. Et les ordinateurs doivent d’abord passer par la case « reconditionnement», ce qui prend du temps. Depuis la rentrée, 201 ordinateurs ont été distribués à des élèves bruxellois. « D’après les chiffres fournis par les administrations, nous savons que nous en recevrons encore 750, au plus tard au printemps 2021 », avance la porte-parole du cabinet de Bernard Clerfayt. […]

Facturation électronique : un pas de plus vers la simplification

Actualité
Facturation électronique aux administrations bruxelloises

Seules les factures sous format électronique structuré (XML) sont acceptées pour tous les marchés publics passés après le 1er novembre 2020, par les administrations et les organisations publiques régionales bruxelloises. Un saut technologique qui présente de nombreux avantages tant sur le plan environnemental qu’économique.

Les administration bruxelloises, locales et régionales, gèrent de nombreuses factures. Par exemple, la STIB traite chaque année plus de 70.000 factures, le SPRB plus de 30.000 et visit.brussels près de 7.000.

En rendant la facturation électronique obligatoire pour tous les marchés publics passés à partir du 1er novembre 2020, la Région entend simplifier non seulement le quotidien des administrations mais également de leurs fournisseurs. Cela permet de limiter les erreurs  d’encodage, d’assurer un traitement plus rapide des factures, de diminuer l’utilisation et du papier et surtout de diminuer la charge administrative des administrations et d’assurer un meilleur délai de paiement

La facturation électronique plus économique pour les administrations

Mais la facturation électronique, c’est aussi 5,77€ d’économie par facture pour les administrations destinataires, en comparaison avec le coût d’une facture papier.

« Actuellement, seuls 5% des factures sont électroniques. En imposant la facturation électronique aux entreprises qui souhaitent travailler avec les administrations publiques, ce taux va évidemment augmenter. Je veux également que la facturation électronique devienne la norme au sein des entreprises tant elle présente des avantages sur les plans pratique, environnementaux et économique.  L’objectif est que les entreprises ensuite n’utilisent plus que la facturation électronique avec l’ensemble de leurs clients », conclut Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Simplification administrative.

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Marchés publics bruxellois : un pas de plus vers la simplification

Communiqué de presse

Seules les factures sous format électronique structuré (XML) sont acceptées pour tous les marchés publics passés après le 1er novembre 2020, par les administrations et les organisations publiques régionales bruxelloises. Un saut technologique qui présente de nombreux avantages tant sur le plan environnemental qu’économique.

Les administration bruxelloises, locales et régionales, gèrent de nombreuses factures. Par exemple, la STIB traite chaque année plus de 70.000 factures, le SPRB plus de 30.000 et visit.brussels près de 7.000.

En rendant la facturation électronique obligatoire pour tous les marchés publics passés à partir du 1er novembre 2020, la Région entend simplifier non seulement le quotidien des administrations mais également de leurs fournisseurs. Cela permet de limiter les erreurs  d’encodage, d’assurer un traitement plus rapide des factures, de diminuer l’utilisation et du papier et surtout de diminuer la charge administrative des administrations et d’assurer un meilleur délai de paiement

Mais la facturation électronique, c’est aussi 5,77€ d’économie par facture pour les administrations destinataires, en comparaison avec le coût d’une facture papier.

« Actuellement, seuls 5% des factures sont électroniques. En imposant la facturation électronique aux entreprises qui souhaitent travailler avec les administrations publiques, ce taux va évidemment augmenter. Je veux également que la facturation électronique devienne la norme au sein des entreprises tant elle présente des avantages sur les plans pratique, environnementaux et économique.  L’objectif est que les entreprises ensuite n’utilisent plus que la facturation électronique avec l’ensemble de leurs clients », conclut Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Simplification administrative.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45

Un millier de PC pour les écoles

Extrait de presse

Extraits de l'article paru dans Metro

Dès le mois d’avril, ce dernier avait annoncé mettre 117 ordinateurs portables à disposition d’élèves socialement vulnérables. En juillet dernier, le gouvernement bruxellois s’accordait pour dégager un montant de plus de 3,2 millions €, dont près de 360.000 € en 2020, afin d’acheter du matériel informatique à mettre à disposition d’élèves issus de quartiers défavorisés. « 670 ordinateurs portables ont déjà été distribués durant le mois d’octobre. Juste à temps pour faire face au basculement vers un enseignement à distance », précise l’exécutif régional.

Près de 1000 PC distribués dans les écoles secondaires bruxelloises depuis le début de la crise

Communiqué de presse

Dès ce mercredi, les cours de l’enseignement secondaire se donnent entièrement à distance. Une situation qui remet sur l’avant-scène les besoins d’une école numérique mais également la nécessité d’un matériel scolaire 2.0 pour les élèves. En Région bruxelloise, le Plan de relance débloque près de 3,2 millions d’euros pour équiper les enfants et adolescents.

La crise sanitaire et le confinement du printemps dernier ont rappelé à l’enseignement le nécessaire basculement vers une école plus numérique.  Et la fin des cours en présentiel dès ce mercredi dans l’enseignement secondaire rappelle l’urgence de développer toujours plus les compétences numériques du corps enseignant mais également des élèves.

« Contribuer à renforcer l’usage du numérique dans l’enseignement demeure une priorité pour la Région. Durant cette période de crise sanitaire, prendre part à l’effort collectif des pouvoirs publics, en soutien aux Communautés, pour fournir du matériel informatique aux élèves en précarité numérique sonne donc comme une évidence sous peine de les voir décrocher totalement », déclare le Ministre-Président Rudi Vervoort.

Dès le mois d’avril, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition Numérique annonçait mettre à disposition d’élèves socialement vulnérables, 117 ordinateurs portables. En juillet dernier, avec Rudi Vervoort Ministre-Président bruxellois, ils obtenaient l’accord du gouvernement pour dégager un montant de plus de 3,2 millions d’euros, dont près de 360.000 euros en 2020, afin d’acheter du matériel informatique à mettre à disposition d’élèves issus de quartiers défavorisés.  670 ordinateurs portables, des Chromebook, ont déjà été distribués durant le mois d’octobre. Juste à temps pour faire face au basculement vers un enseignement à distance.

Au total 67 écoles (53 francophones et 14 néerlandophones) bénéficieront de cette initiative en 2020. Cet opération a été coordonnée en collaboration avec le Service école de perspective.brussels,  la Vlaamse Gemeentschap Commissie  et le Centre Informatique de la Région Bruxelloise.

« La crise du Covid-19 est un accélérateur de tendances. La plus forte d’entre elles : le numérique.  Le matériel scolaire 2.0, ce n’est plus le crayon gris, le cahier quadrillé et la gomme. Aujourd’hui, beaucoup de nos élèves ont besoin d’ordinateur pour continuer à apprendre. L’accès à un matériel informatique performant devient ainsi un droit que nous devons leur garantir », conclut Bernard Clerfayt.

Parallèlement, la Région bruxelloise continue son projet « Recycle IT » qui vise à reconditionner le matériel informatique déclassé par les administrations bruxelloises afin d’être réparti dans des écoles bruxelloises à indice socioéconomique faible. Depuis le mois de septembre, 201 PC ont déjà été redistribués.

Plus d’infos ?
Nancy Ngoma – Cabinet Vervoort – 0477 75 65 82
Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45