Printemps Numérique 2024

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Printemps numérique 2024

Le Printemps Numérique de Bruxelles revient les 22 et 23 mars prochains sur le site emblématique de Tour & Taxis. De la réalité virtuelle à la cyber sécurité, en passant par l’intelligence artificielle, l’e-gaming, le rétrogaming et l’exploration des opportunités professionnelles du numérique, la 4e édition de ce rendez-vous incontournable promet une immersion captivante dans les dernières avancées technologiques. Suivez le guide !

Un événement gratuit

Porté par Paradigm, le Printemps Numérique de Bruxelles 2024 est une initiative d’envergure qui fait rayonner l’écosystème numérique de la Région bruxelloise.

Bénéficiant de l’appui de la Région bruxelloise et du Ministre de la Transition numérique, Bernard Clerfayt, cet événement gratuit se positionne comme une plateforme de rencontre incontournable. Il réunira un large public, des novices aux experts du numérique, qui partageront et enrichiront leur expertise. La mission est claire : initier, sensibiliser et guider le grand public à travers le passionnant univers des technologies numériques.

« Le Printemps Numérique est une expérience immersive où les visiteurs peuvent toucher, tester, développer, coder et qui sait, peut-être cela suscitera des vocations pour un métier dans le secteur du numérique de plus en plus recherché sur le marché de l’emploi bruxellois », déclare Bernard Clerfayt.

Aperçu de la programmation 2024 du printemps numérique

Le Printemps Numérique invite les visiteurs à explorer des espaces fascinants où démonstrations captivantes et expériences immersives éveilleront la curiosité de tous. Paradigm propose un itinéraire didactique sur l’empreinte environnementale du secteur numérique, illustré par le sac à dos écologique d’un ordinateur portable. Les amateurs de « Smart Buildings » découvriront des solutions technologiques de pointe pour des bâtiments plus intelligents et durables.

Le Printemps Numérique Bruxelles offre aussi une variété de conférences et de pitchs, sous la forme de "Pecha Kucha", sur des sujets tels que le jumeau numérique, le climat et la technologie, la mobilité, la cybersécurité, l'e-gaming, les métiers et les formations du numérique ou encore l'inclusion numérique. Des experts du numérique, issus de divers secteurs, élargiront les horizons du public en partageant leurs connaissances.

Jeunes et moins jeunes, en famille ou entre amis, les visiteurs auront également l’opportunité d’explorer les dernières tendances et innovations qui façonnent l’avenir numérique de notre société. Ils pourront également participer aux différentes activités interactives proposées sur les différents espaces d’exposition de près de 50 représentants de l’écosystème numérique bruxellois, national et international.

Des expériences éducatives pour les écoles

Le Printemps Numérique Bruxelles 2024 a prévu des animations aussi séduisantes que spécialement pensées pour nourrir la curiosité débordante des élèves.

Parmi les temps forts : ateliers de sensibilisation aux impacts environnementaux du numérique, mais aussi aux arnaques en ligne, démonstrations de bras robotisés, découvertes des métiers du numérique, sessions d’e-gaming, initiations au codage, et bien d’autres attractions palpitantes !

Une opportunité pour les plus jeunes de découvrir, apprécier et s’amuser autour du numérique grâce à une variété de stands qui leur sont dédiés !

Invisible Festival, une première exclusive pour le Printemps Numérique de Bruxelles

Le Printemps Numérique Bruxelles crée l'événement en ouvrant les portes de l'inédit « Invisible Festival ». Pour la première fois, les visiteurs seront conviés à explorer cet univers unique, célébrant la richesse et la diversité culturelle au cœur de l'Europe, dans la deuxième ville la plus cosmopolite au monde, Bruxelles.

Cette manifestation met en lumière les héros oubliés et méconnus de l'histoire avec un programme riche d'activités, basé sur des avatars 3D, la réalité augmentée et autres expérimentations artistiques immersives. Une invitation à voyager dans des dimensions invisibles où l'art numérique prend vie, offrant une expérience sensorielle et culturelle inédite.

Informations pratiques

  • Où ? Tour & Taxis, Avenue du Port 86c à 1000 Bruxelles
  • Quand ? Le vendredi 22 mars et le samedi 23 mars 2024

Liens utiles

IRISbox sollicité 805.000 fois en 2023

Actualité
Logo IRISbox, le guichet électronique de la Région de Bruxelles-Capitale

IRISbox a enregistré 805.000 demandes de citoyens ou d’entreprises bruxelloises en 2023, une progression de 12% par rapport à l’année précédente. 576.075 utilisateurs d’IRISbox ont été concernés, dont 17.265 entreprises.

Les plus demandées

Actuellement, 340 démarches en ligne sont accessibles via IRISbox. La formalité la plus plébiscitée reste la composition de ménage mais elle est suivie de deux démarches qui ont été intégrées récemment sur la plateforme, l’extrait de casier judiciaire et la prime Rénolution.   

Afin de continuer à simplifier la vie des Bruxellois, la plateforme s’enrichit chaque année de nouvelles démarches. Ainsi en 2024, il sera possible d’inscrire des baux locatifs ou d’effectuer sa déclaration de mandat. Pour ce qui est du support choisi pour effectuer ces démarches en ligne, 50% des utilisateurs ont employé un ordinateur pour se connecter, 49% un smartphone, et 1% une tablette.

Des délais plus courts pour vos démarches

IRISbox, la plateforme en ligne de la Région bruxelloise propose des services régionaux et locaux 24/7. Elle permet de réduire l’affluence dans les services administratifs bruxellois mais également d’accélérer les délais des démarches et de délivrance des documents.

« Les Bruxellois utilisent de plus en plus IRISbox et c’est tant mieux. IRISbox cadre parfaitement avec Bruxelles Numérique et permet de rendre l’administration plus moderne, plus simple, plus efficace, plus accessible », commente Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique et de la Simplification administrative.

Lien utile :

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805.000 demandes effectuées sur IRISbox en 2023

Communiqué de presse

Acte de naissance, composition de ménage, demande de primes… Le guichet électronique de la Région bruxelloise IRISbox, permet aux citoyens d’effectuer une série de démarches administratives en ligne. En 2023, la plateforme a enregistré 805.000 demandes de citoyens ou d’entreprises bruxelloises

IRISbox, c’est la plateforme en ligne de la Région bruxelloise qui propose des services régionaux et locaux 24/7. Elle permet de réduire l’affluence dans les services administratifs bruxellois mais également d’accélérer les délais des démarches et de délivrance des documents.

En 2023, on comptabilise 576.075 utilisateurs d’IRISbox dont 17.265 entreprises. Ensemble, ils ont effectué 805.000 démarches administratives, soit une augmentation de 12% par rapport à 2022. 340 démarches sont accessibles via IRISbox. La formalité la plus plébiscitée reste la composition de ménage mais elle est suivie de deux démarches qui ont été intégrées récemment sur la plateforme, l’extrait de casier judiciaire et la prime Renolution.   

Afin de continuer à simplifier la vie des Bruxellois, la plateforme s’enrichit chaque année de nouvelles démarches. Ainsi en 2024, il sera possible d’inscrire des baux locatifs ou d’effectuer sa déclaration de mandat.

« Les Bruxellois utilisent de plus en plus IRISbox et c’est tant mieux. IRISbox cadre parfaitement avec Bruxelles Numérique et permet de rendre l’administration plus moderne, plus simple, plus efficace, plus accessible », commente Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique et de la Simplification administrative.

Pour ce qui est du support choisi pour effectuer ces démarches en ligne, 50% des utilisateurs ont employé un ordinateur pour se connecter, 49% un smartphone, et 1% une tablette.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Bruxelles Numérique discuté sur le plateau de Versus, l’émission thématique de BX1

Extrait de presse
Bruxelles Numérique sur le plateau de l'émission Versus. Autour de la table : Abdelkrim Boujraf, consultant en numérique, Stéphane Vanden Eede de l’asbl « Lire et Écrire » et Bernard Clerfayt, Ministre de la transition numérique. Ils sont les invités de Michel Geyer, journaliste, BX1. - (image capture du podcast présentant les différents intervenants)

Bernard Clerfayt a présenté son ordonnance pour encadrer l’évolution de la numérisation des services publics et abordé avec les invités les enjeux importants qui y sont liés. 

« Le numérique ne doit pas remplacer les autres modes d’interaction. » Le Ministre de la Transition numérique a rappelé le principe du droit au choix du mode d’interaction qu’instaure l’ordonnance Bruxelles Numérique.  Pour que ce choix soit une réalité pour chacun, l’ordonnance « impose trois choses aux administrations : maintenir les trois interactions classiques, proposer un accompagnement à l’usage des interfaces et garantir l’accessibilité des interfaces aux personnes porteuses d’un handicap ».

[…]

Le numérique offre un confort et une simplification des démarches indéniables pour ceux qui font le choix de ce mode d’interaction avec les services publics. Pour les publics spécifiques aussi il existe des avantages « pour une série de personnes handicapées, ne pas devoir se déplacer à la commune est un gain ».

[…]

Répondant aux interventions de Stéphane Vanden Eede de l’asbl « Lire et Écrire », Bernard Clerfayt a rappelé que « le principe de la règle est qu’il ne faut pas, comme on l’a fait dans le secteur privé […] supprimer les autres interactions ». Et de faire référence aux expériences compliquées lors des fermetures durant le Covid qui ont accru pour certains la défiance vis-à-vis du numérique.

[…]

Le numérique, des économies possibles pour les services publics ? Ce n’est pas la question car le service public n’a pas de profits à réaliser, mais peut réattribuer les moyens. « Si plus de citoyens utilisent Internet pour faire des demandes, on a plus de temps au guichet pour s’occuper de ceux qui viennent encore au guichet ». Par ailleurs, le coût des interfaces qui devront dorénavant répondre à des contraintes précises, a aussi un impact. […]

[…]

Les démarches administratives en ligne

Extrait de presse
Extrait de presse, Le Soir : "La numérisation des services publics votée au parlement".

Extraits de l'article publié par Le Soir :

Les députés de la majorité bruxelloise ont donné, ce vendredi, leur feu vert aux projets d’ordonnance et de décret du ministre de la Transition numérique Bernard Clerfayt (Défi) destinés à encadrer la numérisation des services administratifs en Région-Capitale. Il y a eu 45 « oui » (majorité), 16 « non » (PTB, Engagés, CD&V) et 21 abstentions (MR, N-VA, Agora).

[…] « C’est le premier texte en Europe qui encadre aussi clairement l’inclusion numérique », a une nouvelle fois plaidé Bernard Clerfayt, insistant sur le caractère non obligatoire des démarches en ligne pour le citoyen. Le texte maintient notamment en vie des guichets physiques, des centrales d’appels et la voie postale pour les échanges avec l’administration. Cela signifie que les services publics ayant supprimé des guichets pendant la période covid seront tenus de les réinstaurer. Un accompagnement pour les Bruxellois peu à l’aise avec ces outils devrait également être prévu.

« Ce n’est pas du numérique par défaut, mais l’humain par défaut », s’est une nouvelle fois défendu le ministre, alors que, comme à chaque discussion, la séance a été marquée par une manifestation en ligne et physique, aux abords du parlement, de représentants du secteur associatif. […]

[…]

Lire l'article sur le site du journal Le Soir

Une candidature qui confirme la volonté du Ministre Bernard Clerfayt d'assumer pleinement son engagement pour la Région

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : "Bruxelles - Bernard Clerfayt (DéFI) : « La diversité est une richesse potentielle à Bruxelles, il faut la gérer".

Extraits de l'article publié par La Capitale :

Ministre sortant du Bien-être animal et de l’Emploi notamment, Bernard Clerfayt (DéFI) a été désigné tête de liste   à la Région bruxelloise. Très satisfait de son bilan, il est prêt à s’attaquer aux nombreux défis de Bruxelles.

[…] Un des grands enjeux pour nous, c’est cette cohésion, cette dynamique économique, sociale et culturelle. Si on veut résoudre les enjeux de précarité, de pauvreté, on a besoin de plus d’activités économiques et donc de continuer d’augmenter le taux d’emploi. On a besoin de plus de croissance économique car c’est ce qui permet, pour ceux qui travaillent, de voir augmenter leur rémunération/niveau de vie et, pour ceux qui ne travaillent pas, d’accéder à l’emploi. Il faut augmenter l’activité économique globale si on veut que Bruxelles soit une ville plus prospère. On doit le faire dans le respect évidemment des enjeux climatiques environnementaux. Ça conditionne des tonnes de politiques sociales.

[…]

Tout ce qui a trait au vivre ensemble. La diversité est une richesse potentielle à Bruxelles. Si on ne la gère pas, c’est, au contraire, des tensions. Il faut une gestion publique qui est à la fois une lutte contre les discriminations et toutes les formes de racisme. Plus il y a de diversités, plus il faut de la neutralité. C’est la condition essentielle d’une diversité qui fonctionne de manière harmonieuse et qui n’exercerait pas les divisions ou les oppositions. On a besoin de règles de partage et la neutralité est une règle de partage qui respectueuse diversité.

[…]

Je suis candidat pour assumer un rôle à la Région jusqu’au bout.

Lire l'article complet sur le site de La Capitale (payant)

Stratégie web régionale

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : "Avec plus de 200 sites web, la Région bruxelloise compte plus de sites web que d'administrations: le ministre Clerfayt remet de l'ordre avec 13 portails"

Extraits de l'article paru dans La Capitale

Bernard Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois de la Transition numérique, ambitionnait de rationaliser la « jungle » des sites web des administrations régionales. Son ambition : faire évoluer les sites web régionaux centrés historiquement sur les institutions vers des sites web orientés vers les citoyens. Et ainsi passer de plus de 200 sites web régionaux à … 13 portails !

« On ne peut pas faire subir au citoyen la lasagne institutionnelle de notre Région. Ce n'est pas normal que lorsqu'on cherche en ligne une information de service public, on se retrouve face à une jungle numérique », avance le ministre bruxellois de la Transition numérique, Bernard Clerfayt.

[…] « Nous devons évoluer d'une logique administration à une logique usager. Si cela peut nous faire plaisir d'avoir notre propre site web, répond-t-il à un besoin des citoyens ? Nous devions repenser entièrement notre paysage web régional en priorisant l'intérêt du Bruxellois », rappelle le ministre.


[…] « L'utilisateur ne devra plus parcourir plusieurs sites pour obtenir une réponse à ses questions. Ici, on met l'usager au cœur de nos préoccupations et non l'intérêt des administrations. Cette vision numérique va améliorer l'image de Bruxelles, la rendre plus efficace, plus moderne. De plus, rationaliser le nombre de sites web nous permettra de diminuer notre impact environnemental tout en effectuant des économies », conclut le ministre amarante.

[…]