Conditions de maintien d'un abattoir en Région bruxelloise

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : "Le bien-être des animaux doit être pris en compte si le gouvernement envisage de garder un abattoir".

Extraits de l'article publié par La Capitale

Actuellement, l’abattage est autorisé sans étourdissement à Bruxelles, seule région à l’autoriser en Belgique. Le sujet est revenu au parlement mercredi et le ministre Bernard Clerfayt (DéFI), en charge du Bien-être animal, a fait le point.

[…] « Il est très clair que le bien-être des animaux doit être pris en compte, si le gouvernement envisage une éventuelle poursuite de l’activité d’un abattoir dans la région bruxelloise. Cela vaut également pour le cas où le permis d’environnement serait renouvelé », déclare le ministre du Bien-être animal.

[…] « Il est très clair que le bien-être des animaux doit être pris en compte, si le gouvernement envisage une éventuelle poursuite de l’activité d’un abattoir dans la région bruxelloise. Cela vaut également pour le cas où le permis d’environnement serait renouvelé », déclare le ministre du Bien-être animal.

[…] « Des dispositions sont prévues pour renforcer le contrôle des abattoirs et assurer une meilleure surveillance de ce type d’activité. En plus d’une licence environnementale, un permis sera nécessaire pour exercer les activités d’abattage, et tous les abattoirs seront obligatoirement équipés d’un système de vidéosurveillance qui permettra de contrôler à tout moment les lieux stratégiques », indique l’élu amarante. « Dans le nouveau code, nous proposons que les abattoirs disposent d’une licence spécifique basée sur le bien-être des animaux. C’est l’une des innovations. La première lecture du code est presque terminée. » La première lecture du code est presque terminée. D’ici quelques semaines, le texte sera envoyé au Conseil d’État et, après son avis, au parlement, estime le ministre.

Manifestations festives et bien-être animal

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale  "Pas de courses de chevaux dans les rues de Bruxelles : « La place de l'animal est devenue un enjeu sociétal »".

Extraits de l'article publié par La Capitale

En août dernier, la commune de Saint-Josse annonçait son souhait d'organiser une course hippique en plein cœur de Bruxelles. Ce mercredi en commission, le ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt (DéFI), est revenu sur l'événement qui a suscité la polémique.

[…] « La mobilisation citoyenne autour de l'organisation de cette course de chevaux montre encore une fois que la place de l'animal est devenue un enjeu sociétal de premier ordre. De mon côté, j'ai décidé d'ajouter l'interdiction pure et simple des courses de chevaux sur la voie publique dans notre code », conclut le ministre.

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Pas de courses de chevaux dans les rues de Bruxelles

Actualité
Pas de courses de chevaux dans les rues de Bruxelles

En août dernier, la commune de Saint-Josse-ten-Noode annonçait son souhait d’organiser une course hippique en plein cœur de Bruxelles. Ce mercredi en commission parlementaire, le Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt, est revenu sur l’événement qui a suscité la polémique. Ce dernier a rappelé sa volonté d’inscrire l’interdiction des courses de chevaux sur la voie publique, dans le nouveau code bruxellois du bien-être animal.

Un projet fort heureusement abandonné

Cet été, ce fût la surprise générale lorsque la commune de Saint-Josse a annoncé la tenue d’une course hippique en plein cœur de Bruxelles. De nombreux citoyens et associations n’ont pas tardé à réagir pour marquer leur désapprobation.

« Ni moi ni mon administration n’étions au courant de l’organisation d’un tel événement. Dès que j’ai vu cette information passer sur les réseaux sociaux, j’ai immédiatement sollicité Bruxelles Environnement pour enquêter sur les conditions dans lesquelles cette course était organisée. Fort heureusement, celle-ci a été annulée quelques jours plus tard face à la colère de la population », explique le Ministre amarante.

Les écueils de la législation actuelle

À l’heure actuelle, la loi de 1986 autorise les courses de chevaux en rue pour autant qu’elles ne se tiennent pas sur un revêtement en matériaux durs (asphalte, béton, etc.). Autrement dit, si l’organisateur veille à poser une couche de sable suffisante sur le sol, ce type de course peut encore avoir lieu, même en plein cœur de Bruxelles. C’est d’ailleurs le cas en Flandre.

Interdire pour anticiper sur de potentielles initiatives

Cet été, Bernard Clerfayt a déposé un nouveau code bruxellois du bien-être animal sur la table du gouvernement bruxellois. Cette réforme ambitieuse dépoussière la loi de 1986 et contient une centaine d’articles qui redéfinissent les fondements de la protection animale en Région bruxelloise. Et le Ministre compte bien ajouter une mesure visant à interdire les courses hippiques sur la voie publique.

« La mobilisation citoyenne autour de l’organisation de cette course de chevaux montre encore une fois que la place de l’animal est devenue un enjeu sociétal de premier ordre. De mon côté, j’ai décidé d’ajouter l’interdiction pure et simple des courses de chevaux sur la voie publique dans notre code », conclut le Ministre.

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Pas de courses de chevaux dans les rues de Bruxelles

Communiqué de presse

En août dernier, la commune de Saint-Josse-ten-Noode annonçait son souhait d’organiser une course hippique en plein cœur de Bruxelles. Ce mercredi en commission, le Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt, est revenu sur l’événement qui a suscité la polémique. Ce dernier a rappelé sa volonté d’inscrire l’interdiction des courses de chevaux sur la voie publique dans le nouveau code bruxellois du bien-être animal.

Cet été, ce fût la surprise générale lorsque la commune de Saint-Josse a annoncé la tenue d’une course hippique en plein cœur de Bruxelles. De nombreux citoyens et associations n’ont pas tardé à réagir pour marquer leur désapprobation.

« Ni moi ni mon administration n’étions au courant de l’organisation d’un tel événement. Dès que j’ai vu cette information passer sur les réseaux sociaux, j’ai immédiatement sollicité Bruxelles Environnement pour enquêter sur les conditions dans lesquelles cette course était organisée. Fort heureusement, celle-ci a été annulée quelques jours plus tard face à la colère de la population », explique le Ministre amarante.

À l’heure actuelle, la loi de 1986 autorise les courses de chevaux en rue pour autant qu’elles ne se tiennent pas sur un revêtement en matériaux durs (asphalte, béton, etc.). Autrement dit, si l’organisateur veille à poser une couche de sable suffisante sur le sol, ce type de course peut encore avoir lieu, même en plein cœur de Bruxelles. C’est d’ailleurs le cas en Flandre.

Cet été, Bernard Clerfayt a déposé un nouveau code bruxellois du bien-être animal sur la table du gouvernement bruxellois. Cette réforme ambitieuse dépoussière la loi de 1986 et contient une centaine d’articles qui redéfinissent les fondements de la protection animale en Région bruxelloise. Et le Ministre compte bien ajouter une mesure visant à interdire les courses hippiques sur la voie publique.

« La mobilisation citoyenne autour de l’organisation de cette course de chevaux montre encore une fois que la place de l’animal est devenue un enjeu sociétal de premier ordre. De mon côté, j’ai décidé d’ajouter l’interdiction pure et simple des courses de chevaux sur la voie publique dans notre code », conclut le Ministre.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Le bien-être animal en cause sur les foires

Extrait de presse
Extrait de presse, la DH : "Plainte pour maltraitance animale à la foire de Saint Job : “ce type d’exposition d’animaux est une pratique d’un autre âge."

Extraits de l'article publié par la DH :

Plainte pour maltraitance animale à la foire de Saint-Job

Cordes de quelques centimètres, animaux qui hyperventilent, pas de matière naturelle au sol et des enclos illégaux…

[…]

Contacté, le cabinet de Bernard Clerfayt (Défi), ministre en charge du Bien-Être animal, dit avoir déjà reçu le signalement. “ Il y a eu un cas similaire il y a quelques semaines à Anderlecht, mais là, ça dépasse largement ce qu’on a pu voir.”

Le nouveau code bruxellois du bien-être animal, en cours d’adoption au sein du gouvernement bruxellois, devrait à terme interdire “ ce type d’exposition dans des foires ou des braderies. C’est une pratique d’un autre âge. Toutefois techniquement, la loi est très vague sur ce type d’évènement et parle de 'logement adéquat' pour les animaux et d’attaches leur permettant de se mouvoir”.

[…]

Code du bien-être animal : garde des animaux de compagnie

Extrait de presse
Extrait de presse, la DH : "Une garde alternée pour l’animal de compagnie en cas de divorce"

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure:

Lors d’une séparation, se pose toujours la question de qui prendra en charge l’animal du couple. S’il n’y a pas d’accord, le juge pourra se baser sur l’intérêt de l’animal pour en confier la garde. Alternée ou exclusive. Sans en être toutefois obligé : il pourra toujours, selon les cas, privilégier l’intérêt des enfants qui, en Belgique, reste suprême en cas de divorce. “L’application du droit de propriété est particulièrement difficile à admettre lorsqu’un lien d’affection s’est noué entre l’animal et le conjoint qui n’en est pas le propriétaire. Une garde alternée pourrait donc être décidée”, donne-t-on pour exemple au cabinet du ministre.

Code du bien-être animal

Extrait de presse
Extrait de presse, la DH : "Enterrement commun, non-assistance à animal en danger, travail d’intérêt animalier : ce qu’il faut savoir sur le nouveau plan du bien-être animal"

Extraits de l'article paru dans la Dernière Heure :

[…] Le Code constitue la plus grande réforme menée en matière de bien-être animal. Il a pour ambition d’assurer la protection et le bien-être des animaux, en tenant compte de leurs besoins physiologiques et éthologiques”, précise Bernard Clerfayt.

Pour définir au mieux les priorités et les axes d’action du Code, le Ministre bruxellois du Bien-être animal a pu compter sur l’aide des représentants du secteur et des citoyens. En 2021, l’enquête “Donnez-nous votre voix” a permis à 2 135 Bruxellois de participer à l’élaboration de cette nouvelle législation.

Détention, commerce, transport, importation d’animaux… Le futur Code, comportant une centaine d’articles, s’intéresse à l’ensemble de la vie de l’animal : de sa naissance à sa mort, en passant par son adoption.

[…]