Négociations pour le futur gouvernement bruxellois

Extrait de presse, La Libre : "Quatre ministres wallons à doubles casquettes à la Fédération Wallonie-Bruxelles, mais pas de ministres bruxellois : “Bruxelles est la grande oubliée”.

Extraits de l'article publié par La Libre :

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“Une nouvelle fois, Bruxelles est la grande oubliée des négociateurs !”, a tweeté Bernard Clerfayt (Défi), ministre bruxellois des pouvoirs locaux. “Le MR et les Engages ne laissent aucune place à un Ministre issu du gouvernement bruxellois. Ils n’envisagent que la Fédération Wallonie-Bruxelles sous le spectre wallon ! Dommage, c’était pourtant une bonne idée de resserrer les liens entre les gouvernements wallons et bruxellois !”

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Lire l'article sur le site de La Libre

À propos du cimetière multiconfessionnel

Extrait de presse, La Dernière Heure : "Bernard Clerfayt déplore une "situation critique" : "Il est impératif que toutes les communes bruxelloises se mobilisent".

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure :

Le ministre bruxellois des Pouvoirs locaux évoque la situation difficile du cimetière multiconfessionnel de Schaerbeek.

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”Il est impératif que toutes les communes bruxelloises se mobilisent pour offrir un enterrement digne et respectueux des pratiques cultuelles de chacun. Schaerbeek ne peut pas continuer à être quasi la seule à offrir des parcelles au cimetière multiconfessionnel”, indique ainsi le ministre bruxellois des Pouvoirs locaux. Comme le relaie Le Soir, ce cimetière pourrait arriver à saturation en juin 2025.

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Métiers en demande

Extrait de presse, Le Soir ; "La construction et la vente alimentent la liste des métiers en pénurie sur Bruxelles".

Extraits de l'article publié par Le Soir :

La liste des fonctions peinant à trouver de la main-d'œuvre en 2023 est longue de 102 métiers, pour 108 l'année précédente. Bruxelles manque notamment de personnel infirmier et d'enseignants, sans oublier la construction et l'horeca, même si la situation dans ces deux secteurs semble s'être quelque peu améliorée.

[…]

Parmi ce recensement des métiers qui mènent plus facilement à l'emploi (en théorie), on trouve de nouveaux venus, principalement dans le secteur de la construction (conducteurs de grues à tour, rénovateurs de façades, couvreurs de toits plats) et dans la vente (directeurs de magasins, vendeurs, etc.) […]

[…] Dans le second cas, la balle se trouve dans le camp des employeurs : comme tout marché, celui du travail repose également sur l'attractivité de l'offre, sachant qu'un certain nombre de pièges à l'emploi peuvent également nuire à l'intérêt d'un retour à l'emploi pour les chômeurs.

[…] Un vaste chantier pour le prochain ministre régional de l'Emploi et de la Formation, qui reprendra un maroquin détenu depuis deux législatures par des édiles issus des rangs de Défi, Didier Gosuin et Bernard Clerfayt.

Accéder à l'article sur le site du Soir

Aides à l'emploi

Extrait de presse, La Dernière Heure : "Nouveau le 1er juillet - De nouvelles aides à l'emploi octroyées en Région bruxelloise"

Extraits de l'article publié par le Dernière Heure :

Le dispositif d'aides à l'emploi en Région bruxelloise sera remanié dès le 1er juillet et proposera de nouveaux incitants à destination principalement des jeunes infra-qualifiés, des travailleurs âgés et des personnes porteuses de handicap.

[…] La prime activa.brussels, permettant aux employeurs de bénéficier d'une allocation en cas d'engagement d'un chercheur d'emploi sous certaines conditions, sera plus élevée concernant certains publics. […]

La Région augmentera par ailleurs la prime liée au "stage first", qui permet à des jeunes chercheurs d'emploi de réaliser un stage en entreprise de 3 à 6 mois. […]

Enfin, une prime sera introduite pour l'engagement des personnes porteuses de handicap. […]

Accéder à l'article sur le site de la DH

Frais de représentation

Extrait de presse, La Dernière Heure : "Les bourgmestres bruxellois sceptiques à l’idée de réduire leurs frais de représentation, malgré une initiative de Bernard Clerfayt".

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure :

[…] Pour rappel, ces frais sont destinés aux élus locaux dont les missions obligent parfois d’acheter un cadeau protocolaire, de se vêtir des plus belles tenues ou de se déplacer. Le montant des enveloppes réservées aux échevins, bourgmestres et présidents de CPAS sont fixés par les communes elles-mêmes. C’est ce que souhaite modifier le ministre des Pouvoirs Locaux, Bernard Clerfayt (Défi). “Je ne dis pas qu’il y a une absence de contrôle, les frais de représentations sont soumis au collège, à la surveillance du conseil communal et des médias qui peuvent porter un sujet sur la place publique. Mais dans notre cas, le texte légal date d’avant la régionalisation, et il ne donne pas au gouvernement bruxellois la possibilité de définir le contenu de ces frais. Si je ne peux définir le contenu, je peux au moins cadrer le montant”, affirme celui qui est aussi bourgmestre empêché à Schaerbeek. […]

[…] “Mais il faut être ministre de plein exercice pour maintenir l’arrêté”, ce que le mandataire du gouvernement en affaires courantes n’est, par définition, pas. Son successeur trouvera, en arrivant dans son nouveau bureau, un texte tout prêt. Reste à savoir s’il aura le courage de le pérenniser, à l’encontre de la volonté des bourgmestres.

Débat des têtes de listes régionales au parlement bruxellois

Extraits du débat des tetes de listes organisé par BX1 au parlement bruxellois

Extraits des interventions de Bernard Clerfayt lors du débat des têtes de liste :

Lors de ce débat qui se déroula dans l’hémicycle du Parlement bruxellois, le Ministre de la Région de Bruxelles-Capitale et tête de liste DéFI Bernard Clerfayt a rappelé les enjeux importants pour Bruxelles. Visionner le débat sur BX1

Police et sécurité

S’agissant de la sécurité, Bernard Clerfayt a rappelé l’importance du suivi judiciaire du Parquet. Malheureusement, en Région bruxelloise « il manque 20% des effectifs ». Tout aussi dommageable pour Bruxelles, « il manque 800 policiers en Région bruxelloise ». « Le gouvernement Vivaldi n’a rien fait pour renforcer les moyens de la justice à Bruxelles. »

La mobilité mieux concertée

Concernant la mobilité, « il faut sécuriser tous les modes de transport ». Bernard Clerfayt a insisté sur l’importance de la diversification des modes de transport et le rôle structurant des transports publics et notamment le métro. Pour la mise en œuvre d’un plan de mobilité tel que Good Move, « je prends l’engagement qu’à l’avenir on consulte réellement les citoyens […] avec une vraie consultation représentative […] ».

Le calendrier de la zone basse émission a été abordé, Bernard clerfayt a rappelé qu’il vise à améliorer la qualité de l’air et à réduire les maladies. Si adaptations il doit y avoir, elles doivent être mineures car il faut « maintenir le cap d’une ville dans laquelle on a un air pur et qui respecte les objectifs climatiques. »

Finances publiques

La question des dépenses publiques est centrale et si les crises que nous avons connues ont exercé une forte pression, « nous devons pouvoir être plus efficaces dans la gestion, […] cela implique de mettre de l’ordre dans nos administrations […] il y a une série de fusions que l’on peut faire ». Bernard Clerfayt a insisté sur l’importance de l’évaluation des politiques. Il a rappelé les résultats positifs de la politique de l’emploi menée par DéFI depuis 10 ans en Région bruxelloise, « il faut poursuivre pour qu’on vise les 80% ».

Propreté

« La malpropreté en rue, c’est le premier sentiment d’inconfort que les citoyens ressentent. » La propreté est donc un déterminant essentiel pour réussir une ville plus agréable à vivre. Il faut mieux répartir les compétences entre la Région et les communes et envisager d’autres modèles pour le ramassage, pour ne pas que les poubelles restent en rue. Les comportements inciviques doivent être plus sanctionnés « Bruxelles Propreté n’a fait que 300 sanctions l’année passée ».

Neutralité et vivre ensemble

À propos de la neutralité dans les services publics, Bernard Clerfayt rappelle le principe de la liberté de culte. Mais concomitamment, à ce principe constitutionnel il est important que « le service public soit accueillant de tout le monde et que tout le monde se sente accueilli pleinement. Celui qui est fonctionnaire et se met au service du public se doit de se mettre dans une situation de plus grande neutralité possible […]. Dans la fonction publique on ne doit pas porter de signes religieux, philosophiques ou autres ».

Nos institutions

La Région bruxelloise est une organisation institutionnelle complexe. « On aurait pu créer une Région qui fonctionne comme fonctionnent les communes depuis deux siècles ». « On doit simplifier les administrations, réduire les cabinets. » Bernard Clerfayt a rappelé la responsabilité des leaders politiques flamands à l’égard de la complexité institutionnelle bruxelloise et donc « pour simplifier Bruxelles il faudra un accord des néerlandophones ». Et de marquer son désaccord avec le fait que les néerlandophones en matière communautaire obtiennent une répartition du budget 80% 20% ce qui est profondément inéquitable pour une série de matières culturelles et sociales que gèrent les francophones ».

Avancées en matière de lutte contre le chômage

Extrait de presse, La Capitale : "Débat des têtes de liste sur l’emploi : les pistes pour réduire le taux de chômage !"

Extraits de l'article publié par La Capitale :

Suite du débat des têtes de liste de six formations politiques à Bruxelles. Après la mobilité et la sécurité,  les candidats DéFI, PTB, MR, Les Engagés, PS et Ecolo abordent le thème de l’emploi et de la formation. 

Monsieur Clerfayt, en tant que ministre bruxellois de l’Emploi, quelles sont les avancées enregistrées en matière de lutte contre le chômage, qui reste élevé à Bruxelles, surtout parmi les jeunes dans certains quartiers ? Un mot également sur l’audit de la Cour des comptes relatif au fonctionnement d’Actiris… 
Bernard Clerfayt (DéFI) : Nous avons à Bruxelles un taux de chômage de 15 % en moyenne et de 24 % chez les jeunes. Mais quand on regarde la dynamique de l’évolution, on est dans la bonne direction. On vient d’un taux de 22 % et on a fortement diminué le chômage chez les jeunes. Nous avons instauré chez Actiris un bilan de compétences professionnelles, linguistiques et numériques pour tout nouveau chercheur d’emploi inscrit. Il sert à déterminer son parcours de recherche d’emploi ou d’amélioration de ses compétences par une formation en fonction de ses orientations. Sur les recommandations de la Cour des comptes dans le cadre de l’audit d’Actiris, une série d’entre elles sont déjà mises en œuvre (accélération de l’accueil et de l’activation des chercheurs d’emploi). J’ai déposé un nouveau texte au gouvernement sur l’accompagnement des chercheurs et un autre sur le contrôle de la disponibilité, non pas pour sanctionner mais pour aider plus rapidement la personne à renforcer ses compétences et s’orienter vers les mécanismes d’aide. Exemple : la reprise des études (avec maintien des indemnités de chômage) en vue d’un métier en pénurie : enseignant, infirmière, chauffeur, informaticien… On va améliorer la formation en alternance et on développe des formations en fonction des besoins des employeurs et des syndicats, des pôles formation-emploi.
[…]

Bilan et perspectives pour Bruxelles

Extrait de presse, L'Echo : “La majorité bruxelloise n’a pas tenu ses promesses”.

Extraits de l'article publié par La Libre :

[…] Bernard Clerfayt (Défi), ministre bruxellois de l’Emploi a, durant cinq ans, tenté d’incarner une sensibilité plus centriste au sein d’un gouvernement bruxellois. […]
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Pour Bernard Clerfayt, Bruxelles est confrontée à deux crises majeures . “La crise sociale et la crise de la gouvernance . La crise sociale, c’est le fait que trop peu de gens travaillent. Il faut donc améliorer le taux d’emploi. Nous avons déjà bien travaillé, mais nous devons viser maintenant un taux d’emploi de 80 %. C’est possible avec de la volonté politique et des moyens. Il faut améliorer la formation et l’enseignement. Pour cela, le pacte d’excellence est un bon outil, mais il doit être mis en œuvre plus rapidement.”
Les chiffres de l’emploi de la Région ont beau s’être améliorés en dix ans, sous les ministres Didier Gosuin puis Bernard Clerfayt, le compte est loin d’être bon. “Le taux d’emploi est passé de 54 %, quand nous sommes arrivés, à 66,5 % aujourd’hui. On a dépassé la Wallonie. À ce rythme-là, dans dix ans, on sera à 77 %. Nous sommes dans la bonne direction. L’instauration du bilan de compétences est un bon instrument (NdlR : lequel vise à objectiver le niveau des connaissances linguistiques et en informatique des chercheurs d’emploi et à leur offrir, le cas échéant, un parcours de formation adapté) . Il faut aussi mettre en place un meilleur contrôle de la disponibilité des chômeurs. Pendant longtemps, Actiris ne s’occupait plus des chercheurs d’emploi de longue durée. Il faut les réactiver.”
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“ Huit ministres et 89 députés, c’est beaucoup trop. Cinq ministres et 60 députés, c’est assez. Nous ne sommes pas allés aussi vite qu’on l’aurait voulu avec Optiris, pour la rationalisation des administrations, mais c’est grâce à nous que ce sujet a été mis sur la table ”, ajoute Bernard Clerfayt, qui plaide pour la fusion de certaines d’entre elles.
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Lire l'article sur le site de La Libre

Inauguration du nouveau crématorium

Extrait de presse, La Dernière Heure : "Les Bruxellois disposent d’un nouveau crematorium".

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure :

Les autorités bruxelloises ont inauguré vendredi, en début de soirée, le nouveau crematorium implanté au nord de la capitale. Cette installation vient très utilement compléter une offre jusqu’ici limitée au crematorium d’Uccle, au sud.

Le nouvel équipement est situé à l’entrée des cimetières d’Evere et de Schaerbeek, en face de celui de Bruxelles.

L’inauguration a eu lieu en présence du ministre-président bruxellois Rudi Vervoort (PS), du ministre bruxellois des Pouvoirs locaux, Bernard Clerfayt (Défi), du président du CA de l’intercommunale Cremabru, Fabian Maingain (DéfI), et de la direction de celle-ci.

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Insécurité à Bruxelles et grande délinquance

Extrait de presse, rtbf : "Débat de six têtes de liste sur l'insécurité à Bruxelles où se livre une guerre de narcotrafiquants !"

Extraits de l'article publié par la RTBF :

La série effrayante de fusillades, liées au trafic de drogue, atteint un niveau jamais connu à Bruxelles. Dans les quartiers, les habitants, qui assistent à ces échanges de tirs, parlent de « zones de non-droit » car rien ne leur semble pouvoir stopper cette spirale de violence. Six têtes de listes aux élections régionales débattent de cette problématique.

[…]

 Monsieur Clerfayt, que faut-il mettre en place pour renforcer la sécurité dans les rues de Bruxelles ? La réaction du gouvernement est-elle suffisante?

Bernard Clerfayt : D'abord, je salue l'engagement des polices locales ainsi que des communes qui financent les services de police actuellement sur le terrain. Pourquoi Bruxelles manque de policiers ? Parce que les communes ne savent pas payer plus. Depuis 20 ans, l'État fédéral finance moins bien la police à Bruxelles qu'ailleurs. J'ai pris les derniers chiffres de fin 2023 : 50.000 euros en moyenne par policier dans le pays, mais 35.000 euros à Bruxelles ! Les polices zonales reçoivent un tiers d'argent en moins que dans le reste du pays. C'est scandaleux ! L'État fédéral fait des économies sur notre dos. Pour mener une politique policière et de poursuite contre la grande délinquance, il faut aussi qu'il y ait un parquet qui suive les dossiers. Mais au parquet de Bruxelles, il manque un quart de juges pour des raisons budgétaires mais surtout linguistiques et communautaires. Cela fait 20 ans que le parquet est plus lent dans le suivi des affaires, aussi bien criminelles que familiales. J'entends ici des partis, qui sont au gouvernement fédéral, mais qui ne défendent pas suffisamment Bruxelles dans des matières aussi importantes. Même dans le dossier de migration (qui n'est pas toujours lié à l'insécurité), le gouvernement fédéral laisse traîner des milliers de personnes en rue autour des gares. L'accueil des migrants n'est organisé qu'à Bruxelles. Tous les problèmes sont concentrés sur Bruxelles qui reçoit moins de moyens dans les matières régaliennes. Nous réclamons un investissement massif dans la justice et la police. Nous voulons aussi l'installation d'un « parquet financier » qui puisse suivre toutes ces affaires de grande criminalité. Enfin, il y a deux niveaux de police en Belgique : fédérale et locale. Quand il y a de l'insécurité à Anvers ou à Charleroi, ce n'est pas le Ministre-Président qui s'en occupe mais bien le Ministre de l'Intérieur. […]