Négociations pour le futur gouvernement bruxellois

Extrait de presse
Extrait de presse, La Libre : "Quatre ministres wallons à doubles casquettes à la Fédération Wallonie-Bruxelles, mais pas de ministres bruxellois : “Bruxelles est la grande oubliée”.

Extraits de l'article publié par La Libre :

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“Une nouvelle fois, Bruxelles est la grande oubliée des négociateurs !”, a tweeté Bernard Clerfayt (Défi), ministre bruxellois des pouvoirs locaux. “Le MR et les Engages ne laissent aucune place à un Ministre issu du gouvernement bruxellois. Ils n’envisagent que la Fédération Wallonie-Bruxelles sous le spectre wallon ! Dommage, c’était pourtant une bonne idée de resserrer les liens entre les gouvernements wallons et bruxellois !”

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Lire l'article sur le site de La Libre

Sécurité à Bruxelles : le fédéral doit respecter Bruxelles et ses habitants

Communiqué de presse

Schaerbeek, comme d’autres communes bruxelloises, fait face à une augmentation de l’insécurité, singulièrement au quartier Nord. Une situation multifactorielle qui met en exergue l’inaction de l’Etat fédéral.

« Le fédéral n’assume pas ses missions de gestion de la migration légale en renvoyant à la rue les demandeurs d’asile. Le fédéral n’assume pas plus ses missions de gestion de l’immigration illégale en n’appliquant pas les ordres de quitter le territoire, OQT. Le fédéral ne parvient pas non plus à lutter contre le trafic de drogue qui gangrène nos quartiers », analyse Bernard Clerfayt, Ministre des Pouvoirs Locaux. 

L’office des étrangers n’est présent qu’à Bruxelles, au cœur du quartier Nord. Résultat, les personnes non-prises en charge se concentrent principalement en Région bruxelloise et plus particulièrement dans les rues autour de la Gare du Nord, laissant la responsabilité aux communes et à la Région de gérer ces populations.

Par ailleurs, il manque toujours en Région bruxelloise près de 900 policiers. Le problème majeur de la police en Région bruxelloise, c’est surtout le sous-financement de la part du fédéral dans les grandes villes. 

Si on regarde au niveau des dotations fédérales 2023, on constate que la dotation par policier est inférieure dans les zones bruxelloises qu’ailleurs sur le territoire. Ainsi, le financement moyen par policier s’élève à 34.199€ à Bruxelles contre 46.630€ en Flandre et 53.890€ en Wallonie. La moyenne belge s’élève, quant à elle, à 48.999€. Le sous-financement fédéral prive la zone de police Bruxelles-Nord de près de 10M€ d’euros annuellement.

« Si le fédéral assumait ses missions, nos quartiers seraient plus sûrs. Le fédéral doit respecter Bruxelles. Il en va de la sécurité de ses habitants mais aussi de l’image de l’entièreté du royaume et de sa capitale à l’étranger. Il y a urgence », conclut Bernard Clerfayt. 
 

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Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Débat des têtes de listes régionales au parlement bruxellois

Extrait de presse
Extraits du débat des tetes de listes organisé par BX1 au parlement bruxellois

Extraits des interventions de Bernard Clerfayt lors du débat des têtes de liste :

Lors de ce débat qui se déroula dans l’hémicycle du Parlement bruxellois, le Ministre de la Région de Bruxelles-Capitale et tête de liste DéFI Bernard Clerfayt a rappelé les enjeux importants pour Bruxelles. Visionner le débat sur BX1

Police et sécurité

S’agissant de la sécurité, Bernard Clerfayt a rappelé l’importance du suivi judiciaire du Parquet. Malheureusement, en Région bruxelloise « il manque 20% des effectifs ». Tout aussi dommageable pour Bruxelles, « il manque 800 policiers en Région bruxelloise ». « Le gouvernement Vivaldi n’a rien fait pour renforcer les moyens de la justice à Bruxelles. »

La mobilité mieux concertée

Concernant la mobilité, « il faut sécuriser tous les modes de transport ». Bernard Clerfayt a insisté sur l’importance de la diversification des modes de transport et le rôle structurant des transports publics et notamment le métro. Pour la mise en œuvre d’un plan de mobilité tel que Good Move, « je prends l’engagement qu’à l’avenir on consulte réellement les citoyens […] avec une vraie consultation représentative […] ».

Le calendrier de la zone basse émission a été abordé, Bernard clerfayt a rappelé qu’il vise à améliorer la qualité de l’air et à réduire les maladies. Si adaptations il doit y avoir, elles doivent être mineures car il faut « maintenir le cap d’une ville dans laquelle on a un air pur et qui respecte les objectifs climatiques. »

Finances publiques

La question des dépenses publiques est centrale et si les crises que nous avons connues ont exercé une forte pression, « nous devons pouvoir être plus efficaces dans la gestion, […] cela implique de mettre de l’ordre dans nos administrations […] il y a une série de fusions que l’on peut faire ». Bernard Clerfayt a insisté sur l’importance de l’évaluation des politiques. Il a rappelé les résultats positifs de la politique de l’emploi menée par DéFI depuis 10 ans en Région bruxelloise, « il faut poursuivre pour qu’on vise les 80% ».

Propreté

« La malpropreté en rue, c’est le premier sentiment d’inconfort que les citoyens ressentent. » La propreté est donc un déterminant essentiel pour réussir une ville plus agréable à vivre. Il faut mieux répartir les compétences entre la Région et les communes et envisager d’autres modèles pour le ramassage, pour ne pas que les poubelles restent en rue. Les comportements inciviques doivent être plus sanctionnés « Bruxelles Propreté n’a fait que 300 sanctions l’année passée ».

Neutralité et vivre ensemble

À propos de la neutralité dans les services publics, Bernard Clerfayt rappelle le principe de la liberté de culte. Mais concomitamment, à ce principe constitutionnel il est important que « le service public soit accueillant de tout le monde et que tout le monde se sente accueilli pleinement. Celui qui est fonctionnaire et se met au service du public se doit de se mettre dans une situation de plus grande neutralité possible […]. Dans la fonction publique on ne doit pas porter de signes religieux, philosophiques ou autres ».

Nos institutions

La Région bruxelloise est une organisation institutionnelle complexe. « On aurait pu créer une Région qui fonctionne comme fonctionnent les communes depuis deux siècles ». « On doit simplifier les administrations, réduire les cabinets. » Bernard Clerfayt a rappelé la responsabilité des leaders politiques flamands à l’égard de la complexité institutionnelle bruxelloise et donc « pour simplifier Bruxelles il faudra un accord des néerlandophones ». Et de marquer son désaccord avec le fait que les néerlandophones en matière communautaire obtiennent une répartition du budget 80% 20% ce qui est profondément inéquitable pour une série de matières culturelles et sociales que gèrent les francophones ».

Bilan et perspectives pour Bruxelles

Extrait de presse
Extrait de presse, L'Echo : “La majorité bruxelloise n’a pas tenu ses promesses”.

Extraits de l'article publié par La Libre :

[…] Bernard Clerfayt (Défi), ministre bruxellois de l’Emploi a, durant cinq ans, tenté d’incarner une sensibilité plus centriste au sein d’un gouvernement bruxellois. […]
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Pour Bernard Clerfayt, Bruxelles est confrontée à deux crises majeures . “La crise sociale et la crise de la gouvernance . La crise sociale, c’est le fait que trop peu de gens travaillent. Il faut donc améliorer le taux d’emploi. Nous avons déjà bien travaillé, mais nous devons viser maintenant un taux d’emploi de 80 %. C’est possible avec de la volonté politique et des moyens. Il faut améliorer la formation et l’enseignement. Pour cela, le pacte d’excellence est un bon outil, mais il doit être mis en œuvre plus rapidement.”
Les chiffres de l’emploi de la Région ont beau s’être améliorés en dix ans, sous les ministres Didier Gosuin puis Bernard Clerfayt, le compte est loin d’être bon. “Le taux d’emploi est passé de 54 %, quand nous sommes arrivés, à 66,5 % aujourd’hui. On a dépassé la Wallonie. À ce rythme-là, dans dix ans, on sera à 77 %. Nous sommes dans la bonne direction. L’instauration du bilan de compétences est un bon instrument (NdlR : lequel vise à objectiver le niveau des connaissances linguistiques et en informatique des chercheurs d’emploi et à leur offrir, le cas échéant, un parcours de formation adapté) . Il faut aussi mettre en place un meilleur contrôle de la disponibilité des chômeurs. Pendant longtemps, Actiris ne s’occupait plus des chercheurs d’emploi de longue durée. Il faut les réactiver.”
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“ Huit ministres et 89 députés, c’est beaucoup trop. Cinq ministres et 60 députés, c’est assez. Nous ne sommes pas allés aussi vite qu’on l’aurait voulu avec Optiris, pour la rationalisation des administrations, mais c’est grâce à nous que ce sujet a été mis sur la table ”, ajoute Bernard Clerfayt, qui plaide pour la fusion de certaines d’entre elles.
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Lire l'article sur le site de La Libre

Insécurité à Bruxelles et grande délinquance

Extrait de presse
Extrait de presse, rtbf : "Débat de six têtes de liste sur l'insécurité à Bruxelles où se livre une guerre de narcotrafiquants !"

Extraits de l'article publié par la RTBF :

La série effrayante de fusillades, liées au trafic de drogue, atteint un niveau jamais connu à Bruxelles. Dans les quartiers, les habitants, qui assistent à ces échanges de tirs, parlent de « zones de non-droit » car rien ne leur semble pouvoir stopper cette spirale de violence. Six têtes de listes aux élections régionales débattent de cette problématique.

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 Monsieur Clerfayt, que faut-il mettre en place pour renforcer la sécurité dans les rues de Bruxelles ? La réaction du gouvernement est-elle suffisante?

Bernard Clerfayt : D'abord, je salue l'engagement des polices locales ainsi que des communes qui financent les services de police actuellement sur le terrain. Pourquoi Bruxelles manque de policiers ? Parce que les communes ne savent pas payer plus. Depuis 20 ans, l'État fédéral finance moins bien la police à Bruxelles qu'ailleurs. J'ai pris les derniers chiffres de fin 2023 : 50.000 euros en moyenne par policier dans le pays, mais 35.000 euros à Bruxelles ! Les polices zonales reçoivent un tiers d'argent en moins que dans le reste du pays. C'est scandaleux ! L'État fédéral fait des économies sur notre dos. Pour mener une politique policière et de poursuite contre la grande délinquance, il faut aussi qu'il y ait un parquet qui suive les dossiers. Mais au parquet de Bruxelles, il manque un quart de juges pour des raisons budgétaires mais surtout linguistiques et communautaires. Cela fait 20 ans que le parquet est plus lent dans le suivi des affaires, aussi bien criminelles que familiales. J'entends ici des partis, qui sont au gouvernement fédéral, mais qui ne défendent pas suffisamment Bruxelles dans des matières aussi importantes. Même dans le dossier de migration (qui n'est pas toujours lié à l'insécurité), le gouvernement fédéral laisse traîner des milliers de personnes en rue autour des gares. L'accueil des migrants n'est organisé qu'à Bruxelles. Tous les problèmes sont concentrés sur Bruxelles qui reçoit moins de moyens dans les matières régaliennes. Nous réclamons un investissement massif dans la justice et la police. Nous voulons aussi l'installation d'un « parquet financier » qui puisse suivre toutes ces affaires de grande criminalité. Enfin, il y a deux niveaux de police en Belgique : fédérale et locale. Quand il y a de l'insécurité à Anvers ou à Charleroi, ce n'est pas le Ministre-Président qui s'en occupe mais bien le Ministre de l'Intérieur. […]

Finances de la Région de Bruxelles-Capitale

Extrait de presse
Extrait de presse, La Dernière Heure : "Abandon de Néo et Kanal, taxe kilométrique ou aide du fédéral: comment les partis prévoient-ils de sauver les finances bruxelloises du gouffre?"

Extraits de l'article publié par La Dernière Heure :

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Bernard Clerfayt, tête de liste Défi et ministre de l’Emploi, réclame quant à lui “un juste financement du fédéral”, notamment pour la sécurité dans la capitale. “Le financement moyen par policier s’élève à 34 199 € à Bruxelles contre 46 630 € en Flandre et 53 890 € en Wallonie. L’alignement sur la moyenne nationale (48 999 €) générerait un financement supplémentaire de 73 millions d’euros aux zones de police bruxelloises.”

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Les Engagés comme le MR, proposent “un vrai budget base zéro”. Ils proposent aussi de s’attaquer aux subsides. Bernard Clerfayt (Défi) est le seul à chiffrer concrètement la mesure : il prône “une diminution de 50 %” des subsides facultatifs, laissés à la discrétion de chaque ministre, pour une économie importante de 137 millions d’euros par an.

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Bernard Clerfayt (Défi) ne va pas jusqu’à une suppression complète des cabinets, mais il souhaite “réduire leur coût de 75 %” et diminuer le nombre de parlementaires bruxellois de 89 membres à 60.

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Personne, en dehors de Sven Gatz et de Bernard Clerfayt, n’a pointé dans ses réponses à La Libre l’introduction de la taxe kilométrique. “Cette fiscalité pèsera davantage sur les navetteurs qui profitent des infrastructures bruxelloises sans en supporter le coût. Les recettes de Smartmove ont été estimées entre 200 et 250 millions d’€”, assure Bernard Clerfayt.

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Pas de blocage du gouvernement bruxellois

Extrait de presse
Extrait de presse, La Dernière Heure : "Bernard Clerfayt : “Le blocage du PS sur le code du bien-être animal ne doit pas entraîner une chute du gouvernement".

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure :

Le ministre bruxellois en charge du bien-être animal s’inquiète d’un dérapage budgétaire, en cas de chute du gouvernement ou d’affaires courantes.

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[…] Il rappelle que, pour son parti, le blocage du Code du Bien-être animal constitue une profonde blessure dans les engagements de la majorité bruxelloise.

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”Ce blocage du PS ne doit pas entraîner une chute du gouvernement ni même un gouvernement en affaires courantes. Il reste des dossiers importants qui exigent des solutions comme le carrefour Léonard, le permis d’environnement de l’aéroport de Bruxelles National, la rénovation des tunnels, les travaux au Palais du midi ou encore la crise du logement”, insiste Bernard Clerfayt dans son communiqué.

[…] […]

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