« Le blocage du PS sur le Code du Bien-être animal ne doit pas entraîner une chute du gouvernement »

Communiqué de presse

Comme chaque jeudi, le gouvernement bruxellois se réunit pour tenir sa séance hebdomadaire. Pour DéFI, le blocage du Code du Bien-être animal constitue une profonde blessure dans les engagements de la majorité bruxelloise.

En bloquant le Code du Bien-être Animal, le PS remet en cause l’Accord de Majorité 2019-2024. Surtout, il délie ses partenaires du respect des projets figurant dans cette feuille route négociée entre tous les partis de la majorité bruxelloise.

« Ce blocage du PS ne doit pas entraîner une chute du gouvernement ni même un gouvernement en affaires courantes. Il reste des dossiers importants qui exigent des solutions comme le carrefour Léonard, le permis d’environnement de l’aéroport de Bruxelles National, la rénovation des tunnels, les travaux au Palais du midi ou encore la crise du logement », insiste Bernard Clerfayt.  

Lors des réunions du Gouvernement, le Ministre DéFI continuera à insister sur la maîtrise des dépenses budgétaires.

« Ce gouvernement ne peut pas faire de promesses intenables, quand bien même la campagne électorale bat son plein. Si nous devons mener à bien toutes une série de dossiers indispensables pour l’avenir des Bruxellois, il faut d’urgence retrouver du sérieux et de la rigueur budgétaire, au risque d’hypothéquer l’avenir des générations futures », insiste Bernard Clerfayt

Bernard Clerfayt, marqué par le blocage du Code du bien-être animal pour de mauvaises raisons, assistera donc aux prochains Conseils des Ministres dans une démarche constructive afin de poursuivre certains dossiers essentiels pour Bruxelles.

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«Le blocage du PS sur le code du bien-être animal ne doit pas entraîner une chute du gouvernement bruxellois»

Actualité
Photo officielle du gouvernement bruxellois réalisée en 2023

Comme chaque jeudi, le gouvernement bruxellois se réunit pour tenir sa séance hebdomadaire. Pour DéFI, le blocage du code du bien-être animal constitue une profonde blessure dans les engagements de la majorité bruxelloise.

En bloquant le code du bien-être animal, le PS remet en cause l’accord de Majorité 2019-2024. Surtout, il délie ses partenaires du respect des projets figurant dans cette feuille route négociée entre tous les partis de la majorité bruxelloise.

« Ce blocage du PS ne doit pas entraîner une chute du gouvernement ni même un gouvernement en affaires courantes. Il reste des dossiers importants qui exigent des solutions comme le carrefour Léonard, le permis d’environnement de l’aéroport de Bruxelles National, la rénovation des tunnels, les travaux au Palais du Midi ou encore la crise du logement », insiste Bernard Clerfayt.  

Lors des réunions du Gouvernement, le Ministre DéFI continuera à insister sur la maîtrise des dépenses budgétaires.

« Ce gouvernement ne peut pas faire de promesses intenables, quand bien même la campagne électorale bat son plein. Si nous devons mener à bien toutes une série de dossiers indispensables pour l’avenir des Bruxellois, il faut d’urgence retrouver du sérieux et de la rigueur budgétaire, au risque d’hypothéquer l’avenir des générations futures », insiste Bernard Clerfayt

Bernard Clerfayt, marqué par le blocage du code du bien-être animal pour de mauvaises raisons, assistera donc aux prochains Conseils des Ministres dans une démarche constructive afin de poursuivre certains dossiers essentiels pour Bruxelles.

Bibliothèque du savoir public

Extrait de presse
Extrait de presse, La Dernière Heure : "Mise à disposition des études commandées par l’administration Bruxelles".

Extrait de l'article publié par La Dernière Heure :

Le ministre Bernard Clerfayt (Défi) a annoncé ce jeudi le lancement de la “Bibliothèque du Savoir Public”. Sur le portail be.brussels seront à terme disponibles gratuitement “toutes les études réalisées pour le compte d’une administration bruxelloise”. 

[…] En plus d’un accès aux études, l’administration commanditaire, la date de publication mais aussi le coût sont clairement indiqués” , note le cabinet.

«Le problème, c’est le sous-financement fédéral des zones urbaines.»

Actualité
Photo d'une enseigne de la police en façade d'un commissariat.

Fusionner les zones de police ! C’est la solution proposée par Ecolo-Groen pour répondre aux enjeux de sécurité à Bruxelles. Une fausse bonne idée, selon le Ministre bruxellois des Pouvoirs locaux, Bernard Clerfayt. Chiffres à l’appui, il dénonce un sous-investissement significatif du fédéral envers les zones de police urbaines. 

La police locale est composée de 181 zones de police réparties sur l’ensemble du territoire (6 à Bruxelles, 106 en Flandre et 71 en Wallonie). Elle effectue une série de missions locales comme le maintien de l’ordre public, l’intervention, la circulation ou encore le travail de quartier. Ces zones fonctionnent grâce au soutien des communes et aux dotations fédérales.

Le financement moyen par policier est le plus bas à Bruxelles

Criminalité, trafic de drogue, règlements de comptes, etc. Ces derniers mois, les problèmes d’insécurité se sont multipliés en Région bruxelloise. La solution pour Ecolo-Groen : fusionner les zones de police. 

« Cette piste ne donnera aucun résultat ni au niveau de l’économie d’échelle ni au niveau de l’efficacité de la police. Le problème majeur de la police en Région bruxelloise, c’est surtout le sous-financement de la part du fédéral dans les grandes villes », explique Bernard Clerfayt. 

Si on regarde au niveau des dotations fédérales 2023, on constate que la dotation par policier est inférieure dans les zones bruxelloises qu’ailleurs sur le territoire. Ainsi, le financement moyen par policier s’élève à 34.199€ à Bruxelles contre 46.630€ en Flandre et 53.890€ en Wallonie. La moyenne belge s’élève, quant à elle, à 48.999€.

Bruxelles doublement pénalisée

« Ce constat est d’autant plus inquiétant que la criminalité est plus élevée dans les grandes villes. Si les polices bruxelloises recevaient un financement fédéral identique à la moyenne belge, cela apporterait un montant complémentaire de 73 millions à nos zones de police. », ajoute le Ministre. 

Et d’ajouter que la proposition d’Ecolo-Groen ne prend pas en compte l’aspect multidimensionnel lié à la sécurité. 

« Les policiers ne sont pas les seuls à faire partie de la chaîne de sécurité. La politique de lutte contre la criminalité est conduite par le Parquet. Une police fusionnée ne changera donc rien à ce niveau-là. Et n’oublions pas que ce qui fait la force de la police locale, c’est sa proximité avec les habitants, sa connaissance du terrain et sa collaboration avec les acteurs de la prévention. C’est cela que nous devons renforcer », conclut Bernard Clerfayt. 

Printemps Numérique 2024

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Printemps numérique 2024

Le Printemps Numérique de Bruxelles revient les 22 et 23 mars prochains sur le site emblématique de Tour & Taxis. De la réalité virtuelle à la cyber sécurité, en passant par l’intelligence artificielle, l’e-gaming, le rétrogaming et l’exploration des opportunités professionnelles du numérique, la 4e édition de ce rendez-vous incontournable promet une immersion captivante dans les dernières avancées technologiques. Suivez le guide !

Un événement gratuit

Porté par Paradigm, le Printemps Numérique de Bruxelles 2024 est une initiative d’envergure qui fait rayonner l’écosystème numérique de la Région bruxelloise.

Bénéficiant de l’appui de la Région bruxelloise et du Ministre de la Transition numérique, Bernard Clerfayt, cet événement gratuit se positionne comme une plateforme de rencontre incontournable. Il réunira un large public, des novices aux experts du numérique, qui partageront et enrichiront leur expertise. La mission est claire : initier, sensibiliser et guider le grand public à travers le passionnant univers des technologies numériques.

« Le Printemps Numérique est une expérience immersive où les visiteurs peuvent toucher, tester, développer, coder et qui sait, peut-être cela suscitera des vocations pour un métier dans le secteur du numérique de plus en plus recherché sur le marché de l’emploi bruxellois », déclare Bernard Clerfayt.

Aperçu de la programmation 2024 du printemps numérique

Le Printemps Numérique invite les visiteurs à explorer des espaces fascinants où démonstrations captivantes et expériences immersives éveilleront la curiosité de tous. Paradigm propose un itinéraire didactique sur l’empreinte environnementale du secteur numérique, illustré par le sac à dos écologique d’un ordinateur portable. Les amateurs de « Smart Buildings » découvriront des solutions technologiques de pointe pour des bâtiments plus intelligents et durables.

Le Printemps Numérique Bruxelles offre aussi une variété de conférences et de pitchs, sous la forme de "Pecha Kucha", sur des sujets tels que le jumeau numérique, le climat et la technologie, la mobilité, la cybersécurité, l'e-gaming, les métiers et les formations du numérique ou encore l'inclusion numérique. Des experts du numérique, issus de divers secteurs, élargiront les horizons du public en partageant leurs connaissances.

Jeunes et moins jeunes, en famille ou entre amis, les visiteurs auront également l’opportunité d’explorer les dernières tendances et innovations qui façonnent l’avenir numérique de notre société. Ils pourront également participer aux différentes activités interactives proposées sur les différents espaces d’exposition de près de 50 représentants de l’écosystème numérique bruxellois, national et international.

Des expériences éducatives pour les écoles

Le Printemps Numérique Bruxelles 2024 a prévu des animations aussi séduisantes que spécialement pensées pour nourrir la curiosité débordante des élèves.

Parmi les temps forts : ateliers de sensibilisation aux impacts environnementaux du numérique, mais aussi aux arnaques en ligne, démonstrations de bras robotisés, découvertes des métiers du numérique, sessions d’e-gaming, initiations au codage, et bien d’autres attractions palpitantes !

Une opportunité pour les plus jeunes de découvrir, apprécier et s’amuser autour du numérique grâce à une variété de stands qui leur sont dédiés !

Invisible Festival, une première exclusive pour le Printemps Numérique de Bruxelles

Le Printemps Numérique Bruxelles crée l'événement en ouvrant les portes de l'inédit « Invisible Festival ». Pour la première fois, les visiteurs seront conviés à explorer cet univers unique, célébrant la richesse et la diversité culturelle au cœur de l'Europe, dans la deuxième ville la plus cosmopolite au monde, Bruxelles.

Cette manifestation met en lumière les héros oubliés et méconnus de l'histoire avec un programme riche d'activités, basé sur des avatars 3D, la réalité augmentée et autres expérimentations artistiques immersives. Une invitation à voyager dans des dimensions invisibles où l'art numérique prend vie, offrant une expérience sensorielle et culturelle inédite.

Informations pratiques

  • Où ? Tour & Taxis, Avenue du Port 86c à 1000 Bruxelles
  • Quand ? Le vendredi 22 mars et le samedi 23 mars 2024

Liens utiles

Interview de Bernard Clerfayt sur BX1+, émission «Bonjour Bruxelles»

Extrait de presse
Interview de Bernard Clerfayt sur BX1+, émission Bonjour Bruxelles

Ce matin, Bernard Clerfayt était l’invité de «Bonjour Bruxelles» sur BX1 Radio. L’interview vidéo est disponible ici, et ci-dessous, un bref résumé des propos du Ministre.

Enthousiaste pour aller débattre avec les Bruxellois de l’avenir de Bruxelles, Bernard Clerfayt est heureux de conduire une belle équipe pour les élections régionales du 9 juin prochain. « Les militants ont souhaité que je puisse tirer la liste à la Région, fort du bilan et de l’expérience que je porte. » C’est d’ailleurs bien un trio de tête, désignant ainsi Joëlle Maison et Fabian Maingain, que le Conseil général de DéFI a désigné ce mercredi en soirée pour mener la future liste électorale : « Nous sommes une équipe et nous allons réussir ensemble cette élection».

Bernard Clerfayt fait remarquer qu’il est le seul ministre sortant à conduire une liste, il confirme ainsi sa volonté de mener son engagement à la Région jusqu’au bout, « Je suis fier de mon bilan ».

Point de force de ce bilan, « c’est l’augmentation du taux d’emploi en Région bruxelloise, on était à 61% […], aujourd’hui il est à 68% ». Le Ministre relève que l’augmentation du taux d’emploi est la plus forte à Bruxelles, comparativement aux autres Régions du pays. 

Concernant le projet d’ordonnance Bruxelles Numérique soumis actuellement au Parlement, Bernard Clerfayt a rappelé, que si toutes les démarches administratives doivent être accessibles en ligne, « Il prévoit également que les pouvoirs publics ont l’obligation de prévoir l’inclusion, l’accompagnement des personnes pour les démarches en ligne ». Et de rappeler que toujours, une alternative doit être disponible pour toutes les démarches administratives : «Les démarches en ligne ne peuvent justifier que l'on supprime les guichets, que l'on supprime les appels téléphoniques». Le choix de l'utilisateur prime, «il peut à tout moment opter de revenir une démarche par accueil physique au guichet ou par téléphone […] ».

[…]

Métro 3, la solution structurelle pour la mobilité

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Métro 3, la solution structurelle pour la mobilité

Si aujourd’hui, on est certain que le chantier du métro 3 soit sur les rails, le délai d’aboutissement ne peut en être fixé avec certitude. Bernard Clerfayt répondait ce mercredi matin aux questions de Fabrice Grosfilley à ce propos, sur BX1 (lien vers la vidéo en fin d'article).

Obstacles techniques et financiers, nécessaires réaménagements du projet afin d’en réduire à la fois l’impact urbanistique et budgétaire : la mise en service du tronçon Nord-Bordet ne verra pas le jour dans les délais initialement fixés.

La difficulté de trouver des alternatives en surface

« On constate bien que le réseau de voiries en surface est très étroit et ne permet pas de solution en surface. C’est d’ailleurs pour ça que nous n’avons pas trouvé d’alternative jusqu’ici. Cela justifie certainement que le métro reste absolument une solution nécessaire  », explique le Ministre bruxellois, Bernard Clerfayt.

En attendant le métro, améliorer le sort des usagers

En attendant, ceux qui souffrent le plus de cette situation, ce sont notamment les usagers du tram 55. C’est pourquoi, le gouvernement va examiner les solutions évoquées par la STIB. 

 « Je souhaite d’abord que l’on consulte les communes concernées pour savoir si les pistes sur la table sont réalisables. Mais il est certain que nous devons faire des avancées rapides et éventuellement  aménager des endroits stratégiques ». 

Le métro reste l’objectif ! 

Pour Bernard Clerfayt l’objectif pour la mobilité, et singulièrement celle de l’Est de Bruxelles, doit rester le métro. Il n’y a pas de solutions qui permettent, même à moyen terme, d’offrir, une telle capacité de transport et de confort aux Bruxellois. 

« Maintenant, il faut en maîtriser le coût en adaptant le projet aux demandes qui ont été faites par les communes. Mais il faut aussi pouvoir partager le coût avec l’État fédéral », conclut le Ministre. 

Prochaine étape du dossier : les résultats de l’enquête publique basés sur la demande de permis d’urbanisme de Beliris.