Interview sur le plateau de BEL RTL MATIN

Extrait de presse
Interview de Bernard Clerfayt sur RTL TVI

Ce lundi 17 avril le Ministre bruxellois de l'Emploi était sur le plateau de BEL RTL. Il a exposé la situation en Région bruxelloise concernant le taux d'emploi des femmes. La problématique de la moindre participation des femmes au marché du travail a été abordée.

Le Ministre a aussi rappelé les chiffres de l'emploi en Région bruxelloise. Les tendances sont bonnes, le taux d'emploi est en hausse. On a créé 40.000 emplois de plus en Région bruxelloise. Les Bruxellois accédent aussi à des emplois en Flandre qui est au plein emploi. À ce propos le Ministre a d'ailleurs rappelé l'accord entre Actiris et le VDAB pour permettre à plus de Bruxellois d'accéder à des emplois en Flandre.

Le renforcement des tests de discrimination à l'embauche a aussi été abordé. Les procédures de tests vont être simplifiées et des tests par secteurs seront possibles.

La transparence dans la gestion des services publics a été abordée, notamment les avancées en Région bruxelloise pour interdire le cumul des mandats.

Le Ministre a évoqué aussi la nécessité de réduire l'importance des cabinets et les avantages fiscaux des députés, qui comme d'autres sujets, doivent être mis sur la table pour améliorer la gouvernance.

Interview de Bernard Clerfayt sur LN24

Extrait de presse
Interview de Bernard Clerfayt sur LN24

Ce vendredi 14 avril matin, Bernard Clerfayt était invité sur la plateau de LN24. Sujets abordés : taux d'emploi à Bruxelles, métiers en pénurie, la formation en alternance, la migration économique ou encore la transition numérique.

Bernard Clerfayt au micro de BX1, émission « Bruxelles Matin »

Extrait de presse
Le ministre bruxellois Bernard Clerfayt a répondu aux questions de Fabrice Grosfilley, dans « Bonjour Bruxelles », sur BX1, ce jeudi 23 mars 2023.

Le ministre bruxellois Bernard Clerfayt a répondu aux questions de Fabrice Grosfilley, dans « Bonjour Bruxelles », sur BX1, ce jeudi 23 mars 2023.

À propos du métro bruxellois : « Il n’y a aucun État en Europe qui dépense aussi peu d’argent pour sa capitale. […] C’est légitime que le fédéral assume une partie significative du coût du métro. »

Modernisation du code électoral communal : « On va simplifier la vie des citoyens, dans sa commune, on pourra aller voter dans le bureau de son choix. […] Ce sera plus simple d’aller voter, j’espère que cela encouragera les gens à faire cet acte démocratique. »

Perturbations dans les conseils communaux : « On doit veiller à ce que les conseils communaux se déroulent dans le calme […] la démocratie c’est le respect des opinions […] Les citoyens peuvent exprimer une opinion mais dans le respect du travail du conseil communal. […] Il faut que les citoyens puissent entendre les arguments de ceux pour qui ils ont voté.»

Numérisation des services publics : « C’est bon pour le confort des citoyens. […] Avec Bruxelles Numérique nous proposons de garantir l’universalité des démarches numériques. Toutes les démarches qui existent doivent aussi exister de manière numérique. […] 60% des citoyens savent le maîtriser. […] On va imposer aux administrations de conserver des guichets physiques aussi longtemps qu’il y a une demande du public.»

Bien-être animal : « il faut contrôler la population de chats errants qui vivent dans de très mauvaises conditions et créent des problèmes dans les quartiers. […] Stériliser les chats est une obligation.

Neutralité des services public

Extrait de presse
Extrait de presse, Le Soir : "Port de signes convictionnels: à la Stib, la délicate construction d’une politique de neutralité"

Extraits de l'article publié par Le Soir

Repenser sa politique de neutralité, voilà donc le trajet entamé par la Stib, dans lequel s'inscrit l'enquête interne dévoilée ce lundi dans nos colonnes. On y découvre qu'à peine la moitié du personnel de la Stib se sentirait à l'aise si un collègue portait des signes convictionnels, et une très large majorité des agents préféreraient qu'ils ne soient pas portés au travail. […]

[…] Le ministre bruxellois Bernard Clerfayt estime aussi que l'enquête rencontre pleinement la demande de Défi : « Assurer la neutralité des services publics pour respecter les préférences philosophiques et religieuses de tout le monde. C'est maintenant à la Stib de respecter le choix démocratique de ces collaborateurs. Laissons-la travailler sereinement ». […]

Article publié sur le site du quotidien

Interview de Bernard Clerfayt dans le cadre de l'émission « Le carrefour de l’info » sur Arabel FM

Extrait de presse
Interview de Bernard Clerfayt dans le cadre de l'émission « Le carrefour de l’info » sur Arabel FM

Bernard Clerfayt était, ce jeudi 3 novembre 2022, l’invité de l’émission « Le carrefour de l’info » sur Arabel FM. Voici un bref compte-rendu de cette émission dont vous trouverez ici le podcast.

La réforme des titres-services

Bernard Clerfayt a rappelé que le prix de base de 9€ pour un titre-service n’a plus changé depuis 2014. Les pouvoirs publics complètent de 13 euros pour un coût total qui avait été estimé à 22 euros. Aujourd’hui le coût réel du titre-service est de 27 euros. On aurait dû augmenter le prix du titre de 2 euros, avec un prix demandé à l’utilisateur de 10 euros, on continue à proposer un titre-service bon marché dans un système où la couverture sociale reste acquise pour les aide-ménagères. Les pouvoirs publics continuent à prendre en charge près des 2/3 du coût global.

Nous allons consacrer 1/3 de l’apport budgétaire, 5 millions, à améliorer les conditions de travail des aide-ménagères. Il s’agit de renforcer le financement du fond sectoriel de formation professionnelle. Beaucoup de femmes qui le souhaitent doivent pouvoir se réorienter. On va aussi prendre toute une série de mesures de type qualitatif pour mieux encadrer le métier, pour protéger les aide-ménagères des situations (marginales) de harcèlement. On prévoit aussi une évaluation objective de la charge de travail via une visite à domicile pour les nouveaux contrats.

Emploi en Région de Bruxelles-Capitale

Répondant à la question de la collaboration entre Actiris et le VDAB, le ministre souligne qu’en Flandre on est presque au plein emploi. En périphérie les emplois sont à pourvoir et nous avons des bras en Région bruxelloise. La collaboration VDAB-Actiris permet de proposer une formation sur-mesure pour les emplois existants en Flandre. 1700 travailleurs chaque année signent un contrat pour travailler en Flandre, nous voulons arriver à 2000.

Contrôle des ASBL communales

En général ces ASBL sont bien gérées. Mais il y a eu des dérives, il faut donc des exigences de transparence quant à la manière dont le contrôle s’opère. J’ai aussi voulu adapter ce contrôle en fonction de l’importance des ASBL. Pour les grandes ASBL un contrôle par les services régionaux est requis.

Les Futurs de Bruxelles

Depuis longtemps, les intervenants dans le débat public y vont de leurs propositions quant à l’avenir institutionnel de la Région. Il est vrai que les institutions bruxelloises sont complexes dès lors que l’on en observe de près le fonctionnement.

Le projet est de mesurer les attentes des bruxellois vis-à-vis des institutions régionales. Le processus passe par une phase de consultation via un échantillon représentatif de la population, construit selon des critères sociodémographiques. Des questions seront soumises aux participants, il s’agit d’un processus encadré par un groupe d’experts.

Ensuite viendra la phase d’échanges avec les acteurs institutionnels et organisations représentatives. Les recommandations compilées par les experts seront soumises au parlement qui pourra se prononcer sur les meilleures recommandations pour simplifier le fonctionnement des institutions bruxelloises.

« Les Futurs de Bruxelles », la Région par les Bruxellois

Actualité
Logo Les Futurs de Bruxelles

Le fonctionnement de nos institutions bruxelloises ne fait pas l’unanimité. Comment y remédier ? En faisant appel aux premiers acteurs concernés : les Bruxellois ! Voilà la solution proposée par le Ministre bruxellois des Pouvoirs Locaux, Bernard Clerfayt pour cette mission. Intitulé « Les Futurs de Bruxelles », ce processus de démocratie citoyenne proposera un espace de liberté d’expression où les voix des citoyens seront entendues et respectées.

« L’organisation et le fonctionnement de notre Région ne doivent pas uniquement reposer sur les politiques. Ici, l’objectif est d’amener les Bruxellois à repenser les futurs de leur Région et donc à revoir son fonctionnement et ses interactions avec les 19 communes », déclare Bernard Clerfayt.

Du concret : propreté publique, élections, sécurité, …

Organisation de nos institutions, fonctionnement des politiques publiques, des communes, … les citoyens seront invités à se positionner sur une série de thématiques, comme les élections, la confiance du citoyen envers les mandataires, la propreté publique, la sécurité ou encore le découpage territorial des communes.

« Réussir Bruxelles avec l’aide des Bruxellois »

Les « Futurs de Bruxelles » se déclineront en trois phases et s’achèveront juste avant l’été 2023. La première démarre ce 7 novembre avec la consultation de 1.000 Bruxellois, représentatifs de tous les citoyens, via une enquête en ligne. La deuxième étape sera consacrée à l’organisation de débats entre acteurs institutionnels. La dernière phase fera l’objet de rencontres entre citoyens et représentants institutionnels. Enfin, le rapport final est attendu pour le mois de septembre 2023.

« Cet espace permettra de prendre les recommandations des citoyens au sérieux. Et j’insiste là-dessus, je ne veux pas d’un simulacre de démocratie ! Les résultats seront analysés et devront nous permettre d’atteindre notre unique objectif : réussir Bruxelles avec l’aide des Bruxellois », conclut le Ministre.

Les Futurs de Bruxelles : la parole aux Bruxellois pour réinventer la Région

Communiqué de presse

Repenser l’organisation et le fonctionnement des institutions bruxelloises en faisant participer le citoyen. Voilà la mission que le gouvernement bruxellois a confiée au Ministre bruxellois des Pouvoirs Locaux, Bernard Clerfayt. Une révolution en Région bruxelloise où, pour la première fois, les citoyens dessineront Ce projet intitulé « Les Futurs de Bruxelles » débutera dès ce 7 novembre et permettra aux Bruxellois de se positionner sans tabou sur une liste de thématiques liées au fonctionnement de leur Région.

Si vous surfez sur la toile ou que vous suivez l’actualité, vous avez très certainement déjà remarqué l’utilisation de plus en plus répandue du terme « Bruxelles Bashing ». Véritable déferlement de dénigrements envers la Région, ces vociférations déchaînent les foules.  Sont-elles légitimes ? En partie. La Région est malheureusement, elle aussi, victime de la complexité de son paysage institutionnel. Incohérence, incompréhension, méfiance… Une chose est sûre : le fonctionnement de nos institutions est loin de faire l’unanimité au sein de la population.

Comment remédier à cela ? En faisant appel aux premiers acteurs concernés : les Bruxellois ! Voilà la solution proposée par le Ministre bruxellois des Pouvoirs Locaux, Bernard Clerfayt pour cette mission. Intitulé « Les Futurs de Bruxelles », ce processus de démocratie citoyenne proposera un espace de liberté d’expression où les voix des citoyens seront entendues et respectées.

« L’organisation et le fonctionnement de notre Région ne doivent pas uniquement reposer sur les politiques. Ici, l’objectif est d’amener les Bruxellois à repenser les futurs de leur Région et donc à revoir son fonctionnement et ses interactions avec les 19 communes », déclare Bernard Clerfayt.

Organisation de nos institutions, fonctionnement des politiques publiques, des communes, … les citoyens seront invités à se positionner sur une série de thématiques, comme les élections, la confiance du citoyen envers les mandataires, la propreté publique, la sécurité ou encore le découpage territorial des communes.

Les « Futurs de Bruxelles » se déclineront en trois phases et s’achèveront juste avant l’été 2023. La première démarre ce 7 novembre avec la consultation de 1.000 Bruxellois, représentatifs de tous les citoyens, via une enquête en ligne. La deuxième étape sera consacrée à l’organisation de débats entre acteurs institutionnels. La dernière phase fera l’objet de rencontres entre citoyens et représentants institutionnels. Enfin, le rapport final est attendu pour le mois de septembre 2023.

« Cet espace permettra de prendre les recommandations des citoyens au sérieux. Et j’insiste là-dessus, je ne veux pas d’un simulacre de démocratie ! Les résultats seront analysés et devront nous permettre d’atteindre notre unique objectif : réussir Bruxelles avec l’aide des Bruxellois », conclut le Ministre.

Plus d’infos sur www.lesfuturs.brussels

Contact ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45