À propos de la carrière des Bruxellois

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Extrait de presse, Métro : "Comment se déroule la carrière des Bruxellois ?"

Extraits de l'article paru dans Métro

L’HIVA, l’institut de recherche sur le travail et la société affilié à la KU Leuven, a mené une vaste recherche pour le compte d’Actiris. Le but ? Analyser la carrière des Bruxellois.

[…] Les chercheurs d’emploi bruxellois peu qualifiés et les Bruxellois inactifs constituent un groupe particulièrement vulnérable et ont moins de chances de trouver leur place sur le marché du travail.

[…] « Ce n’est pas neuf : plus on est éloigné du marché du travail, moins on a de chance de décrocher un emploi. Cette nouvelle étude le confirme. Mais surtout elle me conforte dans la voie choisie pour permettre à plus de Bruxellois de décrocher un emploi : miser encore plus sur la formation ! Et c’est grâce au bilan de compétences linguistiques, numériques et professionnelles complété d’un parcours de formation que les chercheurs d’emploi bruxellois pourront se profiler sur le marché de l’emploi et être rapidement embauchés », a réagi Bernard Clerfayt, ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation Professionnelle.

[…]

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Se former c’est voir plus loin et plus large

Actualité
Se former c’est voir plus loin et plus large

La formation qualifiante augmente de 17% les possibilités de trouver un emploi. Deux ans après leur entrée en formation, 71% des chercheurs d’emploi ont quitté le chômage vers l’emploi, contre 54%, en l’absence de formation professionnelle. 

Une étude qui confirme la priorité donnée à la formation professionnelle

A titre d’exemple, en deux ans, la formation qualifiante fait passer le taux de sortie du chômage vers l’emploi des femmes de 45% à 68% (soit, une différence de 23 points) ; chez les hommes, ce pourcentage passe de 60% à 72% (une différence de 12 points).

Se former, un investissement payant

« Pour la première fois, nous objectivons, grâce à une étude, ce dont nous nous doutions déjà : se former augmente considérablement ses chances de décrocher un emploi ! Se former, c’est un investissement payant. Son impact est d’autant plus positif pour certains groupes très éloignés du marché de l’emploi. La formation est donc un, sinon le levier efficace à activer pour permettre à plus de Bruxellois de décrocher un emploi. » rappelle Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle.

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Se former augmente les chances de trouver un emploi

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Extrait de presse, DH : 17 % de chances en plus de décrocher un job avec une formation

Extraits de l'article publié par la DH

Deux ans après leur entrée en formation à Bruxelles, 71 % des chercheurs d’emploi ont quitté le chômage vers l’emploi, contre 54 %, en l’absence de formation, révèle une étude réalisée par Bruxelles Formation, en collaboration avec Actiris et view.brussels.

[…] À titre d’exemple, en deux ans, la formation qualifiante fait passer le taux de sortie du chômage vers l’emploi des femmes de 45 % à 68 % ; chez les hommes, ce pourcentage passe de 60 % à 72 %. Pour le ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Bernard Clerfayt (DéFI), et la directrice de Bruxelles Formation, Olivia P’Tito, l’étude objective ce dont on se doutait déjà : se former augmente considérablement ses chances de décrocher un emploi, plus encore pour certains groupes très éloignés du marché de l’emploi.

Bilan de compétences et formations pour les chercheurs d'emploi

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Extrait de presse, L'Écho : "Encourager le retour aux études des chercheurs d’emploi bruxellois"

Extraits de l'article publié par L'Echo

Le ministre bruxellois de l’Emploi Bernard Clerfayt (DéFI) vise toujours septembre pour l’imposition du bilan de compétences et du plan d’action individuel pour les demandeurs d’emploi. Progressive, la mise en œuvre de cette mesure concernera d’abord les jeunes. La modification d’ordonnance qui ajoute cette mission à Actiris a été adoptée par l’exécutif bruxellois jeudi dernier. Après un feu vert des partenaires sociaux, le texte a été envoyé pour avis au Conseil d’État.

«Environ quatre chercheurs d’emploi sur cinq ont un diplôme de secondaire ou de l’étranger dont on ne connait pas la valeur tandis que 70% des offres d’emploi concernent des profils qualifiés», souligne le ministre amarante.

[…] le screening systématique devra encourager davantage de chercheurs d’emploi à se former dans un métier en pénurie […]

Fatalement, cela augmentera le nombre de sanctions […]. «Ce n’est pas un but en soi! Le rôle d’Actiris est de les convaincre que trouver un boulot passe par l’acquisition de compétences. Le contrôle joue un rôle d’activation, mais en arriver aux sanctions reste un échec», estime le ministre qui précise que le mécanisme de sanctions a été réactivé après une pause durant la crise sanitaire.

 

Taux de chômage dans les communes

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Extrait de presse, la libre : "Quelles communes bruxelloises ont le pire taux de chômage ?"

Extraits de l'article publié par La Libre

À quelques kilomètres de distance, des différences conséquentes dans la capitale.

[…] Phénomène normal, selon Bernard Clerfayt (Défi), pour qui la question du chômage “dépasse le cadre des communes”. “Il n’y a pas non plus, entre les communes, d’égalité des revenus, du niveau de diplôme…”, commente le ministre bruxellois de l’Emploi. Parmi les outils de la Région pour activer ses demandeurs : des primes (comme Activa, qui réduit les charges salariales à l’embauche de jeunes et seniors) et un soutien aux formations. Car, c’est un des paradoxes de Bruxelles, pointe Clerfayt : un faible niveau de diplôme de la population, mais des emplois nécessitant de hautes qualifications. […]

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Discrimination à l'embauche

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Extrait de presse, Sudpresse : "Des tests plus simples et proactifs pour lutter contre les discriminations à l'embauche à Bruxelles".

Extraits de l'article publié par Sudpresse

Le gouvernement a approuvé en troisième lecture un projet d'ordonnance visant à simplifier la mise en œuvre des tests de discrimination à l'embauche en région bruxelloise.

[…] Il sera désormais également possible d'effectuer des tests de discrimination à l'embauche sur place et une meilleure protection des inspecteurs est également prévue.

[…] Les tests seront aussi plus proactifs. Si une étude académique démontre une suspicion de phénomènes de discrimination dans un secteur d'activité, les inspecteurs régionaux de l'emploi pourront réaliser des tests, avec l'accord préalable de l'Auditorat du travail.

[…] « Depuis l'adoption en novembre 2017 de l'ordonnance qui a permis l'introduction des tests de discrimination, la Région bruxelloise est pionnière en Belgique et en Europe dans la lutte contre la discrimination à l'embauche. Car, il n'y a pas de place pour de tels actes à Bruxelles. Et vu les manques de main-d'œuvre dans de nombreux secteurs d'activité, personne ne peut se permettre ce gaspillage social », déclare Bernard Clerfayt (DéFI), ministre de l'Emploi.

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Pour des embauches plus inclusives

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La première discrimination à l'emploi est celle liée au handicap

Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi, a proposé de renforcer les tests de discrimination à l’embauche pour les rendre plus simples et plus proactifs. Il sera désormais possible d’effectuer des tests sur place. Une meilleure protection des inspecteurs est également prévue. Le projet d’ordonnance a été approuvé en troisième lecture par le gouvernement.

Allègement de la procédure

Les tests pourront être utilisés sur base de signalements ou de plaintes mais aussi et ce sera nouveau, de suspicion raisonnable de discrimination sans devoir obtenir l’accord préalable d’un magistrat.

Ciblage selon des données objectives

Si une étude académique démontre une suspicion de phénomènes de discrimination dans un secteur d’activité, les inspecteurs régionaux de l’emploi pourront réaliser des tests, avec l’accord préalable de l’Auditorat du travail. Cela rencontre d’ailleurs la demande d’Unia. L’institut appelle à multiplier les tests de situation sur la base d’indications objectives grâce à des « algorithmes qui recherchent systématiquement les éventuelles pratiques discriminatoires dans les bases de données ou, plus simplement, en comparant la composition du personnel d'une entreprise à la composition moyenne des travailleurs du secteur, un service d'inspection pourrait ensuite effectuer des contrôles ciblés ».

Protection des inspecteurs et échange d’informations

Enfin, les inspecteurs pourront, quant à eux, effectuer des contrôles sur place sous un nom d’emprunt tout en étant exemptés de toute sanction pénale à cet égard.

Actiris jouera également un rôle essentiel dans ce projet, puisque l’organisme public devra dorénavant échanger des informations avec l’Inspection Régionale de l’Emploi (IRE), en communiquant notamment les différents signalements rapportés par les chercheurs d’emploi.

« La discrimination à l'embauche reste un problème omniprésent »

c’est ce que conclut une récente étude de l’Université de Gand. Cela vaut aussi pour la Région bruxelloise où les cas de discrimination à l’embauche basées sur l’âge, l’origine ethnique, le genre ou le handicap sont toujours trop nombreux. L’étude révèle d’ailleurs que la première discrimination à l'emploi est celle liée au handicap. Dans ce cas, les chances de recevoir une réponse positive chutent de 41% par rapport à une personne dite valide. On trouve ensuite la faible attractivité physique, avec 37% de réponses positives en moins, puis l'âge avancé (34% en moins), les orientations LGBTQIA+ (30% en moins) et enfin sur base de l’origine ethnique (29% en moins).

La discrimination à l’embauche, un gaspillage social

« Depuis l’adoption en novembre 2017 de l’ordonnance qui a permis l’introduction des tests de discrimination, la Région bruxelloise est pionnière en Belgique et en Europe dans la lutte contre la discrimination à l’embauche. Car, il n’y a pas de place pour de tels actes à Bruxelles. Et vu les manques de main d’œuvre dans de nombreux secteurs d’activité, personne ne peut se permettre ce gaspillage social », déclare Bernard Clerfayt.