Abattage avec étourdissement préalable

Extrait de presse
L'abattage rituel secoue le gouvernement bruxellois

Extrait de l'article paru dans "Le Soir"

Bernard Clerfayt (Défi) déposera jeudi un texte visant à imposer l’abattage avec étourdissement préalable. De quoi raviver les tensions au sein de la majorité.
Jeudi prochain, Bernard Clerfayt (Défi) déposera sur la table du gouvernement bruxellois un projet d’ordonnance relatif à l’abattage. Sans surprise, le texte proposé par le ministre du Bien-être animal vise à imposer l’étourdissement préalable et réversible. Une obligation en vigueur en Wallonie et en Flandre depuis 2019, que vient de valider la Cour constitutionnelle.
«On n’imagine pas que la souffrance animale soit appréhendée différemment à Bruxelles», argumente-t-on chez les amarante. […]

Le Ministre Bernard Clerfayt visite l’abattoir d’Anderlecht

Actualité
Abattoirs d'Anderlecht

L’objectif de la visite de l’abattoir d’Anderlecht de ce mardi matin a été de s’assurer des conditions dans lesquelles les animaux sont pris en charge, mais également de discuter avec les responsables sur les possibilités de mettre en place un étourdissement préalable lors de l’abattage des animaux.

« La Cour constitutionnelle vient de valider les décrets flamand et wallon imposant l’étourdissement préalable lors de l’abattage d’animaux. En Région bruxelloise, le débat est donc relancé. Il était important pour moi de visiter l’unique abattoir bruxellois et de pouvoir examiner les conditions actuelles de mise à mort des animaux mais également d’échanger avec les responsables sur les questions liées au bien-être des animaux, essentiellement au moment de leur abattage», déclare Bernard Clerfayt.

L’abattoir d’Anderlecht, une institution en Région bruxelloise depuis près de 130 ans

Il s’agit d’une activité économique importante : 50.000 animaux y sont abattus en moyenne chaque année. L’abattoir d’Anderlecht est la seule infrastructure agréée et autorisée à pratiquer des abattages en Région bruxelloise. L’abattage rituel concerne d’ailleurs 65% des bœufs, 85% des veaux ou encore 80% des moutons.

Un contrôle très poussé

Lors de la visite, le Ministre a pu observer l’ensemble des pratiques de la chaîne d’abattage, de l’arrivée de l’animal à sa découpe.

Les pratiques de la chaîne d’abattage font l’objet d’un contrôle très poussé. L’abattoir est entièrement équipé d’un système de vidéo-surveillance; l’abattage se réalise sous le contrôle d’un vétérinaire et d’un responsable du bien-être animal. Les vidéos permettent non seulement de s’assurer du respect des règles en vigueur mais jouent également un rôle pédagogique à l’égard du personnel afin d’améliorer les pratiques au sein de l’abattoir.

Enfin, des inspections sont effectuées quotidiennement par des vétérinaires de l’AFSCA et mensuellement par le département bien-être animal de Bruxelles Environnement qui contrôle et vérifient les conditions d’abattage des animaux et le respect des règles.

 

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Photo : Wikimedia Commons

Le Ministre bruxellois du bien-être animal visite l’abattoir d’Anderlecht

Communiqué de presse

Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal, a visité les installations de l’abattoir d’Anderlecht, seule infrastructure agréée et autorisée à pratiquer des abattages en Région bruxelloise. L’objectif de cette visite était de s’assurer des conditions dans lesquelles les animaux sont pris en charge mais également de discuter avec les responsables sur les possibilités de mettre en place un étourdissement préalable lors de l’abattage des animaux.

L’abattoir d’Anderlecht est une institution en Région bruxelloise. Installée depuis près de 130 ans dans le sud de la Région, l’abattoir mène une activité économique importante puisqu’en moyenne 50.000 animaux y sont abattus chaque année. L’abattage rituel concerne d’ailleurs 65% des bœufs, 85% des veaux ou encore 80% des moutons.

Lors de la visite, le Ministre a pu observer l’ensemble des pratiques de la chaîne d’abattage, de l’arrivée de l’animal à sa découpe.

Les pratiques de la chaîne d’abattage font l’objet d’un contrôle très poussé. L’abattoir est entièrement équipé d’un système de vidéo-surveillance; l’abattage se réalise sous le contrôle d’un vétérinaire et d’un responsable du bien-être animal. Les vidéos permettent non seulement de s’assurer du respect des règles en vigueur mais jouent également un rôle pédagogique à l’égard du personnel afin d’améliorer les pratiques au sein de l’abattoir.

Enfin, des inspections sont effectuées quotidiennement par des vétérinaires de l’AFSCA et mensuellement par le département bien-être animal de Bruxelles Environnement qui contrôle et vérifier les conditions d’abattage des animaux et le respect des règles.

« La Cour constitutionnelle vient de valider les décrets flamand et wallon imposant l’étourdissement préalable lors de l’abattage d’animaux. En Région bruxelloise, le débat est donc relancé. Il était important pour moi de visiter l’unique abattoir bruxellois et de pouvoir examiner les conditions actuelles de mise à mort des animaux mais également d’échanger avec les responsables sur les questions liées au bien-être des animaux, essentiellement au moment de leur abattage», déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal.   

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Pauline Lorbat - 0485 89 47 45

Quatre principes de bonne gestion pour améliorer la gouvernance locale

Communiqué de presse

Le gouvernement bruxellois s’est accordé sur quatre principes de saine gestion pour améliorer la gouvernance locale. Au menu : décumul intégral entre mandat exécutif local et mandat parlementaire, réduction du nombre d’échevin, valorisation du statut des bourgmestres et échevins et revalorisation du statut des conseillers communaux.

Premier principe de saine gouvernance, le décumul intégral entre un mandat exécutif local et un mandat parlementaire. Celui-ci sera effectif dès 2024. Ainsi, les députés bruxellois pourront se consacrer pleinement à leur fonction régionale.

Autre acquis, la réduction du nombre d’échevin. Les collèges communaux compteront un échevin de moins lors de la prochaine mandature. Toutefois, le conseil communal aura la possibilité de réduire de plus d’une unité s’il le souhaite.

Troisième principe, la valorisation du traitement des bourgmestres et échevins. Actuellement, lié à celui du secrétaire communal, le traitement du bourgmestre ne sera plus fixé en fonction de celui de son secrétaire communal. Il s’exprimera en pourcentage de l’indemnité parlementaire des membres du Parlement fédéral. Le gouvernement proposera un nouveau système de calcul dans un prochain arrêté.

Par contre, à l'instar de la Région flamande, les bourgmestres et échevins pourront obtenir une indemnité de sortie si leur mandat n’est pas renouvelé, ou en cas de démission pour raisons médicales. L’incapacité de travail de longue durée doit, dans ce cas, être prouvée par un certificat médical.

Enfin, le jeton de présence des conseillers communaux sera augmenté et oscillera entre 100 et 200 euros brut afin d'assurer une juste rétribution pour des séances de travail en conseil communal ou commission ainsi que leur préparation.

« Si le gouvernement à un accord politique sur ces 4 axes, aucun montant n’a encore été fixé. C’est notamment le cas du futur traitement des bourgmestres. Ceux-ci seront précisés dans les arrêtés d’exécution. Mais à ce stade, l’urgence est donnée à la revalorisation barémique des travailleurs des communes, qui reste ma priorité politique pour le moment. Les chiffres communiqués dans le journal l’Echo sont donc faux », insiste Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois des Pouvoirs Locaux. 


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Covid Safe Ticket : Il faut fixer des délais

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Covid Safe Ticket

Rappelons quelques chiffres pour éclairer la question de la mise en place du Covid Safe Ticket en Région bruxelloise. Si les cas confirmés de Covid 19 stagnent en Belgique, les admissions à l’hôpital sont quant à elles, en hausse de 12%. Il s’agit de l’évolution relative pour cette semaine du 2 au 8 septembre, comparée aux chiffres de la semaine précédente (source Sciensano).

En Région bruxelloise, le taux d’incidence est plus de deux fois supérieur !

La courbe relativement maîtrisée au niveau national doit malheureusement être considérée au regard de la situation particulière de Bruxelles où le taux d’incidence, c’est à dire le nombre de nouveaux cas diagnostiqués pour 100.000 habitants, est de 575 alors qu’il est de 241 au niveau national (source Sciensano – 14 derniers jours, arrêtés le 5/9/2021).

Avec 606.177 personnes vaccinées ce 9/9/2021, Bruxelles atteint tout juste un taux de 50% d’habitants vaccinés, alors que la moyenne nationale dépasse les 70%.

Il est normal, au vu de ces données, que tous les regards soient braqués sur la Région bruxelloise. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Le gouvernement bruxellois doit donc prendre des mesures pour endiguer la montée du taux de contamination et protéger sa population – 40% des lits en soins intensifs sont déjà occupés.

Le gouvernement bruxellois réunit les conditions nécessaires pour la mise en place du Covid Safe Ticket

L’instauration du Covid Safe Ticket doit être considérée comme un incitant et un moyen de protection dans certains contextes, comme les lieux de rassemblement et les espaces confinés et densément fréquentés.

Dans cette perspective, le Gouvernement bruxellois a approuvé ce 9 septembre 2021 l’avant-projet d’accord de coopération concernant le traitement des données liées au certificat COVID numérique de l’UE et au COVID Safe Ticket, le PLF et le traitement des données à caractère personnel des travailleurs salariés et des travailleurs indépendants vivant ou résidant à l’étranger qui effectuent des activités en Belgique.

De même, les travaux de préparation de l’ordonnance qui complètera le cadre juridique nécessaire à la mise en œuvre du Covid Safe Ticket ont été lancés. Les modalités d’application, notamment de détermination de leur périmètre (secteurs, conditions particulières, durée) seront donc fixées lors de l’adoption de l’avant-projet d’ordonnance en première lecture, eu égard à la situation épidémiologique et vaccinologique en Région bruxelloise.  

Face à la circulation du virus en Région bruxelloise, la fixation de délais et d’un cadre précis sont importants

Le travail est donc en cours pour aboutir à l’adoption d’un cadre juridique au plus tôt. L’ordonnance, comme l’accord de coopération, devront bien entendu être soumis au Conseil d’État et à l’Autorité de Protection des Données, avant d’être adopté en deuxième lecture au gouvernement et soumis au Parlement.

Le Ministre Bernard Clerfayt considère qu’«il est important de fixer des délais dans la gestion du processus engagé par le gouvernement, tant pour la finalisation du travail législatif, que pour la mise à disposition des outils ». « Les critères sanitaires, comme par exemple le taux d’incidence, établissant les conditions d’arrêt du Covid Safe Ticket, doivent eux aussi être déterminées dès à présent », estime Bernard Clerfayt.

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La Région veut aider les familles monoparentales

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Plan de soutien aux familles monoparentales

La Région de Bruxelles-Capitale compte sur son territoire près de 65.000 familles monoparentales. Dans ces familles, un seul revenu doit subvenir à l’ensemble des besoins du ménage, ce qui augmente le risque de paupérisation.

« A la tête des familles monoparentales, on retrouve dans la très grande majorité des cas, des mamans. Certaines mamans accèdent difficilement à un emploi leur permettant de faire vivre dignement leur famille. Il n’est pas toujours aisé non plus de concilier un travail ou le suivi d’une formation avec les obligations familiales […] » relève Bernard Clerfayt, Ministre de l’Emploi, de la Transition numérique et des Pouvoirs locaux.

Difficultés aggravées

La crise sanitaire renforce l’urgence d’une action en faveur des familles monoparentales. En effet, dans son rapport sur l’impact du Covid-19 sur les inégalités entre hommes et femmes paru en avril 2021, le Conseil bruxellois pour l’égalité entre les femmes et les hommes concluait que toutes les difficultés cumulées en temps normal par les familles monoparentales (temps par­tiels, revenus limités, problèmes de logement, non-paiement des contributions alimentaires, ...) se sont aggravées durant la crise, avec une diminution significative des revenus et un enfermement dans les charges familiales, parfois dans un logement inadapté à la réalité d’un confinement en famille.

Premier plan de soutien aux familles monoparentales

C’est pour répondre à ces difficultés que le gouvernement bruxellois a adopté ce jour son premier Plan de soutien aux familles monoparentales. Celui-ci inclut 31 mesures concrètes autour de 5 piliers d’action régionale : l’information, la formation et la sensibilisation ; l’accès à un logement de qualité ; la mise à l’emploi et l’accès à la formation professionnelle ; la politique de la ville et la mobilité.

Ce plan est piloté conjointement par le mi­nistre chargé de l’Emploi, la secrétaire d’État chargée de l’Égalité des chances et les interlocuteurs sociaux de Brupartners. Le travail d’élaboration du Plan s’est également articulé avec la préparation du plan Brussels Takes Care (Plan social-santé intégré) qui comprendra également une attention spécifique pour la monoparentalité.

Un soutien aux familles monoparentales qui s’inscrit dans une volonté politique cohérente

Précisons que le plan de relance prévoit 17 millions pour de nouvelles maisons d’enfants Actiris. Il y un an, Le Ministre Bernard Clerfayt prenait l’initiative de débloquer un budget de 60 millions pour soutenir les projets communaux en lien avec l’essor démographique, notamment pour le financement d’écoles et de crèches.

Cet automne verra revenir le Printemps Numérique

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Le printemps numérique aura lieu cet automne au Palais 11

Du vendredi 15 au dimanche 17 octobre 2021 inclus, Bruxelles accueillera une nouvelle fois le Printemps Numérique. L’événement entièrement gratuit se déroulera au palais 11 de Brussels Expo et mettra la créativité numérique à l’honneur. Un appel à projets est d’ailleurs lancé.

Des ateliers et créations numériques accessibles pour tous

Cette initiative s’inspire du Printemps Numérique de Montréal, partenaire de l’événement bruxellois. L’édition de cette année a été reportée à l’automne en raison des mesures sanitaires.

L’accès est entièrement gratuit. L’objectif du Printemps Numérique est de familiariser un maximum de personnes avec les différentes technologies et créations numériques. Pendant l’événement, les visiteurs peuvent découvrir de multiples expositions, ateliers et expériences numériques. Le Printemps Numérique s’adresse tant aux jeunes qu’aux moins jeunes.

le Printemps Numérique peut révéler les talents

« Le Printemps Numérique, c’est l’occasion de montrer tout ce qui se fait de mieux en matière de Smart City. Dans ce cadre, les services publics numériques n’ont pas à pâlir des projets qui ont été mis en œuvre ces dernières années, ceux-ci bénéficieront d’ailleurs d’un éclairage particulier durant l’événement. Mais le Printemps Numérique permet aussi de sensibiliser les citoyens à l’importance du numérique et qui sait de susciter des vocations. Car ces profils IT vont être de plus en plus recherchés sur le marché de l’emploi» déclare Bernard Clerfayt, Ministre de la Région de Bruxelles-Capitale chargé de la Transition numérique.

Le Printemps numérique est une organisation de visit.brussels et du CIRB pour la Région de Bruxelles-Capitale.