Soutien au secteur culturel

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Soutien au secteur culturel : le gouvernement bruxellois renouvelle ses aides

Hier lundi 12 octobre, le gouvernement bruxellois a renouvelé son soutien au secteur culturel. Une nouvelle prime de 2.000€ sera accordée aux 246 structures culturelles bénéficiaires de la première aide. Pour celles qui n’en auraient pas bénéficié, une demande peut être introduite auprès de Bruxelles Économie et Emploi. Elles percevront une prime de 4.000€.

« La culture, c’est tout ce qui fait que Bruxelles est Bruxelles. Il est important d’en soutenir les principaux acteurs, les structures mais aussi les travailleurs. J’espère que la prolongation de ces aides pourra être une nouvelle bouffée d’air frais leur permettant de développer leur créativité au profit de la culture bruxelloise », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

Le deuxième soutien au secteur culturel, lui aussi renouvelé

L’aide financière aux intermittents est aussi reconduite et les forfaits augmentés. Les montants sont établis selon leur situation. Les intéressés devront renouveler leur demande sur le site actiris.brussels. Voici les conditions d’octroi :

  • 2.000 € maximum pour les travailleurs ayant bénéficié entre le 1er juin et le 30 septembre 2020 de revenus s’élevant à maximum 3.000€ nets
  • 1.500€ maximum pour les travailleurs ayant bénéficié entre le 1er juin et le 30 septembre 2020 de revenus s’élevant à  maximum 4.000€ nets
  • 1.000€ maximum pour les travailleurs ayant bénéficié entre le 1er juin et le 30 septembre 2020 de revenus s’élevant à maximum 5.000€ nets

Dans le secteur culturel comme ailleurs, le travail à temps partiel et temporaire a des conséquences dramatiques dès lors qu’un ralentissement ou un arrêt de l’activité survient. Ces aides sont indispensables pour les intermittents du secteur culturel qui risquent de basculer dans la précarité.

Des aides vitales pour un secteur durement touché par la crise

Le secteur de la culture a été très fortement touché par la crise du coronavirus et en subit encore les conséquences aujourd’hui. Afin d’aider non seulement les structures du secteur mais également leurs travailleurs, le gouvernement bruxellois avait instauré, cet été, deux aides exceptionnelles.

Lors de la première mesure de soutien au secteur culturel, 1.572 décisions d’octroi ont été validées au bénéfice des intermittents, pour un montant total de 1.538.000€.

Quant aux 246 structures, elles ont pu bénéficier de la prime de 2.000€ pour un montant total de 492.000€.

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Covid-19 : La Région bruxelloise prolonge son soutien au secteur de la culture

Communiqué de presse

Le secteur de la culture a été très fortement touché par la crise du coronavirus et en subit encore les conséquences aujourd’hui. Afin d’aider non seulement les structures du secteur mais également leurs travailleurs, le gouvernement bruxellois avait instauré, cet été, deux aides exceptionnelles. Mais la crise sanitaire perdure, le gouvernement bruxellois a donc validé, lors de sa séance du 12 octobre, la prolongation de ses deux mesures. 

En juillet dernier, le gouvernement bruxellois était l’un des premiers à venir en aide au secteur de la culture, largement impacté par la crise du Covid-19. D’une part, les organisation culturelles et créatives ont pu bénéficier d’une prime régionale de 2.000€. Et, d’autre part, les travailleurs intermittents du secteur, ont pu jouir d’une aide allant jusqu’à 1.500€, plafonnée en fonction des revenus perçus. 

Pour la première prime, on recense 290 demandes effectuées auprès de l’administration et 246 structures ont pu bénéficier de la prime de 2.000€ pour un montant total de 492.000€.

Le gouvernement bruxellois a décidé d’octroyer automatiquement à ces 246 structures une nouvelle prime de 2.000€. Pour celles qui n’en auraient pas encore bénéficier, une demande peut être introduite auprès de Bruxelles Economie et Emploi et celles-ci percevront une prime de 4.000€.

En ce qui concerne la seconde prime, destinée à soutenir les intermittents du secteur de la culture risquant de tomber dans la pauvreté, on dénombre 1.572 décisions d’octroi pour un montant total de 1.538.000€.

Le gouvernement bruxellois a décidé de prolonger cette mesure et d’en augmenter les forfaits.

  • 2.000 € maximum pour les travailleurs ayant bénéficié entre le 1er juin et le 30 septembre 2020 de revenus s’élevant à maximum 3.000€ nets
  • 1.500€ maximum pour les travailleurs ayant bénéficié entre le 1er juin et le 30 septembre 2020 de revenus s’élevant à  maximum 4.000€ nets
  • 1.000€ maximum pour les travailleurs ayant bénéficié entre le 1er juin et le 30 septembre 2020 de revenus s’élevant à maximum 5.000€ nets

Toutefois, une demande devra être introduite sur le site actiris.brussels

« La culture, c’est tout ce qui fait que Bruxelles est Bruxelles. Il est important d’en soutenir les principaux acteurs, les structures mais aussi les travailleurs. J’espère que la prolongation de ces aides pourra être une nouvelle bouffée d’air frais leur permettant de développer leur créativité au profit de la culture bruxelloise », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

« En cette période difficile, la Région bruxelloise vient en soutien du secteur culturel et artistique parce qu’il est un des poumons de notre vie régionale. Sans ce secteur diversifié et foisonnant, notre ville pourrait perdre son âme. Par ces aides uniques en Belgique, nous prenons la mesure de ce que ces secteurs apportent à notre Région », explique Rudi Vervoort, Ministre-Président bruxellois.

« La culture est un élément crucial de notre société. La crise corona a fait des ravages parmi d'innombrables intermittents du secteur de la culture et organisations culturelles qui ne se sont pas livrés à des activités culturelles principalement à des fins commerciales. Des pigistes aux artistes individuels occasionnels, des musiciens, metteurs en scène, danseurs et chanteurs aux travailleurs auxiliaires du secteur culturel, ils représentent tous une partie essentielle de notre délicieuse mayonnaise culturelle bruxelloise. C'est pourquoi je suis satisfait de cette mesure d'aide », déclare Sven Gatz, ministre bruxellois du Budget.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45
Nancy Ngoma – Cabinet Vervoort – 0477 75 65 82
Eva Vanhengel – Cabinet Gatz – 0476 51 21 07

Les mesures pour l’emploi à Bruxelles

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Mesures pour l'emploi à Bruxelles

Comment réagir face à cette crise économique inédite, pour soutenir l’emploi ? Presque une gageure diront certains.

L’enjeu est pourtant essentiel pour l’emploi des Bruxellois touchés par la crise du Covid-19. C’est le moment de l’action, voilà le leitmotiv du Ministre de l’Emploi Bernard Clerfayt.

Pour les nouveaux chercheurs d’emploi, le facteur temps est en effet déterminant. Il faut leur permettre de rebondir le plus rapidement possible. Sans pour autant oublier tous les chercheurs d’emplois qui doivent continuer à bénéficier des accompagnements et des formations en cours. Mettre l’accent là où c’est nécessaire, sans hypothéquer les processus d’accompagnement en cours. Ce double objectif justifie l’échelonnement des mesures pour l’emploi à Bruxelles.

L’ensemble des mesures pour l’emploi à Bruxelles représente un effort important pour la Région. Le Ministre bruxellois veut cependant concerner tous les décideurs politiques : « nous mettons en place des solutions, mais sans un plan de relance fédéral à la hauteur de ceux des pays voisins et coordonné avec le plan européen, ces mesures ne peuvent porter tous les effets escomptés ». Pour chiffrer ces attentes, rappelons que l’Allemagne a un plan de relance à 135 milliards, la France à 100 milliards. Nous devrions avoir un plan de relance proportionnellement équivalent, soit d’un montant entre 17 et 18 milliards.

Le « Fonds Rebond » pour l’emploi à Bruxelles

Tout travailleur licencié dans le cadre d’une faillite bénéficiera d’un accompagnement en adéquation avec ses compétences. Objectif : orienter les travailleurs vers les secteurs les plus porteurs d’emploi, le domaine d’activité initial du travailleur ne devant pas être un frein. L’important travail de concertation avec les partenaires sociaux autour de la modélisation de ce dispositif devrait aboutir prochainement. Le « Fonds Rebond » sera rétroactif au 1/9/2020. Le budget de cette mesure est de 875.000 € en 2020. 3,5 millions € en 2021

Activa-19, la nouvelle aide à l’emploi pour les Bruxellois

Activa-19 sera opérationnelle dès le 1er janvier prochain. Ciblée et limitée dans le temps, elle est accessible pour tous les Bruxellois qui ont perdu leur emploi depuis le début de la crise, entre le 1er avril 2020 et le 31 mars 2021. Les jeunes sortis des études et inscrits comme chercheurs d'emploi, peuvent aussi activer la prime Activa-19.

Objectif : donner un avantage supplémentaire aux chercheurs d’emploi bruxellois. Voici les modalités d’octroi :

  • Les diplômés du secondaire ou en-deçà de cette certification activeront une prime d’embauche mensuelle de 800 € durant 6 mois, valable aussi pour les nouveaux inscrits sortant des études.
  • Les diplômés du supérieur activeront une prime d’embauche mensuelle de 500 €, également durant 6 mois.

Un budget de 30 millions est prévu en 2021 et de 15 millions en 2022.

Renforcer l’offre de formation

L’acquisition et le renforcement des compétences qu’elles soient linguistiques, numériques ou liés à un métier doit devenir un passage obligé pour les chercheurs d’emploi. Les chercheurs d’emploi seront invités à mettre à niveau leur compétences. Ils seront accompagnés pour cibler leur formation en fonction des besoins du marché du travail bruxellois. Voici les grands axes prioritaires :

  • Renforcer quantitativement et qualitativement l’offre de formation en présentiel et à distance (e-learning) en ciblant à la fois les chercheurs d’emplois et les travailleurs en chômage économique
  • Proposer des formations courtes liées directement à un métier en demande
  • Développer les outils techniques et pédagogiques liés à la formation à distance : contenus à forte valeur ajoutée, coaching et accompagnement
  • Assurer la gratuité des formations à distance pour les travailleurs en chômage économique

Le budget prévu pour cette mesure est de 900.000€ en 2020 et de 3.600.000€ en 2021.

Accompagnement renforcé

Les chercheurs d’emploi plus nombreux devront être accompagner. En parallèle, il faut continuer à digitaliser une partie des services d’Actiris tout en veillant à ne pas accentuer la fracture numérique. Pour faire face à cette évolution, 330.000 € sont alloués en 2020, 7.9 millions en 2021 et 8 millions en 2022

Remettre les indépendants qui ont dû renoncer à poursuivre leur activité sur les rails

Un indépendant bruxellois victime de faillite doit pouvoir réagir rapidement. Dès lors, entamer une nouvelle trajectoire professionnelle via le dispositif «Article 60» présente des avantages : accès au droit aux allocations de chômage, acquérir une nouvelle expérience professionnelle, bénéficier de formations spécifiques et adaptées au développement de ses compétences, bénéficier d’un accompagnement professionnel et social. 19 accompagnateurs référents seront financés et 300 postes d’emploi d’insertion seront financés. Le budget alloué à cette mesure est de 300.000 en 2020. 2,95 millions en 2021

Soutien au secteur social et de la santé

100 nouveaux postes ACS seront attribués aux secteurs socio-sanitaires pour une durée d'un an. Au-delà de ce terme, les ministres compétents pourront continuer à soutenir les structures concernées. Ces postes seront octroyées via un appel à projets. Le budget annuel alloué est de 4.550.000€.

Aides à l’autocréation d’emploi et aux coopératives d’activité

La Région bruxelloise dispose de deux mécanismes efficaces : la prime indépendant et les coopératives d’activités. La prime va être boostée et les montants augmentés dès le début 2021 avec effet rétroactif au 1/09/2020  :

  • 1250 € le premier mois
  • 1.000 € le second,
  • 750 € le troisième
  • 500 € les 3 derniers mois (au lieu de 250 les mois 5 et 6)

Les coopératives d’activités seront mobilisées pour accompagner les entrepreneurs ou indépendants victimes de faillite ou en mauvaise santé économique à la suite de la crise du Covid-19. Un accompagnement spécifique et sur mesure pourra être mis en place pour cibler leurs besoins en vue de développer une activité économique porteuse.

Pour accompagner les entrepreneurs en quasi faillite, la première coopérative de « repreneuriat » en Belgique sera mise en place. Cette structure vise à éviter la mise au chômage des entrepreneurs (et de leur personnel) à la suite d’une fin d’activité résultant de la crise Covid-19. La coopérative offrira du portage entrepreneurial aux entrepreneurs en difficulté importante, au stade de quasi faillite ou ayant dû cesser leur activité, dans le but de la relancer.  Ils pourront redémarrer leur activité dans cette entreprise mutualisée et ils bénéficieront de services divers tels que : comptabilité, communication, relance clients et contentieux, groupe de soutien inter-entrepreneurs, accompagnement personnel et au développement du projet, etc.

Le budget prévu pour cette mesure est de 140.000 € en 2020 et de 850.000 € en 2021.

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Actiris partenaire de Google pour faciliter la recherche d’emploi

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Actiris partenaire de Google pour faciliter les recherches d’emploi

Actiris s’engage, avec plusieurs opérateurs belges, dans un partenariat avec Google pour offrir aux chercheurs d’emploi des résultats de recherche plus pertinents et plus affinés.

D’ici quelques semaines, il sera plus facile de trouver les offres d’emploi qui correspondent mieux à la requête formulée dans le moteur de recherche Google. « Grâce au partenariat avec Google, non seulement Actiris renforce sa stratégie de transformation digitale mais renforce également le référencement de ses offres d’emplois et augmente ainsi leur visibilité auprès des chercheurs d’emploi. De quoi convaincre les employeurs, encore trop méfiants, de travailler avec Actiris pour leurs recrutements » précise le Ministre bruxellois de l’Emploi.

Comment ça marche ?

Toute personne à la recherche d’un poste vacant via Google Search trouvera d’ici quelques semaines un premier aperçu des offres d’emploi publiées sur les sites web des partenaires, dont Actiris, dans les résultats de la recherche. 

En cliquant sur l'un des résultats de la recherche, l'utilisateur reçoit des informations plus précises comme une description de l'entreprise et du poste

Les personnes qui souhaitent postuler seront ensuite redirigées vers le site web d’Actiris ou d’un autre partenaire et pourront y poser leur candidature. 

La nouvelle fonction de recherche d'emploi permet aux utilisateurs de faire des recherches en fonction du lieu, du secteur d'activité et du temps plein/temps partiel.

Pour rester informés des nouveaux postes vacants, les utilisateurs peuvent créer une notification par mail et enregistrer la recherche, y compris les paramètres de filtrage.

Visibilité accrue des offres d’Actiris sur Google

En optimisant le référencement de ses offres d’emploi d’Actiris sur Google, Actiris améliore leur visibilité. Simultanément, l’Office bruxellois de l’emploi améliore l’accès à ses propres services en ligne. Voilà deux effets favorables de ce partenariat avec Google, au bénéfice de tous les chercheurs d’emploi bruxellois. Alors que le nombre de chercheurs d'emplois est en hausse, il est important de faciliter la recherche sur Google pour que ceux-ci trouvent plus rapidement les employeurs qui recherchent des profils leur correspondant mieux.

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Territoires zéro chômeur : « Il faut d’abord conclure un accord de coopération avec le fédéral »

Extrait de presse
Territoires zéro chômeurs : Bernard Clerfayt estime qu'il faut conclure un accord avec le fédéral.

Extraits de l'article paru dans Le Soir du 11 septembre 2020

L’étude sur le coût des Territoires zéro chômeur de longue durée (TZCLD), Bernard Clerfayt (Défi) en fait une lecture propre.

[…] sur le plan économique, elle ne tient pas assez compte du besoin de formation de ces travailleurs, […]

[…] « Un emploi d’insertion coûte un peu moins de 40.000 euros par an et par personne », cite-t-il. « Un emploi dans les titres-services, moins de 30.000 euros.

[…] « Il me semble important de ne pas réinventer l’eau chaude », insiste Bernard Clerfayt. « Il faut tenir compte des mécanismes existants et bien affiner la formule. »

[…] « Il faut un accord de coopération avec le fédéral car celui-ci réaliserait une économie sur les allocations de chômage, il augmenterait ses recettes fiscales et diminuerait ses dépenses de soins de santé. Il faudrait donc que celui-ci accepte de maintenir l’allocation de chômage de la personne engagée afin de couvrir une partie de son salaire. »

24 heures climat : dénicher les pépites bruxelloises

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24 heures climat : Bernard Clerfayt invite les proteurs de projets à s'inscrire.

Le plan d’action défini par le Conseil européen en octobre 2014 est plus que jamais d’actualité. Il fixe à 40% au moins la réduction des émissions de gaz à effet de serre et vise à augmenter la part des énergies renouvelables et l’efficacité énergétique de 32 %.

Pour montrer comment ces priorités prennent forme, le studio bruxellois de la World Press Club Alliance for Climate permet aux porteurs de projets bruxellois qui s'inscrivent dans la lutte contre le réchauffement climatique, de valoriser leurs actions lors des 24 heures climat qui auront lieu ce vendredi le 23 octobre. L'événement bénéficiera d'une diffusion mondiale.

Inscrivez votre projet avant le 30 septembre pour les 24 heures climat

En vous inscrivant vous permettrez peut-être à votre activité ou projet de gagner en visibilité. Donnez une chance supplémentaire à votre entreprise, association ou administration communale ou régionale qui développe ou projette une ou des actions s’inscrivant dans la lutte contre le réchauffement climatique. Pour participer, complétez ce formulaire avant le 30 septembre. Votre proposition sera soumise au Comité de sélection spécifiquement organisé pour élire les projets bruxellois. A la clé, pour les projets retenus, des capsules vidéo seront réalisées par des professionnels.

Lutter contre le changement climatique grâce au numérique, et créer de l’emploi

Toutes les initiatives de terrain sont importantes pour atteindre les objectifs climat 2030. Qu’elles soient publiques ou privées, ou encore portées par des citoyens ou associations.

Pour le Ministre bruxellois Bernard Clerfayt, « il y va de la sauvegarde de conditions de vies durables pour tous. De plus, bon nombre de ces projets intègrent les technologies du numérique pour optimiser la production industrielle ou la consommation énergétique des bâtiments par exemple. Et la plupart d’entre eux génèrent des emplois durables et locaux ».

La Région bruxelloise doit valoriser ses nombreux atouts

Mobilité, économie circulaire, gestion des déchets, finance durable, qualité de l’air, gestion de l’eau, biodiversité, énergies ou construction basse énergie, législation environnementale, etc., les secteurs d’activité éligibles sont étendus. Bon nombre de secteurs sont concernés et Bruxelles regorge d’initiatives qui s’y développent.

S'agissant d'un événement bénéficiant d'une couverture médiatique mondiale, 24 heures climat est une belle opportunité pour la Région bruxelloise pour valoriser les savoir-faire et les initiatives qui émergent et grandissent sur son territoire. Pendant 24 heures, chaque fuseau horaire l’un après l’autre en donnera le live à différents clubs de presse.

Une initiative pour promouvoir la production créative et culturelle

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National Artist Supermarket

En 2019, l’événement bruxellois « National Artist Supermarket » avait réuni 10.000 passionnés d’art, nationaux et internationaux. Arts plastiques, mode, design, cinéma, gastronomie, édition, musique, arts numériques et performance, autant de disciplines représentées qui avaient permis aux exposants d’accroitre leur visibilité. Un bénéfice pour le secteur de la production créative

À voir en ligne et au cœur de la ville

L’asbl «Nationa(a)l» souhaite renouveler l’expérience cette année en développant une plateforme E-market, afin de compenser la limitation à 200 personnes présentes simultanément. Cette édition 2020 aura lieu du 10 au 20 décembre 2020, dans la nouvelle White Box d’exposition du FULL CIRCLE HOUSE, situé Chaussée de Vleurgat, 89 à 1050 Ixelles.

Un secteur créatif et créateur

L’importance de cet événement est évidente et renforcée en cette période de crise. Au-delà des avantages pour les créateurs exposants, soulignons que l’activité culturelle et créatrice en Région bruxelloise génère 11,5% de l’emploi. Les organisateurs font aussi remarquer la forte valeur ajoutée de la production artistique et culturelle qui en fait un secteur stimulant pour l’ensemble de l’économie régionale.

Pareil événement contribue également à l’image de Bruxelles, en faisant la promotion des savoir-faire et de la créativité́ artistique. En véhiculant un sentiment d’excellence à l’égard nos industries créatives, on favorise l’attractivité pour un tourisme qualitatif et on favorise la collaboration internationale.

Appel à contributions

«Nationa(a)l» veut aussi favoriser les habitudes de consommation locale en ouvrant ce supermarché artistique au cœur de Bruxelles. Les initiateurs estiment qu’en cette période de crise, la découverte de nouveaux créateurs nourrit nos imaginaires « pour amener la société à repenser le monde de demain ».

Les initiateurs font largement appel à tous les acteurs à prendre part à cette démarche. Le gouvernement bruxellois examine leur demande. Le secteur privé et pourquoi pas les particuliers sensibles aux difficultés que rencontrent aujourd’hui plus que jamais les artistes sont invités à participer pour que cet événement soit une réussite.

Plus d’informations sur le site des organisateurs : https://www.nationalstore.be