Vaccination : la Région aide les Bruxellois à s'inscrire sur Bruvax

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Pour s'inscrire plus facilement sur Bruvax

Jusqu’au 24 juin, des actions auront lieu dans les communes où le taux de vaccination est le plus faible. L’objectif est d’accompagner les Bruxellois moins habitués à l’utilisation d’Internet pour qu’ils puissent s’inscrire sur Bruvax. La Région bruxelloise veut ainsi garantir une égalité d’accès à la vaccination.

En effet, dès lors que l’inscription doit se faire via la plateforme en ligne Bruvax, se pose la question de l’accessibilité de cet outil numérique pour tous.

« On ne peut pas demander aux Bruxellois de s’inscrire sur Bruvax pour se faire vacciner sans mettre en place une structure capable de les aider pas à pas. Tout le monde ne peut malheureusement pas compter sur un proche pour lui venir en aide. Notre rôle est aussi d’accompagner ces publics » fait remarquer le Ministre de la Transition numérique Bernard Clerfayt.

Les Bruxellois entre de bonnes mains pour s’inscrire sur Bruvax

Les animateurs multimédia mobilisés pour l’occasion ont l‘avantage de bien connaître les difficultés rencontrées par les personnes pour s'inscrire sur Bruvax, et leurs besoins. Pédagogues, ils accompagneront les Bruxellois les plus éloignés du numérique en leur apportant une aide immédiate. Les participants seront aussi informés sur les possibilités offertes par les Espaces Publics Numériques (EPN) à Bruxelles.

Ces actions se dérouleront dans les communes où le taux de vaccination est le plus faible. C’est le cas de Saint-Josse, Saint-Gilles, la Ville de Bruxelles, Schaerbeek, Molenbeek et Koekelberg où les taux de vaccination des plus de 18 ans oscillent entre 23% et 31%.

Pour les jours à venir, voici les lieux de rendez-vous pour obtenir de l'aide pour s'inscrire sur Bruvax :

  • Jeudi 27/05 : Parvis Saint-Jean-Baptiste/Place Communale (8h-13h) - Molenbeek
  • Vendredi 28/05 : Place Henri Vanhuffel (10h à 17h) - Koekelberg
  • Samedi 29/05 : Place de la Monnaie (10h à 17h) - Bruxelles
  • Dimanche 30/05 : Marché du Midi (8h à 13h) - Saint-Gilles
  • Jeudi 03/06 : Place Saint-Josse/Rue des Deux-Églises (8h à 14h) - Saint-Josse
  • Vendredi 4/06 : Place Henri Vanhuffel (10h à 17h) - Koekelberg
  • Dimanche 6/06 : Marché du Midi (8h à 13h) - Saint-Gilles
  • Jeudi 10/06 : Parvis Saint-Jean-Baptiste/Place Communale (8h-13h) - Molenbeek
  • Jeudi 17/06 : Place Saint-Josse/Rue des Deux-Églises (8h à 14h) - Saint-Josse
  • Jeudi 24/06 : Parvis Saint-Jean-Baptiste/Place Communale (8h-13h) - Molenbeek

Une fracture protéiforme

« Cette nouvelle plateforme digitale peut mettre en difficulté de nombreuses tranches de la population : l’âge, le niveau d’étude, l’origine ethnique, un éventuel handicap sont autant de facteurs conduisant à la fracture numérique. À ces variables s’ajoutent des inégalités liées à l'accès à l'outil informatique et à une connexion internet ou bien liées à la connaissance de l'outil », rappelle Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la transition numérique, insiste le Ministre bruxellois.

La campagne de vaccination coûte

Extrait de presse

Extraits de l'article publié par La Capitale

[…] «L’estimation des frais liés à la vaccination qui a été réalisée lors de l’établissement du budget initial 2021 de la Cocom s’est révélée insuffisante », a expliqué le ministre bruxellois Bernard Clerfayt (DéFI), membre du Collège réuni de la Cocom chargé des Finances et du Budget, devant les députés en commission des affaires bicommunautaires générales.

[…] La stratégie de vaccination approuvée par le collège réuni le 11 mars 2021, sur base des dernières données,
prévoit un coût total de 124,321 millions d’euros

[…] Bernard Clerfayt a présenté donc présenté un projet d’ordonnance pour demander aux députés de valider la demande de 60.227.000 euros supplémentaires pour permettre à la campagne de vaccination de se poursuivre.

[…] Si la Cocom doit avancer les 124 millions, le remboursera une partie. « 80 % devraient être à termes couverts par le fédéral (99,5 millions) et 20 % par la Cocom (25 millions). Ce n’est qu’à l’issue de la campagne que nous aurons une répartition claire et complète du fédéral. Il faut maintenant anticiper certaines sommes, voilà pourquoi je vous demande d’inscrire cette somme au budget », a défendu le ministre. « On est vraiment dans une situation d’urgence, nous devons être certains de prévoir les moyens suffisant dans le cadre négocié avec le fédéral. »

[…] « Le budget de la Cocom va connaître temporairement un déficit de 16 millions puisqu’on estime notre part à 24 millions et on avait prévu 8 millions », a détaillé Clerfayt. « Mais ce montant devrait être à terme compensé par une recette qu’on ne connaît pas encore maintenant et qui viendra par le remboursement du fédéral d’une
partie de nos frais de la campagne de vaccination. »

[…] « On a une technique budgétaire qui est un peu moins rigoureuse que ce que nous faisons d’habitude. L’urgence nous impose de réclamer un peu plus de souplesse car c’est une cause collective que nous devons réussir ensemble», reconnaît Clerfayt.

 

Renolution permettra la création de milliers d'emplois

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Renolution : une stratégie de rénovation du bâti et une opportunité pour l'emploi en Région de Bruxelles-Capitale

D’ici 2024, ce sont plus de 350 millions d’euros publics qui seront investis dans la Stratégie Rénovation via des mesures de soutien pour toutes les Bruxelloises et tous les Bruxellois ! Cette stratégie Rénovation nous l’appelons désormais : la RENOLUTION ! Renolution est aussi une opportunité pour la création de milliers d'emplois.

Renolution.brussels, une révolution énergétique du bâti

Pour atteindre ses objectifs climatiques ambitieux, le Gouvernement bruxellois lance une alliance publique et privée pour le climat, pour l’emploi et pour alléger les factures énergétiques des Bruxelloises et des Bruxellois.

Dans le cadre de cette alliance, l’ensemble des acteurs travailleront ensemble pour concevoir, évaluer et faire évoluer les outils pour soutenir la RENOLUTION du bâti et en faire une opportunité environnementale, économique et sociale pour Bruxelles.

La Région bruxelloise s’est engagée, dans son Plan Energie-Climat, à approcher la neutralité carbone en 2050. Or, plus de la moitié des émissions bruxelloises de gaz à effet de serre proviennent de la consommation énergétique des bâtiments.

La Région a donc adopté sous la précédente législature une ambitieuse Stratégie de rénovation du bâti, mobilisant l’ensemble des outils publics, mais aussi privés. Cette RENOLUTION a pour objectif d’atteindre un niveau moyen de performance énergétique de 100kWh/m2/an pour les logements bruxellois et la neutralité énergétique des bâtiments tertiaires en 2050, soit une consommation moyenne divisée par 3 ou 4 par rapport à la situation actuelle. Sa mise en œuvre a démarré et elle va progressivement prendre de l’ampleur.

Renolution, c'est aussi la création de milliers d'emplois

« La stratégie de rénovation du bâti, en exigeant de renforcer les performances énergétiques des bâtiments, va permettre non seulement de maintenir l’emploi mais également d’en créer plusieurs milliers d’autres, tout en induisant des effets positifs sur l’économie bruxelloise. Cette stratégie demandera donc à la fois des professionnels bien formés et plus nombreux. On compte d’ailleurs, au mois de mars dernier, 4.980 chercheurs d’emploi bruxellois à la recherche d’un emploi dans le secteur de la construction. La stratégie de rénovation devrait leur permettre, peut-être moyennant une formation, de réintégrer prochainement le marché de l’emploi. C’est pourquoi, sous cette législature, nous inaugurerons un Pôle Formation-Emploi dédié aux métiers de la construction. Déjà baptisé Construcity.brussels, ce Pôle sera le trait d’union entre les services publics d’emploi et de formation, d’une part, et le secteur de la construction, d’autre part. L’objectif est de former non seulement les chercheurs d’emploi et les jeunes en alternance mais également les professionnels aux dernières techniques, et notamment celles du bâtiment durable. Construcity, ce n’est que du gagnant-gagnant ! » a déclaré Bernard Clerfayt, Ministre de l'Emploi et de la formation.

C’est un défi gigantesque et les pouvoirs publics souhaitent mobiliser toutes les forces vives pour y répondre ambitieusement. C’est aussi une opportunité dont Bruxelles doit récolter les fruits. La Région bruxelloise s’allie donc avec le secteur de la construction, le secteur financier, le secteur associatif et les interlocuteurs sociaux pour mettre en œuvre, tous ensemble, des solutions efficaces. RENOLUTION  exige une collaboration réunissant tous les secteurs privés et publics concernés par la rénovation énergétique du bâti bruxellois. Tous les enjeux de la rénovation y seront abordés : financement et fiscalité, simplification administrative et urbanistique, accompagnement, durabilité et économie circulaire, patrimoine et qualité architecturale, qualification des corps de métier, innovation, transition solidaire. Il est clair que cette dynamique suppose la formation des travailleurs aux nouvelles techniques de construction et à terme ce sont des milliers d'emplois qui sont concernés.

Le Gouvernement continuera donc à investir dans la formation des Bruxelloises et des Bruxellois aux métiers de la rénovation. La collaboration entre le secteur public et le secteur de la construction pour stimuler la formation et l’emploi est l’un des enjeux prioritaires de RENOLUTION. Construcity.Brussels, le Pôle Formation Emploi Construction sera officiellement créé avant l’été.

Une étude menée par Bruxelles Environnement estime d’ailleurs que les budgets prévus par cette RENOLUTION devraient mener à la création d’environ 8.000 emplois non-délocalisable à terme. Il est donc primordial de travailler avec le secteur pour qu’il puisse disposer de cette main d’œuvre à Bruxelles.

La simplification de l'accès aux primes est une étape indispensable

La RENOLUTION prévoit de premières obligations de rénovation à concrétiser dès 2030. Mais la Région ne prendra personne de court et mettra en place, en priorité, toutes les mesures de soutien et d’accompagnement pour que les candidats à la rénovation puissent anticiper. La mise en œuvre de cette mesure sera soigneusement étudiée : une attention toute particulière sera apportée au risque d’augmentation des prix de l’immobilier, un mécanisme de préfinancement sera préservé et renforcé; les revenus et le patrimoine des ménages seront pris en considération tant au regard des primes accordées que des travaux visés, etc. Ainsi la Région œuvre-t-elle à la mise en place d’une réforme globale du système des primes à la rénovation de l’habitat, des primes à l’embellissement des façades et des primes énergie, visant à simplifier davantage l’accès aux primes pour les Bruxelloises et Bruxellois.

Plus de 350 millions d’euros sont prévus d’ici 2024, et un guichet unique pour toutes les démarches

Le Gouvernement souhaite maintenir cette ambition et soutenir l’ensemble des Bruxelloises et des Bruxellois désireux de rénover leur bien. Il renforcera massivement l’accompagnement et les aides financières, en évoluant vers un guichet unique pour toutes les démarches de rénovation. Pour les citoyens, Homegrade fera office de référence. Plus de 350 millions d’euros sont prévus d’ici 2024 au budget pluriannuel du Gouvernement pour les différentes aides financière et outils d’accompagnement. Un budget qui augmentera d’année en année tout au long de la législature. Un geste fort à destination de tous ceux qui rénovent.

Dès le début de 2022, les primes à la rénovation et les primes énergie seront unifiées pour les propriétaires occupants. Ces primes à la rénovation « réformées » seront ensuite, sous certaines conditions, rendues accessibles aux propriétaires bailleurs, qui n’ont aujourd’hui accès qu’aux primes énergie.

Grâce à ces moyens, en 2021, le Gouvernement lancera aussi :

  • Pour les copropriétés – 55 % des logements bruxellois sont concernés : un accompagnement sur mesure, vu les spécificités des copropriétés
  • Pour les pouvoirs publics régionaux et communaux : RénoClick,un programme d’accompagnement et de financement, en collaboration entre Bruxelles Environnement et Sibelga ;
  • Le Renolab, qui permettra de tester des solutions innovantes d’accompagnement, de financement, des techniques de rénovation plus efficaces à Bruxelles, ... Place à l’innovation, indispensable pour atteindre les objectifs.

Baromètre des Ministres Bruxellois

Extrait de presse

Extrait de l'article de La Capitale

[…] Sur une échelle de 1 à 5, Bernard Clerfayt (Emploi) (2,9/5) et Sven Gatz (Finances) (2,7/5) affichent les meilleurs résultats. Tous les autres sont « recalés », avec moins de 50 % des points. […]

"Économiste et fier de l'être"

Extrait de presse
Oui au péage et au 30km/h à Bruxelles et à la taxe carbone

Extraits de l'article publié par 7Dimanche

«[…] Pour moi, être économiste n’est pas un gros mot. Je trouve que l’on n’a pas assez de culture économique. La juste compréhension des mécanismes économiques nous amènerait à prendre de meilleures décisions et qui seraient plus sociales.»

«La tarification routière intelligente à Bruxelles (le péage) est une réflexion économique. S’il y a autant d’embouteillages, c’est parce que, collectivement, les choix ne sont pas les bons. Si on pose un incitant prix en fonction des horaires, on résout le problème comme d’autres villes l’ont déjà fait.»

[…] «Je reste un grand défenseur de la taxe carbone. Je suis heureux que l’Europe l’ait inscrite dans son projet.»

Colloque sur l'état du secteur de la Musique organisé par les Octaves de la Musique

Extrait de presse
Le secteur de la musique entre précarité et solidarité

Extraits de l'article de BX1

« Si la crise du Covid a du positif, c’est dans la mise en place de liens forts entre les musiciens. On s’est intéressé aux métiers des autres », a pointé l’organisateur de festival Florent le Duc qui, avec 70 autres professionnels de la musique, a participé au Colloque que les Octaves de la Musique organisaient par zoom le 15 décembre au sujet de l’avenir du secteur musical sous Covid.

[…] « Ce qui complique la gestion politique », reconnaît Bernard Clerfayt, ministre bruxellois de l’emploi (DéFI), «c’est un manque de visibilité et de prévisibilité dans le chef de tous. La crise a révélé l’éclatement des statuts dans le milieu culturel. En période de crise, on ne peut pas réinventer quelque chose tout de suite, mais les partis s’y attèlent. Si les aides sont plus faibles à Bruxelles qu’ailleurs, c’est parce que la Région a moins de moyens. Mais on a pu aider les sans statuts et ce n’est pas fini ».

[…]

Lire l'article sur le site de BX1

SmartMove : une tarification kilométrique intelligente, et surtout plus juste

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SmartMove : une tarification kilométrique intelligente et surtout plus juste

Grâce à SmartMove la Région bruxelloise veut remplacer la taxe de circulation actuelle par une mesure plus juste, la tarification kilométrique intelligente.  L’objectif du gouvernement bruxellois est de mettre en place un outil indispensable à l’amélioration de la qualité de vie en ville. Cette fiscalité automobile calculée sur des données objectives, plus juste, plus proche des usages et des besoins de chacun est un levier indispensable pour décongestionner la ville et rendre nos rues et nos quartiers plus agréables, plus conviviaux.

Une première étape est franchie, place à la concertation

Pas question cependant d’imposer une solution conçue hors sol. Le modèle proposé par le gouvernement doit être rendu opérationnel progressivement, en concertation avec les partenaires sociaux du monde du travail et de l’entreprise. Concertation aussi avec le Fédéral et les autres Régions du pays, bien-sûr. L’objectif est d’activer SmartMove en 2022.

SmartMove, un modèle tourné vers l’avenir

Le modèle mis sur la table par le Gouvernement bruxellois est clairement orienté utilisateurs. Bruxellois, navetteurs, visiteurs, entrepreneurs, tous ont droit à une ville-région moderne dans laquelle on peut mieux circuler. Ce qui est bon pour Bruxelles est bon pour notre pays.

Pour atteindre ces objectifs, le modèle de tarification envisagé se base sur une utilisation adaptée et rationnelle de la voiture individuelle pour circuler en ville. Ainsi, pour réduire la pression automobile, il sera moins onéreux de circuler aux heures creuses, le soir ou le week-end et on paierait plus cher le kilomètre aux heures de pointe. Le coût au kilomètre est aussi modulé en fonction de la puissance du véhicule. C’est ce qu’on appelle la taxation kilométrique intelligente, déjà adoptée par de nombreuses villes européennes comme Stockholm, Londres ou Milan.

SmartMove, solution structurelle en réponse à des constats alarmants

La perte de temps par trajet est en moyenne de 45 minutes aujourd’hui, soit une perte de plus-values pour notre Région de plus d’un milliard d’euros. Les pires conséquences de cette situation sont d’ordre sanitaire : la mauvaise qualité de l’air est responsable aujourd’hui d’environ 1000 décès prématurés par an.

Pour une nouvelle gouvernance de la mobilité, au service de chacun

SmartMove va permettre une gestion plus rationnelle de la mobilité en Région bruxelloise. Une application mobile offrira la possibilité de connaître en temps réel le coût des déplacements effectués. A chaque moment l’utilisateur pourra prendre connaissance des alternatives à la voiture pour atteindre sa destination,  calculer l’impact sur la qualité de l’air, etc.

Les données récoltées par cette technologie et anonymisées vont permettre d’offrir aux Bruxellois des meilleurs services au profit de la mobilité, des entreprises directement concernées, de l’ensemble de l’activité économique et de la sécurité.

Les données en temps réel seront exploitées pour détourner la circulation en cas d’incidents ou de travaux, pour définir les meilleures emplacements pour les bornes Villo ou les places réservées aux voitures Cambio par exemple. Elles permettront de simuler l’impact de nouveaux aménagements de la circulation projetés et ainsi d’anticiper sur les décisions qui seraient inopportunes.

Les systèmes de navigation, les services de taxi et de livraison trouveront aussi avantage dans l’exploitation de ces données en améliorant la prédiction des embouteillages.

Pour Bernard Clerfayt, Ministre de la transition numérique, « Ces innovations technologiques placent les personnes au centre de la mobilité urbaine moderne. Les gens vont véritablement avoir la ville dans leur poche. Nous franchissons une étape supplémentaire dans la transformation de Bruxelles en Smart City. Avec SmartMove, Bruxelles est un pionnier mondial.

Pour l’économie et l’emploi

Aujourd’hui, avec la crise, il n’est pas question d’un impact négatif sur l’emploi. Une étude réalisée en novembre révèle une incidence à court terme quasi nulle sur l’emploi. Aucune des villes où un système similaire a été mis en place, ne se sont vidées de leurs entreprises.

La congestion automobile actuelle a un coût pour les entreprises, elle affecte leur rentabilité et donc leur capacité d’investissement et d’embauche. Il était indispensable de donner un nouvel élan à la mobilité dans la ville et de mettre fin à l’enlisement. « Quiconque veut faire des affaires en ville et peut se déplacer sans embouteillages, fait de meilleures affaires », conclut Bernard Clerfayt.