Paradigm sous le coup d’un audit et sa direction générale, d’une possible procédure disciplinaire

Communiqué de presse

Interrogé au Parlement bruxellois, Bernard Clerfayt, a annoncé avoir sollicité Sven Gatz, Ministre bruxellois de la Fonction publique, pour enclencher l'ouverture d'une action disciplinaire à l'encontre de la Direction générale de Paradigm, l’administration en charge de l’informatique régionale. 

Dépassements budgétaires, réorganisation potentiellement problématique, dépenses sponsoring suspectes et dépenses non pertinentes… Le cabinet du Ministre de la Transition numérique a été alerté à l’hiver dernier de possibles anomalies au sein de Paradigm, l’administration bruxelloise chargé de l’informatique.  

« A chaque fois qu’un élément a été porté à notre connaissance, nous avons interrogé la direction générale de Paradigm et demandé des explications claires et complètes », insiste le Ministre. 

Ainsi, en juillet dernier, constatant un report des dépenses de l’année 2022 à hauteur de 9,2 millions d’euros, le cabinet a émis des instructions visant à maîtriser la situation budgétaire.  

Après avoir eu connaissance d’une réorganisation interne en cours prévoyant, notamment, l'engagement de nouveaux directeurs, le cabinet a, en décembre 2023, donné pour instruction à la Direction générale de lui soumettre pour validation le projet de transformation interne ainsi que tout recrutement de personnel, compte tenu du moratoire décidé par le Gouvernement. 

Vu les enjeux budgétaires, le cabinet a demandé, en février dernier, la création d’une “Task Force Finance”, composée des fonctionnaires dirigeants, de membres du personnel, des syndicats et du cabinet. 

Le cabinet a également imposé le gel de toute activité de sponsoring et de partenariats et, exiger des détails concernant les principes qui ont guidé jusqu’ici les décisions de marketing, sponsorings et de partenariats et, de nous soumettre un projet de règlement permettant de baliser clairement de telles dépenses dans le futur.

« Conformément aux statuts administratif et pécuniaire des OIP, j’ai fait part au Ministre de la Fonction publique de certains faits susceptibles d'enclencher l'ouverture d'une action disciplinaire à l'encontre de la Direction générale », conclut le ministre Clerfayt. 

 

Parallèlement, une demande d'audit a été lancée auprès du comité d'audit régional indépendant afin d'aider Paradigm à remplir ses objectifs de la manière la plus efficiente et efficace possible. 

Plus d’infos ? 

Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Paradigm : « Si les faits dénoncés sont exacts, je prendrai les mesures qui s’imposent »

Communiqué de presse

Un article du journal Le Soir de ce vendredi 12 avril décrit de possibles dysfonctionnements au sein de Paradigm, l’administration bruxelloise en charge de l’informatique. « Si les faits dénoncés sont exacts, je prendrai les mesures qui s’imposent », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique. 

Dépassements budgétaires, réorganisation problématique, sponsoring suspects… Le cabinet du Ministre de la Transition numérique a été alerté à l’hiver dernier de possibles anomalies au sein de Paradigm, l’administration bruxelloise en charge de l’informatique.  

« Dès connaissance de certains éléments, nous avons interrogé la direction générale de Paradigm et demandé des explications claires et complètes », insiste le Ministre. 

Ainsi, en juillet dernier, constatant une sous-évaluation des dépenses de l’année 2022 à hauteur de 9,2 millions d’euros, le cabinet a émis des instructions visant à maîtriser la situation budgétaire.  

Après avoir eu vent du lancement d’une réorganisation interne prévoyant, notamment, l’engagement de nouveaux directeurs, le cabinet a, en décembre 2023, donné pour instruction à la Direction générale de lui soumettre pour validation le projet de transformation interne ainsi que tout recrutement de personnel, compte tenu du moratoire décidé par le Gouvernement. 

Vu les enjeux budgétaires, le cabinet a demandé, en février dernier, la création d’une “Task Force Finance”, composée des fonctionnaires dirigeants, de membres du personnel, des syndicats et du cabinet. 

Enfin, le cabinet a également imposé le gel de toute activité de sponsoring et de partenariats et exigé des détails concernant les principes qui ont guidé jusqu’ici les décisions de marketing, sponsorings et de partenariats de même que de nous soumettre un projet de règlement permettant de baliser clairement de telles dépenses dans le futur.

« Nous suivons la situation de très près. Et si les faits dénoncés sont avérés, je prendrai les mesures qui s’imposent. En attendant, nous avons déjà pris des mesures conservatoires pour éviter tout nouveau développement », conclut le ministre Clerfayt. 

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Bernard Clerfayt lance la Bibliothèque du Savoir Public

Actualité
Bernard Clerfayt lance la Bibliothèque du Savoir Public, actuellement disponible sur Openbudgets.brussels

Dans sa déclaration de politique générale, le gouvernement bruxellois a annoncé vouloir créer la Bibliothèque du Savoir Public, en vue de faire la publicité des études réalisées pour le compte des institutions de la Région. Voilà qui est fait !

Après avoir lancé openbudget, qui met à nu toutes les dépenses bruxelloises sur un seul site, après avoir lancé la stratégie web régionale, pour passer de 250 sites régionaux à 13 portails, Bernard Clerfayt, Ministre de la Transition numérique, lance la Bibliothèque du Savoir Public

Simplifier et rendre plus accessible

A terme, la Bibliothèque du Savoir Public, rassemblera sur le portail be.brussels, toutes les études réalisées pour le compte d’une administration bruxelloise. « Comme à chaque fois, j’agis là où je peux pour simplifier la lasagne institutionnelle bruxelloise rendre les informations publiques et accessibles », souligne Bernard Clerfayt.

En répertoriant à un seul endroit et gratuitement, l’inventaire des différentes études réalisées et les études elles-mêmes, la Bibliothèque du Savoir Public

poursuit un triple objectif :

  • Favoriser le partage de connaissances avec le monde académique, les étudiants, les entreprises et les citoyens de manière générale.
  • Constituer une source d’information fiable
  • Améliorer la qualité des services publics

De quoi s’agit-il ? Quelles études ?

Par étude, il faut comprendre tous les travaux de recherche, de mise au point d’une question, d’un projet, réalisés par des experts sur une thématique précise. Par exemple, une recherche sur les revenus que pourrait générer un péage urbain, une analyse de la qualité de l’air ou encore une étude sur le système des titres-services.

En plus d’un accès aux études (qui auront été anonymisées et respecteront le RGPD), l’administration commanditaire, la date de publication mais aussi le coût sont clairement indiqués.

Transparence et utilité publique

« Publicité, sauvegarde du peuple ! Autrement dit, le droit de savoir est un des garants de notre démocratie. Dès lors qu’on utilise de l’argent public pour mener une étude, il faut une transparence complète. Nos administrations regorgent de littératures plus passionnantes les unes que les autres. Les mettre à la disposition du grand public, c’est d’utilité publique »,conclut le Ministre amarante.

Lien utile :

Ceci peut aussi vous intéresser :

Les études des administrations disponibles sur internet !

Communiqué de presse

Dans sa déclaration de politique générale, le gouvernement bruxellois a annoncé vouloir créer la Bibliothèque du Savoir Public, en vue de faire la publicité des études réalisées pour le compte des institutions de la Région. Voilà qui est fait !

Après avoir lancé openbudget, qui met à nu toutes les dépenses bruxelloises sur un seul site, après avoir lancé la stratégie web régionale, pour passer de 250 sites régionaux à 13 portails, Bernard Clerfayt, Ministre de la Transition numérique, lance la Bibliothèque du Savoir Public.

A termes, la Bibliothèque du Savoir Public, rassemblera sur le portail be.brussels, toutes les études réalisées pour le compte d’une administration bruxelloise. « Comme à chaque fois, j’agis là où je peux pour simplifier la lasagne institutionnelle bruxelloise rendre les informations publiques et accessibles », souligne Bernard Clerfayt.

En répertoriant à un seul endroit et gratuitement, l’inventaire des différentes études réalisées et les études elles-mêmes, la Bibliothèque du Savoir Public poursuit un triple objectif :

  • Favoriser le partage de connaissances avec le monde académique, les étudiants, les entreprises et les citoyens de manière générale.
  • Constituer une source d’information fiable
  • Améliorer la qualité des services publics

Par étude, il faut comprendre tous les travaux de recherche, de mise au point d’une question, d’un projet, réalisés par des experts sur une thématique précise. Par exemple, une recherche sur les revenus que pourrait générer un péage urbain, une analyse de la qualité de l’air ou encore une étude sur le système des titres-services.

En plus d’un accès aux études (qui auront été anonymisées et respecteront le RGPD), l’administration commanditaire, la date de publication mais aussi le coût sont clairement indiqués.

« Publicité, sauvegarde du peuple ! Autrement dit, le droit de savoir est un des garants de notre démocratie. Dès lors qu’on utilise de l’argent public pour mener une étude, il faut une transparence complète. Nos administrations regorgent de littératures plus passionnantes les unes que les autres. Les mettre à la disposition du grand public, c’est d’utilité publique »,conclut le Ministre amarante.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Les appels à projets digital.brussels

Extrait de presse
Extrait de presse, BX1 : "Six projets obtiennent un soutien financier pour renforcer les compétences numériques des Bruxellois".

Extraits de l'article publié par BX1 :

En juillet dernier, Bernard Clerfayt (DéFI), ministre de la Transition numérique, a lancé un nouvel appel à projets “Digital.Brussels”. Au total, six projets ont été sélectionnés, pour un montant de 250.000€.

Lire l'article publié par BX1

Marchés publics bruxellois : 38% des factures sous format électronique

Communiqué de presse

En novembre 2020, le gouvernement bruxellois a rendu l’usage de la facture électronique obligatoire pour tout marché public passé par les administrations régionales bruxelloises. Résultat : le format électronique continue sa progression et concerne 38% des factures.

Simplicité et modernité sont les maîtres-mots qui ont guidé le projet du Ministre bruxellois de la Simplification administrative, Bernard Clerfayt, de généraliser l’usage de la facturation électronique.

Fini le papier ou l’email, depuis le 1er novembre 2020, seules les factures sous format électronique structuré (XML) sont acceptées pour tous les marchés publics passés par les administrations et les organisations publiques bruxelloises.

Une mesure qui simplifie non seulement le quotidien des administrations mais également de leurs fournisseurs.

Outre les économies qu’elle permet de réaliser, la facturation électronique assure également un gain en efficacité et en transparence et permet de réduire les délais de traitement et donc de paiement des factures, élément particulièrement important pour les petites entreprises qui seront plus enclines à répondre à des marchés publics.

« Au début de la législature, 6% des factures étaient électroniques. En 2023, on constate que 38% des factures ont été réceptionnées au format électronique. C’est un très bel exemple de réussite en matière de simplification administrative. D’autant que les avantages sont nombreux car la facturation électronique, c’est 5,50€ d’économie pour les administrations et 1€ pour les entreprises », déclare Bernard Clerfayt.

Le nombre total de factures électroniques reçues par les administrations régionales bruxelloises est passé de 1.316 en 2020 à plus de 38.000 en 2023.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

250.000€ pour renforcer les compétences numériques des Bruxellois

Communiqué de presse

En juillet 2023, le Ministre bruxellois de la Transition numérique, Bernard Clerfayt, avait lancé, à travers Paradigm, un nouvel appel à projets « Digital.Brussels ». Soutenir les publics les plus éloignés du numérique, permanences informatiques dans les quartiers, sensibilisation aux médias, ateliers didactiques… Au total, six projets ont été sélectionnés pour un montant total de 250.000€. 

En Région bruxelloise, 40% de la population, soit plus de 300.000 Bruxellois entre 16 et 74 ans, se trouvent en situation de vulnérabilité numérique. « Le numérique pour tous », c’est plus qu’un slogan, c’est un objectif pour Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique. 

« Un mur est en train de s’installer entre les personnes qui maîtrisent le numérique et les autres. Rendre le numérique accessible à tous pour contribuer à une meilleure intégration sociale et économique, c’est une question de solidarité numérique », indique Bernard Clerfayt. 

Pour améliorer les compétences numériques des Bruxellois, Paradigm, sous l’impulsion du ministre bruxellois de la Transition numérique, a lancé une nouvelle édition de l’appel à projets « Digital.Brussels ».

Au total, 6 projets ont été sélectionnés et bénéficient d’un soutien financier allant de 30.000 à 60.000 euros. Tous ces projets promeuvent un meilleur accès, un renforcement des compétences et l’utilisation des outils numériques. Ces initiatives s’adressent aux publics les plus éloignés du numérique, qui ne fréquentent ni les espaces numériques ni les structures proposant un accès et des formations aux outils numériques.

  • L’asbl ARA, avec le projet « A digital Home », qui permet aux personnes sans-abri de se familiariser avec le numérique. [56 904 €]
  • La Croix-Rouge de Belgique, avec le projet « Ensemble, Tous Connectés », qui s’appuiera sur ses bénévoles pour apporter une aide à domicile aux personnes en situation d’inégalité numérique. [11 015 €]
  • Habitat & Rénovation, avec le projet « De la maison à l'espace numérique », visant à fournir une aide à domicile et à organiser des permanences d’informaticiens publics. [59 970 €]
  • Le CPAS de Schaerbeek, avec le projet « De l’accueil vers l’accompagnement numérique », qui comprend l’organisation de permanences d'informaticiens publics afin d’accompagner les bénéficiaires selon leurs besoins. [40 100 €]
  • Arts&Publics, avec le projet « XPlay », qui utilise les jeux vidéo pour éveiller l'intérêt des jeunes pour l’informatique. Ce projet cible les jeunes de 15 à 25 ans, les femmes, les publics précarisés et les MENA (mineurs étrangers non accompagnés) . [36 450 €]
  • L’Atelier du web, avec le projet « Les Cordonniers du Web : vers une autonomie numérique », qui renforcera ses équipes de formateurs et l’aide apportée dans son cyberespace.  [46 000 €].

« Cette subvention va donner un coup de pouce à ces associations qui exercent une mission essentielle ! Leur proximité avec le public permet de mener des actions ciblées pour gommer les inégalités numériques », conclut le Ministre amarante. 

Plus d'infos ? 
Pauline Lorbat- 0485 89 47 45