FixMyStreet a 10 ans et totalise plus de 400.000 signalements

Extrait de presse
Fixmystreet dépasse la barre des 400.000 incidents signalés à Bruxelles en 10 ans

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure

La plateforme de signalement des dégradations de l'espace public FixMyStreet, active depuis 10 ans en région bruxelloise, compte désormais 435.441 signalements encodés, indique mercredi un communiqué du cabinet du ministre bruxellois de la Transition numérique, Bernard Clerfayt.

[…] Ce sont les incidents liés à la propreté publique qui sont les plus nombreux à être recensés: 51.534 en 2022 et 222.405 en 10 ans, selon FixMyStreet. Ils sont suivis par ceux liés à la voirie, 16.293 en 2022 et 93.715 sur 10 ans. […]

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Pour ses 10 ans, FixMyStreet dépasse les 400.000 incidents signalés

Actualité
FixMyStreet, un moyen rapide et facile de signaler un problème constaté en rue

Dépôt clandestin, tags, véhicule abandonné, trottoir endommagé… Malheureusement, les dégradations de l’espace public sont nombreuses. Une solution simple pour que le problème soit rapidement signalé et traité : FixMyStreet. Après 10 ans d’existence, la plateforme s’est imposée auprès des Bruxellois désireux d’améliorer la vie en ville !

Il suffit de partager une photo

Développé et géré par Paradigm (opérateur informatique de la Région bruxelloise), FixMyStreet permet aux Bruxellois de signaler rapidement des incidents qui ont lieu dans l’espace public. La démarche est simple : il suffit de prendre une photo de l’incident et de la partager via le site web ou l’application mobile.

Depuis 10 ans, la plateforme a séduit de nombreux utilisateurs

« Problème d’éclairage public avenue de la Reine à Schaerbeek », voici le tout premier incident signalé par un citoyen sur FixMyStreet en mars 2013. En 10 ans, 435.440 autres signalements ont été encodés sur la plateforme dont 247.612 par des citoyens et 199.305 par des professionnels (agents de quartier, gardiens de la paix, etc.). Certains incidents pouvant être signalés par plusieurs utilisateurs.

Le nombre de signalements effectués sur FixMyStreet est d’ailleurs en croissance constante depuis 2013. Si on comptait à peine 6.997 incidents encodés en 2013, ce chiffre grimpe à 97.123 pour l’année 2022, soit une augmentation de 28% par rapport à 2021.

« Je me réjouis que FixMyStreet soit un véritable succès de foule. Celui-ci est assez logique : simplicité, rapidité, suivi… les avantages sont nombreux. FixMystreet est le parfait exemple de ce que la technologie peut apporter pour améliorer le quotidien des Bruxellois », commente Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique.

D’abord la propreté

Sans surprise, ce sont les incidents liés à la propreté publique qui tiennent le haut du panier et sont les plus nombreux à être recensés : 51.534 en 2022 et 222.405 en 10 ans. Ils sont suivis par ceux liés à la voirie, 16.293 en 2022 et 93.715 sur 10 ans.

Par ailleurs, si lors de son lancement, seul 1% des signalements était effectué via l’application. Aujourd’hui, 8 signalements sur 10 sont réalisés sur l’app.

FixMyStreet s’améliore encore

Dans un souci d’amélioration continue, FixMyStreet connaîtra pour ses 10 ans quelques évolutions. Les citoyens pourront retrouver un historique de tous les signalements effectués. De quoi leur permettre de les mettre à jour, de les renforcer ou tout simplement de les partager. Il sera également possible de voir en temps réel, grâce à une carte, les incidents signalés à proximité afin d’éviter les doublons.

Pour ses 10 ans, FixMyStreet dépasse la barre des 400.000 incidents signalés

Communiqué de presse

Dépôt clandestin, tags, véhicule abandonné, trottoir endommagé… Malheureusement, les dégradations de l’espace public sont nombreuses. Une solution simple pour que le problème soit rapidement signalé et traité : FixMyStreet. Après 10 ans d’existence, la plateforme s’est imposée auprès des Bruxellois désireux d’améliorer la vie en ville !

« Problème d’éclairage public avenue de la Reine à Schaerbeek », voici le tout premier incident signalé par un citoyen sur FixMyStreet en mars 2013. En 10 ans, 435.440 autres signalements ont été encodés sur la plateforme dont 247.612 par des citoyens et 199.305 par des professionnels (agents de quartier, gardiens de la paix, etc.). Certains incidents pouvant être signalés par plusieurs utilisateurs.  

Développé et géré par Paradigm (opérateur informatique de la Région bruxelloise), FixMyStreet permet aux Bruxellois de signaler rapidement des incidents qui ont lieu dans l’espace public. La démarche est simple : il suffit de prendre une photo de l’incident et de la partager via le site web ou l’application mobile.

Et depuis 10 ans, la plateforme a séduit de nombreux utilisateurs. Le nombre de signalements effectués sur FixMyStreet est d’ailleurs en croissance constante depuis 2013. Si on comptait à peine 6.997 incidents encodés en 2013, ce chiffre grimpe à 97.123 pour l’année 2022, soit une augmentation de 28% par rapport à 2021.

Sans surprise, ce sont les incidents liés à la propreté publique qui tiennent le haut du panier et sont les plus nombreux à être recensés : 51.534 en 2022 et 222.405 en 10 ans. Ils sont suivis par ceux liés à la voirie, 16.293 en 2022 et 93.715 sur 10 ans.

Par ailleurs, si lors de son lancement, seul 1% des signalements était effectué via l’application. Aujourd’hui, 8 signalements sur 10 sont réalisés sur l’app.

« Je me réjouis que FixMyStreet soit un véritable succès de foule. Celui-ci est assez logique : simplicité, rapidité, suivi… les avantages sont nombreux. FixMystreet est le parfait exemple de ce que la technologie peut apporter pour améliorer le quotidien des Bruxellois », commente Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique.

Dans un souci d’amélioration continue, FixMyStreet connaîtra pour ses 10 ans quelques évolutions. Les citoyens pourront retrouver un historique de tous les signalements effectués. De quoi leur permettre de les mettre à jour, de les renforcer ou tout simplement de les partager. Il sera également possible de voir en temps réel, grâce à une carte, les incidents signalés à proximité afin d’éviter les doublons.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

102.000 nouveaux utilisateurs IRISbox en 2022

Actualité
IRISbox

Acte de naissance, composition de ménage, demande de primes… Le guichet électronique de la Région bruxelloise IRISbox, permet aux citoyens d’effectuer une série de démarches administratives en ligne. En 2022, la plateforme a attiré 491.813 utilisateurs dont 102.000 nouveaux.

Grâce à IRISbox, des services plus accessibles, des délais plus courts

IRISbox, c’est la plateforme en ligne de la Région bruxelloise qui propose des services régionaux et locaux 24/7. Elle permet de réduire l’affluence dans les services administratifs bruxellois mais également d’accélérer les délais des démarches et de délivrance des documents.

En 2022, on comptabilise 491.813 utilisateurs d’IRISbox dont 102.556 nouveaux. Ensemble, ils ont effectué plus de 719.000 démarches administratives. Les formalités les plus plébiscitées sont la composition de ménage, le certificat de résidence principal et l’acte de naissance.

Une palette de démarches toujours mieux fournie

Afin de continuer à simplifier la vie des Bruxellois, la plateforme s’enrichit chaque année de nouvelles démarches. En 2022, plusieurs formalités ont été ajoutées : demande de primes Bruxell’Air ou Rénolution, obtention d’un nouveau modèle d’extrait de casier judiciaire ou encore demande d’autorisation d’occuper temporairement la voirie (Jette). 

En 2023, il sera possible d’inscrire des baux locatifs, d’effectuer des demandes d’accès aux bornes électriques ou de soumettre une demande de renseignements urbanistiques.

Garantir l’accès à tous les Bruxellois qui le souhaitent

« IRISbox cadre parfaitement avec mon objectif de faire évoluer la Région bruxelloise vers une Région connectée. Le numérique permet de rendre l’administration plus moderne, plus simple, plus efficace, plus accessible. C’est pourquoi je souhaite, avec mon projet Bruxelles Numérique, offrir le droit à tous les Bruxellois d’effectuer leurs démarches administratives en ligne s’ils le souhaitent », commente Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique et de la Simplification administrative.

Les utilisateurs d’IRISbox

Les utilisateurs proviennent de toutes les tranches d’âge mais on observe une part plus importante des 25 à 34 ans et 35 à 44 ans qui représentent chacun d’eux 23% du total. Le nombre d’utilisateurs de plus de 65 ans reste, quant à lui, le même que l’année précédente soit 13%. 

Pour ce qui est du support choisi pour effectuer ces démarches en ligne, 50% des utilisateurs ont employé un ordinateur pour se connecter, 49% un smartphone, et 1% une tablette.

Aussi à propos des pouvoirs locaux en Région bruxelloise :

102.000 nouveaux utilisateurs d’IRISbox en 2022

Communiqué de presse

Acte de naissance, composition de ménage, demande de primes… Le guichet électronique de la Région bruxelloise IRISbox, permet aux citoyens d’effectuer une série de démarches administratives en ligne. En 2022, la plateforme a attiré 491.813 utilisateurs dont 102.000 nouveaux.

IRISbox, c’est la plateforme en ligne de la Région bruxelloise qui propose des services régionaux et locaux 24/7. Elle permet de réduire l’affluence dans les services administratifs bruxellois mais également d’accélérer les délais des démarches et de délivrance des documents.

En 2022, on comptabilise 491.813 utilisateurs d’IRISbox dont 102.556 nouveaux. Ensemble, ils ont effectué plus de 719.000 démarches administratives. Les formalités les plus plébiscitées sont la composition de ménage, le certificat de résidence principal et l’acte de naissance.

Afin de continuer à simplifier la vie des Bruxellois, la plateforme s’enrichit chaque année de nouvelles démarches. En 2022, plusieurs formalités ont été ajoutées : demande de primes Bruxell’Air ou Rénolution, obtention d’un nouveau modèle d’extrait de casier judiciaire ou encore demande d’autorisation d’occuper temporairement la voirie (Jette). 

En 2023, il sera possible d’inscrire des baux locatifs, d’effectuer des demandes d’accès aux bornes électriques ou de soumettre une demande de renseignements urbanistiques.

« IRISbox cadre parfaitement avec mon objectif de faire évoluer la Région bruxelloise vers une Région connectée. Le numérique permet de rendre l’administration plus moderne, plus simple, plus efficace, plus accessible. C’est pourquoi je souhaite, avec mon projet Bruxelles Numérique, offrir le droit à tous les Bruxellois d’effectuer leurs démarches administratives en ligne s’ils le souhaitent », commente Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique et de la Simplification administrative.

Les utilisateurs proviennent de toutes les tranches d’âge mais on observe une part plus importante des 25 à 34 ans et 35 à 44 ans qui représentent chacun d’eux 23% du total. Le nombre d’utilisateurs de plus de 65 ans reste, quant à lui, le même que l’année précédente soit 13%. 

Pour ce qui est du support choisi pour effectuer ces démarches en ligne, 50% des utilisateurs ont employé un ordinateur pour se connecter, 49% un smartphone, et 1% une tablette.

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Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Numérisation des services publics : le gouvernement reçoit les travailleurs sociaux

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Le gouvernement bruxellois rencontre les travailleurs sociaux à propos de la numérisation des services publics

À l’initiative de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique, le gouvernement bruxellois a reçu une délégation de travailleurs sociaux désireux de faire entendre leur voix contre la numérisation des services publics bruxellois.

Droits des citoyens et numérisation des services publics

Depuis l’automne dernier, plusieurs associations bruxelloises questionnent les principes du projet « Bruxelles Numérique » que prépare le Gouvernement bruxellois. Ce dernier a pour objectif d’encadrer le développement des applications numériques dans les administrations publiques bruxelloises et de créer de quatre droits pour les Bruxellois : le droit d’effectuer toutes ses démarches administratives en ligne si on le souhaite, le droit de se faire accompagner pour ses démarches administratives en ligne si on en éprouve le besoin, le droit de disposer de démarches numériques accessibles aux personnes porteuses de handicap et enfin, le droit d’avoir accès à des alternatives à la démarche en ligne.

Des garanties en plus

Les acteurs du secteur craignent le développement des inégalités numériques entre ceux qui en maîtrisent l’usage et les autres. « C’est le contraire de notre démarche », répond Bernard Clerfayt. « Ce projet d’ordonnance ne va pas supprimer les guichets physiques. Il vise à garantir l’accès au numérique pour ceux qui le souhaitent et ils sont environ 85% de Bruxellois, selon le baromètre de la Fondation Roi Baudouin. Mais il porte surtout une attention inédite à ceux qui éprouvent des craintes ou des difficultés à utiliser les nouvelles technologies grâce à un accompagnement et à la mise en place d’alternatives au numérique », détaille le Ministre amarante.

Simplifier et automatiser l’accès aux droits

L’ensemble du gouvernement bruxellois a reçu une délégation de travailleurs soucieux d’assurer l’accès aux services publics à tous les Bruxellois dans le cadre de la numérisation des services publics. Le gouvernement a ainsi rappelé que le numérique simplifie les démarches de nombreux citoyens, accélère le traitement des leurs demandes et améliore l’automaticité des droits et que son développement devait recevoir un encadrement pour plus d’égalité.

Universalité, inclusivité, accessibilité et maintien des alternatives

Et simplifier la vie des Bruxellois grâce au numérique, c’est possible. La Région l’a d’ailleurs déjà fait, grâce à l’ordonnance « Once Only ». Celle-ci garantit au citoyen le droit de ne pas devoir fournir des informations dont l’administration dispose déjà ou dont elle peut disposer (via des sources authentiques), un vrai allégement de la charge administrative et donc une facilitation de l’accès aux droits.

« Ne pas développer les services numériques en ligne serait priver de ce droit les Bruxellois qui en maîtrisent l’usage. Ne pas accompagner les personnes qui ne maîtrisent pas (encore) cet outil serait les priver des avantages qu’il peut procurer », conclut Bernard Clerfayt.

Bernard Clerfayt déposera prochainement un texte visant l’encadrement du développement du numérique dans les administrations publiques bruxelloises selon les quatre principes rappelés ci-dessus : l’universalité, l’inclusivité, l’accessibilité et le maintien des alternatives.

Le gouvernement bruxellois reçoit les travailleurs sociaux autour de la question de la numérisation des services publics

Communiqué de presse

A l’initiative de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique, le gouvernement bruxellois a reçu une délégation de travailleurs sociaux désireux de faire entendre leur voix contre la numérisation des services publics bruxellois.

Depuis l’automne dernier, plusieurs associations bruxelloises questionnent les principes du projet « Bruxelles Numérique » que prépare le Gouvernement bruxellois. Ce dernier a pour objectif d’encadrer le développement des applications numériques dans les administrations publiques bruxelloises et de créer de quatre droits pour les Bruxellois : le droit d’effectuer toutes ses démarches administratives en ligne si on le souhaite, le droit de se faire accompagner pour ses démarches administratives en ligne si on en éprouve le besoin, le droit de disposer de démarches numériques accessibles aux personnes porteuses de handicap et enfin, le droit d’avoir accès à des alternatives à la démarche en ligne.

Les acteurs du secteur craignent le développement des inégalités numériques entre ceux qui en maîtrisent l’usage et les autres. « C’est le contraire de notre démarche », répond Bernard Clerfayt. « Ce projet d’ordonnance ne va pas supprimer les guichets physiques. Il vise à garantir l’accès au numérique pour ceux qui le souhaitent et ils sont environ 85% de Bruxellois, selon le baromètre de la Fondation Roi Baudouin. Mais il porte surtout une attention inédite à ceux qui éprouvent des craintes ou des difficultés à utiliser les nouvelles technologies grâce à un accompagnement et à la mise en place d’alternatives au numérique », détaille le Ministre amarante.

L’ensemble du gouvernement bruxellois a reçu une délégation de travailleurs soucieux d’assurer l’accès aux services publics à tous les Bruxellois. Le gouvernement a ainsi rappelé que le numérique simplifie les démarches de nombreux citoyens, accélère le traitement des leurs demandes et améliore l’automaticité des droits et que son développement devait recevoir un encadrement pour plus d’égalité.

Et simplifier la vie des Bruxellois grâce au numérique, c’est possible. La Région l’a d’ailleurs déjà fait, grâce à l’ordonnance « Once Only ». Celle-ci garantit au citoyen le droit de ne pas devoir fournir des informations dont l’administration dispose déjà ou dont elle peut disposer (via des sources authentiques), un vrai allégement de la charge administrative et donc une facilitation de l’accès aux droits.

« Ne pas développer les services numériques en ligne serait priver de ce droit les Bruxellois qui en maîtrisent l’usage. Ne pas accompagner les personnes qui ne maîtrisent pas (encore) cet outil serait les priver des avantages qu’il peut procurer », conclut Bernard Clerfayt.

Bernard Clerfayt déposera prochainement un texte visant l’encadrement du développement du numérique dans les administrations publiques bruxelloises selon les quatre principes rappelés ci-dessus : l’universalité, l’inclusivité, l’accessibilité et le maintien des alternatives.

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