Une charte pour mieux accompagner les citoyens vers l’inclusion numérique

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Le Ministre Bernard Clerfayt introduit la présentation de la nouvelle charte pour mieux accompagner les citoyens vers l’inclusion numérique

Une nouvelle charte déontologique vise désormais à encadrer l’accompagnement individuel ou collectif des citoyens par les animateurs en inclusion numérique, tout en garantissant leur sécurité professionnelle. « Elle renforce ma volonté d’un numérique accessible à tous. Dans une société où le numérique est partout, il faut fixer des standards de qualité et plus et mieux accompagner ceux qui subissent les inégalités numériques. C’est le rôle de la charte », explique Bernard Clerfayt, Ministre de la Transition Numérique.

Une garantie pour le public et pour les animateurs

Elle contribue également à instaurer un cadre clair dans le secteur, basé sur des principes éthiques, et à favoriser l'harmonisation des pratiques. Elle vise à offrir une meilleure protection tant aux animateurs - en balisant leur mission - qu'au public concerné. Ce dernier, grâce à cette charte, est pleinement informé de la manière dont il est épaulé et de la limite de ce programme.

Trois axes importants

La relation avec les usagers

L'accompagnement est une démarche visant à aider les individus à atteindre leurs objectifs numériques. Il s'agit d'une approche personnalisée qui valorise l'autonomie de la personne accompagnée.

L’attitude de l’animateur dans le processus d’accompagnement

La médiation numérique consiste à faciliter la compréhension des outils et de la culture numérique par un large éventail de publics. Les animateurs en inclusion numérique doivent créer des outils et des méthodes pédagogiques adaptés à leur public, tout en favorisant une approche neutre, inclusive et confidentielle.

Le partage des responsabilités

La charte définit les responsabilités des animateurs, des structures porteuses et des usagers.

Médiateurs entre le numérique et l’humain

Alors que la numérisation de la société s’accélère, certains citoyens éprouvent des difficultés en ligne et se retrouvent privés d’accès aux droits ou marginalisés socialement. Dans ce contexte, les animateurs en inclusion numérique jouent un rôle essentiel de médiateur entre le numérique et l'humain, contribuant ainsi à gommer les inégalités numériques.

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Une première en Région bruxelloise : Paradigm met en place une Charte de déontologie pour les animateurs en Inclusion Numérique

Communiqué de presse

Paradigm et les animateurs bruxellois de l’inclusion numérique ont signé une charte de déontologie en présence du Ministre bruxellois de la Transition numérique, Bernard Clerfayt. L'objectif de cette initiative est d'encadrer l'accompagnement des citoyens tout en renforçant la protection des activités des animateurs.

Alors que la numérisation de la société s’accélère, certains citoyens éprouvent des difficultés en ligne et se retrouvent privés d’accès aux droits ou marginalisés socialement. Dans ce contexte, les animateurs d’inclusion numérique jouent un rôle essentiel de médiateur entre le numérique et l'humain, contribuant ainsi à gommer les inégalités numériques.

Afin de garantir des normes éthiques dans l'accompagnement des citoyens dans leurs démarches en ligne et dans le cadre du Plan d’Appropriation Numérique 2021-2024, la coordination inclusion numérique au sein de Paradigm a rédigé, en collaboration avec CABAN, une charte de déontologie pour les animateurs d’inclusion numérique.

Cette charte vise à encadrer l’accompagnement individuel ou collectif des citoyens par les animateurs en inclusion numérique, tout en garantissant leur sécurité professionnelle. Elle contribue également à instaurer un cadre clair dans le secteur, basé sur des principes éthiques, et à favoriser l'harmonisation des pratiques.

Elle vise à offrir une meilleure protection tant aux animateurs - en balisant leur mission - qu'au public concerné. Ce dernier, grâce à cette charte, est pleinement informé de la manière dont il est épaulé et de la limite de ce programme.

La charte repose sur trois principes fondamentaux :

  1. La relation avec les usagers - L'accompagnement est une démarche visant à aider les individus à atteindre leurs objectifs numériques, en prenant en compte leurs besoins, leurs compétences et leurs particularités. Il s'agit d'une approche personnalisée qui valorise l'autonomie de la personne accompagnée tout en garantissant le choix éclairé des usagers.
  2. L’attitude de l’animateur dans le processus d’accompagnement - La médiation numérique consiste à faciliter la compréhension des outils et de la culture numérique par un large éventail de publics. Les animateurs en inclusion numérique doivent créer des outils et des méthodes pédagogiques adaptés à leur public, tout en favorisant une approche neutre, inclusive et confidentielle. Au besoin l’animateur sera également amené à devoir rediriger les usagers.
  3. Le partage des Responsabilités - La charte définit les responsabilités des animateurs, des structures porteuses et des usagers.

« Cette signature, c’est plus qu’un symbole. Elle renforce ma volonté d’un numérique accessible à tous. Dans une société où le numérique est partout, il faut fixer des standards de qualité et plus et mieux accompagner ceux qui subissent les inégalités numériques. C’est le rôle de la charte », explique Bernard Clerfayt, Ministre de la Transition Numérique.

« Cette charte, bien qu'elle n'ait pas de valeur légale contraignante, offre un cadre éthique solide pour les animateurs en inclusion numérique, harmonisant ainsi les pratiques dans tout le secteur. Elle informe également les citoyens sur la manière dont ils seront accompagnés, ce qui renforce la confiance dans ce domaine crucial », souligne Nicolas Locoge, Directeur Général de Paradigm.

Plus dinfos ?

Cabinet du Ministre Bernard Clerfayt : Pauline LORBAT – plorbat@gov.brussels - 0485 89 47 45
paradigm.brussels : Anna MELLONE – amellone@paradigm.brussels - 02 282 47 70

L'indice relatif à l'économie et à la société numériques

Extrait de presse
Extrait de presse, Sudeinfo : "Numérisation des services publics bruxellois : 84% des démarches sont disponibles en ligne"

Extraits de l'article publié par Sudpresse:

D'après l'indice relatif à l'économie et à la société numériques bruxellois (DESI), la numérisation est en bonne route à Bruxelles !

[…] L'offre des services publics numériques aux citoyens et aux entreprises constitue un point fort de la Région. 84% des démarches administratives pour les citoyens sont accessibles en ligne, contre 75% pour la moyenne européenne.

[…] « On ne peut pas dire que Bruxelles est à la traîne en matière de numérisation ! Les chiffres montrent que nous sommes sur la bonne voie. D'ailleurs, ma nouvelle ordonnance, Bruxelles Numérique, va universaliser l'accès en ligne de toutes les démarches administratives, et permettra aux Bruxellois de profiter davantage des atouts du numérique », commente le ministre Bernard Clerfayt.

84% des démarches administratives disponibles en ligne

Actualité
Utilisateur smartphone, validation processus

Mesurer le niveau de numérisation d’un pays ? C’est possible grâce à l’indice relatif à l’économie et à la société numériques (DESI). Ce score utilisé et développé par la Commission européenne permet de comparer les performances numériques des Etats membres.

Qu’en est-il des services publics bruxellois ?

Les résultats sont très encourageants puisque Bruxelles se situe au-dessus de la moyenne européenne. Elle atteint le score de 58%, derrière le Danemark (70%) mais devant la moyenne de l’Europe de 27 (51%). Ces chiffres ont été analysés par l’Institut Bruxellois de Statistique et d’Analyse (IBSA), dans son Focus n°60.

En matière de services publics numériques, la Région bruxelloise se situe également au-dessus de la moyenne de l’UE-27.  L’offre des services publics numériques aux citoyens et aux entreprises constitue un point fort de la Région. 84% des démarches administratives pour les citoyens sont accessibles en ligne, contre 75% pour la moyenne européenne. Et si l’on regarde les services destinés aux entreprises, 99% sont accessibles en ligne, contre 85% au niveau européen.

Les services en ligne majoritairement utilisés

Les Bruxellois sont d‘ailleurs proportionnellement plus nombreux à utiliser l’administration en ligne que dans le reste de la Belgique et de l’Union européenne. 68% des Bruxellois utilisent les services publics en ligne contre 66% en Belgique et 64% dans l’UE-27.

« On ne peut pas dire que Bruxelles est à la traîne en matière de numérisation ! Les chiffres montrent que nous sommes sur la bonne voie. D’ailleurs, ma nouvelle ordonnance, Bruxelles Numérique, va universaliser l’accès en ligne de toutes les démarches administratives, et permettra aux Bruxellois de profiter davantage des atouts du numérique », commente Bernard Clerfayt.

68% de formulaires pré-remplis

Enfin, en Région bruxelloise, 68% des formulaires administratifs en ligne sont préremplis avec les données personnelles des citoyens ou des entreprises provenant de différentes sources de données authentiques. Une bonne nouvelle, puisque cela fait gagner du temps aux Bruxellois et leur simplifie la vie.

Numérisation des services publics bruxellois : 84% des démarches disponibles en ligne

Communiqué de presse

D’après l’indice relatif à l’économie et à la société numériques bruxellois (DESI), la numérisation est en bonne route à Bruxelles ! Mais qu’en est-il des services publics ? Le Ministre bruxellois de la Transition numérique, Bernard Clerfayt, a commandé une étude qui détaille le DESI bruxellois. Explications. 

Mesurer le niveau de numérisation d’un pays ? C’est possible grâce à l’indice relatif à l’économie et à la société numériques (DESI). Ce score utilisé et développé par la Commission européenne permet de comparer les performances numériques des Etats membres.

Et au niveau bruxellois ? Les résultats sont très encourageants puisque Bruxelles se situe au-dessus de la moyenne européenne. Elle atteint le score de 58%, derrière le Danemark (70%) mais devant la moyenne de l’Europe de 27 (51%).

En matière de services publics numériques, la Région bruxelloise se situe également au-dessus de la moyenne de l’UE-27.  L’offre des services publics numériques aux citoyens et aux entreprises constitue un point fort de la Région. 84% des démarches administratives pour les citoyens sont accessibles en ligne, contre 75% pour la moyenne européenne. Et si l’on regarde les services destinés aux entreprises, 99% sont accessibles en ligne, contre 85% au niveau européen.

Les Bruxellois sont d‘ailleurs proportionnellement plus nombreux à utiliser l’administration en ligne que dans le reste de la Belgique et de l’Union européenne. 68% des Bruxellois utilisent les services publics en ligne contre 66% en Belgique et 64% dans l’UE-27.

« On ne peut pas dire que Bruxelles est à la traîne en matière de numérisation ! Les chiffres montrent que nous sommes sur la bonne voie. D’ailleurs, ma nouvelle ordonnance, Bruxelles Numérique, va universaliser l’accès en ligne de toutes les démarches administratives, et permettra aux Bruxellois de profiter davantage des atouts du numérique », commente Bernard Clerfayt.

Enfin, en Région bruxelloise, 68% des formulaires administratifs en ligne sont préremplis avec les données personnelles des citoyens ou des entreprises provenant de différentes sources de données authentiques. Une bonne nouvelle, puisque cela fait gagner du temps aux Bruxellois et leur simplifie la vie.

Consultez l’étude

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Economies sur le budget des dépenses numériques en Région de Bruxelles-Capitale

Extrait de presse
Extrait de presse, La Dernière Heure : "Dépenses numériques: la Région bruxelloise vise 29 millions d'euros d'économies d'ici 2025".

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure :

La Région bruxelloise a économisé 1,87 million d'euros l'an dernier grâce à la mise en place d'un bureau unique d'achats d'équipements informatiques et d'un helpdesk commun, a fait valoir lundi le ministre de la Transition numérique, Bernard Clerfayt.

 "Nous avons mis en place un bureau unique d'achats numériques. Toutes les administrations doivent dorénavant passer par cette centrale pour leurs achats informatiques. Les avantages sont nombreux : un seul cahier de charges, un seul bon de commande ou encore une licence à partager entre services", commente M. Clerfayt.

"La situation budgétaire de la Région nous pousse à améliorer nos modes de fonctionnement", souligne le ministre.

Près de 2 millions économisés en 2022, et ce n’est qu’un début

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Mutualiser les dépenses numériques en Région de Bruxelles-Capitale

« Nous avons mis en place un bureau unique d’achats numériques. Toutes les administrations doivent dorénavant passer par cette centrale pour leurs achats informatiques. Les avantages sont nombreux : un seul cahier de charges, un seul bon de commande ou encore une licence à partager entre services. » Bernard Clerfayt rappelle ainsi le plan d’optimisation des dépenses initié en 2021.

Des mesures, et surtout des résultats

À la suite des mesures élaborées dès 2022, les premiers résultats d’optimisation des dépenses sont déjà visibles. On enregistre une économie de 1.874.844€ dans les dépenses numériques de la Région en 2022.

Des besoins à mutualiser

La première mesure concerne la mutualisation des besoins. Téléphonie, ordinateurs, câbles, service de consultance, licences,… Les administrations bruxelloises ont besoin d’une série d’outils informatiques pour mener à bien leur mission. Ces équipements représentent un coût conséquent pour la Région.  

Un helpdesk commun

Cette avancée a été accompagnée d’une mutualisation des fonctions. Ainsi, les équipes helpdesk ont été repensées de façon à permettre à plusieurs administrations de bénéficier d’un service helpdesk commun.

Des économies substantielles en perspective

« La situation budgétaire de la Région nous pousse à améliorer nos modes de fonctionnement. Près de 2 millions d’économisés en 2022 mais d’ici 2025, les mesures permettront d’économiser 29 millions d’euros », conclut le Ministre.