La Région bruxelloise commercialisera son réseau de fibre dès 2024

Communiqué de presse

Fibru, c’est le nom du réseau public bruxellois de fibre optique et de gaines qui sera commercialisé en 2024, sous l’initiative de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique. Une commercialisation qui pourra rapporter jusqu’à 2,5 millions d’euros dès 2030.

Saviez-vous qu’il existe, dans le sol de la Région bruxelloise, des réseaux de fibre optique et de gaines, développés par 6 administrations bruxelloises, Sibelga, Bruxelles Mobilité, Vivaqua, la STIB, le Port de Bruxelles et IRISnet.

Mis bout à bout, ces différents réseaux s’étalent sur 964 km. La première étape était de centraliser ces différents réseaux en un seul. C’est chose faite depuis 2022.  La gestion, la planification, la maintenance des réseaux sont depuis confiées à IRISnet.

La deuxième est de commercialiser la capacité excédentaire, celle qui n’est pas utilisée par les administrations.  Le réseau le plus étendu, celui d’IRISnet, qui dessert essentiellement les administrations bruxelloises, n’est utilisé qu’à environ 30% de sa capacité. Les autres réseaux fibre, à 50%.

« On estime qu’environ 50% de la capacité du réseau Fibru n’est pas utilisée. Sa commercialisation pourrait générer jusqu’à 2,5 millions d’euros dès 2030. Nous sommes donc assis sur un véritable trésor enfoui », commente Bernard Clerfayt.

IRISnet, VRP de la fibre

Plus concrètement, IRISnet est chargé d’agir comme guichet unique pour toutes les demandes d’utilisation du réseau et des gaines excédentaires mais également de commercialiser les capacités de fibres et de rémunérer les administrations mettant leurs réseaux à disposition, dès 2024.

Les revenus seront redistribués vers les six administrations et ce, à hauteur de 70%. Les 30% restant serviront à financer et rémunérer IRISnet pour ses activités.

Fibru permettra aussi de réduire les impacts environnementaux et urbains en limitant les déploiements redondants et les nuisances liés à l’ouverture des trottoirs.

« Grâce à Fibru, nous coordonnons les développements futurs de la fibre bruxelloise à destination des administrations et développons aussi des synergies autour de la maintenance. Mais surtout, en ouvrant notre réseau aux opérateurs télécom, nous facilitons le déploiement de la fibre au sein des foyers bruxellois », conclut Bernard Clerfayt.

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Commercialiser le réseau Fibru au profit de la Région

Extrait de presse
Extrait de presse, La Dernière Heure : "Bruxelles va commercialiser son réseau de fibre optique et espère en tirer jusqu’à 2,5 millions € à l’horizon 2030 : “nous sommes assis sur un trésor”.

Extraits de l'article publié par La Dernière Heure :

La Région bruxelloise va commercialiser la capacité excédentaire de son réseau public de fibre optique. “On estime qu’environ 50 % de la capacité du réseau Fibru n’est pas utilisée. Sa commercialisation pourrait générer jusqu’à 2,5 millions d’euros dès 2030. Nous sommes donc assis sur un véritable trésor enfoui”, commente le ministre bruxellois Bernard Clerfayt (Défi). […]

[…]

“Le réseau le plus étendu, celui d’Irisnet, qui dessert essentiellement les administrations bruxelloises, n’est utilisé qu’à environ 30 % de sa capacité. Les autres réseaux fibre, à 50 %”, poursuit Bernard Clerfayt (Défi).

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Numérisation des services publics

Extrait de presse
Extrait de presse, La Dernière Heure : "Le parlement bruxellois se prépare à encadrer la numérisation des services au citoyen".

Extraits de l'article publié par La Dernière Heure :

[…] Cette première initiative du genre en Belgique, voire en Europe, fait l'objet d'une attention redoublée des services sociaux et associatifs face au risque de fracture accrue au sein de la population entre ceux qui maitrisent l'outil et ceux qui ne le peuvent.

[…]

Le ministre bruxellois en charge de la Transition numérique, Bernard Clerfayt (DéFI), s'appuie quant à lui sur la progression de l'accès à internet en 2023 - selon Statbel, 95% des Belges de 16 à 74 ans utilisent cet outil contre 89% en 2018 - et sur les avantages (gain de temps, rapidité de traitement, sécurité, réduction des déplacements, administration accessible 24h sur 24) pour justifier la nécessité d'encadrer le processus de numérisation en cours dans l'administration. Pour le moment, il n'y a pour ainsi dire pas de règle en la matière.

[…]

« Bruxelles Numérique » : des services inclusifs et accessibles 24/7

Actualité
« Bruxelles Numérique » : des services inclusifs et accessibles 24/7

Ce mercredi 6 décembre, les députés bruxellois se penchent sur le projet d’ordonnance « Bruxelles Numérique ». Un projet d’ordonnance visant à rendre disponible en ligne l’ensemble des démarches administratives tout en garantissant un accompagnement et le maintien de guichet physique, centrale d’appel et courrier postal. Pourquoi ? Parce que le numérique offre de nombreux avantages mais qu’aujourd’hui tout le monde n’est pas encore en mesure d’en bénéficier.

Le numérique est une réalité, il faut cadrer son développement

L'utilisation d’Internet a poursuivi sa hausse en 2023. Selon Statbel, 95% des Belges de 16 à 74 ans utilisent Internet contre 89% en 2018. Il faut dire que les avantages sont nombreux : gain de temps, rapidité de traitement, sécurité, réduction des déplacements… Et surtout une administration accessible 24/7.

« Bruxelles Numérique est le premier texte belge qui cadre le développement du numérique en garantissant aux citoyens des services publics plus inclusifs et accessibles. L’essence de Bruxelles Numérique n’est pas d’imposer mais d’offrir un nouveau choix, une possibilité supplémentaire aux citoyens », conclut Bernard Clerfayt.

L’ordonnance « Bruxelles numérique » c’est la solution pour plus de garanties 

Pour répondre aux demandes des utilisteurs, Bernard Clerfayt propose l’ordonnance « Bruxelles Numérique », avec des balises importantes pour les Bruxellois qui ne maîtrisent pas le numérique.

  • Le maintien des guichets physiques, des centrales d’appels et de la voie postale pour tous ceux qui ne font pas le choix du numérique.
  • Toutes les démarches seront disponibles en ligne. Pas question pour une administration de choisir lesquelles seront mises sur leur site. C’est ce que l’on appelle l’universalité des accès aux démarches administratives.
  • Pour ceux qui ont besoin d’une aide, les administrations seront tenues de proposer un accompagnement pour les aider à effectuer leur démarche en ligne. Par exemple, un accompagnateur numérique qui aide les citoyens.
  • Pour les personnes porteuses d’un handicap, des démarches accessibles et adaptées à leur handicap.
  • Enfin, à tout moment, le citoyen qui a effectué des démarches en ligne, peut changer d’avis et revenir à des canaux traditionnels.

Une délai de mise en œuvre pour les démarches existantes

En pratique, les institutions publiques devront rendre disponible en ligne toute nouvelle démarche administrative. Elles disposeront d’un délai de 5 ans pour rendre conformes les démarches existantes.

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Avec « Bruxelles Numérique », enfin une administration inclusive et accessible 24/7

Communiqué de presse

Ce matin, les députés bruxellois se pencheront sur le projet d’ordonnance « Bruxelles Numérique ». Un projet d’ordonnance visant à rendre disponible en ligne l’ensemble des démarches administratives tout en garantissant un accompagnement et le maintien de guichet physique, centrale d’appel et courrier postal. Pourquoi ? Parce que le numérique offre de nombreux avantages mais qu’aujourd’hui tout le monde n’est pas encore en mesure d’en bénéficier.

L'utilisation d’internet a poursuivi sa hausse en 2023. Selon Statbel, 95% des Belges de 16 à 74 ans utilisent internet contre 89% en 2018. Il faut dire que les avantages sont nombreux : gain de temps, rapidité de traitement, sécurité, réduction des déplacements… Et surtout une administration accessible 24/7.

Pour répondre à leurs demandes, Bernard Clerfayt propose l’ordonnance Bruxelles Numérique, avec des balises importantes pour les Bruxellois qui ne maîtrisent pas le numérique

  • Le maintien des guichets physiques, des centrales d’appels et de la voie postale pour tous ceux qui ne font pas le choix du numérique.
  • Toutes les démarches seront disponibles en ligne. Pas question pour une administration de choisir lesquelles seront mises sur leur site. C’est ce que l’on appelle l’universalité des accès aux démarches administratives.
  • Pour ceux qui ont besoin d’une aide, les administrations seront tenues de proposer un accompagnement pour les aider à effectuer leur démarche en ligne. Par exemple, un accompagnateur numérique qui aide les citoyens.
  • Pour les personnes porteuses d’un handicap, des démarches accessibles et adaptées à leur handicap. 
  • Enfin, à tout moment, le citoyen qui a effectué des démarches en ligne, peut changer d’avis et revenir à des canaux traditionnels.

« Bruxelles Numérique est le premier texte belge qui cadre le développement du numérique en garantissant aux citoyens des services publics plus inclusifs et accessibles. L’essence de Bruxelles Numérique n’est pas d’imposer mais d’offrir un nouveau choix, une possibilité supplémentaire aux citoyens », conclut Bernard Clerfayt.   

En pratique, les institutions publiques devront rendre disponible en ligne toute nouvelle démarche administrative. Elles disposeront d’un délai de 5 ans pour rendre conformes les démarches existantes.

 

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Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Avec son nouveau programme Irisnet 3, "la Région bruxelloise positionne la technologie et l’innovation au cœur de son service public".

Extrait de presse
Extrait de presse, La Libre : "Orange dévoile sa stratégie pour faire de Bruxelles une “Smart Region” à la pointe"

Extraits de l'article publié par La Libre

[…] À la suite d’un appel d’offres européen, la Région bruxelloise avait décidé, voici un an, de renouveler sa collaboration avec Orange Belgium dans le cadre du marché public Irisnet3, du nom donné au partenariat public-privé réunissant la Région de Bruxelles-Capitale (qui détient 54 % de la structure), Orange Belgium (28 %) et Paradigm (18 %). Paradigm (ex-CIRB) joue le rôle d’orchestrateur de cette transformation de Bruxelles en Smart Region au sein d’un écosystème qui se veut “ouvert et sécurisé, garantissant l’accès à tous via l’inclusion numérique” .

[…] “ Avec cette initiative, la Région bruxelloise positionne la technologie et l’innovation au cœur de son service public, renforçant son statut de Smart Region : un territoire à la fois innovant et connecté” , s’est réjoui Bernard Clerfayt (Défi), ministre bruxelloise de la Transition numérique.

[…] l’objectif est de pouvoir proposer des services de qualité à des prix réduits, que ce soit pour les communes, les administrations publiques, mais aussi pour des entreprises.” [Bernard Clerfayt]

L’objectif d’Irisnet3 est aussi de préparer la Région bruxelloise aux principaux défis numériques, dont la cybersécurité et la cyberdéfense. […]

L'ordonnance “Bruxelles Numérique” bientôt au Parlement

Extrait de presse
Extrait de presse, La Libre : "La voie est libre pour “Bruxelles Numérique”.

Extraits de l'article publié par La Libre:

Bernard Clerfayt, ministre bruxellois de la Transition numérique, annonce le dépôt du projet d'ordonnance pour le 6 décembre. A partir de 2029, au plus tard, toutes les démarches administratives seront accessibles en ligne et par une voie alternative.

[…] “Le projet a été adapté aux remarques adressées par le Conseil d’État et il a été approuvé, en troisième lecture, par les trois exécutifs concernés (Région bruxelloise, Commission communautaire française et la Commission communautaire commune, NdlR). Il sera soumis le 6 décembre à une séance parlementaire conjointe réunissant les députés des trois organes” , nous a annoncé le ministre bruxellois de la Transition numérique au cours de la mission “smart city” qu’il a effectuée, les 7 et 8 novembre, à Barcelone.

[…] Bernard Clerfayt tient, une fois encore, à assurer que “Bruxelles Numérique” n’ouvre pas la voie au “numérique par défaut”. D’une part, l’article 4 stipule que les démarches administratives doivent être entièrement disponibles en ligne. D’autre part, l’article 13 indique que les administrations bruxelloises doivent garantir aux citoyens une alternative. “ Les administrations ont le devoir de servir tous les citoyens, que cela se fasse par la voie numérique ou par une voie alternative (guichet physique, téléphone ou courrier)”, insiste le ministre .
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