Toutes les actualités du Ministre, les actualités politiques liées directement ou indirectement aux compétences sur lesquelles le cabinet travaille.

Brulingua propose + de formations en langues + de langues d’interface + proches de vos besoins

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Brulingua, des formations langues en ligne

Brulingua, la plateforme en ligne d’apprentissage des langues, étend son offre et proposera 32 langues d’interface et 24 langues d’apprentissage. S’inscrire à des formations en langues, c’est la clé pour accéder à l’emploi. Une offre d’emploi sur deux, gérée par Actiris, nécessite des connaissances linguistiques explicites. Parmi celles-ci, plus de 55% requièrent des compétences en français et en néerlandais.

« Le manque de compétences linguistiques chez les chercheurs d'emploi est un défi majeur pour mettre plus de Bruxellois à l’emploi. D’autant plus que 14.000 chercheurs d’emploi n’ont qu’une connaissance élémentaire du français ou du néerlandais. Comment trouver un emploi si l’on maitrise même pas l’une des deux langues nationales ? », s’interroge Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle. En effet, à côté des nombreuses multinationales, bon nombre d’entreprises belges ont leur siège social à Bruxelles.

Multiplier les langues d’interface c’est ouvrir les formations en langues à plus de stagiaires

« Demander à des Bruxellois ne maitrisant ni le français, ni le néerlandais, d’apprendre l’une de ces langues sur une plateforme accessible uniquement en français et en néerlandais est un non-sens. Il faut augmenter le nombre de langues d’interface », relève le Ministre bruxellois.

Dès le 19 octobre, Brulingua proposera donc au total 32 langues d’interface. On y retrouvera le polonais, l’espagnol, l’italien, le roumain mais aussi l’arabe, le turc ou le russe.

Brulingua proposera également non plus 4 langues d’apprentissage mais 24, dont les principales langues européennes comme l’italien, l’espagnol, le portugais, le grec ou encore le danois et le suédois.

Des formations en langues plus proches de la « vraie vie »

« Nous continuons d’investir dans des outils soutenant le développement des compétences des chercheurs d’emploi. Grâce à ces améliorations au niveau des langues proposées, Brulingua est désormais une application pour tout un chacun. Nous ne pouvons pas encore tout révéler, mais nous allons déployer toute une série de mises à jour dans les mois à venir. Il s'agira notamment de leçons encore plus interactives et d'activités proposées dans la "vraie vie" telles que des quiz et des cafés linguistiques », déclare Caroline Mancel, directrice générale a.i. d’Actiris.

Pallier à la pénurie des candidats

« Le manque de connaissances linguistiques est aussi un des facteurs qui explique la pénurie de candidats pour certaines fonctions. C’est notamment le cas les métiers de secrétaires, réceptionnistes ou encore commerciaux. Et s’il ne faut donner qu’un chiffre : les chances d’obtenir un emploi augmentent de 34 à 46% pour les chercheurs d’emploi qui connaissent la deuxième langue nationale »,conclut Bernard Clerfayt.

Comment faire ?

Allez à l’adresse web brulingua.brussels et créez votre profil. Téléchargez ensuite l’application Brulingua gratuite, disponible sur iOS et sur Android.

Expérimentation animale : 6000 animaux de moins

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6000 animaux en moins concernés par l'expérimentation animale

Une diminution de près de 10% en un an du nombre d’animaux impliqués dans les expérimentations, a été constatée en 2020. Cette diminution a concerné 6000 animaux de moins en un an. Si cette même année, 55.688 ont été utilisés, soulignons que leur nombre a diminué de 36% en cinq ans. On peut donc parler d’une tendance de fond, vers une réduction certaine des expérimentations animales.

Quels sont les animaux concernés ?

En 2020, 97% des animaux d’expérience étaient des rongeurs dont 91% des souris. On retrouve également quelques poules (1%) ou encore des poissons zèbres (0,6%). Comme en 2019, aucun chiens, chats, chevaux, ânes ou primates n’ont été utilisés pour la recherche.

Bernard Clerfayt soutient la recherche d’alternatives à l’expérimentation animale

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées par exemple sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ce type de méthodes mais aussi leur recensement et leur notoriété. Je soutiens donc à hauteur de 250.000 € un projet de la VUB qui a pour objectif de diffuser massivement ces alternatives au travers de la plateforme IC-3Rs », précise Bernard Clerfayt.

Des animaux, principalement utilisés pour la recherche fondamentale

Plus de la moitié (69,81%) des procédures expérimentales sur animaux en 2020 ont été réalisées pour la recherche fondamentale. Ces expériences concernent principalement les études en oncologie (34,10% des expériences de recherche fondamentale) et le système immunitaire (21,82% des expériences de recherche fondamentale).

L’expérimentation animale, une pratique fortement réglementée

Lorsqu’elles existent, les chercheurs doivent avoir recours aux méthodes alternatives à l’expérimentation animale. À défaut d’alternative, les animaux utilisés pour les expériences bénéficient d’une protection légale. Tous les établissements, agréés au préalable, sont soumis à des contrôles.

Ce mardi 28/09 dès 9h45, assistez en direct à la journée d’étude consacrée au bien-être animal

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Le colloque consacré au bien-être animal aura lieu ce mardi 28 septembre, assister en ligne

Des avocats spécialisés dans le droit animalier et des acteurs du terrain exposeront leurs approches du bien-être animal sous différents aspects : le statut juridique de l’animal, la gouvernance, le commerce, la répression de la maltraitance animale, etc. Le colloque «De la domestication à la protection» est entièrement gratuit. Vous pouvez y assister en ligne ici dès 9h45.

Prélude au code bruxellois du bien-être animal

«Nous sommes toujours aux balbutiements du droit animalier. Néanmoins, de bonnes pratiques se mettent en place et notre rapport au vivant évolue. Il faut maintenant que cette évolution soit retranscrite dans des textes de lois», fait remarquer Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal.

Intitulé « De la domestication à la protection », ce colloque a pour ambition d’alimenter le futur Code bruxellois du Bien-être animal, au regard de ce qui est mis en œuvre en France et ailleurs.

Transférée dans le cadre de la 6ème réforme de l’état, la politique du bien-être animal est régie par une loi datant de… 1986. Cette journée d’étude devra donc permettre d’échanger sur les pratiques mises en place, les lois en vigueur, les marges de progression, etc.

L’animal a sa place dans nos vies

On compte en Région bruxelloise plus de 100.000 chiens et près de 100.000 chats. A ceux-ci, il faut ajouter également les nouveaux animaux de compagnie, lapins, hamsters, poissons, serpents, lézards ou encore oiseaux. « Les Bruxellois sont nombreux à posséder un animal domestique. Et les citoyens accordent une importance grandissante au sort réservé aux animaux. Et puisque le regard porté sur les animaux par la société évolue de manière significative, il est logique que le droit s’adapte à ces considérations », relève Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal.

Exploiter des poneys ou autres équidés, c’est fini et en toutes circonstances !

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Interdiction d'exploiter des poneys d'application en Région bruxelloise

Dès ce 25 septembre 2021, l’interdiction d’exploiter des poneys ou autres équidés de foire est d’application sur l’ensemble du territoire de la Région. Cette décision de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal, protège mieux et améliore le bien-être de ces animaux.

Une réglementation plus stricte était nécessaire

Depuis le 1er janvier 2019, les poneys ne pouvaient plus être exploités sur les fêtes foraines en Région bruxelloise. L'ordonnance votée alors par le parlement bruxellois allait dans le bon sens mais présentait des lacunes en raison d’un flou juridique. Elle ne visait que les fêtes foraines. Ainsi, il était encore possible de trouver un carrousel à poneys sur les marchés, les brocantes, etc. 

De plus, la réglementation ne concernait que les poneys et les chevaux. L’interdiction pouvait donc facilement être contournée en utilisant des ânes, des mulets, des bardots, etc. Enfin, seule l’activité de carrousels était visée.

Une interdiction généralisée grâce à une réglementation plus précise

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal, la nouvelle réglementation interdit donc les carrousels en tout lieu et les promenades de tous les équidés à l’occasion de différents types de manifestations.

« Plus que jamais, nous devons repenser notre relation avec le vivant et avec les animaux. Souhaitons-nous véhiculer une image d’animaux-esclaves auprès de nos enfants ? », s’interroge Bernard Clerfayt.

Face à la saturation des infrastructures sportives, Bernard Clerfayt débloque 50 millions d’euros

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La Région de Bruxelles-Capitale investit dans les infrastructures sportives communales

« Il y a de nombreuses infrastructures sportives en Région bruxelloise. Mais force est de constater que celles-ci affichent complet. Il est donc parfois compliqué pour les Bruxellois de pouvoir pratiquer une activé sportive. Or, le confinement a rappelé à quel point la pratique d’une activité sportive contribue à notre épanouissement physique et mental », souligne Bernard Clerfayt.

4 années d’investissement dans les infrastructures sportives

Terrains de tennis, de football, de hockey, de basket, piscines, salle omnisports, gymnases…. On compte sur l’ensemble du territoire de la Région bruxelloise près de 1.000 installations sportives.

De quoi contenter de nombreux Bruxellois mais pas tout le monde… bon nombre d’infrastructures sportives affichent complet !

Face à ce constat, la Région bruxelloise, a décidé de soutenir financièrement les 19 communes afin d’augmenter l’offre d’installations sportives sur le territoire de la Région. 50 millions d’euros sont débloqués sur 4 ans.

Les communes ont jusqu’au 31 mars 2022 pour rentrer les projets d’infrastructures sportives communales qu’elles souhaitent mettre en place.

Une décision qui conforte la politique engagée

Après avoir annoncé la création ou la rénovation de 24 aires de sport de proximité (plaine de jeux, street workout, etc.), la Région bruxelloise débloque 50 millions d’euros sur 4 ans pour financer des projets d’infrastructures sportives communales. « En cette période de rentrée, de nombreux Bruxellois sont confrontés à un manque de places dans les clubs de sports. Grâce à ces 50 millions d’euros, j’entends renforcer l’offre sportive en Région bruxelloise et augmenter le nombre d’installations. Car nous voulons tous une ville qui combine activités récréatives, culturelles et sportives », conclut Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois des Infrastructures sportives communales.

Aides aux intermittents de la culture renforcées

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Aides aux intermittents de la culture

« Les perspectives de réouverture ont été retardées et la reprise commence, timidement. Bruxelles n’attend pas et renforce même le montant des aides octroyées aux travailleurs intermittents en débloquant 5 millions d’euros », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

Voici les nouvelles aides aux travailleurs intermittents de la culture 

  • 3.000 euros dans le cas où le travailleur a bénéficié entre le 1er janvier 2021 et le 30 juin 2021 de revenus s'élevant à maximum 4.500 euros nets.
  • 2.250 euros dans le cas où il a bénéficié entre le 1er janvier 2021 et le 30 juin 2021 de revenus s'élevant à maximum de 6.000 euros nets
  • 1.500 euros dans le cas où le travailleur a bénéficié entre le 1er janvier 2021 et le 30 juin 2021  de revenus s'élevant à maximum de 8.000 euros nets.

La demande de prime se fait en ligne sur le site d’Actiris entre le 20 septembre et le 17 octobre 2021 au plus tard. Le montant sera versé au 30 novembre 2021.

Cette troisième salve concrétise la volonté du gouvernement bruxellois

Le troisième renouvellement de ces primes, s’inscrit dans une politique de soutien au secteur culturel. Cette politique volontaire vise à maintenir notre ville-région parmi les capitales européennes attractives. C’est un choix stratégique pour le maintien de l’emploi dans le secteur culturel. Un effet d’entraînement vers d’autres secteurs pourvoyeurs d’emplois comme l’Horeca, les services, le commerce de luxe, etc., est aussi visé.

La Région bruxelloise, première sur la balle

Au total, 7 millions d’euros sont débloqués pour soutenir un secteur aux abois et les intermittents de la culture. La Région bruxelloise a été l’une des premières à se mobiliser pour soutenir le secteur de la culture, tant ses travailleurs que ses structures.

En juillet dernier, la Région bruxelloise lançait, à destination des intermittents de la culture, une prime allant de 1.500 à 500 euros. Suite à la prolongation de la crise sanitaire, le Gouvernement avait relancé en octobre 2020, l’octroi de cette prime aux intermittents de la culture en augmentant les montants, ceux-ci variaient de 2.000 à 1.000 euros.

Les Bruxellois réclament plus d’aires de jeux pour les chiens

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Les Bruxellois réclament des aires de jeux pour les chiens

15 jours avant la fin de la phase de consultation des citoyens à propos du bien-être animal, près de 1.900 avis ont déjà été récoltés. Une tendance émerge à ce stade : nombreux sont les Bruxellois qui souhaitent que les aires de jeux pour les chiens soient plus nombreuses.

Associer les citoyens

Avant l’été, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal lançait une campagne de consultation en Région bruxelloise afin de récolter les attentes des citoyens.

Cette phase doit permettre de faire naître un Code bruxellois du bien-être animal équilibré. Le Code bruxellois constituera la plus grande réforme menée en la matière. « Le bien-être animal est un sujet sensible qui fait souvent réagir les citoyens. Il était donc indispensable de les associer dans la refonte de la loi fédérale sur le bien-être animal», constate Bernard Clerfayt.

Une loi datant de 1986

Transférée dans le cadre de la 6ème réforme de l’état, la politique du bien-être animal est régie par une loi fédérale datant de 1986. Depuis, notre rapport aux animaux et les connaissances scientifiques ont considérablement évolué.

Résultats complets dévoilés en novembre

« Je dévoilerai les résultats de la consultation citoyenne dans le courant du mois de novembre mais déjà, je constate que de grandes tendances se dessinent. Les citoyens, en grande majorité, ont répondu que l’animal était un être vivant doué de sensibilité et que celui-ci était donc digne d’une protection particulière. Ils plébiscitent ainsi l’adoption de listes positives reprenant toutes les espèces animales autorisées à la détention chez les particuliers. Autre tendance, les espaces de liberté pour chiens. Ils sont nombreux à demander plus d’aires de jeux pour les chiens », détaille Bernard Clerfayt.

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