Reprise à 90% des activités titre-service en Région bruxelloise pour le mois de juillet

Communiqué de presse

Pendant plusieurs semaines, le secteur des titres-services a connu un taux d’activité très bas, mettant en difficulté tant les entreprises que les travailleurs du secteur. Cependant, depuis la fin du confinement strict, on constate une reprise importante des activités.

Le secteur des titres-services a lui aussi été très largement impacté par la crise du Coronavirus et était pratiquement à l’arrêt lors du confinement. De nombreuses prestations ayant été annulées, tantôt par les clients, tantôt par les entreprises.

Il n’en reste pas moins que depuis la fin du confinement, le secteur des titres-services connaît une reprise importante de ses activités. Si au mois de juin, à peine 30% de l’activité avaient repris. En juillet, ce taux a augmenté pour atteindre 90%.

« La reprise des activités du secteur des titres-services est encourageante, notamment pour les 23.000 Bruxellois qui travaillent dans ce secteur. Cependant, la recrudescence du nombre de cas positifs au coronavirus en Région bruxelloise pourrait entraîner une nouvelle baisse au mois d’août. Parallèlement, j’ai également décidé que si les clients bruxellois revenaient d’une zone orange ou rouge, les prestations titres-services seront interdites pendant deux semaines.  Il en va de la santé des travailleurs mais aussi de l’ensemble des Bruxellois », rappelle Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

En juillet 2020, 1.041.789 titres-services ont été achetés par des clients bruxellois et 1.265.707 ont été utilisés pour payer des prestations. Par rapport à juillet 2019, c’est 160.108 titres-services de moins achetés et 159.608 de moins utilisés.

Plus d’infos ?
Gwendoline Blampain – 0479 20 55 64

Dès le 27 juillet, les intermittents peuvent demander leur prime

Actualité
Les intermittents de la culture peuvent introduire leur demande de prime à partir du 27 juillet

Les modalités d’octroi d’une aide exceptionnelle destinée aux intermittents de la culture sont dès à présent validées.

Les demandes peuvent être introduites sur le site d’Actiris, dès ce 27 juillet et jusqu’au 16 août.

Le 14 septembre au plus tard, les décisions d’octroi des primes seront envoyées et le paiement aux intermittents aura lieu dans la foulée.

Pour les personnes qui ne peuvent accéder en ligne, des formulaires papier seront toutefois disponibles en français, néerlandais et anglais.

Informations pratiques

En pratique, chaque intermittent bruxellois du secteur de la culture pourra bénéficier d’une aide exceptionnelle selon leur situation:

  • 1.500 € pour l'intermittent qui a perçu entre le 13 mars 2020 et le 31 mai 2020 des revenus s’élevant à moins de 775 euros ;
  • 1.000 euros pour l'intermittent qui a perçu durant cette même période des revenus s’élevant à moins de 1.550 euros ;
  • 500 euros pour l'intermittent qui aurait perçu durant cette même période des revenus s’élevant à moins de 3.100 euros.

Une mesure de soutien aux intermittents indispensable

« La crise du Coronavirus a fragilisé le monde de la culture comme jamais. Cela faisait plusieurs mois que les intermittents attendaient. En Région bruxelloise, ils ne seront pas les grands oubliés de la crise. Au total, nous avons dégagé 5 millions d’euros pour leur fournir une aide unique leur permettant de couvrir certains besoins essentiels. Aussi, nous mettons tout en œuvre pour préserver l’emploi bruxellois et assurer une reprise la plus rapide possible», explique Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

Face aux annulations ou au report de leurs prestations en raison du Covid-19, ils sont nombreux à n’avoir touché aucun revenu durant plusieurs mois. Les risques de sombrer dans la pauvreté sont donc réels. C’est pourquoi, l’octroi d’une aide exceptionnelle de maximum 1.500 € s’avère indispensable pour couvrir une partie des besoins élémentaires des intermittents.

Les travailleurs intermittents de la culture auraient pu être les grands oubliés de la crise du coronavirus. Pas en Région bruxelloise, où dès le 14 mai dernier, le Gouvernement bruxellois s’est accordé sur l’octroi d’une aide unique individuelle pour les travailleurs intermittents de la culture qui ne  bénéficient d’aucune aide, ni du chômage temporaire, ni du droit passerelle.

Les intermittents de la culture qui n'ont pas accès à un revenu de remplacement suffisant peuvent demander une prime dès le 27 juillet

Covid-19 : Les intermittents de la Culture pourront demander leur prime dès le 27 juillet

Communiqué de presse

Le Gouvernement bruxellois a validé les modalités d’octroi d’une aide exceptionnelle destinée aux intermittents de la Culture. Ceux-ci pourront dès le 27 juillet et jusqu’au 16 août introduire leur demande sur le site d’actiris, www.actiris.be

Les travailleurs intermittents de la culture auraient pu être les grands oubliés de la crise du coronavirus. Pas en Région bruxelloise, où dès le 14 mai dernier, le Gouvernement bruxellois s’est accordé sur l’octroi d’une aide unique individuelle pour les travailleurs intermittents de la culture qui ne  bénéficient d’aucune aide, ni du chômage temporaire, ni du droit passerelle.

Face aux annulations ou au report de leurs prestations en raison du Covid-19, ils sont nombreux à n’avoir touché aucun revenu durant plusieurs mois. Les risques de sombrer dans la pauvreté sont donc réels. C’est pourquoi, l’octroi d’une aide exceptionnelle de maximum 1.500 € s’avère indispensable pour couvrir une partie de leurs besoins élémentaires et protéger l’emploi bruxellois.

En pratique, chaque intermittent bruxellois du secteur de la culture pourra bénéficier d’une aide exceptionnelle de maximum:

  • 1.500 € pour le travailleur qui a perçu entre le 13 mars 2020 et le 31 mai 2020 des revenus s’élevant à moins de 775 euros ;
  • 1.000 euros pour le travailleur qui a perçu durant cette même période des revenus s’élevant à moins de 1.550 euros ;
  • 500 euros pour le travailleur qui aurait perçu durant cette même période des revenus s’élevant à moins de 3.100 euros.

« La crise du Coronavirus a fragilisé le monde de la culture comme jamais. Cela faisait plusieurs mois que les intermittents attendaient. En Région bruxelloise, ils ne seront pas les grands oubliés de la crise. Au total, nous avons dégagé 5 millions d’euros pour leur fournir une aide unique leur permettant de couvrir certains besoins essentiels. Aussi, nous mettons tout en œuvre pour préserver l’emploi bruxellois et assurer une reprise la plus rapide possible», explique Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

« Le secteur culturel et créatif joue un rôle essentiel pour notre société. Il fait partie de l’âme de Bruxelles. C’est un secteur qui contribue largement à notre bien-être, humain tout d’abord mais aussi économique. Sans oublier son apport indiscutable à l’attractivité de notre Région. La Culture, c’est aussi un grand nombre de personnes qui travaillent avec des revenus très faibles. Et la crise les touche de plein fouet. Dès lors, il est fondamental de soutenir les travailleurs afin que Bruxelles reste une ville de Culture. » affirme Rudi Vervoort, Ministre-Président de la Région de Bruxelles-Capitale.

« Cette prime unique représente une aide bienvenue aux besoins de nombreux intermittents bruxellois de la culture qui jusqu’à présent ont été oublié des mesures de soutien pour atténuer les conséquences de la crise sanitaire liée au coronavirus. Il s’agit des artistes freelances et  d’artistes individuels occasionnels, des musiciens, des chanteurs mais également des intermittents dans le secteur culturel qui ne sont pas liés à une organisation ou  à une institution et qui ont subi au cours des derniers mois d’importantes pertes de revenus, confirmé comme tels par les comités paritaires des travailleurs culturels. « Ils sont indispensables pour étayer la culture bruxelloise » déclare Sven Gatz, ministre bruxellois du Budget.

« Les travailleurs intermittents culturels bruxellois sont divers par leur statut et leur type de travail. En tant que membre de la VGC, il est de mon devoir de défendre également leurs intérêts au sein du gouvernement Bruxellois. Avec cette prime, nous montrons clairement qu'il est possible de relier Bruxelles à une capitale au service de tous les Bruxellois.es. Pour la première fois, nous pouvons garantir qu'une prime pour le secteur culturel soit également accessible aux travailleurs culturels de toute la région bruxelloise, quels que soient leur langue, leur statut ou les ministres compétent.es. Nous voulons garantir ainsi que chacun.e  compte », déclare Pascal Smet, secrétaire d'État aux relations européennes et internationales et Membre du Collège de la VGC chargé de la Culture

Afin d’assurer un traitement des demandes le plus rapidement possible et d’aider au plus vite les travailleurs du secteur, la procédure a été digitalisée. Des formulaires papier seront toutefois disponibles en français, néerlandais et anglais.

La demande d’aide pourra se faire dès ce 27 juillet sur le site d’actiris, www.actiris.be. Les travailleurs intermittents auront jusqu’au 16 août pour compléter le formulaire. Au plus tard, le 14 septembre les décisions d’octroi seront envoyées et le paiement aux bénéficiaires aura lieu dans la foulée.

Plus d’infos ?

Nancy Ngoma – Cabinet Vervoort – 0477 75 65 82
Eva Vanhengel – Cabinet Gatz – 0476 51 21 07
Gwendoline Blampain – Cabinet Clerfayt – 0479 20 55 64
Marc Debont – Cabinet Smet – 0473 98 08 75

Accès automatique à la prime Activa pour les chercheurs d'emploi

Actualité
L'allocation Activa est un plus pour les chercheurs d'emploi bruxellois

Ce mois-ci, Actiris a envoyé à près de 37.000 chercheurs d’emploi une attestation Activa. Grâce à ce document dont ils disposent maintenant sans démarches, les patrons qui les engageront bénéficieront d’avantages financiers. Ce coup de boost pour accélérer la relance du marché du travail en cette période post-Covid. Il s'agit aussi d'une opportunité pour les chercheurs d’emploi et une aide bienvenue pour les entreprises et commerçants bruxellois.

Qui peut bénéficier d'activa.brussels ?

Tout chercheur d'emploi bruxellois inoccupé inscrit chez Actiris depuis 12 mois peut bénéficier d’activa.brussels. Sous certaines conditions, par exemple après avoir réalisé un stage First ou une formation professionnelle Individuelle en entreprise (FPIe). Le chercheur d’emploi peut être dispensé des 12 mois d’inscription et avoir accès à Activa dès le 1er jour de son inscription.

Quel est l’avantage pour l’employeur ?

L’employeur peut déduire du salaire l’allocation Activa.

L’allocation Activa s’élève à un montant global de 15.900 € sur 30 mois réparti comme suit:

  • 350 euros par mois durant les 6 premiers mois ;
  • 800 euros durant les 12 mois suivants ;
  • 350 euros les 12 mois suivants.

Cette allocation est renforcée en cas d’aptitude réduite. Elle est alors de 23.400 € sur 36 mois. L’employeur peut également se faire rembourser en tout ou en partie le montant de votre formation pour un montant maximum de 5000 €.

La prime Activa est activée automatiquement

Actiris simplifie l’accès aux services et documents grâce à la digitalisation

Il s’agit d’une étape supplémentaire dans la digitalisation des services d’Actiris. La démarche est ainsi facilitée pour permettre aux chercheurs d’emploi et aux employeurs de bénéficier au plus vite de cette aide Activa.

« Délivrer automatiquement les attestations activa aux chercheurs d’emploi bruxellois, c’est consacrer leur droit à pouvoir bénéficier des mesures d’emploi qui leur sont dédiées. Nous nous attendons dans les prochaines semaines à une augmentation du nombre de chercheurs d’emploi. Une contraction des offres d’emploi est aussi probable. La concurrence va donc augmenter entre candidats pour un même poste vacant.

Grâce à Activa, nous rendons les chercheurs d’emploi bruxellois plus attractifs auprès des employeurs », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi

 « […] Avec cette nouvelle avancée digitale, nous voulons montrer tant aux chercheurs d’emploi qu’aux employeurs que nous sommes là pour les soutenir. Nous les invitons pour les uns à s’inscrire chez Actiris et pour les autres à nous transmettre leurs offres d’emploi afin que nous puissions tout mettre en œuvre pour répondre aux besoins et ainsi contribuer autant que possible à la sauvegarde de l’économie bruxelloise », déclare Grégor Chapelle, le directeur général d’Actiris.

Les employeurs témoignent

Dominique Stassart  est l’initiatrice du concept du Relais du Triporteur à Boitsfort, un restaurant couplé à une épicerie qui vend en vrac. Elle a fait appel à Actiris pour recruter des collaborateurs. « Nous cherchons des personnes polyvalentes […]. Le consultant employeur d’Actiris est venu sur place rencontrer l’équipe. […] Nous avons été séduits par cette formule. Nous avons réitéré avec un commis en cuisine qui vient de terminer sa formation et nous relançons encore un appel aux candidat au mois d’août pour un autre poste».

Il y a quatre ans, Anis Arvaque a lancé le concept store Urban Therapy. Il a engagé 7 jeunes de moins de 30 ans. « Aucun d’eux n’avait de diplôme ou d’expérience. Ils ont fait leurs premiers pas dans le monde du travail dans nos boutiques. Certains ont repris des études après. Mais deux sont devenus gérants de nos boutiques. J’ai pu les engager après leurs stages First grâce à activa.brussels. En tant qu’employeur, je trouve vraiment intéressant que les mesures d’aide nous permettent de poursuivre le travail avec des jeunes qu’on a formé et qui grandissent ensuite dans l’entreprise ».

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Un très grand nombre de chercheurs d’emploi bruxellois n’activaient pas ce statut qui permet pourtant aux employeurs de les engager à coût réduit.

Extrait de presse
Coupure de presse - L'Echo - "La prime activa accordée de manière automatique"

[…] Sans en avoir fait la demande, les personnes qui entrent dans les conditions Activa reçoivent directement une notification dans leur dossier digital My Actiris », explique Caroline Mancel, directrice générale adjointe d’Actiris.

[…] l’allocation Activa est une aide financière versée aux employeurs qui la déduisent du salaire net du travailleur. Pour être porteurs de la prime, les demandeurs d’emploi inoccupés

doivent être inscrits chez Actiris depuis au moins un an ou entrer dans une autre catégorie: formation en alternance réussie, moins de 30 ans sans CESS, 57 ans et plus, etc.

[…] le gouvernement estime qu’environ 75.000 pourraient bénéficier de ce statut visant à les rendre plus attractifs sur le marché de l’emploi . Grâce à l’automatisation, le nombre d’activations de la prime Activa devrait en principe augmenter.

[…] «Dans un premier temps, le volume d’emplois risque de baisser à Bruxelles. Mais lors de la reprise, la prime Activa permettra de donner à une grande fraction de nos demandeurs d’emploi un véritable atout dans la bataille vis-à-vis des travailleurs issus des autres Régions», déclare Bernard Clerfayt, qui précise que c’est le chercheur d’emploi qui est porteur de la prime et qu’il peut donc faire valoir celle-ci auprès d’un employeur flamand ou wallon.

"Il faudra que les demandeurs d’emploi bruxellois soient en mesure de répondre aux offres d’emploi, afin de relever le taux des emplois occupés par des habitants de la Région."

Extrait de presse
Extrait de presse - Le Soir - "Rebondir vite vers l'emploi"

Extraits de l'article paru dans Le Soir

[…] Pour contrer la déferlante de nouveaux demandeurs d’emploi, le gouvernement régional a planché sur une série de mesures, portées par le Schaerbeekois, pour un total de 110 millions en moins de trois ans. Sans surprise, la première mesure concerne l’accompagnement des demandeurs d’emploi. «Nous allons améliorer la capacité d’Actiris à les accompagner », explique Bernard Clerfayt. L’office bruxellois de l’emploi recevra 1,6 million dès cette année et 8 millions par an au cours des deux prochains exercices. Ces moyens serviront notamment à renforcer ses effectifs d’agents référents.

[…] « On va aussi créer un Fonds Rebond pour accompagner les chômeurs issus des faillites », poursuit le ministre. « Il sera doté de 875.000 euros cette année et de 3,5 millions par an en 2020 et 2021 ». L’idée est d’offrir les mêmes services (formation, outplacement) aux salariés dont l’entreprise a cessé ses activités, que ceux mis en place lors d’un licenciement collectif dans le cadre de la loi Renault.

[…] Le gouvernement bruxellois renforcera également les moyens pour l’engagement d’article 60 dans les CPAS, en ciblant prioritairement les indépendants qui ont dû cesser leur activité et n’ont pas droit au chômage.

[…] Enfin, des réductions de cotisations sociales (pour 30 millions d’euros) seront octroyées sous l’étiquette «
Activa-19 » pour l’engagement des chômeurs issus de la vague post-Covid et répondant à certains critères encore à définir.

[…] Le calcul est le suivant : au moment de la reprise, il faudra que les demandeurs d’emploi bruxellois soient en mesure de répondre aux offres d’emploi, afin de relever le taux des emplois occupés par des habitants de la Région. « Sous Didier Gosuin, il est passé de 48,5 à 51 % », rappelle le ministre. « Nous devons encore l’améliorer. Et l’enjeu, ce sera le niveau de formation de nos demandeurs d’emploi ».

La Région bruxelloise débloque 5 millions d’euros pour les intermittents

Actualité
Salle de spectacle vide - suite à la crise, peu d'intermittents du secteur culturel ont enregitré des prestations

Artistes et intermittents n’ont le plus souvent enregistré aucune prestation durant le confinement, et la reprise est loin d’être là pour le secteur.  Ceux d’entre eux qui n’ont bénéficié d’aucune aide risquent de sombrer dans la pauvreté.

Afin de soutenir les travailleurs intermittents du secteur culturel, le Gouvernement bruxellois a dégagé une enveloppe de 5 millions d’euros pour permettre l’octroi d’une prime exceptionnelle aux intermittents du secteur de la culture selon leur situation de revenu.

«  La prime s’annonce comme une bouffée d’air pour des milliers de travailleurs du secteur qui n’ont pu bénéficier d’aucune aide ces derniers mois. Car le secteur culturel est un vecteur important d’emplois en Région bruxelloise, on y compte pas moins de 45.000 emplois directs et indirects. Ces milliers d’intermittents ne doivent pas être les oubliés de la crise. Si le fédéral trainasse, Bruxelles avance et débloque un montant important, 5 millions d’euros », explique Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi

Quelles sont les primes et les conditions d’octroi ?

En pratique, l’aide exceptionnelle de maximum 1.500 € est octroyée aux conditions suivantes :

  • 1.500 € pour le travailleur qui a perçu entre le 13 mars 2020 et le 31 mai 2020 des revenus s’élevant à moins de 775 euros;
  • 1.000 euros pour le travailleur qui a perçu durant cette même période des revenus s’élevant à moins de 1.550 euros;
  • 500 euros pour le travailleur qui aurait perçu durant cette même période des revenus s’élevant à moins de 3.100 euros.

La demande devra se faire en ligne sur le site d’Actiris, www.actiris.brussels, de la fin juillet au 16 août.