Sensibiliser les jeunes sur l’importance des sciences, de la technologie, de l’ingénierie, des arts et des mathématique

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Extrait de presse, La Capitale : "WorldSkills Belgium lance des capsules vidéo pour sensibiliser les jeunes aux STEAM

Extraits de l'article publié par La Capitale

WorldSkills Belgium, l’association belge en charge de la promotion des métiers techniques et technologiques, a dévoilé vendredi, lors d’une conférence de presse, une nouvelle campagne basée sur une série de 52 capsules vidéo. Celles-ci visent à sensibiliser les jeunes à l’importance des sciences, de la technologie, de l’ingénierie, des arts et des mathématiques (STEAM en anglais)

[…] Christie Morreale, ministre wallonne de l’Emploi et de la Formation; Valérie Glatigny, ministre de l’Enseignement supérieur francophone et Bernard Clerfayt, ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle, ont assisté - sur place ou à distance - au lancement de l’initiative. «Une preuve du soutien et de l’importance accordée par les ministres wallons et bruxellois dans les domaines de l’emploi, formation et enseignement», pour l’association.

Le néerlandais en mode emploi

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L'application Brulingua

L’étude réalisée conjointement par l’Institut bruxellois de statistique et d’analyse (IBSA) et le Bureau fédéral du Plan apporte un éclairage précieux sur l’importance de la connaissance du Néerlandais en Région de Bruxelles-Capitale. D’autant plus que « la mobilité interrégionale et des accords de coopération entre les autorités flamandes et bruxelloises visant à rendre plus d’offres d’emploi en Flandre accessibles aux Bruxellois » se sont concrétisés.

Comme le rappellent les auteurs dans leur introduction, « en 2019, près de la moitié des offres d’emploi reçues et publiées par Actiris affichait explicitement des exigences en français et en néerlandais ».

L’étude montre aussi que la maîtrise du Néerlandais est plus déterminante pour l’accès à l’emploi dans certains secteurs. « Les chercheurs d’emploi cherchant à travailler dans les domaines de la vente, de la sécurité et de l’administration publique profitent plus que les autres d’un niveau moyen ou élevé de connaissance du néerlandais. Les deux premiers secteurs entraînent plus souvent des contacts avec des clients qui en Région bruxelloise peuvent être néerlandophones. » Si l’accession à un niveau élémentaire a du sens pour tous les chercheurs d’emploi, les programmes intensifs doivent viser les chercheurs d’emploi qui « semblent profiter plus que les autres d’une connaissance du néerlandais ».

Dans leur conclusion les auteurs pointent la décision du Gouvernement « de consacrer 30 millions d’euros de son budget lié au plan de relance (sur un budget total de 395 millions d’euros) à l’amélioration des compétences numériques et linguistiques des chercheurs d’emplois. Une partie du budget prévu par le Gouvernement bruxellois devrait permettre des politiques qui visent à améliorer la connaissance du français ou du néerlandais pour des Bruxellois ne maîtrisant pas au moins une de ces deux langues. »

Formation et métiers en forte demande

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Extrait de presse, La Capitale : "Plus de 2.000 à se former pour un métier en forte demande"

Extraits de l'article publié par La Capitale

En 2021, 2.086 Bruxellois ont suivi une formation à temps plein pour un métier en forte demande.

[…] « Les stéréotypes liés au genre constituent une difficulté importante dans la problématique des métiers en pénurie. Trop souvent, nous pensons que certains secteurs sont réservés aux hommes ou aux femmes. C’est archi-faux ! Un talent est un talent peu importe son sexe. Il faut absolument travailler sur l’image des métiers », insiste le ministre Bernard Clerfayt (DéFI).

[…] Enfin, 88 % d’entre eux sont inscrits chez Actiris depuis minimum 1 an. « Pratiquement 9 Bruxellois sur 10 qui choisissent une formation pour un métier en pénurie sont des chômeurs de longue durée. C’est un signal encourageant et une preuve de la motivation de tous ces Bruxellois pour intégrer le marché de l’emploi. L’obligation de formation pour les chercheurs d’emploi de longue durée viendra renforcer leur insertion socioprofessionnelle. Plus que jamais, il faut investir dans les compétences des Bruxellois », conclut le ministre amarante.

Plus de 2.000 Bruxellois ont suivi une formation pour un métier en forte demande

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Jeunes adultes en formation professionnelle

En 2021, 2.086 Bruxellois ont suivi une formation à temps plein pour un métier en forte demande. Et suivre une formation pour l’un de ces 113 métiers, c’est pratiquement s’assurer de décrocher un emploi. Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Formation professionnelle et de l’Emploi proposera d’ailleurs à la rentrée plusieurs actions pour lutter contre les vacances d’emploi.

Travailler sur l’image des métiers en forte demande pour déconstruire les stéréotypes

Les parcours de formation sont suivis majoritairement par des hommes (68%). Les secteurs concernés peuvent expliquer cette proportion : 29% relèvent de l’informatique, 17% de la construction et 12% du secteur médical et paramédical.

« Les stéréotypes liés au genre constituent une difficulté importante dans la problématique des métiers en pénurie. Trop souvent, nous pensons que certains secteurs sont réservés aux hommes ou aux femmes. C’est archi-faux ! Un talent est un talent peu importe son sexe. Il faut absolument travailler sur l’image des métiers », insiste le Ministre Clerfayt.

Des perspectives d’emploi qui motivent les chômeurs de longue durée

88% des chercheurs d’emploi en formation sont inscrits chez Actiris depuis minimum 1 an. « Pratiquement 9 Bruxellois sur 10 qui choisissent une formation pour un métier en pénurie sont des chômeurs de longue durée. C’est un signal encourageant et une preuve de la motivation de tous ces Bruxellois pour intégrer le marché de l’emploi. L’obligation de formation pour les chercheurs d’emploi de longue durée viendra renforcer leur insertion socioprofessionnelle. Plus que jamais, il faut investir dans les compétences des Bruxellois », conclut le Ministre amarante.

Plus de 2.000 Bruxellois ont suivi une formation pour un métier en forte demande

Communiqué de presse

En 2021, 2.086 Bruxellois ont suivi une formation à temps plein pour un métier en forte demande. Et suivre une formation pour l’un de ces 113 métiers, c’est pratiquement s’assurer de décrocher un emploi. Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Formation professionnelle et de l’Emploi proposera d’ailleurs à la rentrée plusieurs actions pour lutter contre les vacances d’emploi.

Chaque année, les organismes de l’emploi publient la liste des métiers pour lesquels les employeurs font face à des difficultés de recrutement. Et chaque année, ce sont, à quelques exceptions près, les mêmes métiers qui reviennent : comptable, carreleur, maçon mais aussi infirmier ou encore magasinier.

En 2021, 2.086 Bruxellois ont suivi une formation pour l’un des 113 métiers en pénurie, dont 68% d’hommes. Une proportion importante qui s’explique notamment par les secteurs concernés. Ainsi 29% des formations suivies relèvent de l’informatique, 17% de la construction et 12% du secteur médical et paramédical.

« Les stéréotypes liés au genre constituent une difficulté importante dans la problématique des métiers en pénurie. Trop souvent, nous pensons que certains secteurs sont réservés aux hommes ou aux femmes. C’est archi-faux ! Un talent est un talent peu importe son sexe. Il faut absolument travailler sur l’image des métiers », insiste le Ministre Clerfayt.

Par ailleurs, 26% des Bruxellois qui ont suivi une formation pour un métier en pénurie en 2021 ont un diplôme obtenu à l’étranger et non reconnu en Belgique et 50% ont au maximum leur diplôme secondaire.

Enfin, 88% d’entre eux sont inscrits chez Actiris depuis minimum 1 an. « Pratiquement 9 Bruxellois sur 10 qui choisissent une formation pour un métier en pénurie sont des chômeurs de longue durée. C’est un signal encourageant et une preuve de la motivation de tous ces Bruxellois pour intégrer le marché de l’emploi. L’obligation de formation pour les chercheurs d’emploi de longue durée viendra renforcer leur insertion socioprofessionnelle. Plus que jamais, il faut investir dans les compétences des Bruxellois », conclut le Ministre amarante.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Les secteurs en pénurie sont surtout des secteurs qui recrutent, il faut booster leur attractivité !

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Le secteur de la construction, l'un des secteurs en pénurie de main d'œuvre

Manque de candidats, des postulants n’ayant pas les bonnes qualifications, pénibilité des conditions de travail : les causes de la persistance des métiers en pénurie sont connues.

La liste officielle des fonctions critiques vient d’être publiée par view.brussels, l'Observatoire bruxellois de l'Emploi et de la Formation. Pour la plupart, ces professions y figurent depuis plusieurs années. Parmi celles-ci se trouvent entre autres le corps enseignant, le personnel soignant, les métiers du numérique ou encore de la construction.

Mais finalement, la bonne nouvelle, c’est qu’on recrute dans ces secteurs ! 85.000 chercheurs d’emploi sur le carreau, c’est trop. Et ces 113 métiers en pénurie, recèlent des jobs potentiels pour les chercheurs d’emploi qui ont la possibilité de se réorienter, de se former.

C’est pourquoi le ministre de l’Emploi Bernard Clerfayt a décidé de mobiliser les secteurs particulièrement impactés par les pénuries de main-d’œuvre. Comment ? En organisant des tables rondes par secteur. Pour quoi faire ? Pour développer une approche adaptée par secteur en associant les fédérations patronales, les syndicats, les experts du marché de l’emploi et de la formation.

Quatre rencontres ont déjà été organisées pour les secteurs de la Construction, de l’Horeca, du Numérique et de l’Industrie technologique. Il faut donner de la visibilité et de la valeur à ces métiers. Les participants aux tables rondes ont notamment émis l’idée de mettre en place un label du « meilleur » technicien, développeur, maçon, cuisinier ou encore barman.

En septembre les travaux continuent avec notamment les secteurs du Transport & Logistique et des Soins de santé.

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Tendance encourageante pour les jeunes chercheurs d’emploi

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Jeunes chercheurs d'emploi

Les Bruxellois inscrits chez Actiris comme chercheurs d’emploi sont moins nombreux qu’il y a un an, en juin 2021. Et si la diminution globale est de 3,9%, elle est plus marquée pour les jeunes de moins de 25 ans : 5,2% de chercheurs d’emploi en moins sur base annuelle. C’est ce que révèle Actiris dans un communiqué de presse paru ce lundi matin.

Pour certains jeunes, l’accès à l'emploi reste un défi à relever

Parmi les jeunes chercheurs d’emploi, certains restent cependant fragilisés pour accéder au marché du travail. En effet, si 14,6% des chercheurs d’emploi inscrits bénéficient du revenu d’intégration (CPAS), 28,3% des jeunes chercheurs d’emploi sont usagers du CPAS. Cette proportion importante de jeunes, si elle révèle l’effet négatif de la suppression des allocations d’attente, est aussi le signe des difficultés rencontrées par les jeunes de moins de 25 ans dans leur parcours d’embauche.

Pour soutenir les jeunes à la recherche d’un emploi, Actiris propose des formules spécifiques tout comme d'autres aides à l'emploi qui peuvent les concerner :

Actiris capte toujours plus d’offres d’emploi : +37,3%

Autre bonne nouvelle révélée par Actiris : le nombre d’offres d’emploi reçues directement a augmenté de 37,3% par rapport à juin 2021. La principale explication est l’amélioration de la capture des offres d’emploi de type «Intérim». En juin, Actiris enregistre 2.836 offres d’emploi reçues de type intérim alors que l’année passée ce volume était de 1.501 unités et de 141 unités en juin 2020. La reprise des secteurs impactés par les mesures sanitaires explique aussi cette augmentation.