L'emploi des bruxellois aussi en Flandre

Extrait de presse
Extrait de presse, L'Echo : "La main-d'œuvre bruxelloise demandée en périphérie".

Extraits d'un article de L'Echo :

Les tensions sur le marché de l’emploi en Flandre représentent des opportunités d’emploi pour les Bruxellois. Un accord de coopération vise à lever les freins réels et «mentaux».

[…] Si la mobilité professionnelle semble offrir u ne réponse évidente aux inadéquations existantes au sein des marchés du travail bruxellois et flamand, le niveau de qualification demeure encore un obstacle pour faire correspondre les 8.702 postes vacants de la périphérie (octobre 2021) au profil des chercheurs d’emploi bruxellois. Tout comme le niveau linguistique, le transport, la discrimination au travail, la fracture numérique et l’accueil de la petite enfance. «Il y a aussi des freins mentaux. Certains s’imaginent que la périphérie, c’est forcément loin, ou qu’il faut un diplôme de langue», ajoute le ministre bruxellois Bernard Clerfayt (DéFI)

 

Coopération VDAB - Actiris

Extrait de presse
Extraits de presse, L'Echo : "Il ne faut pas être parfaitement bilingue pour travailler en Flandre".

Extraits de l'article publié par L'Echo :

Een job, c’est aussi un job”, c’était l’intitulé de la campagne lancée par Actiris et son homologue flamand VDAB en 2020.

[…] L’initiative annoncée mardi par le ministre a le soutien de son collègue Benjamin Dalle (CD&V), ministre flamand en charge des Affaires bruxelloises, et de Bernard Clerfayt (Défi), le ministre bruxellois de l’Emploi. Selon Actiris, le nombre de demandeurs d’emploi à Bruxelles dépasse les 83 000 personnes. Il y a donc un réservoir de main-d’œuvre. […]

Accès à l’emploi des personnes d’origine étrangère : lever les obstacles

Actualité
Jeune migrant inquiet pour son avenir. L'accès à l'emploi est un parcours d'obstacles pour les personnes d'origine étrangère.

Ce 15 juin, les partenaires sociaux, les ministres régionaux et le ministre fédéral de l’emploi, se sont réunis pour travailler sur le thème de l’intégration au marché de l’emploi des personnes d'origine étrangère.

On le sait, la Belgique affiche de bien piètres résultats s’agissant du taux d’emploi des personnes d’origine étrangère. Quant à la Région Bruxelloise, elle est d’autant plus concernée, de par la concentration sur son territoire de Primo-arrivants originaires de divers pays.

Prendre appui sur les constats positifs

Lors de son intervention, Bernard Clerfayt, ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle, a rappelé les réponses apportées dans le cadre de la politique menée par la Région de Bruxelles-Capitale pour favoriser l’intégration des personnes d'origine étrangère, tout en complétant par des accents supplémentaires.

Conférence pour l'emploi 2022, débat avec les ministres régionaux

Il y a lieu pour mener un politique efficace, de prendre appui sur les constats positifs, comme le taux d’emploi en hausse pour la deuxième génération, comparé aux immigrés de la première génération. On constate aussi que l’accès à la nationalité est un facteur d’intégration, avec 10% d’actifs en plus sur le marché du travail. Le réseau social de la personne est aussi un élément important et il est donc important d’agir sur les facteurs d’exclusion.

Lever les obstacles à l’accès au marché du travail

Lever l’obstacle de la discrimination à l’embauche est certainement le premier levier. La volonté politique est constante depuis plusieurs années et les moyens ont été consolidés lors de cette législature.

  • Actiris met à disposition un guichet anti-discrimination qui informe et oriente les chercheurs d’emploi victimes de discriminations.
  • Sur base de faits de discrimination, l’Inspection Régionale de l’Emploi (IRE) peut tester un processus de recrutement suspecté discriminatoire et porter la plainte devant l’inspection SPF emploi, ou demander l’ouverture d’une enquête judiciaire.
  • La lutte contre la discrimination fait partie intégrante de tous les accords sectoriels conclus avec la Région.
  • Les procédures de tests de discrimination à l’embauche seront assouplies et les conditions d’activation de la procédure de test élargies.
  • En Région bruxelloise les aides aux entreprises sont majorées si celles-ci s’engagent à respecter la politique de la Région en matière de diversité. Pour toute entreprise de plus de 100 employés qui bénéficient de ces aides, l’adoption de la charte diversité est obligatoire.
  • La Région promeut les plans diversité dans les entreprises et les labels diversité récompensent toujours plus de lauréats.

Élargir les conditions d’accès à l’emploi

Considérer la plus-value de la contribution des travailleurs étrangers venus apporter des compétences spécifiques manquantes pour nos entreprises est le bon angle pour élargir les conditions d’accès pour toutes les personnes d’origine étrangère qui doivent accéder au marché de l’emploi. Voici quelques actions et orientations évoquées par le ministre de l’emploi :

  • l’information et l’accompagnement des personnes sur les équivalences de diplômes ;
  • la reconnaissance des compétences acquises à l’étranger par des certifications et le développement de la validation des compétences ;
  • l’élargissement des conditions d’accès aux services publics ;
  • l’introduction des compétences acquises comme critère de correspondance pour la soumission des offres aux chercheurs d’emploi ;

Le ministre de la Région de Bruxelles-Capitale Bernard Clerfayt lors du débat avec les ministres régionaux. La conférence pour l'emploi avait pour thème cette année l'accès à l'emploi des personnes d'origine étrangère.

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La certification officielle conducteur(rice) de chariot élévateur

Communiqué de presse

Ce 8 juin, des compagnies d’assurance, des entreprises, des services de prévention, des agences d’intérim se sont rencontrés, en présence du Ministre bruxellois de l'Emploi et de Formation professionnelle, Bernard Clerfayt, de la Co-Prev et d’Assuralia, afin d’informer les différents services sur les certifications officielles, francophones et néerlandophones, pour les conducteur(rice)s de chariot élévateur.

La sécurité du travailleur, de ses collègues et du matériel mis à leur disposition est essentielle. La prévention des risques professionnels, la sécurité et protection de la santé au travail est une préoccupation importante du monde des entreprises, notamment pour une meilleure protection des accidents de travail, des primes d’assurances moins élevées.

La réglementation en matière de sécurité est fixée par le Code du bien-être au travail. Le métier de conducteur(rice) de chariot élévateur est soumis à certaines obligations dans le cadre du code du bien-être au travail, les dispositions de l'article IV.3-7, 1° du code stipulent : "La conduite d'équipements de travail mobiles automoteurs, est réservée aux travailleurs qui ont reçu une formation adéquate pour la conduite sûre de ces équipements de travail ». L’employeur a l’obligation d’informer et de former ses travailleurs sur les engins utilisés dans l’entreprise ainsi que disposer de l'aptitude médicale du travailleur, constatée par le médecin du travail. Aucune ligne directrice (contenu de formation, compétences, …) ne sont prévues pour la formation.

En 2014, pour le Fonds Social Transport et Logistique (FSTL), le constat était interpellant, il y avait trop de disparités dans les compétences des travailleurs acquises dans les différentes entreprises. Ces travailleurs ne disposaient souvent pas, par ailleurs, d’une certification officielle. Parmi les attestations délivrées, il y avait des niveaux d’exigences très différents. Il y avait lieu pour le secteur de définir des critères objectifs correspondant aux exigences de sécurité dans le monde des entreprises. Le FSTL avec le soutien des secteurs tels que Alimento (Industrie alimentaire), l’IFPM Ouvriers (Industrie technologique et des constructions métalliques, mécaniques et électriques) ou Volta (Carrefour de l'électrotechnique) a alors souhaité que les compétences acquises par l’expérience ou lors de formations non diplômantes des conducteur(rice)s de chariot élévateur soient reconnues officiellement grâce au Titre de compétence et au Beroepskwalificatie via EVC.

L’objectif était d’avoir une uniformité, une qualité et une équité aussi au niveau des compétences nécessaires pour la sécurité des travailleurs, quelle que soit la région en Belgique.

Ces certifications pour les conducteur(rice)s de chariot élévateur, confirment à l’employeur que les compétences professionnelles nécessaires à l’exercice de ce métier sont bien maitrisées parce qu’elles ont été évaluées via un dispositif méthodologiquement rigoureux. Cela ne dispense pas les employeurs d’informer et de former les travailleurs à l’engin utilisé au sein de l’entreprise. Ces dispositifs s’intègrent totalement dans le cadre du code du bien-être au travail concernant les mesures en matière de sécurité des travailleurs et des engins de levage, en rencontrant complètement ses exigences. Depuis lors 2937 Titres de compétence ont été délivrés pour ce métier dans 4 Centres agrées en Wallonie et à Bruxelles. Concernant les Erkennen van verworven competenties, les Centres d’examen du VDAB reçoivent pour leur part, plus de 350 demandes par an.

« La validation des compétences est une mesure efficace qui permet aux personnes qui n’ont pas de diplôme de voir leurs compétences officiellement certifiées et reconnues par les autorités publiques. Une mesure qui valorise les acquis des travailleurs et qui constitue un atout supplémentaire sur leur CV », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle.

Le Titre de compétence 

Grâce au dispositif mis en place en 2003, toute personne de plus de 18 ans, maitrisant des compétences professionnelles (via l’expérience ou des formations), sans avoir de certification, peut passer gratuitement une épreuve de validation des compétences (mise en situation professionnelle). Celle-ci est évaluée par un jury de professionnels d’un Centre agréé. En cas de réussite, un Titre de compétence est délivré au nom de la Région wallonne, de la Fédération Wallonie- Bruxelles et de la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale. Le Titre de compétence est une certification professionnelle reconnue par les secteurs professionnels, les services publics de l’emploi et les institutions publiques d’enseignement et la formation professionnelle. Il peut, dans certains cas, être délivré en fin de formation professionnelle.

Plus de 58.000 Titres de compétence ont été délivrés pour une cinquantaine de métiers au sein de près de 50 Centres de validation des compétences agréés à Bruxelles et en Wallonie, actifs sur une centaine de site. Ils permettent à ces personnes de trouver plus facilement un emploi (notamment dans la fonction publique), de reprendre une formation avec des dispenses, d’obtenir l’accès à la profession dans certains cas, ...

Les voies de validation des compétences en Flandre

Comme en Wallonie, il existe en Flandre, depuis 2004, la possibilité de faire valider officiellement ses compétences pour certaines professions dans des centres d'examen reconnus et d’obtenir un Beroepskwalificatie via Ervaring van Verworven Competenties.

Depuis 2019, une nouvelle législation précise que les certificats obtenus par EVC, ont le même contenu et donc la même valeur que ceux obtenus après une formation auprès d'un prestataire de formation reconnu (par exemple Education, VDAB, Syntra, etc.).

Le certificat officiel délivré prouve la compétence professionnelle aux employeurs.

Les services des préventions

En ce qui concerne spécifiquement l'utilisation des chariots élévateurs, les services externes pour la Prévention et la Protection au travail donnent des conseils sur leur utilisation correcte et sûre lors des visites d'entreprise. Dans le domaine médical, le conducteur(rice) de chariot élévateur doit consulter régulièrement le médecin du travail pour un bilan de santé, afin que son état de santé lui permette de conduire un chariot élévateur dans des conditions sûres (pour lui-même et pour son environnement) et de prévenir les dommages aux personnes, aux bâtiments, aux installations, etc. Dans le cadre de leur mission de conseil dans le domaine de la sécurité, cette organisation voit un intérêt à informer ses membres sur la certification des conducteur(rice)s de chariot élévateur. 

Les organismes d’assurance

Allianz qui fait partie d’Assuralia est un partenaire en prévention pour les entreprises assurées en Accidents du Travail. Leur mission est d’accompagner les clients motivés afin de développer, promouvoir et soutenir leur culture de prévention dans le but de réduire le nombre d’accidents du travail.

En 2020, selon la Fedris, 1.256 accidents ont impliqué des chariots élévateurs et d’autres équipements mobiles. Parmi les principaux manquements constatés par le contrôle du bien-être au travail se trouvent le manque de formation ou de surveillance médicale du conducteur(rice). La validation des compétences est donc une initiative intéressante pour la prévention

Elle permet de valoriser les compétences acquises par l’expérience. Il y a un besoin sur le terrain de reconnaissance des compétences des caristes. L’employeur reste responsable de la formation des caristes dans son environnement et avec ses équipements.

Contacts presse :

Pauline LORBAT- Porte- parole du Ministre bruxellois de l’emploi et de la formation, Bernard Clerfayt

Sébastienne MISONNE - Chargée de Communication pour le Consortium de validation des compétences

Améliorer les conditions de travail des aides-ménagères

Actualité
Aide-ménagère au travail, un métier dont la pénibilité est évidente

Alors qu’un colloque aborde la pénibilité du métier d’aide-ménagère au parlement bruxellois, Bernard Clerfayt rappelle que le but premier de la future réforme des titres-services est d’améliorer les conditions de travail des 20.000 travailleurs du secteur. Celle-ci est sur la table des partenaires sociaux avant d’être discutée en conseil des ministres.

Renforcer les liens entre l’employeur et les aides-ménagères

« Femme de ménage, c’est mal payé ! », « Ma cliente me dit que je prends trop de temps », « Ce travail, ça ne peut être que temporaire ! » … Des considérations devenues courantes, qui font écho d’un constat de pénibilité partagé depuis longtemps. Une des raisons pour lesquelles, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi, a initié une réforme des titres-services pour améliorer les conditions de travail des aides-ménagères.

Les pistes discutées avec les partenaires sociaux reposent sur le renforcement de l’accompagnement des travailleurs par l’entreprise agréée en mettant en place des moments d’échange réguliers entre employeur et aides-ménagères. Celles-ci, si elles sont rattachées à une entreprise de titres-services, n’ont en fait que très peu de contacts avec leur employeur, passant la très grande majorité de leur temps à ranger, nettoyer, repasser, chez les clients. Il s’agit d’un métier où les contacts avec la hiérarchie et entre collègues sont trop rares.

Formation et aménagement des fins de carrières des aides-ménagères

Une autre proposition consiste en l’amélioration de la formation des travailleurs, notamment en imposant un parcours de formation obligatoire lors de l’entrée en fonction.

Enfin, il faut aussi travailler sur les fins de carrière. Le métier d’aide-ménagère est un métier pénible, lourd, usant, et engendrant une fatigue physique importante. A cet effet, un budget sera dégagé pour réduire les prestations des plus de 55 ans.

Par ailleurs, DéFI est le seul parti politique à avoir demandé au Fédéral de réduire le temps de travail des aide-ménagères.

Les recettes de la fiscalité et des cotisations sociales doivent revenir aux Régions

« Une septième réforme de l’État doit corriger le financement pervers des titres-services. La dotation versée par le Fédéral pour compenser le financement du système est fixée à l’origine et simplement indexée sur l’inflation et la croissance. Alors que l’usage des titres augmente, que cela génère des recettes fiscales et sociales qui profitent à l’État Fédéral, ce sont les Régions qui financent seules le remboursement des titres ! Une septième réforme de l’État doit corriger cela et organiser un effet retour des recettes fiscales et sociales vers les Régions », conclut Bernard Clerfayt.

Améliorer les conditions de travail des aide-ménagères : c’est ce que veut Bernard Clerfayt !

Communiqué de presse

Alors qu’un colloque aborde la pénibilité du métier des aide-ménagères ce jeudi au parlement bruxellois, Bernard Clerfayt rappelle que le but premier de la future réforme des titres-services est d’améliorer les conditions de travail des 20.000 travailleurs du secteur. Celle-ci est sur la table des partenaires sociaux avant d’être discutée en Conseil des Ministres. Explications.

« Femme de ménage, c’est mal payé ! », « Ma cliente me dit que je prends trop de temps », « Ce travail, ça ne peut être que temporaire ! » … Des phrases classiques dans la bouche des aide-ménagères. C’est sur base de ce constat, partagé depuis longtemps et par tous, que Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi, a initié une réforme des titres-services pour améliorer les conditions de travail des aide-ménagères.

Les pistes discutées avec les partenaires sociaux reposent sur le renforcement de l’accompagnement des travailleurs par l’entreprise agréée en mettant en place des moments d’échange réguliers entre employeur et aide-ménagères. Les aide-ménagères, si elles sont rattachées à une entreprise de titres-services, n’ont en fait que très peu de contact avec leur employeur, passant la très grande majorité de leur temps à ranger, nettoyer, repasser, chez les clients. Il s’agit d’un métier extrêmement solitaire où les contacts avec la hiérarchie et entre collègues sont trop rares.

Une autre proposition consiste à l’amélioration de la formation des travailleurs notamment en imposant un parcours de formation obligatoire à l’entrée en fonction.

Enfin, il faut aussi travailler sur les fins de carrière. Le métier d’aide-ménagère est un métier pénible, lourd, usant engendrant une fatigue physique importante. A cet effet, un budget sera dégagé pour réduire les prestations des plus de 55 ans. Par ailleurs, DéFI est le seul parti politique à avoir demandé au Fédéral de réduire le temps de travail des aide-ménagères.

« Une septième réforme de l’Etat doit corriger le financement pervers des titres-services. La dotation versée par le Fédéral pour compenser le financement du système est fixée à l’origine et simplement indexé sur l’inflation et la croissance. Alors que l’usage des titres augmente, que cela génère des recettes fiscales et sociales qui profitent à l’Etat Fédéral, ce sont les Régions qui financent seules le remboursement des titres ! Une septième réforme de l’Etat doit corriger cela et organiser un effet retour des recettes fiscales et sociales vers les Régions », conclut Bernard Clerfayt.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Quels diplômes offrent les meilleures perspectives d’emploi?

Actualité
Illustration, representation de la recherche de perspectives.

Une étude de view.brussels publiée par Actiris fait le point sur les diplômes qui offrent le plus de perspectives d’emploi.

L’enseignement, les sciences appliquées et le paramédical ouvrent le plus d’opportunités d’emploi aux jeunes diplômés bruxellois, indique la dernière étude de view.brussels. Voici le top 5 des diplômes :

Top 5 des diplômes qui offrent les meilleures perspectives

Mais bien des domaines offrent des opportunités, y compris pour les diplômés de l’enseignement secondaire supérieur.

Taux de sortie vers l'emploi selon des domaines d'études - Enseignement secondaire supérieur

Pour les jeunes qui poursuivent leurs études avec un baccalauréat, l’enseignement obtient un taux de sortie vers l’emploi de 95,6%. Il est suivi par le paramédical (88,7%), le travail social et l’aide aux personnes (84,7%) ainsi que l’informatique (83%).

Sortie vers l'emploi selon des domaines d'études pour le niveau bachelier

Pour les niveaux master, les sciences appliquées en particulier ont un taux de sortie très élevé (93,3% ). Viennent ensuite les programmes « administration et management » (84,7%) et « droit et criminologie » (82,5%).

Taux de sortie vers l'emploi selon les domaines d'études pour le niveau master

Après la crise sanitaire

La promotion 2019 a rencontré plus de difficultés à trouver un emploi : leur taux de sortie est en moyenne plus faible (50%) que la promotion 2018 (57,8%). Mais bonne nouvelle : l’instabilité du marché de l’emploi bruxellois a incité davantage de jeunes à prolonger leurs études.

(Source : communiqué de presse d’Actiris de ce 3 juin)

Quelques liens utiles :