Disponibilité des PC portables pour les élèves

Extrait de presse

Extrait de l'article publié par Le Soir

[…] Autre option : aller frapper aux portes du secteur public. C’est la piste empruntée par le gouvernement bruxellois avec son projet « Recyle IT », lancé dans la foulée du premier confinement. A l’initiative du ministre de la Transition numérique, Bernard Clerfayt, tous les PC déclassés des administrations bruxelloises doivent désormais être confiés au Centre informatique de la Région bruxelloise (CIRB). Lequel, lorsque c’est possible, les reconditionne au profit d’élèves du secondaire dans le besoin (jusqu’ici, quelques administrations bruxelloises de bonne volonté avaient pris l’habitude de faire don de leurs anciens ordinateurs à des ASBL, mais la pratique n’était pas généralisée).
Mais là encore, mieux vaut s’armer de patience : l’offre disponible est soumise au renouvellement de leur parc informatique par les administrations. Et les ordinateurs doivent d’abord passer par la case « reconditionnement», ce qui prend du temps. Depuis la rentrée, 201 ordinateurs ont été distribués à des élèves bruxellois. « D’après les chiffres fournis par les administrations, nous savons que nous en recevrons encore 750, au plus tard au printemps 2021 », avance la porte-parole du cabinet de Bernard Clerfayt. […]

Facturation électronique : un pas de plus vers la simplification

Actualité
Facturation électronique aux administrations bruxelloises

Seules les factures sous format électronique structuré (XML) sont acceptées pour tous les marchés publics passés après le 1er novembre 2020, par les administrations et les organisations publiques régionales bruxelloises. Un saut technologique qui présente de nombreux avantages tant sur le plan environnemental qu’économique.

Les administration bruxelloises, locales et régionales, gèrent de nombreuses factures. Par exemple, la STIB traite chaque année plus de 70.000 factures, le SPRB plus de 30.000 et visit.brussels près de 7.000.

En rendant la facturation électronique obligatoire pour tous les marchés publics passés à partir du 1er novembre 2020, la Région entend simplifier non seulement le quotidien des administrations mais également de leurs fournisseurs. Cela permet de limiter les erreurs  d’encodage, d’assurer un traitement plus rapide des factures, de diminuer l’utilisation et du papier et surtout de diminuer la charge administrative des administrations et d’assurer un meilleur délai de paiement

La facturation électronique plus économique pour les administrations

Mais la facturation électronique, c’est aussi 5,77€ d’économie par facture pour les administrations destinataires, en comparaison avec le coût d’une facture papier.

« Actuellement, seuls 5% des factures sont électroniques. En imposant la facturation électronique aux entreprises qui souhaitent travailler avec les administrations publiques, ce taux va évidemment augmenter. Je veux également que la facturation électronique devienne la norme au sein des entreprises tant elle présente des avantages sur les plans pratique, environnementaux et économique.  L’objectif est que les entreprises ensuite n’utilisent plus que la facturation électronique avec l’ensemble de leurs clients », conclut Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Simplification administrative.

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Marchés publics bruxellois : un pas de plus vers la simplification

Communiqué de presse

Seules les factures sous format électronique structuré (XML) sont acceptées pour tous les marchés publics passés après le 1er novembre 2020, par les administrations et les organisations publiques régionales bruxelloises. Un saut technologique qui présente de nombreux avantages tant sur le plan environnemental qu’économique.

Les administration bruxelloises, locales et régionales, gèrent de nombreuses factures. Par exemple, la STIB traite chaque année plus de 70.000 factures, le SPRB plus de 30.000 et visit.brussels près de 7.000.

En rendant la facturation électronique obligatoire pour tous les marchés publics passés à partir du 1er novembre 2020, la Région entend simplifier non seulement le quotidien des administrations mais également de leurs fournisseurs. Cela permet de limiter les erreurs  d’encodage, d’assurer un traitement plus rapide des factures, de diminuer l’utilisation et du papier et surtout de diminuer la charge administrative des administrations et d’assurer un meilleur délai de paiement

Mais la facturation électronique, c’est aussi 5,77€ d’économie par facture pour les administrations destinataires, en comparaison avec le coût d’une facture papier.

« Actuellement, seuls 5% des factures sont électroniques. En imposant la facturation électronique aux entreprises qui souhaitent travailler avec les administrations publiques, ce taux va évidemment augmenter. Je veux également que la facturation électronique devienne la norme au sein des entreprises tant elle présente des avantages sur les plans pratique, environnementaux et économique.  L’objectif est que les entreprises ensuite n’utilisent plus que la facturation électronique avec l’ensemble de leurs clients », conclut Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Simplification administrative.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45

Un millier de PC pour les écoles

Extrait de presse

Extraits de l'article paru dans Metro

Dès le mois d’avril, ce dernier avait annoncé mettre 117 ordinateurs portables à disposition d’élèves socialement vulnérables. En juillet dernier, le gouvernement bruxellois s’accordait pour dégager un montant de plus de 3,2 millions €, dont près de 360.000 € en 2020, afin d’acheter du matériel informatique à mettre à disposition d’élèves issus de quartiers défavorisés. « 670 ordinateurs portables ont déjà été distribués durant le mois d’octobre. Juste à temps pour faire face au basculement vers un enseignement à distance », précise l’exécutif régional.

Près de 1000 PC distribués dans les écoles secondaires bruxelloises depuis le début de la crise

Communiqué de presse

Dès ce mercredi, les cours de l’enseignement secondaire se donnent entièrement à distance. Une situation qui remet sur l’avant-scène les besoins d’une école numérique mais également la nécessité d’un matériel scolaire 2.0 pour les élèves. En Région bruxelloise, le Plan de relance débloque près de 3,2 millions d’euros pour équiper les enfants et adolescents.

La crise sanitaire et le confinement du printemps dernier ont rappelé à l’enseignement le nécessaire basculement vers une école plus numérique.  Et la fin des cours en présentiel dès ce mercredi dans l’enseignement secondaire rappelle l’urgence de développer toujours plus les compétences numériques du corps enseignant mais également des élèves.

« Contribuer à renforcer l’usage du numérique dans l’enseignement demeure une priorité pour la Région. Durant cette période de crise sanitaire, prendre part à l’effort collectif des pouvoirs publics, en soutien aux Communautés, pour fournir du matériel informatique aux élèves en précarité numérique sonne donc comme une évidence sous peine de les voir décrocher totalement », déclare le Ministre-Président Rudi Vervoort.

Dès le mois d’avril, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition Numérique annonçait mettre à disposition d’élèves socialement vulnérables, 117 ordinateurs portables. En juillet dernier, avec Rudi Vervoort Ministre-Président bruxellois, ils obtenaient l’accord du gouvernement pour dégager un montant de plus de 3,2 millions d’euros, dont près de 360.000 euros en 2020, afin d’acheter du matériel informatique à mettre à disposition d’élèves issus de quartiers défavorisés.  670 ordinateurs portables, des Chromebook, ont déjà été distribués durant le mois d’octobre. Juste à temps pour faire face au basculement vers un enseignement à distance.

Au total 67 écoles (53 francophones et 14 néerlandophones) bénéficieront de cette initiative en 2020. Cet opération a été coordonnée en collaboration avec le Service école de perspective.brussels,  la Vlaamse Gemeentschap Commissie  et le Centre Informatique de la Région Bruxelloise.

« La crise du Covid-19 est un accélérateur de tendances. La plus forte d’entre elles : le numérique.  Le matériel scolaire 2.0, ce n’est plus le crayon gris, le cahier quadrillé et la gomme. Aujourd’hui, beaucoup de nos élèves ont besoin d’ordinateur pour continuer à apprendre. L’accès à un matériel informatique performant devient ainsi un droit que nous devons leur garantir », conclut Bernard Clerfayt.

Parallèlement, la Région bruxelloise continue son projet « Recycle IT » qui vise à reconditionner le matériel informatique déclassé par les administrations bruxelloises afin d’être réparti dans des écoles bruxelloises à indice socioéconomique faible. Depuis le mois de septembre, 201 PC ont déjà été redistribués.

Plus d’infos ?
Nancy Ngoma – Cabinet Vervoort – 0477 75 65 82
Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45

Le numérique dans l’enseignement exige des aides concrètes: + de 1000 PC distribués

Actualité
Le numérique dans l'enseignement doit devenir un droit pour tous

Dès ce mercredi, les cours de l’enseignement secondaire se donnent entièrement à distance. Une situation qui remet sur l’avant-scène les besoins d’une école numérique mais également la nécessité d’un matériel informatique pour les élèves. En Région bruxelloise, le Plan de relance débloque près de 3,2 millions d’euros pour étendre l’usage du numérique dans l’enseignement.

La crise sanitaire et le confinement du printemps dernier ont rappelé le nécessaire basculement vers une école plus numérique.  Et la fin des cours en présentiel dans l’enseignement secondaire dès ce mercredi 28 octobre rappelle l’urgence de développer toujours plus les compétences numériques du corps enseignant mais également des élèves.

Le numérique dans l’enseignement accessible pour tous

Dès le mois d’avril, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition Numérique annonçait mettre à disposition d’élèves socialement vulnérables, 117 ordinateurs portables.

En juillet dernier, avec Rudi Vervoort, Ministre-Président bruxellois, ils obtenaient l’accord du gouvernement pour dégager un montant de plus de 3,2 millions d’euros, dont près de 360.000 euros en 2020, afin d’acheter du matériel informatique à mettre à disposition d’élèves issus de quartiers défavorisés.  670 ordinateurs portables, des Chromebook, ont déjà été distribués durant le mois d’octobre. Juste à temps pour faire face au basculement vers un enseignement à distance.

Au total 67 écoles (53 francophones et 14 néerlandophones) bénéficieront de cette initiative en 2020. Cet opération a été coordonnée en collaboration avec le Service école de perspective.brussels,  la Vlaamse Gemeenschapscommissie  et le Centre Informatique de la Région Bruxelloise. 

« La crise du Covid-19 est un accélérateur de tendances. La plus forte d’entre elles : le numérique.  Le matériel scolaire 2.0, ce n’est plus le crayon gris, le cahier quadrillé et la gomme. Aujourd’hui, beaucoup de nos élèves ont besoin d’ordinateur pour continuer à apprendre. L’accès à un matériel informatique performant devient ainsi un droit que nous devons leur garantir », conclut Bernard Clerfayt.

Recyclage du matériel informatique

Parallèlement, la Région bruxelloise continue son projet « Recycle IT » qui vise à reconditionner le matériel informatique déclassé par les administrations bruxelloises afin d’être réparti dans des écoles bruxelloises à indice socioéconomique faible. Depuis le mois de septembre, 201 PC ont déjà été redistribués.

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Un nouveau centre pour se former dans le numérique

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Le centre Emploi-Formation dans le secteur numérique : Digitalcity

Que l’on soit à la recherche d’un collaborateur, d’un emploi ou d’une formation, Digitalcity.brussels devient la référence dans le secteur du numérique. Plus de 2 500 m², 17 salles de cours et une équipe de 25 experts pour former les talents de demain et anticiper les besoins RH des entreprises.

Une étude de view.brussels, parue début 2020, indique que les trois profils les plus recherchés sur le marché de l’emploi bruxellois sont : analyste-programmeur, technicien helpdesk et consultant informatique. Par ailleurs, la liste des métiers en pénurie compte de nombreuses fonctions dans le numérique. Agoria estime que la digitalisation de notre société va entraîner la création de 800.000 postes de travail.  

Un Pôle Formation Emploi pour se former dans le numérique

Pour faire face à un besoin de main d’œuvre grandissant, accéléré par la crise du Covid-19, la Région bruxelloise a décidé de miser sur une structure unique et inédite rassemblant le secteur professionnel et les services publics de l’emploi et de la formation. Voici le Pôle Formation Emploi pour se former dans le numérique : Digitalcity.brussels. 

Non seulement Digitalcity.brussels formera les talents aux compétences actuellement recherchées sur le marché de l’emploi, mais il devra aussi anticiper les besoins des entreprises. En effet, les métiers du numérique sont en constante évolution et nécessitent des mises à jour ou des remises à niveau tout au long d’une carrière professionnelle.

« La crise est un accélérateur de tendance. La plus forte d’entre-elles est la digitalisation de tous les aspects de notre société. En Région bruxelloise, nous avons décidé de ne pas seulement assister à cette véritable ruée vers le digital mais de faire en sorte que les Bruxellois en soient des acteurs. Digitalcity.brussels ambitionne de devenir la référence en matière de métiers numériques à Bruxelles et s’adresse à ceux qui veulent se lancer ou se spécialiser dans le secteur. L’accent sera évidemment mis sur la formation : nous devons proposer des formations de pointe afin de devenir un interlocuteur crédible », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation.

De l’importance de talents formés dans le numérique

Bruxelles, c’est aussi la capitale des PME. La création de start-ups et de petites entreprises, surtout dans le domaine des technologies, est en pleine explosion. Une étude de "start-up.be" indique que, depuis 2010, plus de 400 entreprises actives dans le secteur numérique se sont établies en Région bruxelloise, créant plus de 3.000 emplois. Et selon le même rapport, le recrutement reste le plus grand challenge de ces startups.

D’après un rapport d’Agoria de 2018, intitulé « la digitalisation et le marché du travail belge », si aucune solution n’est mise en place, « l’écart entre l’offre et la demande se creusera encore jusqu’en 2030 ».

Par ailleurs, la chasse aux compétences digitales n'est plus l’apanage des seules entreprises technologiques. Aujourd’hui, les recruteurs sont à la recherche de candidats de plus en plus polyvalents. On demande désormais aux employés d’avoir des compétences en droit, en communication, en management... et bien sûr dans la sphère numérique, provoquant une véritable guerre des talents.

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