L’Union Saint-Gilloise et la Région bruxelloise s’associent pour améliorer le bien-être des animaux

Communiqué de presse

A l’approche de l’été, le nombre d’abandon de chiens et de chats explosent. Le départ en vacances est d’ailleurs le principal motif invoqué pour abandonner son animal. En 2021, 2.822 chats et 628 chiens ont été abandonnés ou trouvés sur la voie publique en Région bruxelloise.   Et cette année, le club de football de l’Union Saint-Gilloise s’associe à la Région bruxelloise pour sensibiliser tous les Bruxellois aux responsabilités endossées quand on adopte (ou achète) un animal de compagnie.

Déménagement, séparation, bêtises à répétition, mode de vie incompatible avec celui de son maître… Il existe de nombreuses raisons, pas souvent excusables, pour abandonner son animal de compagnie. Les départs en vacances génèrent chaque année un pic d’abandons.  Il est donc important de rappeler que les animaux ne sont pas des produits dont on se débarrasse quand on le souhaite.

C’est d’ailleurs le message de la campagne de communication qui se déroulera tout l’été. Et cette année, le club de football de l’Union Saint-Gilloise s’associe à la Région bruxelloise pour sensibiliser tous les Bruxellois au bien-être animal et à la lutte contre l’abandon d’animaux.

« Les animaux sont des compagnons géniaux. Ils nous procurent tellement d’amour lorsque l’on prend soin d’eux. Et donc, plutôt qu’acheter un animal, optez pour l’adoption d’un animal en refuge. Adopter un animal, c’est le plus beau cadeau que vous pouvez lui faire. J’encourage tout le monde à adopter un animal », déclare Christian Burgess, défenseur de l’Union Saint-Gilloise.  

En 2021, 2.822 chats et 628 chiens ont été abandonnés ou trouvés sur la voie publique en Région bruxelloise, ainsi que 89 lapins et 20 reptiles.  Parallèlement 619 chiens, 2.253 chats, 79 lapins et 14 reptiles ont été adoptés. Parmi les races de chiens les plus présentes au sein des refuges, on retrouve l’American Staffordshire et le Berger malinois. Ces grands chiens doivent bénéficier d’une éducation sérieuse et adaptée à leurs besoins, et attendent en refuge plusieurs mois, parfois plusieurs années, un nouveau maître capable de s’occuper d’eux.

« Les animaux ne sont pas des jouets. Ce sont des êtres vivants qui demandent une attention régulière, il faut en être conscient au moment de l’adoption », conclut Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Interdiction des colliers électriques

Extrait de presse
extrait de presse, Sud Presse : 'Attention si vous avez un chien et que vous habitez en région bruxelloise: les colliers électriques seront bientôt interdits"

Extraits de l'article publié par SudPresse:

Le Conseil bruxellois du bien-être animal a rendu son avis sur l'interdiction des colliers électriques, des colliers
étrangleurs et des colliers à pique.

[…] «Les colliers anti-aboiement, par exemple, sont souvent utilisés comme une solution facile, sans s'attaquer aux causes de ce comportement. Les colliers d'entraînement télécommandés sont aussi peu efficaces. Sans minutage parfait entre le comportement indésirable et le choc électrique, le chien ne parvient pas à faire l'association et pourrait développer un comportement agressif.
Et Bernard Clerfayt de conclure. « Les colliers électriques causent des souffrances inutiles et excessives aux animaux alors que d'autres méthodes éducatives existent. J'entends donc bien en interdire l'usage en Région bruxelloise dans le cadre du futur Code bruxellois du bien-être animal. Le chien est le meilleur ami de l'homme. Tâchons de nous en montrer dignes.»

La Région de Bruxelles-Capitale veut interdire les colliers électriques pour chiens

Actualité
Le collier électrique pour chien sera interdit en Région bruxelloise

Bernard Clerfayt souhaite suivre l’avis du Conseil bruxellois du bien-être animal préconisant l’interdiction des colliers électriques pour chiens. Elle devrait concerner aussi les colliers étrangleurs et les colliers à piques.

Les colliers électriques pour chiens, sources de blessures et de comportements indésirables

Peau rouge et boursouflée, fracture osseuse, lésions, trachée écrasée… l’utilisation de colliers électriques pour chiens, étrangleurs ou à piques n’est pas sans danger. Elle est depuis longtemps controversée. Plusieurs études tendent d’ailleurs à démontrer que les colliers électriques pour chiens ne sont pas plus efficaces que les techniques d’éducation positive. Les recherches prouvent que les méthodes d’éducation canine utilisant les colliers électriques induisent des risques plus élevés d’agression, de peur, d’anxiété et d’autres comportements indésirables. La qualité de la relation avec le chien en est bien évidemment altérée.

Comportements agressifs

Par exemple, les colliers électriques pour chiens anti-aboiement sont souvent utilisés comme une solution facile sans s’attaquer aux causes de ce comportement. Les colliers d’entraînement télécommandés sont aussi peu efficaces. Sans minutage parfait entre le comportement indésirable et le choc électrique, le chien ne parvient pas à faire l’association et pourrait développer un comportement agressif.

Privilégier la qualité de la relation

« Les colliers électriques causent des souffrances inutiles et excessives aux animaux alors que d’autres méthodes éducatives existent. J’entends donc bien en interdire l’usage en Région bruxelloise dans le cadre du futur Code bruxellois du Bien-être animal. Le chien est le meilleur ami de l’homme. Tâchons de nous en montrer dignes », conclut Bernard Clerfayt.

Liens utiles et autres actualités :

Le permis de détention pour les animaux domestiques

Extrait de presse
Extrait de presse, SudPresse : "Dans 15 jours, permis obligatoire pour acheter un poisson rouge!"

Extraits de l'article publié par SudPresse

Le permis de détention d’un animal de compagnie n’existe qu’en Wallonie. Il n’existe ni en Flandre, ni à Bruxelles.
Mais attention. Les Bruxellois (mais aussi les Flamands et les étrangers) qui souhaitent acquérir un animal en Wallonie devront montrer patte blanche aussi.

[…] Au cabinet du ministre bruxellois du Bien-Être animal Bernard Clerfayt (DéFI), on nous explique que la Région bruxelloise n’envisage pas d’emboîter le pas à ce fameux permis wallon.
Non à un permis automatique
« Nous n’allons pas le transposer dans notre code bruxellois du bien-être animal », indique Pauline Lorbat, porte-parole du ministre. « Octroyer un permis automatique aux plus de 18 ans n’a pas de sens à nos yeux. Par ailleurs, selon nous, le système wallon n’empêchera pas un ménage d’adopter un chien. Si Monsieur est déchu du permis, Madame produira le document… En Région bruxelloise, on planche davantage sur un permis qui ne concernerait que les espèces qui nécessitent des soins particuliers, à savoir les NAC (nouveaux animaux de compagnie). Ce permis ne serait pas automatique, mais soumis peut-être à une formation ou un petit examen. Cela permettrait d’éviter les abandons d’animaux notamment. Tout cela est à l’étude, c’est une des pistes envisagées. Mais ce permis nous paraît plus opportun que le permis de détention tel qu’il existe en Wallonie. Nous espérons atterrir pour le 1 er semestre 2023. »

Les colliers électriques bientôt interdits en Région bruxelloise

Communiqué de presse

Le Conseil bruxellois du bien-être animal a rendu son avis sur l’interdiction des colliers électriques, des colliers étrangleurs et des colliers à pique. Résultat : Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal, compte suivre intégralement cet avis et interdire ce type de colliers en Région bruxelloise.

Peau rouge et boursouflée, fracture osseuse, lésions, trachée écrasée … L’utilisation de colliers électriques, étrangleurs ou à piques n’est pas sans danger pour les chiens et est depuis longtemps controversée. Plusieurs études tendent d’ailleurs à démontrer que ce type de colliers n’est pas plus efficace que les techniques d’éducation positive pour chiens.

En effet, les recherches effectuées prouvent que les méthodes d’éducation canine utilisant les colliers électriques induisent des risques plus élevés d’agression, de peur, d’anxiété et d’autres comportements indésirables tout en diminuant la qualité de la relation avec le responsable du chien.

C’est sur base de ces constats que le Conseil bruxellois vient de rendre son avis sur l’utilisation et la vente de colliers électriques, étrangleurs ou à piques. Celui-ci recommande l’interdiction pure et simple de ce type de colliers et recommande la promotion de méthodes de dressage positives.

Par exemple, les colliers anti-aboiement sont souvent utilisés comme une solution facile sans s’attaquer aux causes de ce comportement. Les colliers d’entraînement télécommandés sont aussi peu efficaces. Sans minutage parfait entre le comportement indésirable et le choc électrique, le chien ne parvient pas à faire l’association et pourrait développer un comportement agressif.

« Les colliers électriques causent des souffrances inutiles et excessives aux animaux alors que d’autres méthodes éducatives existent. J’entends donc bien en interdire l’usage en Région bruxelloise dans le cadre du futur Code bruxellois du bien-être animal. Le chien est le meilleur ami de l’homme. Tâchons de nous en montrer dignes », conclut Bernard Clerfayt.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45

Refuges pour animaux soutenus par la Région

Extrait de presse
Extrait de presse, 7Dimanche : La Région bruxelloise soutient ses refuges

Extraits de l'article publié par 7Dimanche

[…] « Le nombre de prises en charge d’animaux, qu’ils soient trouvés sur la voie publique ou abandonnés, démontre la nécessité de poursuivre la sensibilisation des citoyens mais également l’importance du soutien à octroyer aux refuges. Il faut les aider dans la prise en charge des animaux », déclare Bernard Clerfayt (DéFI), ministre du Bien-être animal.

[…] Chaque refuge bruxellois pourra ainsi obtenir un montant allant jusqu’à 7.000 euros.

« Les refuges ne bénéficient pas de moyens budgétaires importants. Ils fonctionnent d’ailleurs tous grâce à la solidarité des citoyens et sur base de dons. Ce n’est pas normal. Ils accomplissent une mission de service public essentielle pour préserver le bien-être des animaux en détresse. Si la situation budgétaire de la Région ne nous permet pas pour l’instant d’offrir un soutien structurel aux refuges, j’espère, avec cet appel à subventions, insuffler un peu d’air frais aux refuges en leur permettant d’améliorer le bien-être des animaux », aspire Bernard Clerfayt.

Appel à subventions adressé aux refuges

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : «La Région bruxelloise soutien financièrement ses refuges».

Extraits de l'article publié par La Capitale :

La Région bruxelloise lance un nouvel appel à subventions à destination des refuges.

[…] « Le nombre de prises en charge d’animaux, qu’ils soient trouvés sur la voie publique ou abandonnés, démontre la nécessité de poursuivre la sensibilisation des citoyens mais également l’importance du soutien à octroyer aux refuges. Il faut les aider dans la prise en charge des animaux », déclare Bernard Clerfayt (DéFI), ministre du Bien-être animal. […]

« […] Si la situation budgétaire de la Région ne nous permet pas pour l’instant d’offrir un soutien structurel aux refuges, j’espère, avec cet appel à subventions, insuffler un peu d’air frais aux refuges en leur permettant d’améliorer le bien-être des animaux.» […]