62% de chats dans les refuges bruxellois: "Il faut renforcer la stérilisation"

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62% de chats dans les refuges bruxellois

5.876 animaux sont passés par les refuges bruxellois en 2021. Voilà ce qui ressort du rapport annuel de Bruxelles Environnement comprenant les statistiques des refuges de la Région bruxelloise. On découvre d'ailleurs que parmi les pensionnaires, le chat reste l'espèce la plus représentée (62%). Fort de ce constat, le Ministre bruxellois du Bien-être animal entend bien renforcer sa politique de lutte contre la prolifération des chats.

Renforcer la stérilisation des chats

En 2021, 5.876 animaux  sont passés par  les refuges bruxellois dont plus de la moitié sont des félins. Un nombre toujours trop élevé même s’il diminue depuis plusieurs années. Un pic de prise en charge peut, comme les années précédentes, être relevé pendant l’été. On constate que la majorité d’entre eux trouvent un foyer et son adoptés (61%). On relève également une hausse du  pourcentage de chats déjà stérilisés au moment de leur prise en charge.

« Si on constate une amélioration avec 18% de chats qui arrivent castrés au refuge, contre 11% en 2018, le nombre de chats pris en charge reste beaucoup trop élevé. Pour éviter une vie de misère à des milliers de chats, il n’y a qu’une solution : la stérilisation. Une nouvelle campagne de sensibilisation sera menée en 2023 ainsi qu’un renforcement des moyens à disposition des refuges et des communes en vue d’obtenir, à terme, une réduction significative de la population de chats », déclare le Ministre bruxellois du Bien-être animal.

Moins d'euthanasies 

Notons que du côté des euthanasies, toutes espèces confondues, on peut remarquer une baisse continue des chiffres. Les refuges précisent d'ailleurs qu’elle est pratiquée, dans 99% des cas, compte tenu de l’état de santé de l’animal.

 

Bilan 2021 des refuges bruxellois : 62% des pensionnaires sont des chats

Communiqué de presse

Bruxelles Environnement a publié son rapport annuel comprenant les statistiques des refuges de la Région bruxelloise. 5.876 animaux sont passés par les refuges bruxellois en 2021 : un nombre qui n’a jamais été aussi bas depuis 2015. Comme chaque année, le chat tient le haut du classement et reste donc l’espèce que l’on retrouve le plus souvent en refuge. Fort de ce constat, le Ministre bruxellois du Bien-être animal entend bien renforcer sa politique de lutte contre la prolifération des chats.

La Région bruxelloise compte actuellement neuf refuges dont sept accueillent des chats. En 2021, 5.876 animaux  sont passés par  les refuges bruxellois dont 62% sont des félins. Un nombre toujours trop élevé même s’il diminue depuis 2019. Un pic de prise en charge peut, comme les années précédentes, être relevé pendant l’été. On constate que la majorité d’entre eux trouvent un foyer et son adoptés (61%). On relève également une hausse du  pourcentage de chats déjà stérilisés au moment de leur prise en charge.

« Si on constate une amélioration avec 18% de chats qui arrivent castrés au refuge, contre 11% en 2018, le nombre de chats pris en charge reste beaucoup trop élevé. Pour éviter une vie de misère à des milliers de chats, il n’y a qu’une solution : la stérilisation. Une nouvelle campagne de sensibilisation sera menée en 2023 ainsi qu’un renforcement des moyens à disposition des refuges et des communes en vue d’obtenir, à terme, une réduction significative de la population de chats »», déclare le Ministre bruxellois du Bien-être animal.

Après le chat, ce sont successivement, les oiseaux (19%) et les chiens (14%)que l’on retrouve le plus souvent dans les refuges. Une bonne nouvelle concerne les canidés puisque le nombre de prise en charge est en constante diminution depuis 2016 et n’a jamais été aussi bas sur ces deux dernières années. Environ 75% de nos amis à quatre pattes ont en outre eu la chance de trouver une nouvelle famille.

Autre constatation : le nombre d’euthanasies, toutes espèces confondues, poursuit sa décroissance. Les refuges précisent qu’elle est pratiquée, dans 99% des cas, compte tenu de l’état de santé de l’animal.

Contact 

Marine Deschouwer - 0498/148448

Campagne de sensibilisation à la lutte contre l'abandon

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : "Adopter un animal, c'est prendre un engagement"

Extrait de l'article publié par La Capitale

À l’occasion de la journée mondiale des animaux le 4 octobre, la Région bruxelloise, avec le club de football de l’Union Saint-Gilloise, sensibilise davantage les Bruxellois à la lutte contre l’abandon d’animaux.

[…]  le ministre bruxellois du Bien-être animal s’est dernièrement associé au club de football de l’Union Saint-Gilloise, afin de mettre en place une campagne de lutte contre l’abandon des animaux.

[…] « Les animaux méritent qu’on prenne soin d’eux. Décider d’adopter un chien ou un chat, c’est prendre un engagement. Alors, ce 4 octobre, célébrons nos compagnons qui, eux, ne dérogent jamais à leur unique devoir : nous rendre heureux », déclare Bernard Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois du Bien-être Animal.

Journée mondiale des animaux : ensemble avec l’Union Saint-Gilloise

Actualité
Pour combattre ce phénomène, le Ministre bruxellois du Bien-être animal s’est dernièrement associé au club de football de l’Union Saint-Gilloise, afin de mettre en place une campagne de lutte contre l'abandon des animaux. Le but ? Rappeler que les animaux ne sont pas des produits dont on se débarrasse quand on le souhaite.

Lutter contre l’abandon, c’est l’objectif de la dernière campagne menée par le Ministre Bernard Clerfayt, avec le club de football de l’Union Saint-Gilloise. Aujourd’hui nous célébrons la journée mondiale des animaux, le Ministre veut sensibiliser chacun à l’engagement pris vis-à-vis de l’animal adopté.

« Les animaux méritent qu’on prenne soin d’eux. Décider d’adopter un chien ou un chat, c’est prendre un engagement. Alors, ce 4 octobre, célébrons nos compagnons qui, eux, ne dérogent jamais à leur unique devoir : nous rendre heureux », déclare le Ministre bruxellois du Bien-être Animal.

Les animaux ne sont pas des produits

Alors que les ménages sont touchés de plein fouet par l’augmentation du coût de la vie, les animaux sont, eux aussi, victimes de cette crise. Pour certains, la solution est d’abandonner leur compagnon en rompant l’engagement auquel ils s’étaient tenus lors de l’adoption.

Pour combattre ce phénomène, le Ministre bruxellois du Bien-être animal s’est dernièrement associé au club de football de l’Union Saint-Gilloise, afin de mettre en place une campagne de lutte contre l'abandon des animaux. Le but ? Rappeler que les animaux ne sont pas des produits dont on se débarrasse quand on le souhaite.

Les acteurs de terrain font, eux aussi, partie du projet puisque la SRPA Veeweyde, Help Animals et la Croix Bleue participent activement à la campagne. Dernièrement, les joueurs se sont d’ailleurs rendus dans les différents refuges, afin de rencontrer les pensionnaires et les aider à trouver une famille.

Il y a peu, les chiens ont également été conviés à un shooting photos avec leur joueur préféré. Ces moments de partage ont été immortalisés sur des cartes de format panini comprenant toutes les informations utiles pour faciliter l’adoption. On peut retrouver ces dernières dans les refuges participants ainsi qu’à l’Union Saint-Gilloise.

Journée mondiale des animaux : «Adopter un animal, c’est prendre un engagement»

Communiqué de presse

Ce 4 octobre, nous célébrons la journée mondiale des animaux. L’occasion de sensibiliser davantage les Bruxellois à la lutte contre l’abandon d’animaux. C’est d’ailleurs le but de la dernière campagne menée par le Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt en association avec le club de football de l’Union Saint-Gilloise.  

Alors que les ménages sont touchés de plein fouet par l’augmentation du coût de la vie, les animaux sont, eux aussi, victimes de cette crise. Pour certains, la solution est d’abandonner leur compagnon en rompant l’engagement auquel ils s’étaient tenus lors de l’adoption.

Pour combattre ce phénomène, le Ministre bruxellois du Bien-être animal s’est dernièrement associé au club de football de l’Union Saint-Gilloise, afin de mettre en place une campagne de lutte contre l'abandon des animaux. Le but ? Rappeler que les animaux ne sont pas des produits dont on se débarrasse quand on le souhaite.

Les acteurs de terrain font, eux aussi, partie du projet puisque la SRPA Veeweyde, Help Animals et la Croix Bleue participent activement à la campagne. Dernièrement, les joueurs se sont d’ailleurs rendus dans les différents refuges, afin de rencontrer les pensionnaires et les aider à trouver une famille.

Il y a peu, les chiens ont également été conviés à un shooting photos avec leur joueur préféré. Ces moments de partage ont été immortalisés sur des cartes de format panini comprenant toutes les informations utiles pour faciliter l’adoption. On peut retrouver ces dernières dans les refuges participants ainsi qu’à l’Union Saint-Gilloise.

« Les animaux méritent qu’on prenne soin d’eux. Décider d’adopter un chien ou un chat, c’est prendre un engagement. Alors, ce 4 octobre, célébrons nos compagnons qui, eux, ne dérogent jamais à leur unique devoir : nous rendre heureux », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être Animal.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Bernard Clerfayt invité de l’émission «+d’actu» sur BX1

Extrait de presse
Le Ministre de la Région de Bruxelles Capitale Bernard Clerfayt était l'invité de l'émission +d'actu sur BX1

Nous rapportons ci-dessous quelques extraits de l’intervention du Ministre sur le plateau de BX1 dans le cadre de l’émission +d’actu du 16 septembre 2022. L’interview complète est disponible sur le site de BX1.

Maîtriser notre consommation énergétique

La crise énergétique est insupportable pour tout le monde et plus spécialement pour les ménages précarisés. Il est essentiel de trouver des solutions pour gérer le prix de l’électricité, le prix du gaz. Je plaide pour qu’il y ait un chèque énergie. […]

L’enjeu c’est donc la charge énergétique. Pour le locataire précaire, ce qui est important […] c’est de ramener la facture énergétique à des niveaux normaux. Il faut que les propriétaires soient encouragés à faire des travaux économiseurs d’énergie pour que, le plus vite possible, la facture diminue. […] Sanctionner un propriétaire en bloquant l’indexation des loyers sans qu’il y ait de possibilité de faire des travaux économiseurs d’énergie, cela ne sert à rien. Si en bloquant les loyers on réduit l’offre de logements, ce sont les locataires précarisés qui payeront plus cher.

Good Move

Nous souscrivons à la philosophie. Une ville plus accueillante et plus apaisée, c’est bon pour le commerce. Les villes qui sont allées dans ce sens ont réussi à redynamiser la vie économique et sociale. Cela ne veut pas dire que dans la mise en œuvre à tel ou tel endroit il n’y ait pas parfois des erreurs. Il faut aussi un certain temps pour que tout le monde s’habitue. Mon expérience de bourgmestre me fait dire qu’il faut plusieurs mois avant de tirer des conclusions. […] Le principe du plan est de protéger les quartiers du trafic de transit. […] Il est possible cependant, avec les technologies disponibles aujourd’hui, de mettre en place des systèmes intelligents qui tiennent compte des besoins spécifiques des habitants. Cette option est sur la table à Schaerbeek.

Taux d’emploi

Bruxelles est aujourd’hui à 66% de taux d’emploi, pas 62%. Arrêtons de dire du mal quand les choses vont bien, surtout quand les choses vont mieux à Bruxelles qu’ailleurs. En 2019 le taux d’emploi était de 60% à Bruxelles. À Bruxelles on progresse de 60 à 66% quand les Wallons passent de 65 à 66% et le Flamands de 74 à 75%. Je ne me contente pas de cela. […] Nous voulons imposer un bilan de compétences. […] Aux chômeurs de longue durée, on va imposer une formation. […] Ils devront montrer que dans le cadre de leur recherche active d’emploi, ils se forment pour améliorer leur CV. […] C’est le chercheur d’emploi qui choisit sa formation, pas d’obligation de se former aux métiers en pénurie. On ne peut forcer un chercheur d’emploi à se former à un métier qu’il n’a pas envie d’exercer, cela ne sert à rien. […]

Identification et stérilisation des chats

J’impose l’identification de tous les chats. Parce que les chats qui deviennent chats errants cela pose de graves problèmes dans les quartiers. […] Je rappelle aussi que tous les chats doivent être stérilisés. Nous imposons aussi aux refuges de ne plus remettre un chat à un propriétaire s’il n’a pas été stérilisé. Si un chaton n’a plus de mère, il peut être adopté après 8 semaines, de cette manière il peut sortir du refuge.

Renforcement de la stérilisation des chats en Région de Bruxelles-Capitale

Extrait de presse
Extrait de presse, La Dernière Heure : "Tous les chats identifiés pour 2023"

Extraits de l'article paru dans La Dernière Heure

L’obligation de stérilisation pour tous les chats de plus de 6 mois, mise en place en 2018, ne suffit pas. Le ministre bruxellois chargé du Bien-être animal, Bernard Clerfayt (Défi), impulse trois nouvelles mesures pour réguler la population des chats.

[…] Aujourd’hui, une partie des chats âgés de plus de 7 ans n’est pas identifiée. En effet, l’obligation d’identification s’applique seulement aux chats nés, donnés ou vendus après 2017. À partir de janvier 2023, tous les chats qui résident en région bruxelloise, peu importe leur date de naissance, devront être pucés.

[…] “En fonction des informations reçues, des agents de Bruxelles Environnement procèdent à une visite chez le responsable et selon les constatations réalisées, un avertissement peut être établi et envoyé au responsable lui laissant un délai pour remédier aux non-conformités,” nous explique Bruxelles Environnement.
L’agence “privilégie toujours la prévention et essaye d’informer et d’inciter le contrevenant avant d’établir un procès-verbal”. Toutefois, en cas de PV, le parquet peut se saisir de l’affaire ou pas. Dans le premier cas, le propriétaire s’expose à une peine allant de 8 jours à 2 ans d’emprisonnement avec une amende de 50 à 100.000 euros. Dans le second cas, Bruxelles Environnement peut infliger une amende administrative allant de 50 euros à 62 500 euros.