Les colliers électriques bientôt interdits en Région bruxelloise

Communiqué de presse

Le Conseil bruxellois du bien-être animal a rendu son avis sur l’interdiction des colliers électriques, des colliers étrangleurs et des colliers à pique. Résultat : Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal, compte suivre intégralement cet avis et interdire ce type de colliers en Région bruxelloise.

Peau rouge et boursouflée, fracture osseuse, lésions, trachée écrasée … L’utilisation de colliers électriques, étrangleurs ou à piques n’est pas sans danger pour les chiens et est depuis longtemps controversée. Plusieurs études tendent d’ailleurs à démontrer que ce type de colliers n’est pas plus efficace que les techniques d’éducation positive pour chiens.

En effet, les recherches effectuées prouvent que les méthodes d’éducation canine utilisant les colliers électriques induisent des risques plus élevés d’agression, de peur, d’anxiété et d’autres comportements indésirables tout en diminuant la qualité de la relation avec le responsable du chien.

C’est sur base de ces constats que le Conseil bruxellois vient de rendre son avis sur l’utilisation et la vente de colliers électriques, étrangleurs ou à piques. Celui-ci recommande l’interdiction pure et simple de ce type de colliers et recommande la promotion de méthodes de dressage positives.

Par exemple, les colliers anti-aboiement sont souvent utilisés comme une solution facile sans s’attaquer aux causes de ce comportement. Les colliers d’entraînement télécommandés sont aussi peu efficaces. Sans minutage parfait entre le comportement indésirable et le choc électrique, le chien ne parvient pas à faire l’association et pourrait développer un comportement agressif.

« Les colliers électriques causent des souffrances inutiles et excessives aux animaux alors que d’autres méthodes éducatives existent. J’entends donc bien en interdire l’usage en Région bruxelloise dans le cadre du futur Code bruxellois du bien-être animal. Le chien est le meilleur ami de l’homme. Tâchons de nous en montrer dignes », conclut Bernard Clerfayt.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45

Refuges pour animaux soutenus par la Région

Extrait de presse
Extrait de presse, 7Dimanche : La Région bruxelloise soutient ses refuges

Extraits de l'article publié par 7Dimanche

[…] « Le nombre de prises en charge d’animaux, qu’ils soient trouvés sur la voie publique ou abandonnés, démontre la nécessité de poursuivre la sensibilisation des citoyens mais également l’importance du soutien à octroyer aux refuges. Il faut les aider dans la prise en charge des animaux », déclare Bernard Clerfayt (DéFI), ministre du Bien-être animal.

[…] Chaque refuge bruxellois pourra ainsi obtenir un montant allant jusqu’à 7.000 euros.

« Les refuges ne bénéficient pas de moyens budgétaires importants. Ils fonctionnent d’ailleurs tous grâce à la solidarité des citoyens et sur base de dons. Ce n’est pas normal. Ils accomplissent une mission de service public essentielle pour préserver le bien-être des animaux en détresse. Si la situation budgétaire de la Région ne nous permet pas pour l’instant d’offrir un soutien structurel aux refuges, j’espère, avec cet appel à subventions, insuffler un peu d’air frais aux refuges en leur permettant d’améliorer le bien-être des animaux », aspire Bernard Clerfayt.

Appel à subventions adressé aux refuges

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : «La Région bruxelloise soutien financièrement ses refuges».

Extraits de l'article publié par La Capitale :

La Région bruxelloise lance un nouvel appel à subventions à destination des refuges.

[…] « Le nombre de prises en charge d’animaux, qu’ils soient trouvés sur la voie publique ou abandonnés, démontre la nécessité de poursuivre la sensibilisation des citoyens mais également l’importance du soutien à octroyer aux refuges. Il faut les aider dans la prise en charge des animaux », déclare Bernard Clerfayt (DéFI), ministre du Bien-être animal. […]

« […] Si la situation budgétaire de la Région ne nous permet pas pour l’instant d’offrir un soutien structurel aux refuges, j’espère, avec cet appel à subventions, insuffler un peu d’air frais aux refuges en leur permettant d’améliorer le bien-être des animaux.» […]

Soutien financier aux refuges pour animaux

Actualité
Chien abandonné sur la chaussée - Les abandons sont plus nombreux à l'approche des vacances d'été.

La Région bruxelloise lance un nouvel appel à subventions à destination des refuges pour animaux. L’objectif est d’aider les refuges à faire face aux abandons à l’approche des vacances d’été, et d’améliorer le bien-être des animaux en refuge.

5000 animaux recueillis chaque année

9 refuges prennent en charge les animaux errants, perdus ou abandonnés. Chaque année, près de 5.000 animaux y sont recueillis, principalement des chats et des chiens mais aussi des reptiles, des rongeurs et des oiseaux.

« Le nombre de prises en charge d’animaux, qu’ils soient trouvés sur la voie publique ou abandonnés, démontre la nécessité de poursuivre la sensibilisation des citoyens mais également l’importance du soutien à octroyer aux refuges. Il faut les aider dans la prise en charge des animaux », déclare Bernard Clerfayt, ministre bruxellois du Bien-être animal.

Pour pallier à l’insuffisance de moyens des refuges pour animaux

Chaque refuge bruxellois pourra obtenir un montant allant jusqu’à 7.000 euros pour aménager leurs installations, prendre en charge des frais vétérinaires, acheter du matériel ou encore de la nourriture.

« Les refuges pour animaux ne bénéficient pas de moyens budgétaires importants. Ils fonctionnent d’ailleurs tous grâce à la solidarité des citoyens et sur base de dons. Ce n’est pas normal. Ils accomplissent une mission de service public essentielle pour préserver le bien-être des animaux en détresse. Si la situation budgétaire de la Région ne nous permet pas pour l’instant d’offrir un soutien structurel aux refuges, j’espère, avec cet appel à subventions, insuffler un peu d’air frais aux refuges en leur permettant d’améliorer le bien-être des animaux », aspire Bernard Clerfayt.

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La Région bruxelloise soutient financièrement ses refuges

Communiqué de presse

La Région bruxelloise lance un nouvel appel à subventions à destination des refuges bruxellois. L’objectif : soutenir des structures soumises à un travail intense, surtout à l’approche des vacances d’été et de la vague d’abandon qui l’accompagne, et améliorer le bien-être des animaux en refuge.

On compte en Région bruxelloise, 9 refuges agréés pour prendre en charge les animaux errants, perdus ou abandonnés. Chaque année, près de 5.000 animaux, principalement des chats et des chiens mais aussi des reptiles, des rongeurs et des oiseaux sont recueillis par les refuges bruxellois.

« Le nombre de prises en charge d’animaux, qu’ils soient trouvés sur la voie publique ou abandonnés, démontre la nécessité de poursuivre la sensibilisation des citoyens mais également l’importance du soutien à octroyer aux refuges. Il faut les aider dans la prise en charge des animaux », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal.

C’est sur base de ce constat, et du travail réalisé quotidiennement par les refuges, que la Région bruxelloise lance un appel à subventions. Chaque refuge bruxellois pourra ainsi obtenir un montant allant jusqu’à 7.000 euros.

« Les refuges ne bénéficient pas de moyens budgétaires importants. Ils fonctionnent d’ailleurs tous grâce à la solidarité des citoyens et sur base de dons. Ce n’est pas normal. Ils accomplissent une mission de service public essentielle pour préserver le bien-être des animaux en détresse. Si la situation budgétaire de la Région ne nous permet pas pour l’instant d’offrir un soutien structurel aux refuges, j’espère, avec cet appel à subventions, insuffler un peu d’air frais aux refuges en leur permettant d’améliorer le bien-être des animaux », aspire Bernard Clerfayt.

Ce subside doit permettre aux refuges d’aménager leurs installations, de prendre en charge des frais vétérinaires, d’acheter du matériel ou encore de la nourriture.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45

Un compromis à trouver pour les espaces pour chiens sans laisse

Extrait de presse
L'espace pour chiens sans laisse à Bruxelles: un casse-tête

Extraits de l'article publié par Le Soir+

Les espaces où laisser gambader son toutou ne sont pas légion dans la capitale. La récente hausse de la population canine complique encore l'équilibre à trouver avec les autres usagers.

[…] Concernant les chiens, des règles différentes cohabitent en forêt de Soignes. La Wallonie et la Flandre imposent la laisse. Bruxelles autorise les animaux en liberté, tant que ceux-ci restent « sous maîtrise ». Une notion peu claire qui laisse donc une large place à la subjectivité. Ce règlement plus souple engendre le bonheur des maîtres et de leurs toutous. Moins du côté des défenseurs de l'environnement.

La Région fait aujourd'hui état d'une biodiversité sous pression, mais aussi d'incidents avec des promeneurs. Un travail d'harmonisation entre les trois règlements régionaux figure donc sur la table. Celui-ci vise à aussi imposer la laisse à Bruxelles. Le projet a toutefois peu de chances de passer en l'état. La décision se prendra au niveau politique. Or, le ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt (DéFI), plaide vivement en faveur d'un compromis. « On est, à Bruxelles, avec un milieu extrêmement urbain et densifié. On voudrait donc maintenir ces espaces-là, mais on n'est pas sourd aux arguments pour les fermer. On a une série de propositions pour permettre un compromis », explique son cabinet.

Lire l'article sur le site Le Soir+ (payant)

Laisse obligatoire pour les chiens en forêt de Soignes ?

Extrait de presse
Bernard Clerfayt refuse la "Laisse partout" d'Alain Maron

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure

En février dernier, le ministre de l’Environnement bruxellois Alain Maron (Ecolo) annonçait vouloir s’aligner sur la Wallonie et la Flandre concernant la promenade canine en forêt de Soignes.

Bernard Clerfayt (Défi) se pose en porte-voix des signataires (de la pétition s'y opposant -ndlr) en voulant interférer dans les plans de son collègue au gouvernement, “il faut sortir de la vision binaire, trouver un équilibre” . Et d’ajouter qu’il s’agit là des besoins éthologiques du chien que de courir, creuser, renifler…

[…] Bernard Clerfayt énumère les alternatives à la “laisse partout”. D’abord, il s’agit d’améliorer la signalétique.
“Les gens ne savent pas s’ils se promènent en Flandre ou en Wallonie, et ils s’en foutent. Il faut leur proposer une signalétique claire et lisible.” Actuellement, sur le territoire bruxellois de la forêt, certaines zones imposent la laisse, d’autres non, mais la signalétique est si timide qu’elle sème la confusion. Ensuite, le ministre du Bien-être animal souhaite limiter le nombre de chiens par personne, une manière d’interdire les “dog-walkers”. “Je peux comprendre pour les familles qui ont deux ou trois chiens, par exemple, mais à partir d’un certain moment, ça commence à ressembler à une activité économique” , précise-t-il, arguant que plus il y a de chiens, plus les dommages sont perceptibles.
Dans le même esprit, le bourgmestre empêché de Schaerbeek entend qu’il faut respecter le cycle de la nature, et de la faune, menacée par la pression récréative de la forêt. “Il y a peut-être des périodes de nidification, ou de mise bas, où l’on pourrait dire que pendant un mois ou un mois et demi, les règles seront plus strictes parce que la nature l’impose.” Enfin, c’est aussi au niveau de la formation des gardes forestiers que Bernard Clerfayt souhaite appuyer.

[…] L’aboutissement d’une législation est encore loin, et les ministres doivent faire appel à des experts afin de bien cadrer les besoins éthologiques dont les négligences sont responsables de
“tous les problèmes qu’on rencontre avec des chiens en ville ”, dixit Clerfayt.