Agréation et contrôle des établissements hébergeant des animaux

Extrait de presse
89 contrôles en 3 ans en animaleries

Extraits de l'article publié par La Capitale

Ces inspections et revisites ont été menées dans les établissements agréés, a précisé récemment le ministre en charge du bien-être animal Bernard Clerfayt (DéFI) […]

« 89 inspections et revisites ont été réalisées dans les établissements agréés sur la période 2019-2022 », a répondu Bernard Clerfayt en réponse à l’élue ixelloise, qui l’interrogeait sur le nombre de contrôles effectués pour vérifier le respect de ces obligations.

Le ministre en charge du bien-être animal a également précisé que « vu le nombre élevé de contrôles réalisés et la configuration de la base de données de Bruxelles Environnement, il n’est pas possible de fournir des chiffres précis sur le nombre d’animaleries qui n’était pas en règle lors de ces contrôles » Tout en ajoutant. « Cependant, l’agrément (et son renouvellement) n’est octroyé que si l’établissement s’est conformé à l’obligation relative au système d’alarme incendie. »

[…]

Subsides aux associations protégeant les animaux

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : "Les subsides en Wallonie et à Bruxelles"

Extrait de l'article publié par La Capitale

[…] À Bruxelles, la compétence est exercée par Bernard Clerfayt (DéFI). « La situation financière des ASBL qui soumettent un dossier est systématiquement examinée et il est déjà arrivé qu’une subvention soit réduite au regard de ses finances, voire rejetée compte tenu de sa solvabilité très précaire », nous dit sa porte-parole.
Les refuges, par exemple, vivent surtout des dons. Certains ont des moyens financiers plus importants. Depuis deux ans, M. Clerfayt met à leur disposition 7.000 € maximum pour la prise en charge des animaux. « Certains refuges ne demandent rien et préfèrent laisser ces montants à d’autres ASBL. Gaia, par exemple, a des moyens financiers si importants qu’elle ne sollicite jamais de subvention. »
Sur le site openbudget.brussels, on trouve tous ces subsides. […]

Campagne pour la responsabilisation lors de l'adoption d'animaux

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : "L'union Saint-Gilloise et la Région associées pour améliorer le bien-être animal".

Extraits de l'article publié dans La Capitale

Le club de football de l’Union Saint-Gilloise s’est associé à la Région-capitale pour sensibiliser tous les Bruxellois aux responsabilités endossées quand on adopte (ou achète) un animal de compagnie.

Selon le ministre bruxellois en charge du Bien-être animal, Bernard Clerfayt (DéFI), 2.822 chats et 628 chiens,
ainsi que 89 lapins et 20 reptiles ont été abandonnés ou trouvés sur la voie publique en Région bruxelloise, l’an
dernier. Les départs en vacances génèrent chaque année un pic d’abandons.

L’Union Saint-Gilloise rejoint la Région pour lutter contre l’abandon des animaux

Actualité
L’Union Saint-Gilloise rejoint la Région pour lutter contre l’abandon des animaux

Les départs en vacances, principal motif invoqué pour abandonner son animal, génèrent chaque année un pic d’abandons. Une fois de plus, il faut rappeler que les animaux ne sont pas des produits dont on se débarrasse quand on le souhaite. C’est le message de la nouvelle campagne de lutte contre l'abandon des animaux.

Et cette année, le club de football de l’Union Saint-Gilloise s’associe à la Région bruxelloise pour sensibiliser tous les Bruxellois aux responsabilités endossées quand on adopte (ou achète) un animal de compagnie.

Un animal n'est pas un produit, c'est la campagne de cet été pour lutter contre l'abandon des animaux

« Les animaux ne sont pas des jouets. Ce sont des êtres vivants qui demandent une attention régulière, il faut en être conscient au moment de l’adoption », rappelle Bernard Clerfayt, ministre bruxellois du bien-être animal.

Abandonnés sur la voie publique !

En 2021, 2.822 chats et 628 chiens ont été abandonnés ou trouvés sur la voie publique en Région bruxelloise, ainsi que 89 lapins et 20 reptiles.  Parallèlement 619 chiens, 2.253 chats, 79 lapins et 14 reptiles ont été adoptés. Parmi les races de chiens les plus présentes au sein des refuges, on retrouve l’American Staffordshire et le Berger malinois. Ces grands chiens doivent bénéficier d’une éducation sérieuse et adaptée à leurs besoins. Ils attendent en refuge un nouveau maître capable de s’occuper d’eux durant plusieurs mois, parfois plusieurs années…

Les adopter et en prendre soin

« Les animaux sont des compagnons géniaux. Ils nous procurent tellement d’amour lorsque l’on prend soin d’eux. Et donc, plutôt qu’acheter un animal, optez pour l’adoption d’un animal en refuge. Adopter un animal, c’est le plus beau cadeau que vous pouvez lui faire. J’encourage tout le monde à adopter un animal », déclare Christian Burgess, défenseur de l’Union Saint-Gilloise.

Lutte contre l'abandon des animaux

L’Union Saint-Gilloise et la Région bruxelloise s’associent pour améliorer le bien-être des animaux

Communiqué de presse

A l’approche de l’été, le nombre d’abandon de chiens et de chats explosent. Le départ en vacances est d’ailleurs le principal motif invoqué pour abandonner son animal. En 2021, 2.822 chats et 628 chiens ont été abandonnés ou trouvés sur la voie publique en Région bruxelloise.   Et cette année, le club de football de l’Union Saint-Gilloise s’associe à la Région bruxelloise pour sensibiliser tous les Bruxellois aux responsabilités endossées quand on adopte (ou achète) un animal de compagnie.

Déménagement, séparation, bêtises à répétition, mode de vie incompatible avec celui de son maître… Il existe de nombreuses raisons, pas souvent excusables, pour abandonner son animal de compagnie. Les départs en vacances génèrent chaque année un pic d’abandons.  Il est donc important de rappeler que les animaux ne sont pas des produits dont on se débarrasse quand on le souhaite.

C’est d’ailleurs le message de la campagne de communication qui se déroulera tout l’été. Et cette année, le club de football de l’Union Saint-Gilloise s’associe à la Région bruxelloise pour sensibiliser tous les Bruxellois au bien-être animal et à la lutte contre l’abandon d’animaux.

« Les animaux sont des compagnons géniaux. Ils nous procurent tellement d’amour lorsque l’on prend soin d’eux. Et donc, plutôt qu’acheter un animal, optez pour l’adoption d’un animal en refuge. Adopter un animal, c’est le plus beau cadeau que vous pouvez lui faire. J’encourage tout le monde à adopter un animal », déclare Christian Burgess, défenseur de l’Union Saint-Gilloise.  

En 2021, 2.822 chats et 628 chiens ont été abandonnés ou trouvés sur la voie publique en Région bruxelloise, ainsi que 89 lapins et 20 reptiles.  Parallèlement 619 chiens, 2.253 chats, 79 lapins et 14 reptiles ont été adoptés. Parmi les races de chiens les plus présentes au sein des refuges, on retrouve l’American Staffordshire et le Berger malinois. Ces grands chiens doivent bénéficier d’une éducation sérieuse et adaptée à leurs besoins, et attendent en refuge plusieurs mois, parfois plusieurs années, un nouveau maître capable de s’occuper d’eux.

« Les animaux ne sont pas des jouets. Ce sont des êtres vivants qui demandent une attention régulière, il faut en être conscient au moment de l’adoption », conclut Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Interdiction des colliers électriques

Extrait de presse
extrait de presse, Sud Presse : 'Attention si vous avez un chien et que vous habitez en région bruxelloise: les colliers électriques seront bientôt interdits"

Extraits de l'article publié par SudPresse:

Le Conseil bruxellois du bien-être animal a rendu son avis sur l'interdiction des colliers électriques, des colliers
étrangleurs et des colliers à pique.

[…] «Les colliers anti-aboiement, par exemple, sont souvent utilisés comme une solution facile, sans s'attaquer aux causes de ce comportement. Les colliers d'entraînement télécommandés sont aussi peu efficaces. Sans minutage parfait entre le comportement indésirable et le choc électrique, le chien ne parvient pas à faire l'association et pourrait développer un comportement agressif.
Et Bernard Clerfayt de conclure. « Les colliers électriques causent des souffrances inutiles et excessives aux animaux alors que d'autres méthodes éducatives existent. J'entends donc bien en interdire l'usage en Région bruxelloise dans le cadre du futur Code bruxellois du bien-être animal. Le chien est le meilleur ami de l'homme. Tâchons de nous en montrer dignes.»

La Région de Bruxelles-Capitale veut interdire les colliers électriques pour chiens

Actualité
Le collier électrique pour chien sera interdit en Région bruxelloise

Bernard Clerfayt souhaite suivre l’avis du Conseil bruxellois du bien-être animal préconisant l’interdiction des colliers électriques pour chiens. Elle devrait concerner aussi les colliers étrangleurs et les colliers à piques.

Les colliers électriques pour chiens, sources de blessures et de comportements indésirables

Peau rouge et boursouflée, fracture osseuse, lésions, trachée écrasée… l’utilisation de colliers électriques pour chiens, étrangleurs ou à piques n’est pas sans danger. Elle est depuis longtemps controversée. Plusieurs études tendent d’ailleurs à démontrer que les colliers électriques pour chiens ne sont pas plus efficaces que les techniques d’éducation positive. Les recherches prouvent que les méthodes d’éducation canine utilisant les colliers électriques induisent des risques plus élevés d’agression, de peur, d’anxiété et d’autres comportements indésirables. La qualité de la relation avec le chien en est bien évidemment altérée.

Comportements agressifs

Par exemple, les colliers électriques pour chiens anti-aboiement sont souvent utilisés comme une solution facile sans s’attaquer aux causes de ce comportement. Les colliers d’entraînement télécommandés sont aussi peu efficaces. Sans minutage parfait entre le comportement indésirable et le choc électrique, le chien ne parvient pas à faire l’association et pourrait développer un comportement agressif.

Privilégier la qualité de la relation

« Les colliers électriques causent des souffrances inutiles et excessives aux animaux alors que d’autres méthodes éducatives existent. J’entends donc bien en interdire l’usage en Région bruxelloise dans le cadre du futur Code bruxellois du Bien-être animal. Le chien est le meilleur ami de l’homme. Tâchons de nous en montrer dignes », conclut Bernard Clerfayt.

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