Accueil temporaire des animaux de compagnie des réfugiés ukrainiens

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Jeune femme avec son chien - Les réfugiés ukrainiens qui peinent à trouver un logement avec leur animal de compagnie peuvent trouver une solution d'hébergement temporaire et utiliser la convention d'accueil temporaire.

Les réfugiés ukrainiens arrivés chez nous avec des animaux de compagnie peinent à trouver un logement. La présence d’animaux peut paraître plus contraignante pour les particuliers, et les centres d’accueil peuvent difficilement faire face aux besoins supplémentaires liés à la présence d’animaux. Favoriser une solution temporaire pour leurs animaux peut donc faciliter leur accès à un logement.

Accueil par les refuges et les particuliers

Les refuges bruxellois qui le peuvent tentent de répondre aux demandes des réfugiés. Les Bruxellois peuvent eux aussi aider les réfugiés ukrainiens en accueillant temporairement un animal de compagnie. Rappelons cependant que même si l’accueil est provisoire, cela exige du temps et de l’attention, de même qu’un logement adapté.

Une convention pour rassurer le maître et l’accueillant

Il manquait un cadre qui soit rassurant. C’est pourquoi le Ministre du Bien-être animal Bernard Clerfayt a suggéré la mise à disposition d’une convention d'accueil temporaire pour les animaux de compagnie. Celle-ci aidera les réfugiés ukrainiens arrivés chez nous avec un animal à trouver une solution. Elle est envoyée à tous les refuges bruxellois et à toutes les communes. Cette convention est un document de base qui peut être adapté. Elle est bilingue (FR/UK et NL/UK).

Mesures pour renforcer la stérilisation des chats en Région de Bruxelles-Capitale

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La stérilisation des chats est la solution pour éviter le pire, de trop nombreux chats errants qui courent de grands dangers dans la ville.

Malgré l’obligation de stérilisation de 2018, la surpopulation féline pose toujours problème en Région bruxelloise. Face à ce constat, Bernard Clerfayt, ministre bruxellois du Bien-être animal, a décidé de renforcer sa politique de stérilisation des chats pour une meilleure gestion de la population des chats.

Le Ministre du bien-être animal, Bernard Clerfayt, renforce la politique de stérilisation des chats :

  1. Tout chat transitant par un refuge devra désormais être stérilisé avant d’être remis à son propriétaire.
  2. Tous les chats résidant en Région bruxelloise devront être identifiés. Actuellement, l’obligation d’identification ne concerne que les chats nés après le 1er novembre 2017 ou les chats donnés et vendus après cette date. Cette mesure facilitera donc le contrôle de l’obligation de stérilisation.
  3. Il sera désormais possible, pour les refuges, de mettre à l’adoption des chatons « orphelins » (arrivés au refuge sans leur mère, dont la mère est décédée ou qui doivent être séparés de leur mère) à partir de 8 semaines, contre 13 semaines précédemment. Cela permettra notamment de libérer plus rapidement une place dans les refuges.

3600 chats accueillis dans les refuges

Le nombre de chats qui peuplent les rues de Bruxelles ne semble pas diminuer avec le temps. Ce phénomène est tel que depuis longtemps le chat est l’espèce la plus présente dans les refuges bruxellois. En 2021, ceux-ci ont accueilli 3.600 chats et 850 chiens. Faute de places, ils n’ont parfois d’autre choix que de recourir à l’euthanasie.

C’est pour endiguer ce phénomène que la stérilisation des chats a été rendue obligatoire en 2018, en Région bruxelloise, pour tous les chats dès l’âge de 6 mois. Néanmoins, la situation reste problématique. Ainsi, seul 1 chat sur 5 arrivant dans les refuges est stérilisé.

Généraliser la stérilisation des chats pour éviter le pire

« Face à la prolifération des chats, il n’y a qu’une seule solution : la stérilisation. En renforçant et complétant les mesures actuelles, je veux assurer une meilleure gestion de la population des chats. Car actuellement, ce sont eux les premières victimes de cette surpopulation. Ils naissent dans la nature ou sont abandonnés et deviennent bien souvent des chats errants qui, dans le pire des cas, doivent être euthanasiés ou, au mieux, subir les désagréments d’une vie d’errance (maladie, bagarre, famine, etc.) », détaille Bernard Clerfayt.

A noter que ces mesures ont été adoptées par le Gouvernement en première lecture. Le projet de texte doit encore passer la rampe du Conseil d’Etat avant son adoption définitive.

Face à la prolifération des chats, Bruxelles renforce sa politique de stérilisation

Communiqué de presse

Malgré l’obligation de stérilisation de 2018, la surpopulation féline pose toujours problème en Région bruxelloise. Face à ce constat, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal, a décidé de renforcer sa politique de stérilisation dans le but d’assurer une meilleure gestion de la population des chats.

Le nombre de chats qui peuplent les rues de Bruxelles ne semble pas diminuer avec le temps. Ce phénomène est tel que depuis longtemps le chat est l’espèce la plus présente dans les refuges bruxellois. En 2021, ceux-ci ont accueilli 3.600 chats et 850 chiens. Faute de places, ils n’ont parfois d’autre choix que de recourir à l’euthanasie.

C’est pour endiguer ce phénomène que la stérilisation a été rendue obligatoire en 2018, en Région bruxelloise, pour tous les chats dès l’âge de 6 mois. Néanmoins, la situation reste problématique. Ainsi, seuls 1 chat sur 5 arrivant dans les refuges est stérilisé.

Pour lutter contre la prolifération des chats, le Ministre du bien-être animal, Bernard Clerfayt, renforce la politique de stérilisation des chats :

1. Tout chat transitant par un refuge devra désormais être stérilisé avant d’être remis à son propriétaire.

2. Tous les chats résidant en Région bruxelloise devront être identifiés. Actuellement, l’obligation d’identification ne concerne que les chats nés après le 1er novembre 2017 ou les chats donnés et vendus après cette date. Cette mesure facilitera donc le contrôle de l’obligation de stérilisation.

3. Il sera désormais possible, pour les refuges, de mettre à l’adoption des chatons « orphelins » (arrivés au refuge sans leur mère, dont la mère est décédée ou qui doivent être séparés de leur mère) à partir de 8 semaines, contre 13 semaine précédemment. Cela permettra notamment de libérer plus rapidement une place dans les refuges.

« Face à la prolifération des chats, il n’y a qu’une seule solution : la stérilisation. En renforçant et complétant les mesures actuelles, je veux assurer une meilleure gestion de la population des chats. Car actuellement, ce sont eux les premières victimes de cette surpopulation. Ils naissent dans la nature ou sont abandonnés et deviennent bien souvent des chats errants qui, dans le pire des cas, doivent être euthanasiés ou, au mieux, subir les désagréments d’une vie d’errance (maladie, bagarre, famine, etc.) », détaille Bernard Clerfayt.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Agréation et contrôle des établissements hébergeant des animaux

Extrait de presse
89 contrôles en 3 ans en animaleries

Extraits de l'article publié par La Capitale

Ces inspections et revisites ont été menées dans les établissements agréés, a précisé récemment le ministre en charge du bien-être animal Bernard Clerfayt (DéFI) […]

« 89 inspections et revisites ont été réalisées dans les établissements agréés sur la période 2019-2022 », a répondu Bernard Clerfayt en réponse à l’élue ixelloise, qui l’interrogeait sur le nombre de contrôles effectués pour vérifier le respect de ces obligations.

Le ministre en charge du bien-être animal a également précisé que « vu le nombre élevé de contrôles réalisés et la configuration de la base de données de Bruxelles Environnement, il n’est pas possible de fournir des chiffres précis sur le nombre d’animaleries qui n’était pas en règle lors de ces contrôles » Tout en ajoutant. « Cependant, l’agrément (et son renouvellement) n’est octroyé que si l’établissement s’est conformé à l’obligation relative au système d’alarme incendie. »

[…]

Subsides aux associations protégeant les animaux

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : "Les subsides en Wallonie et à Bruxelles"

Extrait de l'article publié par La Capitale

[…] À Bruxelles, la compétence est exercée par Bernard Clerfayt (DéFI). « La situation financière des ASBL qui soumettent un dossier est systématiquement examinée et il est déjà arrivé qu’une subvention soit réduite au regard de ses finances, voire rejetée compte tenu de sa solvabilité très précaire », nous dit sa porte-parole.
Les refuges, par exemple, vivent surtout des dons. Certains ont des moyens financiers plus importants. Depuis deux ans, M. Clerfayt met à leur disposition 7.000 € maximum pour la prise en charge des animaux. « Certains refuges ne demandent rien et préfèrent laisser ces montants à d’autres ASBL. Gaia, par exemple, a des moyens financiers si importants qu’elle ne sollicite jamais de subvention. »
Sur le site openbudget.brussels, on trouve tous ces subsides. […]

Campagne pour la responsabilisation lors de l'adoption d'animaux

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : "L'union Saint-Gilloise et la Région associées pour améliorer le bien-être animal".

Extraits de l'article publié dans La Capitale

Le club de football de l’Union Saint-Gilloise s’est associé à la Région-capitale pour sensibiliser tous les Bruxellois aux responsabilités endossées quand on adopte (ou achète) un animal de compagnie.

Selon le ministre bruxellois en charge du Bien-être animal, Bernard Clerfayt (DéFI), 2.822 chats et 628 chiens,
ainsi que 89 lapins et 20 reptiles ont été abandonnés ou trouvés sur la voie publique en Région bruxelloise, l’an
dernier. Les départs en vacances génèrent chaque année un pic d’abandons.

L’Union Saint-Gilloise rejoint la Région pour lutter contre l’abandon des animaux

Actualité
L’Union Saint-Gilloise rejoint la Région pour lutter contre l’abandon des animaux

Les départs en vacances, principal motif invoqué pour abandonner son animal, génèrent chaque année un pic d’abandons. Une fois de plus, il faut rappeler que les animaux ne sont pas des produits dont on se débarrasse quand on le souhaite. C’est le message de la nouvelle campagne de lutte contre l'abandon des animaux.

Et cette année, le club de football de l’Union Saint-Gilloise s’associe à la Région bruxelloise pour sensibiliser tous les Bruxellois aux responsabilités endossées quand on adopte (ou achète) un animal de compagnie.

Un animal n'est pas un produit, c'est la campagne de cet été pour lutter contre l'abandon des animaux

« Les animaux ne sont pas des jouets. Ce sont des êtres vivants qui demandent une attention régulière, il faut en être conscient au moment de l’adoption », rappelle Bernard Clerfayt, ministre bruxellois du bien-être animal.

Abandonnés sur la voie publique !

En 2021, 2.822 chats et 628 chiens ont été abandonnés ou trouvés sur la voie publique en Région bruxelloise, ainsi que 89 lapins et 20 reptiles.  Parallèlement 619 chiens, 2.253 chats, 79 lapins et 14 reptiles ont été adoptés. Parmi les races de chiens les plus présentes au sein des refuges, on retrouve l’American Staffordshire et le Berger malinois. Ces grands chiens doivent bénéficier d’une éducation sérieuse et adaptée à leurs besoins. Ils attendent en refuge un nouveau maître capable de s’occuper d’eux durant plusieurs mois, parfois plusieurs années…

Les adopter et en prendre soin

« Les animaux sont des compagnons géniaux. Ils nous procurent tellement d’amour lorsque l’on prend soin d’eux. Et donc, plutôt qu’acheter un animal, optez pour l’adoption d’un animal en refuge. Adopter un animal, c’est le plus beau cadeau que vous pouvez lui faire. J’encourage tout le monde à adopter un animal », déclare Christian Burgess, défenseur de l’Union Saint-Gilloise.

Lutte contre l'abandon des animaux