Soutien financier aux refuges pour animaux

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Chien abandonné sur la chaussée - Les abandons sont plus nombreux à l'approche des vacances d'été.

La Région bruxelloise lance un nouvel appel à subventions à destination des refuges pour animaux. L’objectif est d’aider les refuges à faire face aux abandons à l’approche des vacances d’été, et d’améliorer le bien-être des animaux en refuge.

5000 animaux recueillis chaque année

9 refuges prennent en charge les animaux errants, perdus ou abandonnés. Chaque année, près de 5.000 animaux y sont recueillis, principalement des chats et des chiens mais aussi des reptiles, des rongeurs et des oiseaux.

« Le nombre de prises en charge d’animaux, qu’ils soient trouvés sur la voie publique ou abandonnés, démontre la nécessité de poursuivre la sensibilisation des citoyens mais également l’importance du soutien à octroyer aux refuges. Il faut les aider dans la prise en charge des animaux », déclare Bernard Clerfayt, ministre bruxellois du Bien-être animal.

Pour pallier à l’insuffisance de moyens des refuges pour animaux

Chaque refuge bruxellois pourra obtenir un montant allant jusqu’à 7.000 euros pour aménager leurs installations, prendre en charge des frais vétérinaires, acheter du matériel ou encore de la nourriture.

« Les refuges pour animaux ne bénéficient pas de moyens budgétaires importants. Ils fonctionnent d’ailleurs tous grâce à la solidarité des citoyens et sur base de dons. Ce n’est pas normal. Ils accomplissent une mission de service public essentielle pour préserver le bien-être des animaux en détresse. Si la situation budgétaire de la Région ne nous permet pas pour l’instant d’offrir un soutien structurel aux refuges, j’espère, avec cet appel à subventions, insuffler un peu d’air frais aux refuges en leur permettant d’améliorer le bien-être des animaux », aspire Bernard Clerfayt.

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La Région bruxelloise soutient financièrement ses refuges

Communiqué de presse

La Région bruxelloise lance un nouvel appel à subventions à destination des refuges bruxellois. L’objectif : soutenir des structures soumises à un travail intense, surtout à l’approche des vacances d’été et de la vague d’abandon qui l’accompagne, et améliorer le bien-être des animaux en refuge.

On compte en Région bruxelloise, 9 refuges agréés pour prendre en charge les animaux errants, perdus ou abandonnés. Chaque année, près de 5.000 animaux, principalement des chats et des chiens mais aussi des reptiles, des rongeurs et des oiseaux sont recueillis par les refuges bruxellois.

« Le nombre de prises en charge d’animaux, qu’ils soient trouvés sur la voie publique ou abandonnés, démontre la nécessité de poursuivre la sensibilisation des citoyens mais également l’importance du soutien à octroyer aux refuges. Il faut les aider dans la prise en charge des animaux », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal.

C’est sur base de ce constat, et du travail réalisé quotidiennement par les refuges, que la Région bruxelloise lance un appel à subventions. Chaque refuge bruxellois pourra ainsi obtenir un montant allant jusqu’à 7.000 euros.

« Les refuges ne bénéficient pas de moyens budgétaires importants. Ils fonctionnent d’ailleurs tous grâce à la solidarité des citoyens et sur base de dons. Ce n’est pas normal. Ils accomplissent une mission de service public essentielle pour préserver le bien-être des animaux en détresse. Si la situation budgétaire de la Région ne nous permet pas pour l’instant d’offrir un soutien structurel aux refuges, j’espère, avec cet appel à subventions, insuffler un peu d’air frais aux refuges en leur permettant d’améliorer le bien-être des animaux », aspire Bernard Clerfayt.

Ce subside doit permettre aux refuges d’aménager leurs installations, de prendre en charge des frais vétérinaires, d’acheter du matériel ou encore de la nourriture.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45

Un compromis à trouver pour les espaces pour chiens sans laisse

Extrait de presse
L'espace pour chiens sans laisse à Bruxelles: un casse-tête

Extraits de l'article publié par Le Soir+

Les espaces où laisser gambader son toutou ne sont pas légion dans la capitale. La récente hausse de la population canine complique encore l'équilibre à trouver avec les autres usagers.

[…] Concernant les chiens, des règles différentes cohabitent en forêt de Soignes. La Wallonie et la Flandre imposent la laisse. Bruxelles autorise les animaux en liberté, tant que ceux-ci restent « sous maîtrise ». Une notion peu claire qui laisse donc une large place à la subjectivité. Ce règlement plus souple engendre le bonheur des maîtres et de leurs toutous. Moins du côté des défenseurs de l'environnement.

La Région fait aujourd'hui état d'une biodiversité sous pression, mais aussi d'incidents avec des promeneurs. Un travail d'harmonisation entre les trois règlements régionaux figure donc sur la table. Celui-ci vise à aussi imposer la laisse à Bruxelles. Le projet a toutefois peu de chances de passer en l'état. La décision se prendra au niveau politique. Or, le ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt (DéFI), plaide vivement en faveur d'un compromis. « On est, à Bruxelles, avec un milieu extrêmement urbain et densifié. On voudrait donc maintenir ces espaces-là, mais on n'est pas sourd aux arguments pour les fermer. On a une série de propositions pour permettre un compromis », explique son cabinet.

Lire l'article sur le site Le Soir+ (payant)

Laisse obligatoire pour les chiens en forêt de Soignes ?

Extrait de presse
Bernard Clerfayt refuse la "Laisse partout" d'Alain Maron

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure

En février dernier, le ministre de l’Environnement bruxellois Alain Maron (Ecolo) annonçait vouloir s’aligner sur la Wallonie et la Flandre concernant la promenade canine en forêt de Soignes.

Bernard Clerfayt (Défi) se pose en porte-voix des signataires (de la pétition s'y opposant -ndlr) en voulant interférer dans les plans de son collègue au gouvernement, “il faut sortir de la vision binaire, trouver un équilibre” . Et d’ajouter qu’il s’agit là des besoins éthologiques du chien que de courir, creuser, renifler…

[…] Bernard Clerfayt énumère les alternatives à la “laisse partout”. D’abord, il s’agit d’améliorer la signalétique.
“Les gens ne savent pas s’ils se promènent en Flandre ou en Wallonie, et ils s’en foutent. Il faut leur proposer une signalétique claire et lisible.” Actuellement, sur le territoire bruxellois de la forêt, certaines zones imposent la laisse, d’autres non, mais la signalétique est si timide qu’elle sème la confusion. Ensuite, le ministre du Bien-être animal souhaite limiter le nombre de chiens par personne, une manière d’interdire les “dog-walkers”. “Je peux comprendre pour les familles qui ont deux ou trois chiens, par exemple, mais à partir d’un certain moment, ça commence à ressembler à une activité économique” , précise-t-il, arguant que plus il y a de chiens, plus les dommages sont perceptibles.
Dans le même esprit, le bourgmestre empêché de Schaerbeek entend qu’il faut respecter le cycle de la nature, et de la faune, menacée par la pression récréative de la forêt. “Il y a peut-être des périodes de nidification, ou de mise bas, où l’on pourrait dire que pendant un mois ou un mois et demi, les règles seront plus strictes parce que la nature l’impose.” Enfin, c’est aussi au niveau de la formation des gardes forestiers que Bernard Clerfayt souhaite appuyer.

[…] L’aboutissement d’une législation est encore loin, et les ministres doivent faire appel à des experts afin de bien cadrer les besoins éthologiques dont les négligences sont responsables de
“tous les problèmes qu’on rencontre avec des chiens en ville ”, dixit Clerfayt.

Le ministre Bernard Clerfayt invité du magazine d'actualité +d'Actu

Extrait de presse
Logo de +d'Actu, le magazine d'actualité de BX1

Lors de l’émission +d’Actu de BX1+ du 22 avril 2022, le ministre Bernard Clerfayt a répondu à plusieurs questions d’actualité. Voici un compte-rendu de ses réponses relatives à ses matières de compétence.

40.000 nouveaux emplois créés en 2021 d’après Actiris. Il n’y a pas eu d’effets de la crise du Covid ?

La crise du Covid a ralenti la baisse du chômage. Depuis quelques années nous avons une forte baisse du chômage […]. L’État fédéral et la Région ont dépensé beaucoup pour maintenir les entreprises fragilisées et les emplois. Ce soutien à l’activité économique crée aujourd’hui une activité économique croissante.

À Bruxelles on a des emplois mais ce ne sont pas les Bruxellois qui en profitent. Va-t-on pouvoir corriger cela ?

On a 760.000 emplois sur le territoire de la Région mais seulement la moitié sont occupés par les Bruxellois. Il y a une guerre des talents à Bruxelles. Beaucoup de navetteurs viennent postuler pour les emplois et les Bruxellois n’ont pas toujours les compétences requises pour accéder aux emplois. On a un vrai enjeu de montée en compétence, des compétences qui seront nécessaires pour les emplois de demain.

Peut-on donner du travail aux sans-papiers ?

La loi telle et la répartition des compétences entre l’État fédéral et la Région sont telles que la Région peut donner un donner un permis de travail pour un travailleur qui vient de l’étranger s’il a des compétences que l’on ne trouve pas en Région bruxelloise et qui sont essentielles pour une entreprise. Nous le faisons en accordant des milliers de permis de travail chaque année. Mais c’est l’État fédéral qui a gardé la compétence d’accorder l’accès au territoire.

Qu’en est-il des entreprises de titres-services qui demandent des suppléments au motif de l’augmentation des frais de transport ?

L’entreprise a le droit de demander des frais à ses clients, mais le client a le droit de changer d’agence dès qu’il estime que le service est trop cher. Il y en plus de 200 actives en Région bruxelloise.

À propos des titres-services, vous aviez annoncé travailler à une réforme. Où en est-on ?

Le gouvernement a approuvé une note qui encadre ce projet de réforme. Nous l’avons soumise aux partenaires sociaux et j’espère avoir une réponse au courant du mois de mai.

Le titre service coûtera 10 euros au lieu de 9 euros ?

Nous remboursons le titre-service 24 euros à l’entreprise qui paye le salaire. Chaque année cette intervention est indexée alors que l’usager paye toujours 9 euros. L’usager qui paye 9 euros reçoit un service d’une valeur de 15 euros supplémentaires. J’espère que la décision de cette réforme se fera avant l’été.

À propos de l’abattage rituel, n’y a-t-il pas un déni des autres méthodes d’abattages plus cruelles encore ?

Actuellement l’étourdissement est imposé pour tout abattage en Région bruxelloise, sauf pour raisons religieuses. Le débat est de savoir s’il convient ou pas de supprimer cette exception. La Région wallonne l’a fait et tous les partis politiques, PS, MR, CdH, Écolo, ont voté, idem pour les partis de la majorité en Flandre. Aujourd’hui la question se pose à Bruxelles. Cette question sera débattue au parlement et je voudrais que le parlement écoute toutes les parties concernées pour que les parlementaires, en âme et conscience, puissent choisir. Cette question n’est plus dans les mains du gouvernement. Je peux avoir un avis en tant que ministre du Bien-être animal et vous dire que le Conseil du Bien-être animal a émis un avis très clair sur cette question.

Une liste des objets problématiques pour le bien-être animal

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : «Poissons, la Région veut interndire la vente de bocaux».

Extraits de l'article publié par La Capitale

[…] Ce mercredi plusieurs députés ont interpellé le ministre du Bien-être animal Bernard Clerfayt (DéFI) qui planche sur la création d’un Code du Bien-être animal pour réformer la législation vieille de 35 ans. « Nous examinons, dans le cadre de l’élaboration du futur Code du Bien-être animal, une liste d’objets pour lequel nous pourrions faire une demande générale d’interdiction de commercialisation », annonce le ministre.

[…] « Par exemple, on sait que le bocal rond a un impact sur le stress des poissons. Les feux d’artifice ou certains types de collier pour chien comme les colliers électriques posent aussi question au niveau du bien-être animal. »
Pour le moment, l’utilisation de bocaux est autorisée en région bruxelloise. « On pourrait l’interdire mais on ne va pas commencer à contrôler la taille de l’aquarium dans chaque ménage. Interdire la vente de bocaux serait bien plus efficace », commente le ministre.

[…] « Notre demande sera plus forte si elle est suivie par la Région wallonne et la Région flamande », estime-t-il. Une fois la liste complète des objets « problématiques » établie, Bernard Clerfayt compte en discuter avec les autres ministres du Bien-être animal pour les convaincre d’emboîter le pas.

« Ce label a de plus en plus de succès »

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : «Schaerbeek remporte le label d'Or Commune Amie des Animaux».

Extrait de l'article publié par La Capitale

Sacrée deuxième commune bruxelloise la plus proactive en matière de bien-être animal par Gaia, Schaerbeek ajoute un nouveau titre à son palmarès. Elle a reçu le label d’Or Commune Amie des Animaux, une récompense attribuée par la Région bruxelloise.

[…] « Ce label a de plus en plus de succès », se réjouit le ministre du Bien-être animal Bernard Clerfayt (DéFI). « On se rend compte que notre rapport à la nature est une grande question fondamentale aujourd’hui et parmi les grandes questions, il y a aussi notre rapport aux animaux domestiques et en particulier les chiens. »

[…] Pour la prochaine édition, les communes devront répondre à 8 des 13 critères dont la distribution de chèques vétérinaires et le soutien à l’éducation canine. « On les a ajoutés suite aux remarques des vétérinaires et des associations qui s’inquiètent du nombre grandissant d’abandon », précise le ministre.