Bien-être animal : le problème des colliers électriques

Extrait de presse
La Région bruxelloise étudie la possibilité d'interdire les colliers électriques

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure

Le Conseil bruxellois du bien-être animal examine actuellement cette question. Cela fait suite à la décision prise par la Flandre d’interdire d’ici 2027 les colliers électriques pour chiens.

[…]  depuis des années, plusieurs associations et vétérinaires se mobilisent contre cette technique punitive et basée sur la douleur. Cet outil est considéré comme une voie royale vers la maltraitance animale. […] lorsqu’ils sont défectueux, utilisés de manière abusive ou à un niveau de puissance trop élevé, peuvent provoquer des contractions musculaires, des plaies au cou, des diarrhées, des tremblements ou encore un accroissement du niveau de stress induisant une accélération de la respiration et du rythme cardiaque », explique Jonathan de Patoul qui est également vétérinaire de formation. Il a interpellé récemment, au parlement bruxellois, le ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt (DéFI), sur la question

[…]  « En tant que telle, l’utilisation de colliers électriques n’est pas interdite en Région bruxelloise, mais son utilisation abusive est déjà incriminée par l’article 1 er de la loi de 1986.
Celui-ci interdit de faire souffrir inutilement un animal par quelque moyen que ce soit, y compris au moyen d’un collier électrique », avance le ministre du Bien-être animal. « […] Le Conseil bruxellois du bien-être animal examine actuellement cette question. Ses travaux portent également sur d’autres types de dispositifs, comme les colliers étrangleurs. Le groupe de travail constitué en son sein se compose notamment de plusieurs associations de protection animale et d’associations de vétérinaires », précise Bernard Clerfayt.

Conseils vétérinaires en vue de l'adoption ou de l'achat

Extrait de presse
Pour des chèques vétérinaire préadoption à Bruxelles

Extraits de l'article proposé par La Capitale

[…] Mettre en place des chèques vétérinaires préadoption ou préachat d’un animal. C’est la proposition avancée par le député bruxellois Jonathan de Patoul (DéFI) qui est lui-même vétérinaire de formation.
Il (Jonathan de Patoul, député bruxellois - ndlr) aimerait que cette possibilité soit introduite dans le cadre du label « Commune amie des animaux » qui demande aux communes désireuses d’obtenir ce label de respecter une série de critères en faveur du bien-être animal.

[…] « En fin d’année, nous revoyons systématiquement la liste des critères afin de la compléter, de la modifier ou de la renforcer. Votre suggestion sera prise en considération en fonction des pistes abordées. Le label est décerné chaque année, ce qui signifie qu’il n’y a pas de maintien automatique. Les communes doivent donc, d’une année à l’autre, remplir la liste des critères, à laquelle s’ajoute un nouveau critère chaque année, si elles souhaitent garder leur label et les subsides y afférents », a réagi le ministre du bien-être animal, Bernard Clerfayt (DéFI).

Matraitance animale

Extrait de presse
83 plaintes pour maltraitance animale en 2021

Extraits de l'article publié par La Capitale

[…] En 2021, 83 plaintes pour maltraitance animale ont été déposées auprès de ce service et l’ensemble des plaintes ont été jugées recevables, nous précise le cabinet du ministre Bernard Clerfayt, en charge du Bien-être animal. Un nombre stable puisqu’en 2020, 89 plaintes ont été introduites dont 87 ont été jugées recevables. Les deux autres ne concernaient pas le bien-être animal ou la région bruxelloise.

[…] Le futur code bruxellois du bien-être animal veillera à développer les outils existants en vue de prévenir et sanctionner encore plus efficacement les atteintes », commente Bernard Clerfayt (DéFI), ministre en charge du Bien-être animal.

83 plaintes pour maltraitance animale en 2021 en Région bruxelloise

Actualité
Chat victime de maltraitance

Bruxelles Environnement a enregistré 83 plaintes pour maltraitance animale en 2021, toutes ont été jugées recevables. Par ailleurs, 28 saisies pour un total de 45 animaux ont été effectuées l’année dernière en Région bruxelloise.

Il existe différents cas pour lesquels un animal peut être saisi : manque d’hygiène, sous-alimentation, maladies non-soignées, etc. En 2021, on dénombre 28 saisies pour un total de 45 animaux. Parmi ceux-ci, on trouve 35 chiens, 5 chats mais aussi un iguane, 3 grenouilles et un boa. 

Le Service Bien-être animal de Bruxelles Environnement reçoit les plaintes pour maltraitance animale

Une fois saisis, ces animaux sont généralement confiés temporairement à un refuge dans l’attente de la décision de destination. Cette décision est prise par Bruxelles Environnement et doit intervenir dans les deux mois de la saisie. Souvent, ces saisies font suite à des plaintes introduites par des citoyens auprès du service Bien-être animal de Bruxelles Environnement. En 2021, 83 plaintes ont été introduites.

«Les amendes en cas de maltraitance animale peuvent atteindre 100.000 euros»

« Dénoncer des faits de maltraitance animale est un acte important. Les plaintes permettent d’identifier des situations problématiques pour les animaux et parfois aussi pour le maître. Les inspecteurs de Bruxelles Environnement ne ménagent pas leurs efforts pour remédier à ces situations en ayant recours à des avertissements, des procès-verbaux et, en cas de nécessité, à des saisies. Notre rapport au vivant et aux animaux a énormément évolué ces dernières années et les attentes des citoyens ne cessent de croitre. C’est pourquoi, les amendes en cas de maltraitance animale peuvent atteindre 100.000 euros et le juge peut même ordonner un emprisonnement ainsi qu’une interdiction de détention. Le futur code bruxellois du bien-être animal veillera à développer les outils existants en vue de prévenir et sanctionner encore plus efficacement les atteintes. », conclut Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être Animal.

RE-Place : promouvoir les méthodes alternatives pour contribuer à limiter l'expérimentation animale

Communiqué de presse

Les Régions bruxelloise et flamande lancent une nouvelle version optimisée de la plateforme RE-Place. Cette plateforme rassemble toutes les connaissances existantes sur les méthodes alternatives à l'expérimentation animale et permet de donner une image réaliste de ce qui est possible avec ces méthodes aujourd'hui.

Il y a quelques années, les Régions bruxelloise et flamande ont uni leurs forces pour créer RE-Place, une plateforme destinée aux scientifiques et recensant les méthodes alternatives à l'expérimentation animaleRE-Place vise à promouvoir l'utilisation de méthodes de tests sans animaux en encourageant le partage des connaissances et en réunissant des experts de différentes institutions et de différents domaines de recherche. En outre, RE-Place fait office de point d'information central où trouver des informations actualisées sur les alternatives. À long terme, ce projet devrait contribuer à une réduction systématique du nombre d'expériences sur les animaux.

« Je souhaite autant que possible éviter la souffrance aux animaux d’expérience. Cela peut se faire en développant, en stimulant mais également en soutenant le recours à des méthodes alternatives. Si aujourd’hui, on connaît avec exactitude le nombre d’animaux utilisés pour la recherche scientifique, il me semble essentiel d’agir pour réduire ce nombre », déclare Bernard Clerfayt.

En Belgique, environ un demi-million d'animaux de laboratoire sont utilisés chaque année à des fins scientifiques. Ils sont le plus souvent utilisés dans la recherche biomédicale de nouvelles thérapies pour des maladies comme le cancer. En outre, l'utilisation d'animaux de laboratoire est parfois exigée par la loi, par exemple pour assurer la sécurité des médicaments et des vaccins. L'utilisation d'animaux de laboratoire est strictement contrôlée par des comités d'éthique et les administrations en charge du bien-être animal. 

Les Régions bruxelloise et flamande encouragent l'utilisation d'alternatives à l'expérimentation animale depuis plusieurs années. Et de nombreux progrès ont été réalisés au niveau européen dans le développement de méthodes d'expérimentation non-animales. Les chercheurs utilisent, entre autres, des matériaux du corps humain dans des cultures de cellules et de tissus (in vitro), ou des modèles informatiques (in silico). Ces nouvelles techniques innovantes jouent un rôle très utile et complémentaire pour répondre à des questions réglementaires et (de recherche) biomédicales.

Les coordinateurs du projet RE-Place, Sciensano et la Vrije Universiteit Brussel, ont développé un outil en ligne qui a déjà rassemblé 170 méthodes provenant de différents domaines de recherche et institutions. Le lancement de cette nouvelle version améliorée de la plateforme RE-Placefacilite encore plus la collecte de l'expertise. Il est désormais possible de le relier à des groupes de recherche ou à des organisations spécifiques. Les Régions bruxelloise et flamande appellent donc les scientifiques à partager au maximum leur expertise via la plateforme RE-Place!

Pour plus d'informations sur le projet, veuillez consulter le site www.RE-Place.be ou info@RE-Place.be.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45

 

83 plaintes pour maltraitance animale en 2021 en Région bruxelloise

Communiqué de presse

Bruxelles Environnement a enregistré 83 plaintes pour maltraitance animale en 2021, toutes ont été jugées recevables. Par ailleurs, 28 saisies pour un total de 45 animaux ont été effectuées l’année dernière en Région bruxelloise.

Il existe différents cas pour lesquels un animal peut être saisi : manque d’hygiène, sous-alimentation, maladies non-soignées, etc. En 2021, on dénombre 28 saisies pour un total de 45 animaux. Parmi ceux-ci, on trouve 35 chiens, 5 chats mais aussi un iguane, 3 grenouilles et un boa. 

Une fois saisis, ces animaux sont généralement confiés temporairement à un refuge dans l’attente de la décision de destination. Cette décision est prise par Bruxelles Environnement et doit intervenir dans les deux mois de la saisie.

Souvent, ces saisies font suite à des plaintes introduites par des citoyens auprès du service Bien-être animal de Bruxelles Environnement. En 2021, 83 plaintes ont été introduites.

« Dénoncer des faits de maltraitance animale est un acte important. Les plaintes permettent d’identifier des situations problématiques pour les animaux et parfois aussi pour le maître. Les inspecteurs de Bruxelles Environnement ne ménagent pas leurs efforts pour remédier à ces situations en ayant recours à des avertissements, des procès-verbaux et, en cas de nécessité, à des saisies. . Notre rapport au vivant et aux animaux a énormément évolué ces dernières années et les attentes des citoyens ne cessent de croitre. C’est pourquoi, les amendes en cas de maltraitance animale peuvent atteindre 100.000 euros et le juge peut même ordonner un emprisonnement ainsi qu’une interdiction de détention. Le futur code bruxellois du bien-être animal veillera à développer les outils existants en vue de prévenir et sanctionner encore plus efficacement les atteintes. », conclut Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être Animal.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45

Les feux d'artifice et leurs conséquences néfastes pour les animaux

Extrait de presse
Gare aux feux d'artifice illégaux à l'approche du Nouvel An

Extraits de l'article de la Dernière Heure

“Le feu d’artifice produit deux détonations très fortes : le bruit du lancement et le bruit de l’explosion. Le volume de bruit sonore de ces détonations peut atteindre 170 décibels. Les fortes explosions et les étincelles causent beaucoup de stress, de peur ou des nuisances sonores chez les animaux. Certains d’entre eux fuient ou se blessent en voulant se mettre à l’abri ”, détaille le secrétaire d’État en charge du Bien-être animal Bernard Clerfayt (Défi). “ Le reste de l’année, le Règlement général de police interdit l’utilisation de pétards et feux d’artifice sauf autorisation communale spécifique. Compte tenu des conséquences néfastes pour les animaux, privilégiez les feux d’artifice à bruit contenu.”