2 nouvelles subventions pour soutenir la recherche d’alternatives à l’expérimentation animale

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Culture cellulaire en laboratoire

« La science a évolué et fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées sur des cellules humaines. Elles donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Il est donc crucial de permettre le développement de ce type de méthode. Et même si dans certains cas, l’expérimentation animale reste un mal nécessaire, nous devons maintenir l’objectif visant à diminuer drastiquement l’expérimentation animale », résume Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal.

1. L’alternative des cultures cellulaires

La Région bruxelloise a octroyé un montant de 60.000€ à la VUB afin de poursuivre ses recherches et d’élaborer une alternative à l’expérimentation animale.

Les chercheurs de la VUB développent en effet un modèle expérimental de recherche en toxicologie basé sur des modèles in vitro élaborés à partir de cultures cellulaires. L’intérêt est double : ne plus devoir utiliser d’animaux de laboratoire et s’approcher du modèle humain, s’agissant de cellules humaines.

Ce programme de recherche concerne la fibrose du foie. Le « foie gras » concerne environ un quart de la population mondiale et ne bénéficie d’aucune thérapie. Normalement, dans ce type de recherche, on utilise exclusivement des animaux d’expérience, surtout des souris. La pertinence de cette pratique est discutable en raison des grandes différences qui existent entre la souris et l’être humain, d’où l’intérêt du modèle in vitro.

2. Recenser les méthodes alternatives aux expérimentations animales

« Afin de soutenir la recherche, la Région bruxelloise, avait déjà financé le projet Re-Place, visant à recenser l’ensemble des méthodes alternatives à l’expérimentation animale. Maintenant, il faut promouvoir ce cadastre, le faire connaître et enseigner les alternatives à l’expérimentation animale. C’est pourquoi, nous débloquons 50.000 € à cet effet », explique Bernard Clerfayt.

Depuis plusieurs années, la VUB recherche des méthodes alternatives à l’expérimentation animale. Les chercheurs étant d’ailleurs des références dans leur domaine.

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120 jeunes bruxellois pourront s’engager dans un service citoyen

Communiqué de presse

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi, le gouvernement bruxellois a approuvé l’octroi d’un subside de 400.000 € à la plateforme pour le service citoyen. Résultat : 120 jeunes pourront s’engager dans des projets utiles à la collectivité en 2022.

« Les hommes ne naissent pas citoyen, ils le deviennent ».  Déjà à l’époque, Spinoza insistait sur l’importance d’éduquer les plus jeunes à la citoyenneté. Aujourd’hui, le service citoyen contribue à sensibiliser les jeunes, âgés de 18 à 25 ans, à l’importance de s’engager des services utiles à la collectivité.

En effet, grâce au service citoyen, les jeunes ont la possibilité d’accomplir durant 6 mois des projets solidaires.  Durant cette expérience de vie, le jeune renforce ses compétences professionnelles mais aussi comportementales. Il est confronté au monde du travail et acquiert certaines compétences indispensables à l’intégration sur le marché de l’emploi : motivation, sens du travail, etc.  Le but : se confronter au réel, expérimenter et pourquoi pas, se trouver une voie.

« Le service citoyen est un formidable outil pour aider et guider des jeunes en perte de sens. Si ce n’est pas l’objectif premier du dispositif, 75% des jeunes qui sortent du service citoyen reprennent des études ou trouvent un travail. Comme quoi, passer du service citoyen à l’emploi, c’est possible ! Mais surtout, c’est important pour augmenter le nombre de Bruxellois à l’emploi », commente Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

Et les témoignages de jeunes ayant intégré le service citoyen abondent dans ce sens. « J’avais comme objectif de me créer un réseau, m’intégrer, mieux comprendre la société belge, améliorer mon néerlandais. J’ai atteint tous ces objectifs. Et en plus de ça, j’ai trouvé ma voie et un boulot », explique Abdul.

Même son de cloche du côté de Chadi : « Je n’ai pas eu de révélation ou de réorientation de carrière. Mais ça m’a bien dérouillé, après l’école où on reste les fesses posées sur sa chaise toute la journée. Ça fait du bien de passer à quelque chose de concret pendant six mois, d’accomplir quelque chose. C’était bon pour le moral. »

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La Région bruxelloise poursuit sa politique de soutien à la recherche de méthodes alternatives à l’expérimentation animale

Communiqué de presse

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal, le gouvernement bruxellois a approuvé l’octroi d’un montant de 110.000 € à la VUB afin de poursuivre les recherches sur les alternatives à l’expérimentation animale.

Depuis plusieurs années, la VUB travaille sur la recherche de méthodes alternatives à l’expérimentation animale. Les chercheurs qui y travaillent sont d’ailleurs des références dans leur domaine.

« Afin de soutenir la recherche, la Région bruxelloise, avait déjà financé le projet Re-Place, visant à recenser l’ensemble des méthodes alternatives à l’expérimentation animale. Maintenant, il faut promouvoir ce cadastre, le faire connaître et enseigner les alternatives à l’expérimentation animale. C’est pourquoi, nous débloquons 50.000 € à cet effet », explique Bernard Clerfayt.

En outre, les chercheurs de la VUB sont en train de développer un modèle expérimental de recherche en toxicologie basé sur des modèles in vitro, c’est-à-dire sur base de cultures cellulaires. Cela présente l’avantage de ne plus devoir utiliser d’animaux de laboratoire et d’être plus proche du modèle humain car il provient directement de cellules humaines.

L’objectif de la VUB consiste à rechercher un médicament contre la fibrose du foie. Le « foie gras » concerne environ un quart de la population mondiale. Il s’agit de la maladie du foie la plus courante et pour laquelle il n’existe aucun traitement.

Dans ce projet, la VUB souhaite développer un nouveau modèle in vitro, n’impliquant pas d’animaux d’expérience, qui soit efficace pour l’homme et qui puisse aider à soigner la fibrose du foie.

Normalement, dans ce type de recherches, on utilise exclusivement des animaux d’expérience, surtout des souris. Seulement, la pertinence de cette pratique est discutable en raison des grandes différences qui existent entre la souris et l’être humain. Résultat : malgré plusieurs années de recherche, il n’existe toujours pas de traitement efficace. La Région bruxelloise a octroyé un montant de 60.000€ à la VUB afin de lui permettre de poursuivre ses recherches et de développer une alternative à l’expérimentation animale.

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Il est donc crucial de permettre le développement de ce type de méthode. Et même si dans certains cas, l’expérimentation animale reste un mal nécessaire, nous devons maintenir l’objectif visant à diminuer drastiquement l’expérimentation animale », conclut Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal.

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Budget bien-être animal : + 50% depuis 2019

Actualité
Chiens, chats et nouveaux animaux de compagnie - La Région bruxelloise augmente le budget bien-être animal

« En 2019, le budget bien-être animal s’élevait à 1.531.000€. Deux ans plus tard, il atteint 2.311.000€, soit une augmentation de 763.000€ (+50%). La progression est importante et nécessaire pour assurer et renforcer le bien-être des animaux. Enfin, c’est devenu une priorité politique », détaille Bernard Clerfayt qui a présenté ce mercredi les priorités 2022 pour les politiques de bien-être animal.

Une progression du budget bien-être animal confirmée en 2022

En 2022, le budget bien-être animal augmente de 263.000 € par rapport à 2021. Cette augmentation est notamment destinée à la rédaction du futur Code bruxellois du bien-être animal que le ministre ambitionne de présenter au parlement bruxellois à l’automne 2022. L’été dernier, la Région bruxelloise avait d’ailleurs lancé une vaste opération de consultation citoyenne pour récolter l’avis des Bruxellois. Ceux-ci réclamaient principalement plus d’espaces de liberté pour chiens, plus de contrôles et des listes reprenant les races et espèces d’animaux pouvant être détenues en Région bruxelloise.

Avoir un Code bruxellois du bien-être animal permettra d’améliorer considérablement la protection des animaux. « Le bien-être animal est régi par une loi fédérale datant de 1986… Il est temps de dépoussiérer ce texte et d’avoir une législation qui correspond mieux aux attentes des citoyens. Notre rapport au vivant a considérablement changé ces dernières années, il faut maintenant que cela soit retranscrit dans des textes de loi », insiste le Ministre bruxellois.

Bien-être animal : en 3 ans, le budget a augmenté de 50%

Communiqué de presse

Ce mercredi, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois, a présenté au Parlement bruxellois, les priorités 2022 pour les politiques de bien-être animal. Ces projets pourront d’ailleurs bénéficier d’un renforcement du budget.

« En 2019, le budget dévolu au Bien-être animal s’élevait à 1.531.000€. Deux ans plus tard, il s’élève à 2.311.000€, soit une augmentation de 763.000€ (+50%). La progression est importante et nécessaire pour assurer et renforcer le bien-être des animaux. Enfin, c’est devenu une priorité politique », détaille Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal.

En 2022, le budget bien-être animal s’élève donc à 2.311.000 €, c’est 263.000 € de plus qu’en 2021. Cette augmentation est notamment destinée à la rédaction du futur Code bruxellois du bien-être animal. L’été dernier, la Région bruxelloise avait d’ailleurs lancé une vaste opération de consultation citoyenne pour récolter l’avis des Bruxellois. Ceux-ci réclamaient principalement plus d’espaces de liberté pour chien, plus de contrôles et des listes reprenant les races et espèces d’animaux qui peuvent être détenues en Région bruxelloise.

Avoir un Code bruxellois du bien-être animal permettra d’améliorer considérablement la protection des animaux. « Le bien-être animal est régi par une loi fédérale datant de 1986… Il est temps de dépoussiérer ce texte et d’avoir une législation qui correspond mieux aux attentes des citoyens. Notre rapport au vivant a considérablement changé ces dernières années, il faut maintenant que cela soit retranscrit dans des textes de loi », insiste le Ministre bruxellois.

2022 sera donc consacré à la rédaction du Code bruxellois du bien-être animal. Le Ministre ambitionne de présenter le texte à l’automne 2022 au gouvernement bruxellois.

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Abattage avec étourdissement - report du point par le gouvernement bruxellois

Extrait de presse
Abattage rituel : 2e round jeudi prochain - extraits de l'article de la Dernière Heure

Extraits de l'article de la Dernière Heure

Les partis de la majorité n’ont pas validé le projet d’ordonnance relatif à l’interdiction d’abattage d’animaux sans étourdissement préalable. Porté par le ministre bruxellois en charge du Bien-Être animal, Bernard Clerfayt (Défi), ce texte ne suscite aucun enthousiasme chez deux partenaires principaux de la majorité : le PS et Ecolo.

[…] Le ministre Clerfayt remettra le dossier sur la table du gouvernement la semaine prochaine avec des pistes pour la mise en place d’une stratégie good food comprenant une dimension bien-être animal et un plan pour éviter un désastre économique aux abattoirs d’Anderlecht.
Si le projet est de nouveau rejeté, il pourrait alors rebondir au Parlement bruxellois

Abattage avec étourdissement - projet d'ordonnance

Extrait de presse
Abattage rutuel : dossier reporté - coupure de presse

Extrait de l'article du quotidien "Le Soir"

Le point sur l’abattage rituel, dossier plus que délicat pour la majorité bruxelloise, est reporté à la semaine prochaine. Sans grande surprise. Le ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt (Défi), souhaitait présenter lors du conseil des ministres ce jeudi matin son avant-projet d’ordonnance visant à interdire l’abattage d’animaux sans étourdissement, y compris lors des rites religieux. […]