Bien-être animal : permis d'adoption

Extrait de presse
Clerfayt veut un permis pour l'adoption d'animaux

Extraits de l'article paru dans La Libre

[…] Si ce n’est ses quatre poules domestiques, peu de choses prédestinaient l’actuel ministre du Bien-être animal à endosser ce rôle en juillet 2019. Pourtant, c’est franc battant que l’ex-secrétaire d’État aux finances déposera, dans le courant de la semaine, une proposition de loi sur un permis nécessaire à l’adoption d’animaux de compagnie.

[…] La Région bruxelloise s’est adressée aux citoyens, de juin à septembre, à travers un formulaire.

[…] “86 % sont tout à fait d’accord à l’idée que l’animal soit doté d’une sensibilité, d’intérêts propres et d’une dignité, et a donc droit à une protection particulière. […] ”

[…] “ L’animal n’est plus seulement un objet qui sert au plaisir humain. Il faut penser à sa dignité et à son bien-être.”

Structurer l’adoption d’animaux

[…] Bernard Clerfayt, lui, serre la vis. Un permis, oui, mais comment ? “La question, c’est comment construire une formation ou au moins un contrat” afin de structurer la détention d’animaux ?

Abattage avec étourdissement préalable

Extrait de presse
L'abattage rituel secoue le gouvernement bruxellois

Extrait de l'article paru dans "Le Soir"

Bernard Clerfayt (Défi) déposera jeudi un texte visant à imposer l’abattage avec étourdissement préalable. De quoi raviver les tensions au sein de la majorité.
Jeudi prochain, Bernard Clerfayt (Défi) déposera sur la table du gouvernement bruxellois un projet d’ordonnance relatif à l’abattage. Sans surprise, le texte proposé par le ministre du Bien-être animal vise à imposer l’étourdissement préalable et réversible. Une obligation en vigueur en Wallonie et en Flandre depuis 2019, que vient de valider la Cour constitutionnelle.
«On n’imagine pas que la souffrance animale soit appréhendée différemment à Bruxelles», argumente-t-on chez les amarante. […]

Abattage avec étourdissement préalable

Extrait de presse
L'obligation d'étourdissement préalable est confirmée

Extrait de l'article publié par "Le Soir"

En Région bruxelloise, l’abattage rituel sans étourdissement n’est actuellement pas interdit. Le ministre du Bien-être animal, Bernard Clerfayt (Défi), a indiqué, peu après la publication de l’arrêt, qu’il mettrait le dossier sur la table du gouvernement avant la fin du mois d’octobre. F. Dcq (avec Belga)

L’abattage avec étourdissement préalable sur la table du gouvernement avant fin octobre

Actualité
L'abattage avec étourdissement préalable sur la table du gouvernement bruxellois

“L’étourdissement obligatoire des animaux préalablement à leur abattage dans les Régions flamande et wallonne ne viole pas la Constitution”, d’après la Cour constitutionnelle. Le dossier de l'abattage avec étourdissement est relancé en Région bruxelloise.

Ce 30 septembre, la Cour constitutionnelle a confirmé la légalité au regard du droit européen des décrets wallons et flamands imposant un étourdissement préalable lors de l’abattage des animaux. Cette mesure avait été contestée par certaines communautés juives et musulmanes du pays. Celles-ci invoquaient une violation de la liberté de culte. Cette nouvelle décision de justice relance la question de l’abattage sans étourdissement préalable des animaux en Région bruxelloise. Les démocraties wallonne, flamande et bruxelloise jugent-elles différemment l’équilibre entre le respect du bien-être des animaux et celui des libertés religieuses ?

Abattage avec étourdissement réversible

En 2017, la Région wallonne et la Région flamande ont toutes les deux adoptés des textes décrétant que tout animal doit faire l’objet d’un étourdissement préalable au moment de l’abattage. Un aménagement a été prévu pour les abattages prescrits pas un rite religieux : l’étourdissement doit être réversible. Suite à la décision de la Cour de justice de l’Union européenne confirmant la validité des décrets wallon et flamand au regard du droit européen, la Cour constitutionnelle vient, à son tour, confirmer la légalité des mesures adoptées au nord et au sud du pays. En substance, la Cour constitutionnelle approuve les mesures et autorise l’imposition de l’étourdissement réversible avant abattage.

Pas d’interférence avec le rite religieux

Le communiqué de la Cour constitutionnelle indique d’ailleurs que « [Les décrets flamands et wallons] répondent à un besoin social impérieux et sont proportionnés à l’objectif légitime poursuivi consistant à promouvoir le bien-être animal. En outre, la possibilité d’un étourdissement réversible lors des abattages rituels ne saurait s’interpréter comme prescrivant de quelle manière un rite religieux doit être accompli ».

Déclarées constitutionnelles, les réglementations ne pourraient relever de valeurs partagées ?

Ce nouvel arrêt vient relancer le débat en Région bruxelloise du dossier de l'abattage avec étourdissement. Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal a reçu les associations de protection animale et des représentants des communautés religieuses qui continuent de s’opposer sur cette question.

« Suite à la décision de la Cour de justice de l’Union européenne, la Cour constitutionnelle vient de se positionner : imposer un étourdissement préalable à tout abattage est légal et ne viole pas les libertés religieuses. La Cour de justice a indiqué qu’il revenait à chaque Etat membre de concilier le bien-être animal et la liberté de culte.  Reste à savoir maintenant si les parlementaires de la Région bruxelloise partagent d’autres valeurs que celles de l’Europe, de la Wallonie et de la Flandre. La démocratie bruxelloise est-elle différente ? », s’interroge Bernard Clerfayt.

Le Ministre bruxellois mettra le dossier de l’abattage avec étourdissement préalable sur la table du gouvernement avant la fin du mois d’octobre.

“L’étourdissement obligatoire des animaux préalablement à leur abattage dans les Régions flamande et wallonne ne viole pas la Constitution”, d’après la Cour constitutionnelle

Communiqué de presse

 Ce 30 septembre, la Cour constitutionnelle a confirmé la légalité au regard du droit européen des décrets wallons et flamands imposant un étourdissement préalable lors de l’abattage des animaux. Cette mesure avait été contestée par certaines communautés juives et musulmanes du pays, qui invoquaient une violation de la liberté de culte. Cette nouvelle décision de justice relance la question de l’abattage sans étourdissement préalable des animaux en Région bruxelloise. Les démocraties wallonne, flamande et bruxelloise jugent-elles différemment l’équilibre entre le respect du bien-être des animaux et celui des libertés religieuses ?

En 2017, la Région wallonne et la Région flamande ont toutes les deux adoptés des textes décrétant que tout animal doit faire l’objet d’un étourdissement préalable au moment de l’abattage. Un aménagement a été prévu pour les abattage prescrits pas un rite religieux : l’étourdissement doit être réversible. Suite à la décision de la Cour de justice de l’Union européenne confirmant la validité des décrets wallon et flamand au regard du droit européen, la Cour constitutionnelle vient, à son tour, confirmer la légalité des mesures adoptées au nord et au sud du pays. En substance, la Cour constitutionnelle approuve les mesures et autorise l’imposition de l’étourdissement réversible avant abattage.

Le communiqué de la Cour constitutionnelle indique d’ailleurs que « [Les décrets flamands et wallons] répondent à un besoin social impérieux et sont proportionnés à l’objectif légitime poursuivi consistant à promouvoir le bien-être animal. En outre, la possibilité d’un étourdissement réversible lors des abattages rituels ne saurait s’interpréter comme prescrivant de quelle manière un rite religieux doit être accompli ». 

Ce nouvel arrêt vient relancer le débat en Région bruxelloise. Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal a reçu les associations de protection animale et des représentants des communautés religieuses qui continuent de s’opposer sur cette question.

« Suite à la décision de la Cour de justice de l’Union européenne, la Cour constitutionnelle vient de se positionner : imposer un étourdissement préalable à tout abattage est légal et ne viole pas les libertés religieuses. La Cour de justice a indiqué qu’il revenait à chaque Etat membre de concilier le bien-être animal et la liberté de culte.  Reste à savoir maintenant si les parlementaires de la Région bruxelloise partagent d’autres valeurs que celles de l’Europe, de la Wallonie et de la Flandre. La démocratie bruxelloise est-elle différente ? », s’interroge Bernard Clerfayt.

Le Ministre bruxellois mettra le dossier de l’abattage avec étourdissement préalable sur la table du gouvernement avant la fin du mois d’octobre.


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Expérimentation animale

Extrait de presse
56000 animaux en labo l'an passé

Extrait de l'article publié par la Dernière Heure

[…] Pour Bernard Clerfayt, l’objectif ultime est bien d’arriver à zéro expérimentation animale. C’est pourquoi il soutient financièrement la recherche et le développement de méthodes alternatives. “ Nous nous réjouissons de la résolution adoptée par le Parlement européen qui invite la Commission à construire un plan pour accélérer le passage aux méthodes alternatives .” […]

Expérimentation animale : 6000 animaux de moins

Actualité
6000 animaux en moins concernés par l'expérimentation animale

Une diminution de près de 10% en un an du nombre d’animaux impliqués dans les expérimentations, a été constatée en 2020. Cette diminution a concerné 6000 animaux de moins en un an. Si cette même année, 55.688 ont été utilisés, soulignons que leur nombre a diminué de 36% en cinq ans. On peut donc parler d’une tendance de fond, vers une réduction certaine des expérimentations animales.

Quels sont les animaux concernés ?

En 2020, 97% des animaux d’expérience étaient des rongeurs dont 91% des souris. On retrouve également quelques poules (1%) ou encore des poissons zèbres (0,6%). Comme en 2019, aucun chiens, chats, chevaux, ânes ou primates n’ont été utilisés pour la recherche.

Bernard Clerfayt soutient la recherche d’alternatives à l’expérimentation animale

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées par exemple sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ce type de méthodes mais aussi leur recensement et leur notoriété. Je soutiens donc à hauteur de 250.000 € un projet de la VUB qui a pour objectif de diffuser massivement ces alternatives au travers de la plateforme IC-3Rs », précise Bernard Clerfayt.

Des animaux, principalement utilisés pour la recherche fondamentale

Plus de la moitié (69,81%) des procédures expérimentales sur animaux en 2020 ont été réalisées pour la recherche fondamentale. Ces expériences concernent principalement les études en oncologie (34,10% des expériences de recherche fondamentale) et le système immunitaire (21,82% des expériences de recherche fondamentale).

L’expérimentation animale, une pratique fortement réglementée

Lorsqu’elles existent, les chercheurs doivent avoir recours aux méthodes alternatives à l’expérimentation animale. À défaut d’alternative, les animaux utilisés pour les expériences bénéficient d’une protection légale. Tous les établissements, agréés au préalable, sont soumis à des contrôles.