Journée mondiale de lutte contre l'abandon des animaux de compagnie

Extrait de presse
23% d'animaux de plus à la LRBPO

Extrait de l'article paru dans La Libre du 26 juillet 2021

Chaque année, 7 % des animaux accueillis sont euthanasiés, faute de place. “Certains sont vieux ou handicapés et personne ne veut les adopter, précise le ministre en charge du Bien-être animal Bernard Clerfayt (Défi). À l’occasion de la journée mondiale contre l’abandon des animaux et à la veille des départs en vacances, je tiens à rappeler que les animaux ne sont pas des peluches mais des êtres vivants qui demandent une attention régulière, il faut en être conscient au moment de l’adoption.”

Code du Bien-être animal

Extrait de presse

Extraits de l'article paru dans la Dernière Heure

Les citoyens se préoccupent de plus en plus du bien-être des animaux et de la participation citoyenne. Bien consciente de ces évolutions, la Région invite donc les Bruxellois à co-construire le nouveau code sur le bien-être animal.

[…] « Il est essentiel d’en tenir compte et d’accompagner cette évolution pour éviter des dérives, garantir le bien-être des animaux », déclare Bernard Clerfayt (DéFI), ministre du Bien-être animal. « Le bien-être animal est un sujet sensible qui fait souvent réagir au sein de la société, de plus en plus attentive aux besoins des animaux. »

[…] « Il est temps de dépoussiérer cette loi qui est un peu vieille. Mais on ne veut pas faire ce travail en chambre, on veut y associer les citoyens afin qu’ils nous disent ce qui est essentiel pour eux », annonce le ministre. « On va co-construire la loi avec les citoyens.

 […] « On va vérifier ce qui est juridiquement et administrativement réalisable. Demander l’avis des Bruxellois prend du temps. Mais il y a plus d’idées dans 1.000 têtes que dans une », ajoute Bernard Clerfayt. « Cette phase de consultation populaire mais aussi des secteurs en lien avec le bien-être animal doit permettre de faire naître un Code bruxellois du bien-être animal équilibré. »

Bien-être animal : la Région bruxelloise consulte les citoyens

Communiqué de presse

Transférée aux Régions dans le cadre de la 6ème réforme de l’Etat, la politique en matière de bien-être animal est régie par une loi datant de 1986. Depuis, les connaissances scientifiques mais aussi les préoccupations des citoyens ont évolué. C’est pourquoi, la Région bruxelloise lance une grande campagne de consultation populaire permettant à tout le monde d’exprimer ses opinions et de faire part de ses attentes en matière de bien-être animal.

 

Qu’ils s’appellent Max, Simba, Pacha, Bella ou encore Lola. Que ce soient des chiens, des chats ou des NAC (nouveaux animaux de compagnie), les Bruxellois sont de plus en plus nombreux à posséder un animal de compagnie. Chats et chiens tiennent évidemment le haut du panier puisqu’on en compte respectivement 88.180 et 27.606 enregistrés dans les bases de données DogID et CatID. Mais lapins, hamsters et aussi serpents ou araignées ont de plus en plus la cote auprès des Bruxellois.

« Le bien-être animal est un sujet sensible qui fait souvent réagir au sein de la société, de plus en plus attentive aux besoins des animaux », relève Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal.

Pour assurer le bien-être des animaux et leur protection, il existe une loi datant de…1986. Depuis les connaissances scientifiques ont évolué et les préoccupations des citoyens se sont renforcées. « Il est temps de dépoussiérer la loi de 1986. 35 ans après son adoption, une refonte de cette législation est plus que nécessaire. Ce travail, nous l’entamons dès aujourd’hui. Mais je ne veux pas le faire seul. Je souhaite associer les citoyens, les consulter, les questionner, les écouter. Parce que le fondement même de la démocratie, c’est la participation », rappelle le Ministre bruxellois.

Pour récolter l’avis des citoyens, la Région bruxelloise lance une campagne de communication baptisée « Donnez-nous votre voix ! ». Celle-ci se déroulera principalement en ligne sur le site www.donneznousvotrevoix.brussels. Pour celles et ceux qui ne sont pas à l’aise avec l’outil numérique des formulaires papiers et des urnes se trouveront dans les maisons communales bruxelloises et leurs antennes.

Les questions posées abordent tous les aspects du bien-être animal. Les citoyens auront l’occasion de répondre à des questions d’ordre très général sur leur perception du bien-être animal mais aussi à d’autres plus pointues qui abordent le commerce d’animaux, l’expérimentation animale ou encore les sanctions à l’encontre des auteurs de maltraitance animale. Enfin, dans la partie « boîte à idées », les citoyens pourront exprimer plus librement leurs attentes et leurs idées. En participant au sondage, les citoyens saisissent une opportunité unique de faire entendre leur voix et ainsi de donner de la voix à ceux qui n’en ont pas.

« Cette phase de consultation populaire mais aussi des secteurs en lien avec le bien-être animal doit permettre de faire naître un Code bruxellois du bien-être animal équilibré. D’autant que ce Code constituera la plus grande réforme menée en matière de bien-être animal. Il a pour ambition d’assurer la protection et le bien-être des animaux, en tenant compte de leurs besoins physiologiques et éthologiques », conclut Bernard Clerfayt.

Les citoyens pourront faire part de leurs idées jusqu’à la fin du mois de septembre 2021. Ensuite, les questionnaires seront dépouillés et analysés . L’objectif est d’adopter ce nouveau code en première lecture au deuxième semestre 2022.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Nouveau code du bien-être animal : donnez-nous votre voix !

Actualité
Donnez-nous votre voix !

Pour le bien-être des animaux et leur protection, il existe une loi datant de…1986. Depuis, les connaissances scientifiques ont évolué et les préoccupations des citoyens se sont renforcées. Un nouveau code du Bien-être animal est indispensable.

« Le bien-être animal est un sujet sensible qui fait souvent réagir au sein de la société qui est de plus en plus attentive aux besoins des animaux », relève Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal.

Un code du Bien-être animal : avec les Bruxellois !

Pour récolter l’avis des citoyens, la Région bruxelloise lance la campagne « Donnez-nous votre voix ! ». Celle-ci se déroulera principalement en ligne sur le site www.donneznousvotrevoix.brussels. Pas à l’aise avec les documents en ligne ? Vous trouverez des formulaires papiers et des urnes dans votre commune. Vous pouvez participer jusqu’à la fin du mois de septembre 2021.

Ensuite, les questionnaires seront dépouillés et analysés . L’objectif est d’adopter ce nouveau code en première lecture au deuxième semestre 2022.

« Cette phase de consultation populaire mais aussi des secteurs en lien avec le bien-être animal doit permettre de faire naître un Code du bien-être animal équilibré. D’autant que ce Code constituera la plus grande réforme menée en matière de bien-être animal. Il a pour ambition d’assurer la protection et le bien-être des animaux, en tenant compte de leurs besoins physiologiques et éthologiques », conclut Bernard Clerfayt.

Mais sur quoi attend-t-on votre avis exactement ?

Sur tous les aspects du bien-être animal : votre perception du bien-être animal, le commerce d’animaux, l’expérimentation animale ou encore les sanctions à l’encontre des auteurs de maltraitance animale.

Dans la partie « boîte à idées », vous pourrez exprimer des attentes et suggestions. Grâce à votre participation, c’est une opportunité unique de donner de la voix à ceux qui n’en ont pas.

Une ancienne législation à dépoussiérer

Transférée aux Régions dans le cadre de la 6ème réforme de l’État, la politique en matière de bien-être animal est régie par une loi datant de 1986.

« Il est temps de dépoussiérer la loi de 1986. 35 ans après son adoption, une refonte de cette législation est plus que nécessaire. Ce travail, nous l’entamons dès aujourd’hui. Mais je ne veux pas le faire seul. Je souhaite associer les citoyens, les consulter, les questionner, les écouter. Parce que le fondement même de la démocratie, c’est la participation », rappelle le Ministre bruxellois.

Des animaux de compagnie nombreux et diversifiés

Qu’ils s’appellent Max, Simba, Pacha, Bella ou encore Lola. Que ce soient des chiens, des chats ou des NAC (nouveaux animaux de compagnie), les Bruxellois sont de plus en plus nombreux à posséder un animal de compagnie. Chats et chiens tiennent évidemment le haut du panier puisqu’on en compte respectivement 88.180 et 27.606 enregistrés dans les bases de données DogID et CatID. Mais lapins, hamsters et aussi serpents ou araignées ont de plus en plus la cote auprès des Bruxellois.

Code du Bien-être animal

Extrait de presse

Extraits de l'article de La Capitale du 15 Juin 2021

[…] La législation actuelle héritée de la sixième réforme de l’état prend en compte une série d’éléments qui se rapportent à la gestion des animaux, mais elle est encore lacunaire sur certains aspects, tels que le permis de détention d’animaux.

[…] Conscient que cette problématique occupe « au plus près le quotidien des citoyens », le ministre de tutelle Bernard Clerfayt (DéFI) souhaite avancer au plus vite

[…] « Le covid engendre quelques semaines de retard mais nous avons avancé et comptons lancer cette consultation dans les prochaines semaines. Nous finalisons la campagne de communication qui va l’accompagner afin de recueillir largement l’avis de la population, et ne pas laisser ce débat à quelques initiés. La volonté est de faire de cette question du bien-être animal une vraie question populaire, démocratique et partagée », a déclaré l’élu amarante en réponse à une question orale posée la députée animaliste Victoria Austraet.

À propos du bien-être des chevaux de la police à cheval

Extrait de presse

Extraits de l’article paru dans La Capitale de ce 8 juin

Les récentes confrontations entre manifestants et police montée au Bois de la Cambre ont relancé le débat sur l’utilité de conserver des brigades à cheval. […]

(Le quotidien cite des extraits des réponses de Bernard Clerfayt à la question parlementaire posée par Victoria Austraet)

[…] « La ministre fédérale de l’Intérieur [Annelies Verlinden, CD&V] a annoncé avoir ordonné une enquête pour évaluer si la police à cheval reste opportune lors d’une telle manifestation, y compris en ce qui concerne la sécurité de l’animal. Les conclusions ne sont pas encore connues », a répondu Bernard Clerfayt (DéFI).

[…] Ceux qui ont été blessés « ont été contrôlés le lendemain par un vétérinaire ». L’élu amarante assure que ces chevaux n’ont pas été la cible de violences directes de la part de manifestants, « même s’ils ont été impliqués dans les mesures de maintien de l’ordre au contact des manifestants ».

[…] « dans 97 ou 98 % des cas, l’utilisation de chevaux de police correspond à des patrouilles de contact avec la population sans aucun risque de violences ». Il juge également que ces équidés sont bien détenus, se félicitant que les chevaux pourraient avoir droit à une période de « vacances » consistant à une mise en prairie de deux ou trois semaines pendant l’été.

[…]

Une réglementation pour les nouveaux animaux de compagnie

Extrait de presse

Extrait de l'article publié par Sud Presse

« Si les intentions des députés de l’opposition sont louables, il faut savoir que toutes leurs recommandations sont soit déjà d’application, soit en cours d’élaboration ou de réflexion. Les NAC sont très tendance mais cela reste relativement nouveau. Il nous faut donc adapter la législation les concernant. Cela demande de la méthode, l’appui d’experts et du temps », conclut Bernard Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois du Bien-être animal.