Expérimentation animale : 250.000 € pour des alternatives

Extrait de presse

Extraits de l'article paru dans La Capitale

Afin de soutenir la visibilité et l’utilisation des méthodes alternatives, de stimuler le développement de ces méthodes et d’en assurer la diffusion auprès du monde scientifique, la Région bruxelloise soutient le projet de plateforme de la VUB, porté par le Professeur Vera Rogiers, grâce à un subside de 250.000€, qui sera hébergé par le centre « IC-3Rs » de l’université.

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ce type de méthode mais aussi son recensement et sa notoriété au travers d’un site web si nous entendons maintenir notre objectif de diminuer drastiquement le nombre d’animaux d’expérience », conclut Bernard Clerfayt (DéFI), ministre du Bien-être animal.

250.000 euros pour les alternatives à l’expérimentation animale

Actualité
Laboratoire de recherche medicale - recherche pour les alternatives à l'expérimentation médicale

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre du Bien-être animal, un subside de 250.000 euros a été accordé à la VUB pour lancer une plateforme bruxelloise pour les méthodes alternatives à l’expérimentation animale.

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ce type de méthode mais aussi son recensement et sa notoriété au travers d’un site web si nous entendons maintenir notre objectif de diminuer drastiquement le nombre d’animaux d’expérience », explique le Ministre bruxellois.

Réduire le nombre d’animaux de laboratoire

Pour diminuer drastiquement le nombre d’animaux de laboratoire, il existe des alternatives, guidées par le principe des 3R : Remplacer (l’utilisation d’animaux par des méthodes expérimentales), Réduire (le nombre d’animaux) et Raffiner (ou améliorer les conditions d’élevage, d’hébergement et de soin ainsi que les méthodes utilisées en vue de réduire au minimum toute souffrance animale).

Et faire connaître les alternatives à l’expérimentation animale

Afin de soutenir la visibilité et l’utilisation des méthodes alternatives, de stimuler le développement de ces méthodes et d’en assurer la diffusion auprès du monde scientifique, la Région bruxelloise soutient le projet de plateforme de la VUB, porté par le Professeur Vera Rogiers, grâce à un subside de 250.000€, qui sera hébergé par le centre « IC-3Rs » de l’université.

L’expérimentation animale en chiffres

L’expérimentation animale est une pratique très encadrée. Les animaux d’expérience bénéficient d’une protection légale et tous les établissements doivent être agréés et sont soumis à des contrôles. En 2019, 62.641 animaux ont été utilisés en Région bruxelloise à des fins expérimentales, dont 98% de rongeurs (souris, rats, cobayes, lapins) par 68 laboratoires.

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250.000 euros pour créer une plateforme bruxelloise aux alternatives à l’expérimentation animale

Communiqué de presse

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal, le gouvernement bruxellois a accordé un subside de 250.000 euros à la VUB pour lancer une plateforme bruxelloise pour les méthodes alternatives à l’expérimentation animale.

L’expérimentation animale est une pratique très encadrée. Les animaux d’expérience bénéficient d’une protection légale et tous les établissements doivent être agréés et sont soumis à des contrôles. En 2019, 62.641 animaux ont été utilisés en Région bruxelloise à des fins expérimentales, dont 98% de rongeurs (souris, rats, cobayes, lapins) par 68 laboratoires.

Pour diminuer drastiquement le nombre d’animaux de laboratoire, il existe des alternatives, guidées par le principe des 3R : Remplacer (l’utilisation d’animaux par des méthodes expérimentales), Réduire (le nombre d’animaux) et Raffiner (ou améliorer les conditions d’élevage, d’hébergement et de soin ainsi que les méthodes utilisées en vue de réduire au minimum toute souffrance animale).

Afin de soutenir la visibilité et l’utilisation des méthodes alternatives, de stimuler le développement de ces méthodes et d’en assurer la diffusion auprès du monde scientifique, la Région bruxelloise soutient le projet de plateforme de la VUB, porté par le Professeur Vera Rogiers, grâce à un subside de 250.000€, qui sera hébergé par le centre « IC-3Rs » de l’université.

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ce type de méthode mais aussi son recensement et sa notoriété au travers d’un site web si nous entendons maintenir notre objectif de diminuer drastiquement le nombre d’animaux d’expérience », conclut le Ministre bruxellois.

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Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45

Journée mondiale de lutte contre l'abandon des animaux de compagnie

Extrait de presse
23% d'animaux de plus à la LRBPO

Extrait de l'article paru dans La Libre du 26 juillet 2021

Chaque année, 7 % des animaux accueillis sont euthanasiés, faute de place. “Certains sont vieux ou handicapés et personne ne veut les adopter, précise le ministre en charge du Bien-être animal Bernard Clerfayt (Défi). À l’occasion de la journée mondiale contre l’abandon des animaux et à la veille des départs en vacances, je tiens à rappeler que les animaux ne sont pas des peluches mais des êtres vivants qui demandent une attention régulière, il faut en être conscient au moment de l’adoption.”

Code du Bien-être animal

Extrait de presse

Extraits de l'article paru dans la Dernière Heure

Les citoyens se préoccupent de plus en plus du bien-être des animaux et de la participation citoyenne. Bien consciente de ces évolutions, la Région invite donc les Bruxellois à co-construire le nouveau code sur le bien-être animal.

[…] « Il est essentiel d’en tenir compte et d’accompagner cette évolution pour éviter des dérives, garantir le bien-être des animaux », déclare Bernard Clerfayt (DéFI), ministre du Bien-être animal. « Le bien-être animal est un sujet sensible qui fait souvent réagir au sein de la société, de plus en plus attentive aux besoins des animaux. »

[…] « Il est temps de dépoussiérer cette loi qui est un peu vieille. Mais on ne veut pas faire ce travail en chambre, on veut y associer les citoyens afin qu’ils nous disent ce qui est essentiel pour eux », annonce le ministre. « On va co-construire la loi avec les citoyens.

 […] « On va vérifier ce qui est juridiquement et administrativement réalisable. Demander l’avis des Bruxellois prend du temps. Mais il y a plus d’idées dans 1.000 têtes que dans une », ajoute Bernard Clerfayt. « Cette phase de consultation populaire mais aussi des secteurs en lien avec le bien-être animal doit permettre de faire naître un Code bruxellois du bien-être animal équilibré. »

Bien-être animal : la Région bruxelloise consulte les citoyens

Communiqué de presse

Transférée aux Régions dans le cadre de la 6ème réforme de l’Etat, la politique en matière de bien-être animal est régie par une loi datant de 1986. Depuis, les connaissances scientifiques mais aussi les préoccupations des citoyens ont évolué. C’est pourquoi, la Région bruxelloise lance une grande campagne de consultation populaire permettant à tout le monde d’exprimer ses opinions et de faire part de ses attentes en matière de bien-être animal.

 

Qu’ils s’appellent Max, Simba, Pacha, Bella ou encore Lola. Que ce soient des chiens, des chats ou des NAC (nouveaux animaux de compagnie), les Bruxellois sont de plus en plus nombreux à posséder un animal de compagnie. Chats et chiens tiennent évidemment le haut du panier puisqu’on en compte respectivement 88.180 et 27.606 enregistrés dans les bases de données DogID et CatID. Mais lapins, hamsters et aussi serpents ou araignées ont de plus en plus la cote auprès des Bruxellois.

« Le bien-être animal est un sujet sensible qui fait souvent réagir au sein de la société, de plus en plus attentive aux besoins des animaux », relève Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal.

Pour assurer le bien-être des animaux et leur protection, il existe une loi datant de…1986. Depuis les connaissances scientifiques ont évolué et les préoccupations des citoyens se sont renforcées. « Il est temps de dépoussiérer la loi de 1986. 35 ans après son adoption, une refonte de cette législation est plus que nécessaire. Ce travail, nous l’entamons dès aujourd’hui. Mais je ne veux pas le faire seul. Je souhaite associer les citoyens, les consulter, les questionner, les écouter. Parce que le fondement même de la démocratie, c’est la participation », rappelle le Ministre bruxellois.

Pour récolter l’avis des citoyens, la Région bruxelloise lance une campagne de communication baptisée « Donnez-nous votre voix ! ». Celle-ci se déroulera principalement en ligne sur le site www.donneznousvotrevoix.brussels. Pour celles et ceux qui ne sont pas à l’aise avec l’outil numérique des formulaires papiers et des urnes se trouveront dans les maisons communales bruxelloises et leurs antennes.

Les questions posées abordent tous les aspects du bien-être animal. Les citoyens auront l’occasion de répondre à des questions d’ordre très général sur leur perception du bien-être animal mais aussi à d’autres plus pointues qui abordent le commerce d’animaux, l’expérimentation animale ou encore les sanctions à l’encontre des auteurs de maltraitance animale. Enfin, dans la partie « boîte à idées », les citoyens pourront exprimer plus librement leurs attentes et leurs idées. En participant au sondage, les citoyens saisissent une opportunité unique de faire entendre leur voix et ainsi de donner de la voix à ceux qui n’en ont pas.

« Cette phase de consultation populaire mais aussi des secteurs en lien avec le bien-être animal doit permettre de faire naître un Code bruxellois du bien-être animal équilibré. D’autant que ce Code constituera la plus grande réforme menée en matière de bien-être animal. Il a pour ambition d’assurer la protection et le bien-être des animaux, en tenant compte de leurs besoins physiologiques et éthologiques », conclut Bernard Clerfayt.

Les citoyens pourront faire part de leurs idées jusqu’à la fin du mois de septembre 2021. Ensuite, les questionnaires seront dépouillés et analysés . L’objectif est d’adopter ce nouveau code en première lecture au deuxième semestre 2022.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Nouveau code du bien-être animal : donnez-nous votre voix !

Actualité
Donnez-nous votre voix !

Pour le bien-être des animaux et leur protection, il existe une loi datant de…1986. Depuis, les connaissances scientifiques ont évolué et les préoccupations des citoyens se sont renforcées. Un nouveau code du Bien-être animal est indispensable.

« Le bien-être animal est un sujet sensible qui fait souvent réagir au sein de la société qui est de plus en plus attentive aux besoins des animaux », relève Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal.

Un code du Bien-être animal : avec les Bruxellois !

Pour récolter l’avis des citoyens, la Région bruxelloise lance la campagne « Donnez-nous votre voix ! ». Celle-ci se déroulera principalement en ligne sur le site www.donneznousvotrevoix.brussels. Pas à l’aise avec les documents en ligne ? Vous trouverez des formulaires papiers et des urnes dans votre commune. Vous pouvez participer jusqu’à la fin du mois de septembre 2021.

Ensuite, les questionnaires seront dépouillés et analysés . L’objectif est d’adopter ce nouveau code en première lecture au deuxième semestre 2022.

« Cette phase de consultation populaire mais aussi des secteurs en lien avec le bien-être animal doit permettre de faire naître un Code du bien-être animal équilibré. D’autant que ce Code constituera la plus grande réforme menée en matière de bien-être animal. Il a pour ambition d’assurer la protection et le bien-être des animaux, en tenant compte de leurs besoins physiologiques et éthologiques », conclut Bernard Clerfayt.

Mais sur quoi attend-t-on votre avis exactement ?

Sur tous les aspects du bien-être animal : votre perception du bien-être animal, le commerce d’animaux, l’expérimentation animale ou encore les sanctions à l’encontre des auteurs de maltraitance animale.

Dans la partie « boîte à idées », vous pourrez exprimer des attentes et suggestions. Grâce à votre participation, c’est une opportunité unique de donner de la voix à ceux qui n’en ont pas.

Une ancienne législation à dépoussiérer

Transférée aux Régions dans le cadre de la 6ème réforme de l’État, la politique en matière de bien-être animal est régie par une loi datant de 1986.

« Il est temps de dépoussiérer la loi de 1986. 35 ans après son adoption, une refonte de cette législation est plus que nécessaire. Ce travail, nous l’entamons dès aujourd’hui. Mais je ne veux pas le faire seul. Je souhaite associer les citoyens, les consulter, les questionner, les écouter. Parce que le fondement même de la démocratie, c’est la participation », rappelle le Ministre bruxellois.

Des animaux de compagnie nombreux et diversifiés

Qu’ils s’appellent Max, Simba, Pacha, Bella ou encore Lola. Que ce soient des chiens, des chats ou des NAC (nouveaux animaux de compagnie), les Bruxellois sont de plus en plus nombreux à posséder un animal de compagnie. Chats et chiens tiennent évidemment le haut du panier puisqu’on en compte respectivement 88.180 et 27.606 enregistrés dans les bases de données DogID et CatID. Mais lapins, hamsters et aussi serpents ou araignées ont de plus en plus la cote auprès des Bruxellois.