Refuges pour animaux en Région bruxelloise

Extrait de presse
Un soutien financier pour les refuges bruxellois

Extraits de l'article paru dans La Capitale

« Les chiffres sur le nombre de prises en charge d’animaux, qu’ils soient trouvés sur la voie publique ou abandonnés, démontrent la nécessité de poursuivre la sensibilisation des citoyens mais également l’importance du soutien à octroyer aux refuges. Il faut les aider dans la prise en charge des animaux », déclare Bernard Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois du Bien-être animal.

« Les refuges ne bénéficient pas de moyens budgétaires importants. Ils fonctionnent d’ailleurs tous grâce à la solidarité des citoyens et sur base de dons. Ce n’est pas normal. Ils accomplissent une mission de service public essentielle pour préserver le bien-être des animaux en détresse. Si la situation budgétaire de la Région ne nous permet pas pour l’instant d’offrir un soutien structurel aux refuges, j’espère, avec cet appel à subventions, insuffler un peu d’air frais aux refuges en leur permettant d’améliorer le bien-être des animaux », aspire Bernard Clerfayt.

Soutien aux refuges pour animaux

Actualité
Bernard Clerfayt lance un appel à subventions pour aider les refuges pour animaux

Les refuges pour animaux pourront obtenir un soutien financier allant jusqu’à 7.000 euros chacun. L’appel à subventions lancé par le Ministre du Bien-être animal Bernard Clerfayt est destiné à aider ces structures qui font face à de nombreuses demandes ces derniers mois, et à améliorer le bien-être des animaux en refuge.

Ce subside viendra à point pour aider les refuges pour animaux à aménager leurs installations, acheter du matériel, ou encore de la nourriture.

4.622 animaux recueillis en 2020

10 refuges agréés prennent en charge les animaux errants, perdus ou abandonnés sur la voie publique. En 2020, 4.622 animaux ont été recueillis par les refuges bruxellois : 2.925 chats, 589 chiens, 130 NAC (reptiles, rongeurs, etc.) et 978 oiseaux.

« Les chiffres sur le nombre de prises en charge d’animaux, qu’il soient trouvés sur la voie publique ou abandonnés, démontrent la nécessité de poursuivre la sensibilisation des citoyens mais également l’importance du soutien à octroyer aux refuges. Il faut les aider dans la prise en charge des animaux », déclare Bernard Clerfayt.

Les refuges pour animaux accomplissent une mission de service public

Le travail réalisé quotidiennement par les refuges pour animaux est considérable. « Les refuges ne bénéficient pas de moyens budgétaires importants. Ils fonctionnent d’ailleurs tous grâce à la solidarité des citoyens et sur base de dons. Ce n’est pas normal. Ils accomplissent une mission de service public essentielle pour préserver le bien-être des animaux en détresse. Si la situation budgétaire de la Région ne nous permet pas pour l’instant d’offrir un soutien structurel aux refuges, j’espère, avec cet appel à subventions, insuffler un peu d’air frais aux refuges en leur permettant d’améliorer le bien-être des animaux », aspire Bernard Clerfayt.

 

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Un soutien financier pour les refuges bruxellois

Communiqué de presse

La Région bruxelloise lance un appel à subventions à destination des refuges bruxellois. L’objectif : soutenir des structures soumises à un travail intense ces derniers mois et améliorer le bien-être des animaux en refuge.

On compte en Région bruxelloise, 10 refuges agréés pour prendre en charge les animaux errants, perdus ou abandonnés sur la voie publique. En 2020, 4.622 animaux ont d’ailleurs été recueillis par les refuges bruxellois : 2.925 chats, 589 chiens, 130 NAC (reptiles, rongeurs, etc.) et 978 oiseaux.

« Les chiffres sur le nombre de prises en charge d’animaux, qu’il soient trouvés sur la voie publique ou abandonnés, démontrent la nécessité de poursuivre la sensibilisation des citoyens mais également l’importance du soutien à octroyer aux refuges. Il faut les aider dans la prise en charge des animaux », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal.

C’est sur base de ce constat, et du travail réalisé quotidiennement par les refuges, que la Région bruxelloise lance un appel à subventions. Chaque refuge bruxellois pourra ainsi  obtenir un montant allant jusqu’à 7.000 euros.

« Les refuges ne bénéficient pas de moyens budgétaires importants. Ils fonctionnent d’ailleurs tous grâce à la solidarité des citoyens et sur base de dons. Ce n’est pas normal. Ils accomplissent une mission de service public essentielle pour préserver le bien-être des animaux en détresse. Si la situation budgétaire de la Région ne nous permet pas pour l’instant d’offrir  un soutien structurel aux refuges, j’espère, avec cet appel à subventions, insuffler un peu d’air frais aux refuges en leur permettant d’améliorer le bien-être des animaux », aspire Bernard Clerfayt.

Ce subside doit permettre aux refuges d’aménager leurs installations, d’acheter du matériel ou encore de la nourriture.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45

Les animaux dans la ville, vous les aimez?

Actualité
Chiens, chats, pigeons, renards, aimez-vous les animaux en ville ?

Chats, chiens, pigeons, renards,… aimez-vous les animaux dans la ville ? Quels sont vos animaux préférés ? Et ceux que vous n’aimez pas ? Quels sentiments vous inspirent-ils ? Êtes-vous prêts à renoncer à une partie de l’espace public pour le partager avec eux ? Qui devrait s’occuper de quoi ?

Autant de questions qui attendent vos réponses. Votre participation est importante pour faire avancer les connaissances sur la cohabitation avec les animaux dans la ville. Cette étude est une initiative de Bruxelles Environnement, menée par les universités de Namur et de Gand.

Vos réponses sont importantes pour en savoir plus sur notre relation avec les animaux dans la ville

Dans ce questionnaire ouvert à tous les Bruxellois, dites-nous ce que vous pensez de la cohabitation avec les animaux en ville. Sur la base de vos réponses, nous pouvons nous faire une idée de la façon dont vous vivez la présence de chats, de chiens, de pigeons et de renards en Région de Bruxelles-Capitale.

Un questionnaire en trois étapes, vous avez le choix

Le questionnaire est divisé en trois thèmes: Les animaux en tant que voisins (7 minutes, 11 questions), les responsabilités envers et le bien-être des animaux (5 minutes, 9 questions) et les chiens en ville (6 minutes, 13 questions). Après chaque partie, vous pouvez arrêter votre participation ou passer aux questions de la partie suivante.

Vous pouvez remplir ce questionnaire en ligne via votre ordinateur ou votre smartphone, et l'enquête est totalement anonyme.

 

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Expérimentation animale : 250.000 € pour des alternatives

Extrait de presse

Extraits de l'article paru dans La Capitale

Afin de soutenir la visibilité et l’utilisation des méthodes alternatives, de stimuler le développement de ces méthodes et d’en assurer la diffusion auprès du monde scientifique, la Région bruxelloise soutient le projet de plateforme de la VUB, porté par le Professeur Vera Rogiers, grâce à un subside de 250.000€, qui sera hébergé par le centre « IC-3Rs » de l’université.

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ce type de méthode mais aussi son recensement et sa notoriété au travers d’un site web si nous entendons maintenir notre objectif de diminuer drastiquement le nombre d’animaux d’expérience », conclut Bernard Clerfayt (DéFI), ministre du Bien-être animal.

250.000 euros pour les alternatives à l’expérimentation animale

Actualité
Laboratoire de recherche medicale - recherche pour les alternatives à l'expérimentation médicale

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre du Bien-être animal, un subside de 250.000 euros a été accordé à la VUB pour lancer une plateforme bruxelloise pour les méthodes alternatives à l’expérimentation animale.

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ce type de méthode mais aussi son recensement et sa notoriété au travers d’un site web si nous entendons maintenir notre objectif de diminuer drastiquement le nombre d’animaux d’expérience », explique le Ministre bruxellois.

Réduire le nombre d’animaux de laboratoire

Pour diminuer drastiquement le nombre d’animaux de laboratoire, il existe des alternatives, guidées par le principe des 3R : Remplacer (l’utilisation d’animaux par des méthodes expérimentales), Réduire (le nombre d’animaux) et Raffiner (ou améliorer les conditions d’élevage, d’hébergement et de soin ainsi que les méthodes utilisées en vue de réduire au minimum toute souffrance animale).

Et faire connaître les alternatives à l’expérimentation animale

Afin de soutenir la visibilité et l’utilisation des méthodes alternatives, de stimuler le développement de ces méthodes et d’en assurer la diffusion auprès du monde scientifique, la Région bruxelloise soutient le projet de plateforme de la VUB, porté par le Professeur Vera Rogiers, grâce à un subside de 250.000€, qui sera hébergé par le centre « IC-3Rs » de l’université.

L’expérimentation animale en chiffres

L’expérimentation animale est une pratique très encadrée. Les animaux d’expérience bénéficient d’une protection légale et tous les établissements doivent être agréés et sont soumis à des contrôles. En 2019, 62.641 animaux ont été utilisés en Région bruxelloise à des fins expérimentales, dont 98% de rongeurs (souris, rats, cobayes, lapins) par 68 laboratoires.

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250.000 euros pour créer une plateforme bruxelloise aux alternatives à l’expérimentation animale

Communiqué de presse

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal, le gouvernement bruxellois a accordé un subside de 250.000 euros à la VUB pour lancer une plateforme bruxelloise pour les méthodes alternatives à l’expérimentation animale.

L’expérimentation animale est une pratique très encadrée. Les animaux d’expérience bénéficient d’une protection légale et tous les établissements doivent être agréés et sont soumis à des contrôles. En 2019, 62.641 animaux ont été utilisés en Région bruxelloise à des fins expérimentales, dont 98% de rongeurs (souris, rats, cobayes, lapins) par 68 laboratoires.

Pour diminuer drastiquement le nombre d’animaux de laboratoire, il existe des alternatives, guidées par le principe des 3R : Remplacer (l’utilisation d’animaux par des méthodes expérimentales), Réduire (le nombre d’animaux) et Raffiner (ou améliorer les conditions d’élevage, d’hébergement et de soin ainsi que les méthodes utilisées en vue de réduire au minimum toute souffrance animale).

Afin de soutenir la visibilité et l’utilisation des méthodes alternatives, de stimuler le développement de ces méthodes et d’en assurer la diffusion auprès du monde scientifique, la Région bruxelloise soutient le projet de plateforme de la VUB, porté par le Professeur Vera Rogiers, grâce à un subside de 250.000€, qui sera hébergé par le centre « IC-3Rs » de l’université.

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ce type de méthode mais aussi son recensement et sa notoriété au travers d’un site web si nous entendons maintenir notre objectif de diminuer drastiquement le nombre d’animaux d’expérience », conclut le Ministre bruxellois.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45