Les Bruxellois réclament plus d’aires de jeux pour les chiens

Actualité
Les Bruxellois réclament des aires de jeux pour les chiens

15 jours avant la fin de la phase de consultation des citoyens à propos du bien-être animal, près de 1.900 avis ont déjà été récoltés. Une tendance émerge à ce stade : nombreux sont les Bruxellois qui souhaitent que les aires de jeux pour les chiens soient plus nombreuses.

Associer les citoyens

Avant l’été, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal lançait une campagne de consultation en Région bruxelloise afin de récolter les attentes des citoyens.

Cette phase doit permettre de faire naître un Code bruxellois du bien-être animal équilibré. Le Code bruxellois constituera la plus grande réforme menée en la matière. « Le bien-être animal est un sujet sensible qui fait souvent réagir les citoyens. Il était donc indispensable de les associer dans la refonte de la loi fédérale sur le bien-être animal», constate Bernard Clerfayt.

Une loi datant de 1986

Transférée dans le cadre de la 6ème réforme de l’état, la politique du bien-être animal est régie par une loi fédérale datant de 1986. Depuis, notre rapport aux animaux et les connaissances scientifiques ont considérablement évolué.

Résultats complets dévoilés en novembre

« Je dévoilerai les résultats de la consultation citoyenne dans le courant du mois de novembre mais déjà, je constate que de grandes tendances se dessinent. Les citoyens, en grande majorité, ont répondu que l’animal était un être vivant doué de sensibilité et que celui-ci était donc digne d’une protection particulière. Ils plébiscitent ainsi l’adoption de listes positives reprenant toutes les espèces animales autorisées à la détention chez les particuliers. Autre tendance, les espaces de liberté pour chiens. Ils sont nombreux à demander plus d’aires de jeux pour les chiens », détaille Bernard Clerfayt.

Ceci pourrait aussi vous intéresser en matière de bien-être animal:

Bien-être animal : les Bruxellois réclament plus d’espaces de liberté pour chiens

Communiqué de presse

Avant l’été, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal lançait une campagne de consultation populaire en Région bruxelloise afin de récolter les attentes des citoyens en matière de bien-être animal. Objectif : dépoussiérer la loi sur le bien-être animal, vieille de 35 ans.  Quinze jours avant la fin de l’opération, de grandes tendances se dessinent déjà.

Transférée dans le cadre de la 6ème réforme de l’état, la politique du bien-être animal est régie par une loi fédérale datant de… 1986. Depuis, notre rapport aux animaux et les connaissances scientifiques ont considérablement évolué. « Le bien-être animal est un sujet sensible qui fait souvent réagir les citoyens. Il était donc indispensable de les associer dans la refonte de la loi fédérale sur le bien-être animal »,constate Bernard Clerfayt.  C’est l’objectif poursuivi par la campagne Donnez-nous votre voix, lancée à la fin du mois de juin et qui se termine le 30 septembre prochain.

Cette phase de consultation populaire mais aussi des secteurs en lien avec le bien-être animal doit permettre de faire naître un Code bruxellois du bien-être animal équilibré. D’autant que ce Code constituera la plus grande réforme menée en matière de bien-être animal.

15 jours avant la fin de la phase de consultation, près de 1.900 avis ont déjà été récoltés. « Je dévoilerai les résultats de la consultation citoyenne dans le courant du mois de novembre mais déjà, je constate que de grandes tendances se dessinent. Les citoyens, en grande majorité, ont répondu que l’animal était un être vivant doué de sensibilité et que celui-ci était donc digne d’une protection particulière. Ils plébiscitent ainsi l’adoption de listes positives reprenant toutes les espèces animales autorisées à la détention chez les particuliers. Autre tendance, les espaces de liberté pour chiens. Ils sont nombreux à demander plus d’aires de jeux pour leur animal », détaille Bernard Clerfayt.

Les citoyens peuvent donc faire part de leurs idées jusqu’au 30 septembre prochain.  Ensuite, les questionnaires seront dépouillés et analysés. L’objectif est d’adopter ce nouveau code en première lecture au deuxième semestre 2022.


Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Colloque dédié au droit animalier

Actualité
Colloque dédié au droit animalier : « De la domestication à la protection »

Le colloque franco-belge « De la domestication à la protection – Quelle évolution du droit dans le rapport homme/animal ? », s'est tenu à Bruxelles ce 28 septembre 2021.

Consacrée au lien unissant l’homme à l’animal dans une perspective comparée au regard du droit français, cette journée fut organisée par la Région bruxelloise en collaboration avec la Société de législation comparée et la Fondation européenne pour le droit du vivant.

Coup d’œil sur le programme

Quel statut juridique pour l’animal ? Qu’en est-il du droit d’appropriation ? Quel rôle et quelles responsabilités pour la gouvernance et les institutions ? Après ces questions générales, les orateurs du colloque abordèrent des sujets proches des réalités de terrain : la répression de la maltraitance, l’inspection vétérinaire, la médiation animale comme activité économique, etc.

Le droit et l’évolution de la place de l’animal

La place de l’animal et notre rapport au vivant évoluent et font l’objet de préoccupations croissantes. Depuis 2018, la loi précise d’ailleurs : « un animal est un être vivant doué de sensibilité, de propres intérêts et d’une propre dignité, qui bénéficie d’une protection particulière. »

De bonnes pratiques se mettent en place alors que notre rapport au vivant ne cesse d’évoluer. Les crises que nous traversons accélèrent ces changements. Le colloque dédié au droit animalier « De la domestication à la protection » s'est inscrit au cœur de ces tendances révélatrices.

Actes du colloque

Visionner les conférences des orateurs du colloque franco-belge dédié au droit animalier :

Refuges pour animaux en Région bruxelloise

Extrait de presse
Un soutien financier pour les refuges bruxellois

Extraits de l'article paru dans La Capitale

« Les chiffres sur le nombre de prises en charge d’animaux, qu’ils soient trouvés sur la voie publique ou abandonnés, démontrent la nécessité de poursuivre la sensibilisation des citoyens mais également l’importance du soutien à octroyer aux refuges. Il faut les aider dans la prise en charge des animaux », déclare Bernard Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois du Bien-être animal.

« Les refuges ne bénéficient pas de moyens budgétaires importants. Ils fonctionnent d’ailleurs tous grâce à la solidarité des citoyens et sur base de dons. Ce n’est pas normal. Ils accomplissent une mission de service public essentielle pour préserver le bien-être des animaux en détresse. Si la situation budgétaire de la Région ne nous permet pas pour l’instant d’offrir un soutien structurel aux refuges, j’espère, avec cet appel à subventions, insuffler un peu d’air frais aux refuges en leur permettant d’améliorer le bien-être des animaux », aspire Bernard Clerfayt.

Soutien aux refuges pour animaux

Actualité
Bernard Clerfayt lance un appel à subventions pour aider les refuges pour animaux

Les refuges pour animaux pourront obtenir un soutien financier allant jusqu’à 7.000 euros chacun. L’appel à subventions lancé par le Ministre du Bien-être animal Bernard Clerfayt est destiné à aider ces structures qui font face à de nombreuses demandes ces derniers mois, et à améliorer le bien-être des animaux en refuge.

Ce subside viendra à point pour aider les refuges pour animaux à aménager leurs installations, acheter du matériel, ou encore de la nourriture.

4.622 animaux recueillis en 2020

10 refuges agréés prennent en charge les animaux errants, perdus ou abandonnés sur la voie publique. En 2020, 4.622 animaux ont été recueillis par les refuges bruxellois : 2.925 chats, 589 chiens, 130 NAC (reptiles, rongeurs, etc.) et 978 oiseaux.

« Les chiffres sur le nombre de prises en charge d’animaux, qu’il soient trouvés sur la voie publique ou abandonnés, démontrent la nécessité de poursuivre la sensibilisation des citoyens mais également l’importance du soutien à octroyer aux refuges. Il faut les aider dans la prise en charge des animaux », déclare Bernard Clerfayt.

Les refuges pour animaux accomplissent une mission de service public

Le travail réalisé quotidiennement par les refuges pour animaux est considérable. « Les refuges ne bénéficient pas de moyens budgétaires importants. Ils fonctionnent d’ailleurs tous grâce à la solidarité des citoyens et sur base de dons. Ce n’est pas normal. Ils accomplissent une mission de service public essentielle pour préserver le bien-être des animaux en détresse. Si la situation budgétaire de la Région ne nous permet pas pour l’instant d’offrir un soutien structurel aux refuges, j’espère, avec cet appel à subventions, insuffler un peu d’air frais aux refuges en leur permettant d’améliorer le bien-être des animaux », aspire Bernard Clerfayt.

 

Ceci peut aussi vous intéresser:

Un soutien financier pour les refuges bruxellois

Communiqué de presse

La Région bruxelloise lance un appel à subventions à destination des refuges bruxellois. L’objectif : soutenir des structures soumises à un travail intense ces derniers mois et améliorer le bien-être des animaux en refuge.

On compte en Région bruxelloise, 10 refuges agréés pour prendre en charge les animaux errants, perdus ou abandonnés sur la voie publique. En 2020, 4.622 animaux ont d’ailleurs été recueillis par les refuges bruxellois : 2.925 chats, 589 chiens, 130 NAC (reptiles, rongeurs, etc.) et 978 oiseaux.

« Les chiffres sur le nombre de prises en charge d’animaux, qu’il soient trouvés sur la voie publique ou abandonnés, démontrent la nécessité de poursuivre la sensibilisation des citoyens mais également l’importance du soutien à octroyer aux refuges. Il faut les aider dans la prise en charge des animaux », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal.

C’est sur base de ce constat, et du travail réalisé quotidiennement par les refuges, que la Région bruxelloise lance un appel à subventions. Chaque refuge bruxellois pourra ainsi  obtenir un montant allant jusqu’à 7.000 euros.

« Les refuges ne bénéficient pas de moyens budgétaires importants. Ils fonctionnent d’ailleurs tous grâce à la solidarité des citoyens et sur base de dons. Ce n’est pas normal. Ils accomplissent une mission de service public essentielle pour préserver le bien-être des animaux en détresse. Si la situation budgétaire de la Région ne nous permet pas pour l’instant d’offrir  un soutien structurel aux refuges, j’espère, avec cet appel à subventions, insuffler un peu d’air frais aux refuges en leur permettant d’améliorer le bien-être des animaux », aspire Bernard Clerfayt.

Ce subside doit permettre aux refuges d’aménager leurs installations, d’acheter du matériel ou encore de la nourriture.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45

Les animaux dans la ville, vous les aimez?

Actualité
Chiens, chats, pigeons, renards, aimez-vous les animaux en ville ?

Chats, chiens, pigeons, renards,… aimez-vous les animaux dans la ville ? Quels sont vos animaux préférés ? Et ceux que vous n’aimez pas ? Quels sentiments vous inspirent-ils ? Êtes-vous prêts à renoncer à une partie de l’espace public pour le partager avec eux ? Qui devrait s’occuper de quoi ?

Autant de questions qui attendent vos réponses. Votre participation est importante pour faire avancer les connaissances sur la cohabitation avec les animaux dans la ville. Cette étude est une initiative de Bruxelles Environnement, menée par les universités de Namur et de Gand.

Vos réponses sont importantes pour en savoir plus sur notre relation avec les animaux dans la ville

Dans ce questionnaire ouvert à tous les Bruxellois, dites-nous ce que vous pensez de la cohabitation avec les animaux en ville. Sur la base de vos réponses, nous pouvons nous faire une idée de la façon dont vous vivez la présence de chats, de chiens, de pigeons et de renards en Région de Bruxelles-Capitale.

Un questionnaire en trois étapes, vous avez le choix

Le questionnaire est divisé en trois thèmes: Les animaux en tant que voisins (7 minutes, 11 questions), les responsabilités envers et le bien-être des animaux (5 minutes, 9 questions) et les chiens en ville (6 minutes, 13 questions). Après chaque partie, vous pouvez arrêter votre participation ou passer aux questions de la partie suivante.

Vous pouvez remplir ce questionnaire en ligne via votre ordinateur ou votre smartphone, et l'enquête est totalement anonyme.

 

Ceci peut aussi vous intéresser: