Les tendances encourageantes de l'emploi en Région bruxelloise

Extrait de presse
Extrait de presse, la Dernière Heure : "Il n’y a jamais eu autant de navetteurs flamands et wallons à Bruxelles".

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure

Les chiffres d’emploi 2022 à Bruxelles se veulent optimistes. “ Le volume d’emplois en Région bruxelloise atteint un niveau record” , note Actiris en ce début de semaine. Entre 2021 et 2022, 39.000 emplois supplémentaires ont été créés, portant le total à près de 835.000 emplois en Région bruxelloise.

“ C’est la première fois dans l’histoire de Bruxelles qu’on a autant de Bruxellois à l’emploi. C’est de très bon augure”, se réjouit le ministre Bernard Clerfayt (Défi), qui parle de “ reconquête de l’emploi bruxellois” . En 2022, 65,2 % des Bruxellois entre 20 et 64 travaillaient, ce qui représente une augmentation de 3,5 % par rapport à la période avant la crise sanitaire.

En 2022, 49,5 % des emplois étaient occupés par des navetteurs, contre 50,6 % en 2021. […] “Bruxelles ne sera jamais une île. On aura toujours des travailleurs qui viennent d’ailleurs, notamment pour les ministères fédéraux et la communauté flamande”, commente Bernard Clerfayt.

[…] “ Ce n’est pas parce que des travailleurs ont signé des contrats à Bruxelles qu’ils viennent tous travailler à Bruxelles tous les jours”, rappelle le ministre bruxellois de l’Emploi, […]”.

Emploi : année record pour la Région bruxelloise

Extrait de presse
Extrait de presse, le vif : "Chômage en baisse, taux d'emploi en hausse : 2022, année record pour la Région bruxelloise".

Extraits de l'article publié par Le Vif

Le nombre d'emplois dans la Région de Bruxelles-Capitale et le taux d'emploi des Bruxellois ont atteint des niveaux records en 2022, selon Actiris.

[…] Le nombre de Bruxellois à l'emploi a augmenté de presque 30.000 unités l'an dernier soit une croissance de 6,2%. […] 65,2% des Bruxellois âgés entre 20 et 64 ans sont à l'emploi (+3,5%).

[…] Le taux de chômage, de 11,5%, est en baisse depuis une dizaine d’années. Le nombre total d’emplois à Bruxelles (occupés par des Bruxellois ou non) était de 835.000 en 2022 soit une hausse de 39.000 postes.

Interview sur le plateau de BEL RTL MATIN

Extrait de presse
Interview de Bernard Clerfayt sur RTL TVI

Ce lundi 17 avril le Ministre bruxellois de l'Emploi était sur le plateau de BEL RTL. Il a exposé la situation en Région bruxelloise concernant le taux d'emploi des femmes. La problématique de la moindre participation des femmes au marché du travail a été abordée.

Le Ministre a aussi rappelé les chiffres de l'emploi en Région bruxelloise. Les tendances sont bonnes, le taux d'emploi est en hausse. On a créé 40.000 emplois de plus en Région bruxelloise. Les Bruxellois accédent aussi à des emplois en Flandre qui est au plein emploi. À ce propos le Ministre a d'ailleurs rappelé l'accord entre Actiris et le VDAB pour permettre à plus de Bruxellois d'accéder à des emplois en Flandre.

Le renforcement des tests de discrimination à l'embauche a aussi été abordé. Les procédures de tests vont être simplifiées et des tests par secteurs seront possibles.

La transparence dans la gestion des services publics a été abordée, notamment les avancées en Région bruxelloise pour interdire le cumul des mandats.

Le Ministre a évoqué aussi la nécessité de réduire l'importance des cabinets et les avantages fiscaux des députés, qui comme d'autres sujets, doivent être mis sur la table pour améliorer la gouvernance.

« Aider toutes les femmes à accéder à l’emploi, c’est travailler à l’émancipation »

Communiqué de presse

« Dénoncer un fait n’est pas stigmatiser. Et je n’ai pas à m’excuser de la déformation de mes propos par certains partis politiques. Cela ne change rien à ma détermination de travailler à l’émancipation de toutes et de tous et continuer à améliorer le taux d’emploi des femmes en Région bruxelloise », déclare Bernard Clerfayt.

Et, c’est un fait, le taux d’emploi des femmes est plus faible que celui des hommes malgré un niveau d’éducation plus élevé. C’est le cas partout en Belgique mais l’écart est plus important en Région bruxelloise (10 points de pourcentage d’écart), tout de suite suivi de la province du Hainaut (9,5 points de pourcentage d’écart).

Cet écart statistique s’explique notamment par un plus faible taux de participation des femmes au marché de l’emploi. En effet, les chiffres de Statbel indiquent que la différence entre hommes et femmes atteint -11,9 points de pourcentage. C’est plus qu’en Flandre et en Wallonie.

Et les derniers chiffres de Statbel nous révèlent également qu’en Région bruxellois, le taux de chômage des femmes qui participent au marché de l’emploi est moins élevé que celui des hommes.

Cela montre bien qu’à côté des problèmes structurels (manque de place en crèches, emploi mal rémunéré, …), qu’à côté des discriminations systémiques, le taux de participation des femmes est plus faible.

« Tronquer la réalité pour de petits bénéfices électoraux n’est pas une manière de régler les vrais problèmes de mise à l’emploi en Région bruxelloise. Continuons plutôt de soutenir la poursuite des études adaptées aux réalités du marché du travail, continuons de rééquilibrer le partage des charges familiales, augmentons le salaire poche, surtout pour les bas salaires, … autant de mesures qui ne relèvent du département emploi. Aider les femmes à accéder à l’emploi, c’est travailler à l’émancipation », conclut le Ministre Clerfayt.

Rappelons que c’est en Région bruxelloise où le taux de chômage a le plus baissé et le taux d’emploi le plus augmenté ces cinq dernières années.  

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Envers et contre tout, rester actives sur le marché du travail

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Centre de coworking - formation

Le taux d’emploi des femmes est plus faible que celui des hommes malgré un niveau d’éducation plus élevé. C’est le cas partout en Belgique mais l’écart est plus important en Région bruxelloise (10 points de pourcentage d’écart).

Cet écart statistique s’explique notamment par un plus faible taux de participation des femmes au marché de l’emploi. En effet, les chiffres de Statbel indiquent que la différence entre hommes et femmes atteint -11,9 points de pourcentage. C’est plus qu’en Flandre et en Wallonie.

Rester actives sur le marché du travail, c’est refuser la fatalité

Un autre chiffre est particulièrement significatif. En Région bruxelloise, les données Statbel révèlent également que le taux de chômage des femmes actives sur marché de l’emploi est moins élevé que celui des hommes.

Les problèmes structurels (manque de place en crèches, emploi mal rémunéré, …), les discriminations systémiques ne sont pas les seuls déterminants expliquant taux d’emploi inférieur des femmes. Le maintien d’une recherche active d’emploi, envers et contre tous les découragements compréhensibles, reste indispensable, et toujours payant.

« Continuons à soutenir la poursuite des études adaptées aux réalités du marché du travail, continuons de rééquilibrer le partage des charges familiales, augmentons le salaire poche, surtout pour les bas salaires, … autant de mesures qui ne relèvent du département emploi. Aider les femmes à accéder à l’emploi, c’est travailler à l’émancipation », rappelle Bernard Clerfayt.

Les tendances sont bonnes, les femmes ont donc des places à prendre

C’est en Région bruxelloise que le taux de chômage a le plus baissé et que le taux d’emploi le plus augmenté ces cinq dernières années. Ces tendances favorables doivent renforcer la détermination des femmes à prendre leur place dans la vie professionnelle.

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Près de 15.000 personnes formées par les Pôles Formation Emploi

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Près de 15.000 personnes formées par les Pôles Formation Emploi

En 2021 et 2022, les quatre Pôles Formation Emploi de la Région bruxelloise ont formé près de 15.000 personnes à 52 métiers différents. Les secteurs bénéficiant d’un Pôle Formation Emploi sont des secteurs à la recherche de nombreux profils sur le marché de l’emploi : la construction, le transport, le numérique ou encore l’industrie technologique.

Les quatre Pôles Formation Emploi ont accueilli majoritairement des chercheurs d’emploi

Logisticity, Construcity, Technicity et Digitalcity sont les quatre Pôle Formation Emploi.  Un Pôle Formation Emploi est une structure unique en Région bruxelloise. Il rassemble les acteurs publics de la formation professionnelle (Bruxelles Formation, VDAB Brussel, EFP-SFPME), l’acteur public de l’emploi (Actiris) et le secteur professionnel. Leur mission ? Organiser, développer et promouvoir la formation et l’emploi dans un secteur déterminé.

L’ensemble des formations proposées s’adressent tant aux travailleurs qu’aux chercheurs d’emploi. En 2021, 6.707 personnes ont été formées dans l’un des 4 Pôles, dont 4048 chercheurs d’emploi. En 2022, ils étaient 7.832 dont 4.646 chercheurs d’emploi, soit des progressions respectives de 17% et de 15%.

71% des chercheurs d'emploi formés trouvent un emploi

Mieux encore, l'impact des Pôles Formation Emploi se mesure à la lumière des mises à l'emploi. D'après une récente étude de View.brussels, 54% de chercheurs d'emploi décrochent un contrat après deux ans de chômage contre 71% s'il s'agit de chercheurs d'emploi qui ont suivi une formation. Mais à Technicity par exemple, ce taux de mise à l’emploi grimpe à 89,5%

Enfin, les taux d’abandon sont relativement faibles et en diminution entre 2021 et 2022. Il est passé de 23,6% à 19% pour Construcity, de 17% à 9,6% pour Digitalcity, de 16,4% à 5,4% pour Logisticity et de 26,1% à 11,3% pour Technicity.

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La formation ouvre la voie vers l’emploi

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10.000 chercheurs d’emploi bruxellois ont bénéficié de l’indemnité formation en 2022. Le montant total des indemnités perçues est de  6.939.651€.

10.000 chercheurs d’emploi bruxellois ont bénéficié de l’indemnité formation en 2022. Le montant total des indemnités perçues est de  6.939.651€.

De la formation à l’emploi, le pas souvent franchi

Il y a quelques semaines, une étude révélait l’impact positif de la formation sur la mise à l’emploi. Deux ans après leur entrée en formation, 71% des chercheurs d’emploi ont quitté le chômage vers l’emploi. En l’absence de formation professionnelle, la proportion est réduite à 54%. La formation est don le levier efficace à activer pour permettre à plus de Bruxellois de trouver un emploi.

« Je me réjouis que les chercheurs d’emploi soient de plus en plus nombreux à profiter de l’indemnité formation. […] Je ne le répéterai jamais assez : se former c’est un investissement payant », commente Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

Valoriser la formation

En Région bruxelloise, le recours à la formation a été revalorisé. Depuis le 1er janvier 2021, chaque chercheur d’emploi en formation reçoit une indemnité de 2€/h, contre 1€/h précédemment.

En 2022, 54,5% des bénéficiaires étaient des femmes et 45,5% des hommes. Ils ont suivi 3.470.672 heures de formation.

À côté des formations transversales et cours généraux, les principaux domaines de formation suivis par les stagiaires bénéficiant du revenu de formation sont :

  • Gestion Management et Administration
  • Informatique, ICT et Économie numérique
  • Social, Santé et Soins du Corps

87% des stagiaires ont achevé complètement leur formation. 11% des formations n’ont pas été menées à terme et 2,1% ont été interrompues pour des mises à l’emploi directes.