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À Bruxelles, l'indexation du prix des titres-services est sur la table

Extrait de presse

Extraits de l'article paru dans l'Écho

Bernard Clerfayt (DéFI) veut diviser par deux la croissance annuelle du coût des titres-services supporté par la Région bruxelloise. […]

"L'objectif est de maîtriser la masse budgétaire. On ne peut pas continuer à avoir un taux de croissance annuel de 7 ou 8% du budget alloué aux titres-services alors que les ressources de la Région ne croissent que de 2%. Il faut limiter la croissance de cette charge à 4% tout en veillant à ce que cela n'entraîne pas un retour du travail au noir", annonce le ministre bruxellois de l'Emploi Bernard Clerfayt (DéFI) au sujet de la réforme qui pend au nez du secteur des titres-services.

[…] L'enveloppe de 206,7 millions d'euros en 2015 atteint 226,5 millions pour l'année 2020, soit une augmentation de 20 millions en six ans. "Cela s'explique par l'inflation: le remboursement de chaque titre par les pouvoirs publics augmente chaque année. Et par le succès croissant des titres-services."

[…] "La grande question qui se pose maintenant est de savoir comment les Régions peuvent supporter de telles croissances de charge d'un système dont le retour en recettes via les cotisations sociales et les déclarations d'impôts profitent surtout au Fédéral", résume le ministre amarante, qui plaidera, dans le cas d'une éventuelle 7e réforme de l'État, pour une progressivité de la dotation accordée aux Régions en fonction des effets de retour dont bénéficie le Fédéral.

[…] L'augmentation des coûts pourrait être répartie de manière plus équilibrée entre l'usager qui paie son chèque et le budget régional financé par le contribuable", estime Bernard Clerfayt

Lire l'article complet sur le site de l'Echo (payant)

Les communes bruxelloises sont assainies

Extrait de presse

Extraits de l'article du Soir en Une et en page 2

Les dix-neuf budgets 2018, cumulés, affichent un boni ; l’endettement (1,47 milliard) est sous contrôle… « La situation globale s’est nettement améliorée, elle est aujourd’hui très bonne », confirme Bernard Clerfayt, en charge des Pouvoirs locaux. Mais le ministre Défi glisse aussitôt quelques bémols.

Un : il existe de grandes disparités entre les communes. […] L’explication réside dans la structure des recettes communales bruxelloises, alimentées, pour un tiers, par les additionnels au précompte immobilier. « Or, les communes du nord-ouest en perçoivent moins, notamment parce qu’elles ont peu de bureaux sur leur territoire », explique Clerfayt.

Deux : les besoins sont très contrastés. Le boom démographique est plus marqué dans certaines communes que d’autres […] les communes du Canal éprouvent plus de difficultés. « Peut-être faut-il aider davantage ces communes-là ? », observe Bernard Clerfayt.

[…] les fonctionnaires communaux manifestent depuis plusieurs mois pour réclamer une revalorisation barémique. […] La Région consacre déjà plus de 30 millions par an pour soutenir les revalorisations salariales, Bernard Clerfayt évoque « un soutien partiel » pour les nouvelles demandes. Mais les communes devront aussi dégager des moyens.

[…] Derniers motifs d’inquiétude : les dépenses de police, jusqu’ici «bien maîtrisées». «Mais elles restent supérieures, à Bruxelles, c’est préoccupant», souligne Bernard Clerfayt. Qui plaide pour que le fédéral «rééquilibre les moyens octroyés aux zones urbaines, par rapport aux zones rurales».

Article en ligne sur le site du Soir (payant)

 

Interview de Bernard Clerfayt sur Vivacité à propos des pouvoirs locaux

Budget 2019 d'Actiris, zones zéro chômeur, budget de la Région de Bruxelles-Capitale

Extrait de presse
Retrouver l'interview complet du Ministre Bernard Clerfayt sur BX1+

Retrouvez ici en vidéo l'interview que le Ministre de la Région de Bruxelles-Capitale Bernard Clerfayt a accordée ce Lundi 18 novembre à BX1+

Un ajustement logique en termes de bonne gestion

Derrière la réduction du budget d’Actiris en 2019, il n’y a pas de jugement de valeur. Actiris a des moyens pour soutenir la création d’emplois, la mise en stage, ces moyens n’étaient pas utilisés année après année parce qu’il n’y avait pas assez de demande pour les utiliser. Dans un budget difficile, j’ai réduit les crédits pour les montants non-dépensés. Il n’y a donc pas moins de moyens que précédemment. J’ai retiré des sommes qui étaient proposées à la dépense qui n’étaient en fait pas utilisées.

Actiris partenaire des employeurs

720 millions pour le budget d’Actiris c’est un énorme dans le budget régional, c’est un montant important pour soutenir la création d’emplois. Cet argent doit être géré de la meilleure manière possible. Et par ailleurs, c’est important, en Région bruxelloise, il y énormément d’emplois. Il faut que les employeurs en Région bruxelloise aient plus le réflexe de s’adresser à Actiris, qui doit être leur partenaire pour les aider à trouver les demandeurs d’emploi qui répondent à leurs besoins, à trouver les formations requises, à les mettre en stage. J’ai confiance en la capacité d’Actiris à faire ce travail.

Actiris a bien mis en œuvre ses moyens, le chômage a diminué et il doit continuer à diminuer. L’objectif maintenant c’est qu’Actiris soit un vrai partenaire des employeurs pour que les demandeurs d’emploi trouvent du boulot à Bruxelles.

Comment ? Quand une entreprise s’adresse à Actiris, elle doit trouver des demandeurs d’emploi, des candidats qui correspondent à sa demande. Actiris doit donc définir les formations avec les secteurs professionnels. Les pôles formation-emploi sont des contrats entre Actiris et les secteurs professionnels pour définir les formations qui conduisent à l’emploi.

Zones zéro chômeurs : évaluer, comparer et tester

Créer des zones zéro chômeurs c’est dans l’accord de majorité et nous allons faire cette expérience sur plusieurs quartiers à Bruxelles, je ne sais pas encore lesquels. L’expérience en France est en cours et nous allons être très attentifs à la première évaluation. On verra si cela fonctionne bien et nous devrons l’évaluer au regard des autres mesures qui existent déjà à Bruxelles pour voir si ce programme-là est plus efficace et moins coûteux.

Pour mettre en œuvre cela il faut travailler avec des opérateurs locaux dans les quartiers qui soient nos partenaires pour travailler avec les chômeurs de longue durée de ces quartiers, désireux de mettre leurs compétences au service de la communauté pour définir ensemble les métiers qu’ils peuvent exercer au bénéfice de la communauté.

Zéro chômage en Région bruxelloise c’est l’utopie complète. Mais 3 à 4 % de taux de chômage, cela ferait un délai d’attente de 2 à 3 mois pour retrouver du travail. C’est tout à fait supportable dans une société. C’est l’objectif à terme, je ne l’obtiendrai pas dans les 5 ans, mais nous devons retrouver une situation aussi prospère de la Flandre qui est 4% de chômage.

La Région bruxelloise au bord de la faillite, selon le MR bruxellois ?

Si la Région bruxelloise était en Faillite, l’État fédéral qui est géré par le MR, lui, serait en faillite depuis très longtemps !

L’endettement va croître en Région bruxelloise, la décision a été expliquée. Et la Cour des Compte rappelle à juste titre que la situation financière reste fragile. Bruxelles reste mal financée on le sait bien. Bruxelles a beaucoup de charges pour les missions qu’elle doit remplir.

Nous investissons dans l’avenir de Bruxelles, à travers le Métro, la rénovation des tunnels etc. Et cet investissement dans des infrastructures, c’est du bon déficit. C’est le ministre Wallon qui le dit aussi, il y a du bon déficit comme il y a du bon cholestérol. Lui-même en Région wallonne fait la même chose. Le MR bruxellois nous reproche ce que fait le MR wallon, c’est assez curieux et comique. Il reste un dépassement de 270 millions, cela peut paraître beaucoup, mais sur un budget de 5 milliards…

Tout le monde nous dit que les taux d’intérêts sont bas, que c’est l’occasion d’investir, pour créer un métro qui va simplifier la vie de Bruxellois, pour améliorer les tunnels. C’est le moment de le faire, on ne va pas se priver de le faire puisque les conditions sont bonnes.

La grande question, c’est de ne pas créer de la dette pour les dépenses courantes. Si c’est pour de l’investissement, des choses qui vont durer, alors cela a du sens d’avoir de la dette.

 

 

 

Bernard Clerfayt : Actiris doit faire mieux

Extrait de presse

Extraits des articles publiés par Le Soir en Une et en page 6

(Page 1) l’Office régional de l’emploi est prié de «faire mieux avec un peu moins»

[…] «L’objectif, c’est de continuer à rendre Actiris plus efficace et d’aider mieux les personnes en demande d’emploi. Un budget annuel de 720 millions pour 89.000 demandeurs d’emploi inscrits, cela fait 8.000 euros par personne. C’est énorme. Pour un montant pareil, on doit constamment s’interroger sur les stratégies les plus efficaces. Il faut évaluer l’ensemble des mécanismes et donner plus à ceux qui ont le meilleur rapport coût-efficacité. Je compte mener ce travail.»

(Page 6) Pour le ministre de l’Emploi, Actiris «doit davantage être un partenaire des employeurs, pour mieux répondre à leurs attentes».
Un ministre de l’Emploi qui voit son budget réduit de 3,3 % et ne se plaint pas, c’est rare. « Il n’y a aucune réduction des dépenses réelles qui soutiennent les politiques de l’emploi […] Ce sont des corrections techniques, en fonction des montants réellement dépensés en 2019. »
«Il n’y a aucune réduction des dépenses réelles qui soutiennent les politiques de l’emploi, insiste le Schaerbeekois. Ce sont des corrections techniques, en fonction des montants réellement dépensés en 2019.»

[…] «Si on ne veut rien changer, il n’y a jamais de marges. L’objectif, c’est de continuer à rendre Actiris plus efficace et d’aider mieux les personnes en demande d’emploi. Un budget annuel de 720 millions pour 89.000 demandeurs d’emploi inscrits, cela fait 8.000 euros par personne. C’est énorme. Pour un montant pareil, on doit constamment s’interroger sur les stratégies les plus efficaces. Il faut évaluer l’ensemble des mécanismes et donner plus à ceux qui ont le meilleur rapport coût-efficacité. Je compte mener ce travail.»

[…] «Actiris doit être un meilleur partenaire des employeurs à Bruxelles. Chaque année, il y a des dizaines de milliers d’offres d’emploi.»

[…] «Actiris doit travailler avec les entreprises, pour recevoir ces offres d’emploi et aider les demandeurs
d’emploi à se former pour répondre à ces offres d’emploi. Aujourd’hui, ce n’est pas assez le cas. Plus on sera partenaire des employeurs, plus on augmentera le taux d’emploi bruxellois à Bruxelles.»

Lire cet article en ligne sur le site du Soir (abonnés)

MolenGeek et Proximus collaborent pour l’emploi numérique

Extrait de presse
Stefaan De Clerck, Bernard Clerfayt et Ibrahim Ouassari scèlent un accord pour l'emploi dans le numérique entre Proximus et l'incubateur Molengeek

Extrait de l'article publié par BX1

L’incubateur de start-ups et l’entreprise de télécommunications s’engagent pour améliorer l’emploi et stimuler l’esprit d’entreprise auprès des “jeunes talents formés à MolenGeek qui n’ont pas nécessairement un parcours scolaire typique“, s’est enthousiasmé Ibrahim Ouassari, co-fondateur de MolenGeek, lors d’une conférence de presse en commun avec le président du conseil d’administration de Proximus, Stefaan De Clerck, et le ministre bruxellois de l’Emploi, de la Formation professionnelle et de la Transition numérique, Bernard Clerfayt.

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L’alimentation durable à la hausse

Extrait de presse
Article de La Libre "L'alimentation durable à la hausse"

Extraits de l'article paru dans La Libre de ce 7 novembre 2019

Bruxelles dispose d’un grand potentiel de développement d’agriculture urbaine. “La région contient plusieurs centaines d’hectares agricoles qu’il suffit d’utiliser , explique Bernard Clerfayt (Défi). Aujourd’hui, on peut aussi cultiver sur les toitures ou en aquaponie. Ce sont des options qu’on veut mettre en place à l’avenir.”

Création d’emplois

En investissant dans le maraîchage, la région pourrait créer au moins 1 400 emplois qui en généreraient d’autres, dans le domaine de la transformation et de la distribution alimentaires. Jusqu’à devenir totalement autonome ? Non, clarifie le ministre bruxellois de l’Emploi. “La ville sera toujours dépendante de la campagne, notamment pour la viande. Et nos bananes viendront toujours du Brésil ou du Congo. Mais pour le reste, Bruxelles pourrait produire ses propres fruits et légumes. Il y a en tout cas un vrai potentiel que nous devons exploiter. C’est meilleur pour la santé, pour l’environnement et ça crée des emplois locaux. C’est du win-win !”

"Il s’agit d’agents communaux. Ils ont donc les communes pour employeur" rappelle Bernard Clerfayt

Extrait de presse

Extrait d'un article du Soir de ce 7 novembre

De son côté, Bernard Clerfayt, interpellé à plusieurs reprises au Parlement, insiste : « Il s’agit d’agents communaux. Ils ont donc les communes pour employeur. Celles qui le souhaitent et qui disposent des marges budgétaires suffisantes peuvent prendre des mesures pour revaloriser les barèmes de leurs employés. Ce sont donc les communes qu’il faut interpeller ! Même si je sais qu’elles aimeraient que la Région mette à leur disposition les moyens nécessaires. » Soit, selon les chiffres de Sven Gatz, 130 millions pour les 19 communes et CPAS.