Premières tendances de l'enquête sur le bien-être animal

Les Bruxellois réclament plus d'espaces de liberté pour les chiens

Extraits de l'article paru dans La Capitale

Avant l’été, Bernard Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois du Bien-être animal lançait une campagne de consultation populaire en Région bruxelloise afin de récolter les attentes des citoyens en matière de bien-être animal. Objectif : dépoussiérer la loi sur le bien-être animal, vieille de 35 ans. Quinze jours avant la fin de l’opération, de grandes tendances se dessinent déjà.

« Le bien-être animal est un sujet sensible qui fait souvent réagir les citoyens. Il était donc indispensable de les associer dans la refonte de la loi fédérale sur le bien-être animal », constate Bernard Clerfayt.

« Je dévoilerai les résultats de la consultation citoyenne dans le courant du mois de novembre mais déjà, je constate que de grandes tendances se dessinent. Les citoyens, en grande majorité, ont répondu que l’animal était un être vivant doué de sensibilité et que celui-ci était donc digne d’une protection particulière. Ils plébiscitent ainsi l’adoption de listes positives reprenant toutes les espèces animales autorisées à la détention chez les particuliers. Autre tendance, les espaces de liberté pour chiens. Ils sont nombreux à demander plus d’aires de jeux pour leur animal », détaille Bernard Clerfayt.

Relance et reprise d'entreprises en difficulté

Reload Yourself un véhicule au service de la croissance

Extraits d'un l'article de l'Echo

En mettant l’accent sur la transmission et en créant un incubateur de faillites, JobYourself veut maintenir et/ou créer 1.000 emplois à Bruxelles en quatre ans.

[…] Poussant plus loin encore sa réflexion, le groupe JobYourself vient de mettre sur pied un incubateur de faillites, avec le soutien du ministre bruxellois de l’Emploi, Bernard Clerfayt. Doté d’un budget de 7,5 millions d’euros tiré du plan de relance (étalé jusqu’en 2025), cette structure a pour but de racheter des sociétés en faillite avant de les relancer, de préférence avec l’entrepreneur qui, pour la cause, deviendra salarié de Reload Yourself (tout comme les travailleurs et les éventuels associés).

Métiers en pénurie

Bernard Clerfayt: une obligation de formation mais en laissant le choix

Extraits de l'article paru dans la Dernière Heure

(Bernard Clerfayt:)

“ Georges-Louis Bouchez et Paul Magnette (NdlR : selon lui, pour le MR, la solution aux pénuries est le travail forcé et la sanction) sont dans une posture politique. Ce n’est pas par le clash que se résoudra le problème. On voit que les personnes qui sont durablement au chômage ont un profil de compétences pas adapté. Il faut faire un gros effort de formation ”, nous indique Bernard Clerfayt (Défi), ministre bruxellois de l’Emploi. “ Mais j e ne suis pas d’accord qu’on doit obligatoirement se former dans un métier en pénurie. Dire : vous devez être maçon ou infirmier ne fonctionnera pas si les gens ne veulent pas faire ces métiers. De plus, les exclure transfère les personnes du chômage au CPAS. Cela dit, il faut rappeler à ces gens l’obligation de se former, mais dans le métier de leur choix. ”

Infrabel forme aux métiers du rail

Infrabel Academy, le première "école du rail" du pays

Extrait de l'article de La Capitale

L’Infrabel Academy, la première « école du rail » de Belgique, a été officiellement inaugurée mercredi, jour de rentrée des classes, à Molenbeek-Saint-Jean, à proximité immédiate de la gare de Bruxelles-Ouest. Les 300 formations et cours divers nécessaires à la gestion quotidienne des 3.600 km de lignes ferroviaires du pays y sont désormais centralisés, là où ils étaient précédemment dispensés localement, aux quatre coins du pays.

[…] Bernard Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle, a rappelé qu’il était difficile pour Actiris d’envoyer du personnel qualifié auprès d’Infrabel et que ce genre de structure allait faciliter la collaboration entre les organismes.

Soutien aux entreprises formatrices

3000 euros pour les entreprises qui forment des stagiaires

Extraits d'un article publié par La Capitale

Le gouvernement bruxellois a marqué son accord pour l’octroi d’une prime de 3.000 euros à destination des entreprises formatrices. L’objectif : augmenter le nombre d’employeurs qui s’engage à former des stagiaires en alternance.

« Je suis convaincu que la formation en alternance peut contribuer à accélérer la relance socio-économique de la Région bruxelloise tant elle permet de former des personnes aux compétences attendues par les employeurs. Ceux-ci sont encore trop peu nombreux à former des stagiaires au sein de leur entreprise. Grâce à cette prime de 3.000€ et à l’assouplissement des conditions d’octroi, j’espère qu’au-delà des belles déclarations, nous assisterons à une mobilisation massive du monde économique pour l’alternance », déclare Bernard Clerfayt.

Réseau régional de fibre optique

Bruxelles prête à commercialiser ses 1.000 km de fibre optique

Extraits de l'article publié par l'Echo

Trois entités vont être créées pour commercialiser le réseau de fibre optique bruxellois. Les acteurs se sont
entendus sur une mutualisation profitable.

[…] En charge des dossiers numériques à la Région, Bernard Clerfayt (DéFI) a lancé l’idée d’une mutualisation de ce réseau qui, disait-on à l’époque, était complètement sous-exploité. Six mois plus tard, un cadastre a été réalisé – le dernier datait de 2014 – et il confirme que le réseau s’est encore étendu.

[…] Altman Solon, mandaté pour l’occasion par le gouvernement bruxellois, estime qu’il faudrait 1.575 km de réseau au total pour un investissement de 189 millions d’euros. «Mais la Région ne dépensera pas un euro», prévient Bernard Clerfayt. L’extension du réseau se fera, notamment, aux frais des opérateurs télécoms intéressés de pouvoir utiliser une infrastructure existante qui assure un déploiement rapide.

[…] Elle [la Région bruxelloise] compte bien aller au bout de son idée: exploiter son propre réseau de fibre optique. Il faut dire qu’il y a de la marge dans le sous-sol bruxellois. 75% de la capacité du réseau n’est pas exploitée pour le moment et ne demande qu’à être commercialisée. Le réseau existant pourrait rapporter 1,8 million d’euros par an, s’il était commercialisé en l’état. Un montant à partager entre les différents membres du réseau. «Les recettes ne seront pas gigantesques. Le but n’est pas de faire de l’argent. L’intérêt est de créer réseau un réseau public qui stimule la concurrence», précise Bernard Clerfayt.

[…] «On pourrait assister à une baisse des prix des connexions à la fibre par la mise en place d’une concurrence
saine entre les opérateurs.»

Permis de séjour

Octroi d'un permis unique séjour/travail en cas de pénurie

Extrait de l'article paru dans Métro

« En Région bruxelloise, afin de soutenir les secteurs en pénurie de main-d’oeuvre, nous appliquons déjà une politique souple d’octroi de permis de travail et nous plaidons pour une plus grande souplesse pour l’octroi par le fédéral des permis de séjour pour les travailleurs qui remplissent des fonctions dans des secteurs essentiels (et pour lesquels il n’est pas possible de trouver une main-d’oeuvre locale dans un délai raisonnable) », a soutenu Bernard Clerfayt.

Refuges pour animaux en Région bruxelloise

Un soutien financier pour les refuges bruxellois

Extraits de l'article paru dans La Capitale

« Les chiffres sur le nombre de prises en charge d’animaux, qu’ils soient trouvés sur la voie publique ou abandonnés, démontrent la nécessité de poursuivre la sensibilisation des citoyens mais également l’importance du soutien à octroyer aux refuges. Il faut les aider dans la prise en charge des animaux », déclare Bernard Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois du Bien-être animal.

« Les refuges ne bénéficient pas de moyens budgétaires importants. Ils fonctionnent d’ailleurs tous grâce à la solidarité des citoyens et sur base de dons. Ce n’est pas normal. Ils accomplissent une mission de service public essentielle pour préserver le bien-être des animaux en détresse. Si la situation budgétaire de la Région ne nous permet pas pour l’instant d’offrir un soutien structurel aux refuges, j’espère, avec cet appel à subventions, insuffler un peu d’air frais aux refuges en leur permettant d’améliorer le bien-être des animaux », aspire Bernard Clerfayt.

Expérimentation animale : 250.000 € pour des alternatives

Extraits de l'article paru dans La Capitale

Afin de soutenir la visibilité et l’utilisation des méthodes alternatives, de stimuler le développement de ces méthodes et d’en assurer la diffusion auprès du monde scientifique, la Région bruxelloise soutient le projet de plateforme de la VUB, porté par le Professeur Vera Rogiers, grâce à un subside de 250.000€, qui sera hébergé par le centre « IC-3Rs » de l’université.

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ce type de méthode mais aussi son recensement et sa notoriété au travers d’un site web si nous entendons maintenir notre objectif de diminuer drastiquement le nombre d’animaux d’expérience », conclut Bernard Clerfayt (DéFI), ministre du Bien-être animal.

Langues et numérique, premières priorités de la formation en Région de Bruxelles-Captale

Comment Bruxelles va investir dans la formation

Extrait de l'article de La Libre

[…] Comme La Libre le révélait en février dernier, 100 millions d’euros issus de cette enveloppe seront consacrés dans les cinq années à venir à la requalification des demandeurs d’emploi et à l’optimisation des politiques d’inclusion à l’emploi.

Mais, plus concrètement, à quoi cet argent européen dédié à l’emploi et à la formation professionnelle à Bruxelles va-t-il servir ?
Tout d’abord, il va permettre de doper l’apprentissage des langues nationales et l’usage des outils numériques par les Bruxellois et Bruxelloises. C’est la plus grosse part du gâteau. Sur base des recommandations formulées par l’Europe, le gouvernement Vervoort a en effet décidé d’investir plus de 30 millions d’euros dans la mise en place d’une nomenclature unique permettant d’uniformiser le bilan des compétences à la fois linguistiques et numériques de tous les chercheurs d’emploi inscrits chez Actiris. “ Les études réalisées par l’observatoire View (.brussels, NdlR) indiquent que le taux de sortie vers l’emploi passe de 34 % à 46 % pour les chercheurs d’emploi ayant une connaissance de la deuxième langue nationale” , épingle le ministre de tutelle Bernard Clerfayt (Défi).

[…]