Communes : des budgets en danger ?

Plateau télévisé de l'émission Versus sur BX1

En cette fin d’année et après bientôt deux ans de crise Covid, les communes bruxelloises, comme la plupart des instances du pays ayant à assurer le service à la population, s’inquiètent pour l’avenir et leur équilibre budgétaire.

Globalement, la situation des communes bruxelloises avant la crise était relativement saine rappelle Bernard Clerfayt, ministre en charge des pouvoirs locaux. Certaines ayant même accumulé des réserves, on pouvait tabler sur un montant cumulé de 240 millions avant la crise.

En 2020, on constate une déficit de 80 millions, elles ont donc dû puiser sur leurs réserves. Trois communes de la Région sont dans une situation fragilisée.

Les missions toujours plus larges des communes, s’accordent à souligner les participants, sont aussi déterminées par la mise en œuvre des politiques depuis les autres niveaux de pouvoir, en matière de transition énergétique par exemple.

Bernard Clerfayt souligne que les communes sont en première ligne pour répondre aux besoins des citoyens, mais contrairement à d’autres niveaux de pouvoirs, elles ne peuvent être en déficit. La loi leur impose d’être à l’équilibre. Il signale que certaines infrastructures comme les piscines pourraient faire l’objet d’une gestion coordonnée par la Région pour mettre à disposition le plus largement possible, l’offre existante. Il s’agit d’un chantier sur lequel il travaillera en 2022.

On relève aussi une forte tension pour la Région bruxelloise entre l’attractivité connue des zones urbaines pour les populations défavorisées et des mécanismes de financement qui lui sont défavorables.

Pour conclure, la concertation entre les autres niveaux de pouvoir et les communes est cruciale. Car si les communes n’ont pas la main sur les décisions elles sont les exécutantes des politiques.

Samenlevingsdienst

Brusselse jongeren krijgen dankzij subsidie de kans om zich te engageren voor solidaire projecten

Uittreksel uit het artikel verschenen in Het Laatste Nieuws

Dankzij deze steun kunnen 120 jongeren zich in 2022 engageren om deel te nemen aan zes maanden durende solidaire projecten. Zo versterken ze hun professionele en sociale vaardigheden.
De subsidie van 400.000 euro wordt sinds het begin en nog tot het eind van de legislatuur jaarlijks toegekend aan de samenlevingsdienst. Het is de dienst zelf die dan 120 jongeren selecteert op basis van hun motivatie en het parcours dat ze al aflegden.

 “De samenlevingsdienst is een geweldig instrument om jongeren die te kampen hebben met een verlies aan zingeving te helpen en te begeleiden. Hoewel dat niet de belangrijkste doelstelling van het initiatief is, gaat 75%van de jongeren die de samenlevingsdienst voltooid hebben, weer studeren of vindt een job”, benadrukt Brussels minister van Werk Bernard Clerfayt (DéFI).

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Dotation générale aux communes

Changement en 2022 car Bruxelles a grandi

Extrait de l'article paru dans La Capitale

Il y a quelques mois, Statbel a revu à la hausse la superficie de plusieurs communes bruxelloises. Avec un impact à la hausse ou à la baisse pour la dotation accordée par la Région à certaines communes en 2022.

[…] « Comme Statbel a légèrement modifié à la hausse la superficie de Bruxelles, cela donne un chiffre de superficie un peu différent pour certaines communes », explique à La Capitale le ministre Bernard Clerfayt (DéFI), en charge de la tutelle sur les communes.

« Cet effet a entraîné un recalcul qui modifie la dotation générale aux communes car, pour le calcul de leur dotation, la superficie et la densité de population entrent en ligne de compte. Quatre communes essentiellement ont été impactées. Jette, dont la superficie a augmenté (et donc la densité de population a diminué) a été la plus impactée, avec une perte de 250.000 euros. Ixelles (157.000 euros) et Etterbeek (172.000 euros) y perdent également. À l’inverse, Koekelberg, par un effet de seuil, change de catégorie et reçoit maintenant un montant là où elle ne recevait rien. » Résultat, un supplément de plus de 400.000 euros pour sa dotation en 2022 !

[…] Par ailleurs, le ministre amarante va prochainement présenter un texte au parlement qui vise à modifier l’ordonnance en la matière. « La commune de Berchem-ste-Agathe avait introduit un recours contre le critère dit de superficie corrigée. À savoir, quand une commune comporte des espaces verts tels que des parcs, des bois ou des cimetières, ces espaces lui sont déduits, ce qui augmente la densité de population et donc la dotation.
La Cour constitutionnelle lui a donné raison sur un point, en estimant que la notion de superficie corrigée devait être précisée. C’est ce qu’on a fait dans notre texte, en joignant la liste des 185 quartiers (NDR : tels que définis dans le Monitoring des quartiers) et en précisant ceux qui sont pris en compte ou pas. Il s’agit d’une simple correction légistique mais qui ne changera rien à la DGC. »

[…]

Soutien à la recherche d'alternatives aux expérimentations animales

110.000 euros pour les alternatives - extrait de presse - La Capitale

Extraits de l'article publié par La Capitale

La Région bruxelloise octroie 110.000 euros à la VUB pour la soutenir dans ses recherches de méthodes alternatives à l’expérimentation animale, indique dimanche le cabinet du ministre du Bien-être animal, Bernard Clerfayt (DéFI).
[…] il faut promouvoir ce cadastre, le faire connaître et enseigner les alternatives à l’expérimentation animale. C’est pourquoi nous débloquons 50.000 euros à cet effet», indique
[…] La Région octroie une autre enveloppe de 60.000 euros à la VUB dans le cadre de ses recherches pour un nouveau médicament contre la fibrose du foie. Dans ce projet, l’université souhaite développer un nouveau modèle in vitro, n’impliquant pas d’animaux d’expérience.

Transport des personnes, "Il y a de la place pour plus d'emplois et plus d’activité économique"

Extrait de l'article publié pour le journal Le Soir "Les chauffeurs de taxi pourraient bénéficier d'une "solution intermédiaire".

Extrait de l'article publié par Le Soir

L’exécutif bruxellois, en attendant son Plan taxi, se serait mis d’accord pour chercher en urgence une façon de contourner l’interdiction de travailler touchant les chauffeurs Uber. Le secteur taxi affirme qu’il pourrait alors à son tour bloquer la capitale.

[…] Hasard de calendrier (ou pas), jeudi matin se tenait une réunion de l’exécutif bruxellois en partie consacrée à ce « nouveau » Plan taxi prévu de longue date. Réunion qui a abouti cette fois à un accord. Le nouveau texte, qui se veut « ambitieux », selon le communiqué de presse du ministre-président, Rudi Vervoort (PS), vise un numerus clausus et un statut unique pour les taxis et les LVC, et devrait être prêt pour cet été.

Pour les détails, il faudra repasser. « Le gouvernement a choisi de ne pas communiquer de chiffres avant d’avoir consulté le secteur », commente notamment le ministre de l’Emploi, Bernard Clerfayt (Défi). « Je pense qu’il y a de la place sur ce marché pour plus d’emplois et plus d’activité économique. Le taxi est un pan à part de l’économie : plus l’offre augmente, plus la demande augmente. Car le prix comme la disponibilité sont ici des facteurs essentiels. Il faut en tout cas absolument sortir par le haut de cette crise et réformer pour mieux servir les utilisateurs et la mobilité bruxelloise. » […]

Budget des pouvoirs locaux en Région de Bruxelles-Capitale

Extrait de presse - Article de L'Écho - Le soutien régional aux communes bruxelloises maintenu malgré la crise

Extraits de l'article publié par L'Écho

[…] «Il était important, au vu du contexte de la pandémie et des dépenses qu’elle a engendrées pour les pouvoirs locaux que la solidarité de la région avec ses pouvoirs locaux perdure, voire se renforce», assure Bernard Clerfayt (DéFI) qui présentera ce mardi aux parlementaires le budget destiné aux pouvoirs locaux en 2022. Celui-ci atteint 767 millions en 2022 contre 709 à l’ajusté 2021, et ce malgré les difficultés financières de la Région bruxelloise.

(NDLR - Concernant la revalorisation salariale de agents)

[…]  «En 2024, le package pour les communes et les CPAS s’élèvera à 75 millions dont 56,6 millions, soit les trois quarts de la somme, seront pris en charge par la Région. Lors des précédentes revalorisations menées par Charles Picqué, la part régionale n’a jamais dépassé les deux tiers.»

(NDLR - Le Ministre évoquant la structure supra-communale pour les piscines communales)

[…]  «Le coût important empêche de déployer certains services. Par exemple d’ouvrir plus tard le soir faute de personnel, ce qu’on peut régler avec une mutualisation des ressources humaines et une coordination des horaires à l’échelle de la Région. L’idée est d’exploiter au maximum les piscines existantes avant de planifier d’éventuelles constructions supplémentaires.

(NDLR - Concernant les services numériques)

[…] la Région entend améliorer les logiciels utilisés par les 19 communes dans quatre domaines: gestion du personnel, facturation et budget, dossier social dans les CPAS et les interfaces destinées aux citoyens (comme un site web permettant de s’inscrire dans un club de sport ou de réserver des services de garderie.)

 

La garantie solution employeurs

Actiris: à Bruxelles, il faut ériger Actiris en compagnon de choix pour les entreprises

Extrait de l'article publié par Le Soir+

[…] A Bruxelles, l'un des chantiers en cours en matière de formation et d'emploi concerne les services d'Actiris . Son nom ? La « garantie solution employeurs ». Cette dernière part d'un constat : si les demandeurs d'emploi bruxellois doivent s'inscrire auprès de l'opérateur bruxellois de l'emploi, il n'en est rien pour les employeurs. Résultat : certaines offres d'emploi échappent au radar d'Actiris.
« En 2019, Actiris a reçu 35.063 offres d'emploi. Or, on sait qu'environ 100.000 contrats sont signés chaque année en région bruxelloise », précise Bernard Clerfayt, ministre bruxellois de l'Emploi. « Cela signifie qu'Actiris ne traite pas toutes les offres d'emploi existantes et qu'un travail doit être effectué à ce niveau. L'accent a été mis avec succès sur les demandeurs d'emploi pendant des années, maintenant il doit l'être sur les employeurs ».
La situation actuelle du marché de l'emploi constitue en ce sens une occasion à saisir. Les pénuries de main-d'œuvre sont importantes et représentent pour l'organisme bruxellois de l'emploi l'opportunité de s'ériger en compagnon de choix pour les entreprises en recherche de talents. « L'idée est qu'Actiris renforce sa relation avec les entreprises. Il nous revient souvent sur le terrain que ses services ne correspondent pas toujours aux attentes des employeurs », confie Bernard Clerfayt. « Il est indispensable de travailler main dans la main avec eux pour améliorer le matching . Si Actiris ne possède pas l'oiseau rare parmi ses demandeurs d'emploi, il peut négocier une mise à niveau des compétences, établir un chemin avec l'employeur grâce auquel un profil pourrait, endéans un délai raisonnable, répondre à ses besoins. »
Une formule qui a fait ses preuves
Cette « garantie solution employeurs » n'en est pour l'heure qu'à ses débuts, mais une grande enquête a été lancée par Actiris auprès de l'ensemble des secteurs professionnels bruxellois pour recueillir leurs attentes concrètes.
Cette initiative fait suite à l'opération « garantie solution jeune », instaurée en 2014 par le gouvernement bruxellois. Pour rappel, celle-ci offrait la possibilité aux moins de 25 ans de bénéficier d'un bilan de compétences auprès d'Actiris et de se voir aiguiller vers une solution : un emploi, un stage, une reprise d'études, une formation ou une validation de compétences. Cette garantie avait rencontré un franc succès.
« Les chiffres parlent d'eux-mêmes », insiste Bernard Clerfayt. « Entre 2013 et 2017, Bruxelles avait enregistré la plus forte diminution du taux de chômage des jeunes en passant de 33,6 % à 24,4 %. A titre de comparaison, Anvers était passé de 27,9 % à 26,3 %, Gand de 25,5 % à 23,6 %, Charleroi de 48 % à 40,5 % et Liège de 45,5 %à 41,8 %. »
Fort de cette réussite encourageante, l'opération avait été élargie par la suite à l'ensemble des demandeurs d'emploi primo-inscrits. Elle s'adressera désormais, d'ici quelques mois, aux employeurs, avec l'espoir d'une issue aussi positive. […]

Semaine de l'emploi organisée par Références

Emploi et formation en ligne

Extrait d'un article publié par Métro

Le média emploi du groupe Rossel Références organise, du 22 au 26 novembre, une semaine de l’emploi et de la formation à Bruxelles, a-t-il annoncé hier. L’événement est soutenu par les ministres bruxellois Bernard Clerfayt et wallonne Christie Morreale. […]

Postes vaccants au Job Day

Le Job Day a attiré 500 demandeurs d'emploi

Extrait de l'article publié par La Capitale

Le Job Day de a attiré 500 demandeurs d’emploi !

Au fil des éditions, cet événement initié par l’échevin de l’Emploi Eric Bott, et auquel a également assisté le Ministre Bernard Clerfayt, s’est érigé comme un passage incontournable pour les demandeurs d’emploi.

Vingt-deux employeurs, qui présentaient un panel de quasiment 200 postes vacants, ont ainsi pu rencontrer les visiteurs.

Emploi : coopération entre Bruxelles et la Flandre

Bientôt un cadre renforcé pour la mobilité de l'emploi entre Bruxelles et la Frandre

Extraits de l'article publié par Trends

Le parlement bruxellois a donné mercredi son feu vert, à l'unanimité, à l'accord de coopération entre la Région-capitale, les institutions flamandes et la Communauté germanophone destiné à promouvoir la mobilité des demandeurs d'emploi.

[…] Selon le ministre bruxellois de l'Emploi, Bernard Clerfayt (DéFI), en 2019, 57.000 Bruxellois traversaient chaque matin les frontières bruxelloises pour travailler en Flandre. Un chiffre qui n'a jamais été aussi élevé puisqu'en 2010, ils étaient 43.000, soit 30% de plus en 10 ans. Néanmoins, ce nombre peut encore augmenter.

Or, le marché de l'emploi bruxellois et flamand sont confrontés à des besoins complémentaires: 66% des postes vacants se situent en Flandre et "Bruxelles dispose d'un vivier important de travailleurs - on compte en Région bruxelloise près de 90.000 chercheurs d'emploi", a souligné M. Clerfayt en marge du débat au parlement régional.

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