Des technologies de pointe pour former les salariés

Extrait de presse
Novo Nordisk forme des salariés grâce à la réalité virtuelle

Extrait de l'article de l'Écho

[…] Chez Novo Nordisk, les formations sont entrées de plain-pied dans l’ère du high-tech. Les opérateurs appelés à travailler dans les environnements stériles sont formés sur le tas avec les outils digitaux les plus à la pointe.

[…] À Bruxelles, Bernard Clerfayt estime aussi que ce modèle doit nous inspirer. Et pour lui, l’évaluation des efforts de formation devrait se compter en heures par travailleur, et non en budget de formation. «Car il faut voir qui est formé. Chez nous, ce sont souvent les cadres et les travailleurs très qualifiés, pas les autres.» […]

Plan de lutte contre les métiers en pénurie

Extrait de presse
Coupure de presse du quotidien "L'Écho" - interview de Bernard Clerfayt - "La construction dit charcher des milliers de bras, mais ne transmet pas des milliers d'offres"

Extraits de l'article paru dans "L'Écho"

Le ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation Bernard Clerfayt (DéFI) lancera en 2022 un plan de lutte contre les métiers en pénurie dans quatre secteurs.

[…] Quatre secteurs en pénurie ciblés

[…] En quoi consistera le plan de lutte contre les métiers en pénurie, annoncé quelques heures plus tôt par le ministre-président? On retient de son exposé sur cette problématique qu’il y aura tout d’abord des tables rondes dans quatre secteurs: la construction, la logistique, la santé et le numérique. «La grande difficulté, c’est que des secteurs qui se plaignent de ne pas trouver de main-d’œuvre n’adressent pas leurs demandes à l’office de l’emploi. C’est typiquement le cas de celui de la construction qui déclare chercher des milliers de bras, mais qui ne transmet pas des milliers de demandes. Tout le monde devra se mettre autour de la table où l’on se dira vraiment les choses les yeux dans les yeux. Il faut préciser les profils recherchés, vérifier si les formations existantes sont bonnes, les adapter si nécessaire, voire en créer sur mesure, ce que l’on fait déjà !»

[…] Et à choisir, est-il favorable à des mesures incitatives façon Dermagne ou plutôt du punitif version Georges-Louis Bouchez? «Je pense qu’on doit mettre toutes ces mesures autour de la table. Je n’ai pas envie d’un combat idéologique, mais plutôt d’un débat pragmatique. Des gens veulent travailler, des entreprises veulent engager. Comment se fait-il qu’ils ne se rencontrent pas? Est-ce qu’il y a un manque de confiance? Certains employeurs disent qu’on leur envoie des gens qui n’ont pas le niveau. Travaillons sur la formation à donner. Si quelqu’un est venu, c’est qu’il a envie de travailler.» Hausse du revenu de formation

[…]  «Le budget 2022 permettra de porter le revenu de formation – qui est passé de 1 à 2 euros l’an dernier pour toutes les formations – à 3 euros de l’heure pour les métiers en pénurie. C’est une mesure incitative, mais ce n’est pas la panacée non plus. C’est un signal positif pour dire qu’il y aura moyen de gagner sa vie dans ces secteurs-là», justifie-t-il tout en appelant surtout les parents à encourager leurs enfants à aller au bout de leurs études. «À Bruxelles, les opportunités d’emploi sont dans des secteurs avec un niveau d’exigence plus élevé qu’ailleurs. Continuer à avoir trop de jeunes qui sortent de l’école sans diplôme, c’est remettre la charge sur les services de l’emploi et de la formation.»

(Titres services)

[…] «La volonté est de prévoir un mécanisme d’indexation automatique et sans doute de faire un rattrapage d’inflation partiel sur lequel je ne peux rien dire maintenant, car cela sera d’abord soumis aux partenaires sociaux. C’est une activité qui abîme les gens et il faut penser à aménager les fins de carrière à partir de 50 ou 55 ans, je ne sais pas encore. Une partie du budget permettra d’améliorer les conditions de travail des femmes et de généraliser l’exigence de formation au sein de ce secteur»

(Une dynamique de renouveau)

[…] «Je suis très satisfait de voir comme Bruxelles vibre bien. On observe une dynamique de renouveau dans toute une série de quartiers, des commerces de proximité qui ouvrent leurs portes. Bruxelles retrouve sa capacité de ville qui draine, qui met des gens en contact, et de là découlent la créativité et la productivité. La ville attire aussi les gens qui ont plus de difficultés. Dans son livre «Triumph of the City», le professeur d’Harvard Edward Glaeser dit que le succès des villes se mesure à la pauvreté qu’elles attirent. La densité de population, d’activités économiques et sociales crée des opportunités qu’il n’y a nulle part ailleurs. Voilà pourquoi les personnes précaires viennent en ville. Il ne faut pas s’en réjouir, mais c’est un phénomène naturel des villes. Il faut arrêter de considérer que Bruxelles ferait tout mal, que tout irait mal, parce qu’elle attire la pauvreté.»

L'application Brulingua d'Actiris

Extrait de presse
Brulingua, l'app qui vous permet d'apprendre 24 langues

Extrait de l'article paru dans Métro

À Bruxelles, et ce à partir de la mi-octobre, les chercheurs d’emploi pourront apprendre jusqu’à 24 langues. L’application a en effet fait ses preuves durant le confinement. Le ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Bernard Clerfayt, a donc décidé d’étendre l’offre.

Faire de l’alphabétisation une passerelle vers l’emploi

Selon les chiffres de janvier 2020, près d’un demandeur d’emploi sur cinq inscrit chez Actiris ne connait pas, ou aurait une connaissance rudimentaire de la langue déclarée lors de l’inscription. Loin de l’emploi, ces personnes accèdent tout aussi difficilement à une formation. Dans le même temps, des moyens importants sont consacrés à l’alphabétisation. L’enjeu est donc : comment mieux connecter alphabétisation et emploi ?

Les actions pour rapprocher alphabétisation et emploi

Pour renforcer l’efficacité des moyens engagés, le Ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle Bernard Clerfayt, a approuvé avec les autres responsables politiques de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de la Cocof et de la Région Wallonne, le plan d’actions 2021-2024 pour le développement de politiques concertées en matière d’alphabétisation des adultes. Voici les principales lignes de force pour rapprocher alphabétisation et emploi. Elles ont été confirmées dans le cadre de la Conférence Interministérielle sur l’alphabétisation du 3 juin 2021.

Pour Bernard Clerfayt, l’objectif est très clair : « Dès l’entame du parcours d’alphabétisation comme à la suite de celui-ci, il faut faciliter l’accès aux formations qualifiantes qui mènent le plus directement à l’emploi. L’alphabétisation n’est pas la condition suffisante pour accéder à l’emploi, il faut engager les apprenants dans les formations professionnelles, quitte à aménager les tests d’entrée pour dépasser l’obstacle de la langue. C’est envisageable pour les métiers où la moindre connaissance de la ou des langues n’est pas un empêchement absolu. »

Le renforcement des parcours d’alphabétisation en même temps que les passerelles vers les formations qualifiantes sont des priorités. L’objectif est de donner accès à des examens d’admission à une formation qualifiante et de permettre de suivre cette formation en parallèle des parcours d’alphabétisation.

Il a été décidé également de mieux cerner et de quantifier les besoins des diverses populations cibles concernées par l’analphabétisme. Et ce autant pour les natifs francophones que pour les publics dont la langue maternelle n’est pas le français. Ces deux groupes nécessitent des approches d’apprentissage différentes. Il s’agira d’assurer une meilleure concordance entre les besoins identifiés et l’offre existante, et de développer l’offre de formation complémentaire qui s’avérerait nécessaire.

Une offre pour l’alphabétisation renforcée dès 2021

Dans la droite ligne des engagements pris dans la déclaration de politique générale (DPR) de la Région bruxelloise et de la Commission communautaire française (Cocof), l’offre de places d’alphabétisation a été renforcée. Le nombre de places pour stagiaires en alphabétisation est passé de 941 places en 2020 à 1131 places en 2021, soit une augmentation relative de 20%. Les formations « Français langue étrangère » accueilleront jusqu’à 1621 personnes au cours de cette année 2021.

L’action d’Actiris

Les personnes analphabètes sont aussi accompagnées dans le cadre de projets plus larges soutenus par Actiris, s’adressant à des chercheurs d’emploi qui rencontrent des problèmes spécifiques qui entravent leur accès à l’emploi.

Deux asbl sont concernées : « Maks » pour les Néerlandophones et « Lire et écrire » pour les Francophones. 225 personnes sont suivies annuellement dans ce cadre par Actiris.

Quelques liens

Rapprocher alphabétisation et emploi

Brulingua propose + de formations en langues + de langues d’interface + proches de vos besoins

Actualité
Brulingua, des formations langues en ligne

Brulingua, la plateforme en ligne d’apprentissage des langues, étend son offre et proposera 32 langues d’interface et 24 langues d’apprentissage. S’inscrire à des formations en langues, c’est la clé pour accéder à l’emploi. Une offre d’emploi sur deux, gérée par Actiris, nécessite des connaissances linguistiques explicites. Parmi celles-ci, plus de 55% requièrent des compétences en français et en néerlandais.

« Le manque de compétences linguistiques chez les chercheurs d'emploi est un défi majeur pour mettre plus de Bruxellois à l’emploi. D’autant plus que 14.000 chercheurs d’emploi n’ont qu’une connaissance élémentaire du français ou du néerlandais. Comment trouver un emploi si l’on maitrise même pas l’une des deux langues nationales ? », s’interroge Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle. En effet, à côté des nombreuses multinationales, bon nombre d’entreprises belges ont leur siège social à Bruxelles.

Multiplier les langues d’interface c’est ouvrir les formations en langues à plus de stagiaires

« Demander à des Bruxellois ne maitrisant ni le français, ni le néerlandais, d’apprendre l’une de ces langues sur une plateforme accessible uniquement en français et en néerlandais est un non-sens. Il faut augmenter le nombre de langues d’interface », relève le Ministre bruxellois.

Dès le 19 octobre, Brulingua proposera donc au total 32 langues d’interface. On y retrouvera le polonais, l’espagnol, l’italien, le roumain mais aussi l’arabe, le turc ou le russe.

Brulingua proposera également non plus 4 langues d’apprentissage mais 24, dont les principales langues européennes comme l’italien, l’espagnol, le portugais, le grec ou encore le danois et le suédois.

Des formations en langues plus proches de la « vraie vie »

« Nous continuons d’investir dans des outils soutenant le développement des compétences des chercheurs d’emploi. Grâce à ces améliorations au niveau des langues proposées, Brulingua est désormais une application pour tout un chacun. Nous ne pouvons pas encore tout révéler, mais nous allons déployer toute une série de mises à jour dans les mois à venir. Il s'agira notamment de leçons encore plus interactives et d'activités proposées dans la "vraie vie" telles que des quiz et des cafés linguistiques », déclare Caroline Mancel, directrice générale a.i. d’Actiris.

Pallier à la pénurie des candidats

« Le manque de connaissances linguistiques est aussi un des facteurs qui explique la pénurie de candidats pour certaines fonctions. C’est notamment le cas les métiers de secrétaires, réceptionnistes ou encore commerciaux. Et s’il ne faut donner qu’un chiffre : les chances d’obtenir un emploi augmentent de 34 à 46% pour les chercheurs d’emploi qui connaissent la deuxième langue nationale »,conclut Bernard Clerfayt.

Comment faire ?

Allez à l’adresse web brulingua.brussels et créez votre profil. Téléchargez ensuite l’application Brulingua gratuite, disponible sur iOS et sur Android.

Brulingua étend considérablement son offre de formation en langues

Communiqué de presse

Brulingua est la plateforme en ligne d’apprentissage des langues. Dans une Région où la connaissance des langues est un critère important pour accéder à l’emploi, Brulingua étend son offre et proposera 32 langues d’interface et 24 langues d’apprentissage.

Pour décrocher un emploi en Région bruxelloise où dans sa périphérie, la connaissance de plusieurs langues constitue une importante valeur ajoutée sur le marché du travail. À côté des nombreuses multinationales, bon nombre d’entreprises belges ont leur siège social à Bruxelles. La connaissance des langues officielles principales, le français et le néerlandais, mais également d’autres langues, dont l’anglais principalement, est souvent requise. D’ailleurs, parmi les offres d’emploi gérées par Actiris, une sur deux nécessite des connaissances linguistiques explicites. Parmi celles-ci, plus de 55% requièrent des compétences en français et en néerlandais.

« Le manque de compétences linguistiques chez les chercheurs d'emploi est un défi majeur pour mettre plus de Bruxellois à l’emploi. D’autant plus que 14.000 chercheurs d’emploi n’ont qu’une connaissance élémentaire du français ou du néerlandais. Comment trouver un emploi si l’on maitrise même pas l’une des deux langues nationales ? », s’interroge Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle.

Brulingua, la solution ?

Pour améliorer les connaissances en langues, la Région bruxelloise a lancé en 2013, Brulingua, une plateforme en ligne d’apprentissage des langues. Accessible en français et en néerlandais, on peut y apprendre, outre ces deux langues, l’anglais ou l’allemand.

« Demander à des Bruxellois ne maitrisant ni le français, ni le néerlandais, d’apprendre l’une de ces langues sur une plateforme accessible uniquement en français et en néerlandais est un non-sens. Il faut augmenter le nombre de langues d’interface », relève le Ministre bruxellois.

Dès le 19 octobre, Brulingua proposera donc au total 32 langues d’interface. On y retrouvera le polonais, l’espagnol, l’italien, le roumain mais aussi l’arabe, le turc ou le russe.

Brulingua proposera également non plus 4 langues d’apprentissage mais 24, dont les principales langues européennes comme l’italien, l’espagnol, le portugais, le grec ou encore le danois et le suédois.

« Nous continuons d’investir dans des outils soutenant le développement des compétences des chercheurs d’emploi. Grâce à ces améliorations au niveau des langues proposées, Brulingua est désormais une application pour tout un chacun. Nous ne pouvons pas encore tout révéler, mais nous allons déployer toute une série de mises à jour dans les mois à venir. Il s'agira notamment de leçons encore plus interactives et d'activités proposées dans la "vraie vie" telles que des quiz et des cafés linguistiques », déclare Caroline Mancel, directrice générale a.i. d’Actiris.

« Le manque de connaissances linguistiques est aussi un des facteurs qui explique la pénurie de candidats pour certaines fonctions. C’est notamment le cas les métiers de secrétaires, réceptionnistes ou encore commerciaux. Et s’il ne faut donner qu’un chiffre : les chances d’obtenir un emploi augmentent de 34 à 46% pour les chercheurs d’emploi qui connaissent la deuxième langue nationale »,conclut Bernard Clerfayt. 


Plus d’infos ?
Pauline Lorbat - 0485 89 47 45

La gare maritime de Bruxelles formation accueillera 700 stagiaires

Extrait de presse
Les formations "Métiers urbains" de Bruxelles Formation déménagent à la gare maritime de Bruxelles Formation

Extraits de l'article du quotidien "Le Soir"

La gare maritime de Tour & Taxis accueillera prochainement deux antennes de Bruxelles Formation. Potentiellement, c’est plus de 700 personnes qui vont débarquer sur un site dont le patrimoine architectural a été superbement remis au goût du jour.

[…] Dès janvier 2022, des espaces pouvant accueillir un maximum de 671 stagiaires, mais aussi 105 membres du personnel du service public en charge de la formation professionnelle dans la capitale, seront ainsi occupés.

[…] L’installation dans un bâtiment passif où sont mis en place des systèmes pourvus notamment de luminaires de dernière génération, de détecteurs de présence ou encore d’un système qui permet de recycler l’eau de pluie permettra de faire des économies à grande échelle. « Et quand on voit l’augmentation actuelle des prix de l’énergie, elles devraient être encore plus conséquentes dans le futur », se réjouissent de concert Olivia P’tito et Bernard Clerfayt, le ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation venu à Tour & Taxis pour une visite des lieux. « En tant que gestionnaire public, ce déménagement représente une grosse opération immobilière », précise Olivia P’tito. « A ce sujet, nous avons revendu l’un de nos deux bâtiments de la rue Royale pour supporter le coût de notre transfert à la gare maritime. Une rénovation nous aurait coûté beaucoup plus cher et nous aurions dû arrêter les formations pendant le temps des travaux.

[…] « Je me réjouis de nos nouveaux locaux. La gare maritime est à la fois un bâtiment exemplaire et un endroit agréable et stimulant pour y donner et suivre des formations. Elle va nous offrir une visibilité et une accessibilité accrue pour toucher et former davantage de chercheurs d’emploi, et notamment les plus jeunes qui sont fort présents dans les quartiers avoisinants », glisse la directrice générale. « Un bâtiment passif pour une politique plus active, c’est l’ambition affichée grâce à ce déménagement. Ce transfert permet à la fonction publique de donner un signal positif. Il symbolise également un retour à la noblesse des bâtiments que l’on construisait autrefois », embraye le ministre.

Plus de 300 formations sont dispensées à travers la dizaine de sites que compte Bruxelles Formation. L’antenne « Métiers urbains » est destinée au secteur horeca, à la vente, à l’accueil, au gardiennage, aux nouvelles technologies et aux métiers de contact de première ligne […]