Youtubeur d'entreprise

Extrait de presse
Youtubeur d'entreprise, un métier d'avenir ?

Cette formation qui débutera en septembre est une première. Les youtubeurs en principe vous connaissez, mais les youtubeurs d’entreprise, c’est tout nouveau. Un nouveau profil qui doit «aider les entreprises à raconter leur aventure plutôt qu’à se vendre», selon les organisateurs de la formation.

[…] Reste à savoir si les entreprises sont demandeuses. Pour le ministre bruxellois Bernard Clerfayt (Défi) cela ne fait aucun doute: «70% des consommateurs en ligne vont vers ce format (la vidéo, NDLR) pour découvrir un produit ou un service. Un constat qui justifie largement la création et le lancement de la formation».

Le ministre de l’Emploi et du numérique va même plus loin. «Cette nouvelle formation de pointe et de courte durée répond donc à un besoin de plus en plus important et ouvre de nouvelles opportunités de carrière aux chercheurs d’emploi.» […]

Une nouvelle formation pour devenir Youtubeur!

Actualité
Formation Youtubeur

Startup Vie et Bruxelles Formation s’associent pour lancer la formation inédite « Devenir Youtubeur pour soi ou son entreprise » avec la crème de la crème des youtubeurs et des startups belges !

Cette première formation Youtubeur, unique en son genre, débutera le 28 septembre prochain et accueillera, pendant 12 semaines, 15 chercheurs d’emploi bruxellois. La formation s’articule autour de 4 axes : vidéo, audio, streaming et digital marketing.

La formation s’adresse aux personnes qui souhaitent développer leur chaine Youtube ou devenir Youtubeur d’entreprise afin de produire du contenu pour les entreprises.

« Les nouveaux media internet comme Youtube deviennent incontournables aujourd’hui. 70% des consommateurs en ligne vont vers ce format pour découvrir un produit ou un service. Un constat qui justifie largement la création et le lancement de la formation Devenir Youtubeur. Bien plus qu’un gadget, la vidéo est l’avenir de la communication d’entreprise. Cette nouvelle formation de pointe et de courte durée répond donc à un besoin de plus en plus important et ouvre de nouvelles opportunités de carrière aux chercheurs d’emploi » souligne Bernard Clerfayt, Ministre du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale, chargé de l'Emploi et de la Formation professionnelle.

Ils seront présents !

Au cours de la formation, des  grands youtubers belges comme Math se fait des films (1,58M d'abonnés), ExVSK (523k abonnés), Silent Jill (385k abonnés) ou encore Valentin Verthé (474k abonnés) seront présents pour partager leur expérience, leurs conseils pour décoller ou encore leurs meilleures astuces pour négocier des partenariats.

Une opportunité unique pour apprendre les bases de la création de podcasts, de montages de clips courts, de techniques de streaming. « Notre formation, c’est Becode pour les créateurs audios et vidéos » Thierry Huart-Eeckhoudt, CEO de Startup Vie.

Youtubeur pour entreprise ?

Un nouveau métier est en train de naître, celui de Youtubeur d’entreprise, nouveau profil qui aide l'entreprise à raconter son aventure plutôt qu'à se vendre.

En pleine période de relance, il est important pour les entreprises de raconter leur aventure entrepreneuriale grâce aux nouveaux formats de vidéos, de podcasts et de streaming.

« A travers cette nouvelle formation, Bruxelles Formation entend casser les codes en permettant à des chercheurs d’emploi sans grand bagage académique d’exercer une fonction en devenir dans le marketing digital. Plusieurs entreprises et startups ont déjà montré leur intérêt en souhaitant les accueillir en stage de fin de formation. Nous avons hâte de voir les prouesses de nos futurs youtubeurs ! », déclare Olivia P’tito, directrice générale de Bruxelles Formation.  

La formation Youtubeur se clôturera par un stage en entreprise de 8 semaines.

Nos meilleures startups belges accueilleront les stagiaires et parmi elles nous retrouvons notamment Listminut, Univercells, Efarmz, Poppy, Sortlist, Easyvest, Beinfluence ou encore Foodiz.

Les chercheurs d’emploi participants pourront conserver leurs avantages sociaux et bénéficier d’une prime à la formation.

Un métier pour chacun? Misons sur l’orientation professionnelle !

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La cité des métiers à Bruxelles

Ces 2, 3 et 4 juin a lieu la Spring School. Cette université de printemps est organisée conjointement par le Réseau international des Cités des métiers et par la Cité des métiers de Bruxelles. Des visio-conférences sont organisées à Bruxelles et à Paris notamment.

« L’orientation professionnelle au cœur des enjeux européens » est  le thème central. Le Ministre de l’Emploi bruxellois Bernard Clerfayt intervient pour sa part ce jeudi 3 après-midi dans le cadre d’une journée centrée sur la thématique « Les Cités des métiers : une solution innovante pour répondre aux enjeux européens en matière d’orientation tout au long de la vie ? »

Aider à faire le bon choix

Le Ministre a d’abord voulu souligner le caractère déterminant de l’orientation professionnelle, condition d’une insertion ou réinsertion réussie. « Dans un contexte de mutation des métiers, d’émergence de nouveaux métiers, de développement de nouvelles compétences, un lieu-ressource et un accompagnement de qualité s’avèrent indispensables ! C’est cela une Cité des métiers : un service pour aider à faire le bon choix ! »

« Aujourd’hui, nous avons la bougeotte, tantôt étudiants, tantôt salariés, tantôt en formation pour devenir chef d’entreprise, … » Dans ce contexte la Cité des métiers s’impose comme le partenaire privilégié pour accompagner et guider tous les publics dans ces choix de carrière. 90% des visiteurs déclarent avoir trouvé à la Cité des métiers les réponses à leurs questions.

Rebond.brussels c’est la relance par l’orientation professionnelle et la formation

« Pour les travailleurs touchés par les conséquences de crise Covid, nous avons lancé Rebond.brussels » rappelle le Ministre de l’Emploi. Ce service accompagne les travailleurs licenciés pour viser un retour à l’emploi le plus rapide possible.

Comment les compétences acquises peuvent-elles être utiles et exploitables dans un autre secteur ? L’objectif est bien d’orienter ou de réorienter les travailleurs le plus rapidement possible sur le marché de l’emploi. Peut-être cela passera-t-il par une formation.

Encore une fois, le rôle de la formation est déterminant. Bernard Clerfayt a rappelé que « l’orientation professionnelle doit se poursuivre avec l’offre de formation ». Et les formations doivent répondre à des besoins socio-économiques.

Pôles Formation-Emploi, traits d’union entre services publics et secteurs

« En Région bruxelloise, nous avons développé des outils inédits et innovants : les Pôles Formation-Emploi. » En unissant les moyens du public et du privé, la Région augmente la qualité et la quantité de formation.

Surtout, ces Pôles ont un rôle de veille. Ils sont chargés d’anticiper les besoins du marché de l’emploi, d’avoir un positionnement prospectif pour identifier les compétences attendues par les employeurs. Et donc de former chercheurs d’emploi et travailleurs en conséquence.

Actuellement, on compte 4 Pôles Formation Emploi. Technicity, dédié aux métiers des techniques industriels, Digitalcity, pour les métiers du numériques, Logisticity pour le transport et la logistique et enfin Construcity pour le secteur de la Construction

« Il y a dans nos sociétés un métier pour chacun. Mais que le choix de ce métier, il passe d’abord par une bonne orientation » a conclu le Bernard Clerfayt.

Renforcer l’offre de formation professionnelle face à l’évolution des compétences

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Les compétences évoluent dans tous les métiers

Une nouvelle édition de l’étude « Révolution des compétences » vient d’être publiée par Manpower Group sur son site web belge. Cette étude confirme le constat de l’accélération de la transformation numérique dans le contexte de la crise du COVID-19 : «cela représente un gain de trois années».

En Belgique, « 36% des employeurs sondés ont accéléré leur digitalisation au cours de la pandémie du Covid-19 ».

Les entreprises qui se digitalisent le plus sont celles qui créent le plus d'emplois

En tant que Ministre de l’Emploi et de la Transition numérique je me réjouis de l’impact positif de la digitalisation sur l’emploi : «91% des employeurs belges qui automatisent leurs processus prévoient d’accroître ou de maintenir leurs effectifs […]».

La formation professionnelle doit répondre à l’évolution des nouvelles exigences de compétences

Il est particulièrement intéressant de constater que le nombre de postes créés dans les entreprises qui ont accéléré leur processus de digitalisation sont plus importants que les fonctions devenues moins utiles suite à cette transformation.

En renforçant l’offre de formation professionnelle dans le numérique notamment, nous préparons les personnes en chômage temporaire à la reprise et tous les chercheurs d’emploi à augmenter leur employabilité sur un marché du travail en pleine transformation.

Parmi les secteurs les plus concernés par cette évolution et donc les plus porteurs en termes d’emploi : la construction, la finance, l’assurance, l’immobilier et les services aux entreprises.

L’étude met en avant la grande disparité des évolutions avec le constat d’un véritable envol de la recherche de nouveaux talents pour les secteurs les plus innovants. « Il s’agit des secteurs en croissance notamment dans les technologies, la communication digitale, la logistique, la santé ou la consultance. De nombreux profils y sont en tension, qu’il s’agisse de project managers, d’ingénieurs, d’analystes de données ou du risque, de spécialistes de la communication digitale ou de professionnels de l’IT ».

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(Graphique ci-dessus : © Manpower Group belgique)

Formations pour travailleurs en chômage temporaire

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Formations pour travailleurs en chômage temporaire

Pour les travailleurs en chômage temporaire, de nombreuses formations gratuites permettent de se préparer à la reprise avec des atouts supplémentaires.

Tous les Bruxellois en chômage temporaire peuvent suivre une formation en néerlandais auprès du VDAB ou en français chez Bruxelles Formation

Les travailleurs en chômage temporaire peuvent se former dans leur secteur

Beaucoup de secteurs disposent de leur centre de formation. Les nouveaux Pôles Formation Emploi et le Centre de Référence Horeca Be Pro offrent aussi des formations pour travailleurs en chômage temporaire :

Compétences linguistiques

Avec les chèques-langues d'Actiris, vous pouvez prendre des cours de langue gratuitement. Vous pouvez également télécharger l'application Brulingua et progresser grâce à de courts exercices adaptés à votre niveau. 

Le VDAB propose différentes formations pour améliorer vos compétences linguistiques et informatiques. Vous voulez suivre une formation en néerlandais mais vous ne trouvez pas ce que vous cherchez ? Contactez le VDAB au 0800.30.700 afin de vérifier que vous remplissez bien les conditions pour bénéficier d'un remboursement de vos frais d'inscription à une formation.

Compétences numériques

Vous pouvez suivre gratuitement des cours aux grâce aux chèques-TIC d'Actiris. Vous pouvez également vous rendre directement sur PC-Skills.brussels. Vous devez au préalable être inscrit chez Actiris.

La Cité des métiers pour s'orienter

La Cité des Métiers de Bruxelles peut aider les travailleurs en chômage temporaire et répondre à leurs questions concernant l'orientation, la formation et les études, l’emploi, la mobilité et la création d'activité. Le plus simple est de les contacter par Email : info@cdm-bp.brussels, ou via leur page facebook.

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Formation, transition numérique : les partenariats renforcent les atouts de Bruxelles

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Les invités à la table ronde organisée par Mediaplanet

Mediaplanet a réuni un panel de sept experts autour de Bernard Clerfayt, le ministre bruxellois en charge de la Transition numérique, de l’Emploi et de la Formation professionnelle, et de Barbara Trachte, la secrétaire d'État bruxelloise à la Transition économique et à la Recherche scientifique.

Nous relatons ici quelques extraits des échanges, avec un focus particulier sur les aspects formation et transition numérique.*

La forte exigence de compétences crée un écart à combler

Tant Guillaume Boutin – CEO Proximus Group, que Bruno de Thibault – CEO Touring, font état des efforts et investissements consentis dans les programmes de formation. Ces derniers sont  proposés en collaboration avec les agences régionales pour l’emploi ou les instituts d’enseignement. Malgré cela, les cadres ne sont pas remplis, les processus de formation ne suivent pas l’évolution de la demande de compétences.

Bernard Clerfayt relève la forte exigence en compétences sur le marché de l’emploi bruxellois. Si l’offre en formation est de très bon niveau, et c’est un atout de la Région, Bruxelles est cependant « la plus exigeante en termes de demandes de compétences ». Et de relever l’urgence d'améliorer le niveau de compétences des chercheurs d’emploi, notamment en informatique.

Le Ministre rappelle les partenariats en cours grâce au dispositif des pôles formation-emploi. « Afin de rapprocher la formation des besoins des entreprises, des collaborations sont en place entre les services publics de formation et le privé via les fonds de formation pour travailleurs. Dans la construction, le technique, le digital et la logistique, des pôles formation-emploi définissent les meilleures apprentissages possibles, tant en formation continue que pour les chercheurs d’emploi. »

L’alternance connecte la réalité des métiers et la formation

92 métiers bénéficient en Région bruxelloise d’une solution de formation en alternance, on ici est au cœur de la complémentarité formation – expérience en entreprises. Les formations s’adressent aux jeunes dès 15 ans et à « un public d’adultes de plus en plus important, y compris ceux en reconversion » précise Vincent Giroul, directeur efp formation.

« 80 % des jeunes ayant suivi une formation en alternance trouvent un travail immédiatement. Et pour cause : l’alternance permet de tester tout de suite la réalité d’un métier au sein d’une entreprise et à celle-ci de former sur mesure ses futurs collaborateurs. Il faut continuer de mieux soutenir cette filière d’avenir à l’instar de ce qui se fait en Allemagne, en Suisse et en Autriche. » précise Bernard Clerfayt.

Le Directeur d’efp formation lance à ce propos un appel aux entreprises bruxelloises : « à la mi-janvier dernier, 1.742 personnes cherchaient encore une place de stage ». La motivation des chercheurs d’emploi ne fait pas défaut : 7000 personnes sont inscrites dans ce dispositif de formation en alternance.

Certains domaines d’activités sont moins connus des Bruxellois, et recèlent pourtant un grand nombre d’emplois. Philippe Matthis rappelle l’importance du succès du port et ses « 12.000 collaborateurs directs et indirects ». Il rappelle aussi l’importance de la formation au cœur de l’activité du port : « le personnel bénéficie de plans de formations annuels et nous participons, avec Actiris, à l’engagement de contrats de premier emploi, qui concernent 10 % de nos collaborateurs. »

La formation continue fait partie aussi de la stratégie de pédagogie pratique mise en place par les hautes écoles rappelle Emmanuelle Havrenne, Directrice-Présidente Haute École Ephec. Le partenariat avec les entreprises « se traduit aussi via les 15 semaines de stage en entreprise en fin de cycle, via des entreprises qui proposent des sujets de travaux de fin d’études ».

Innovation et partenariats augmentent la productivité

Innoviris soutient chaque année 300 projets en recherche industrielle précise sa Deputy Director General, Marie-Carmen Bex. Elle illustre l’importance des partenariat et relève que « plus de 30 % des projets sont le fruit d’une collaboration entre plusieurs acteurs et non plus le fait d’une seule institution ».

Emmanuelle Havrenne rappelle les différents aspects de l’innovation dans la formation, nous retiendrons les compétences en termes de « digitalisation et de nouveaux modèles économiques - économie circulaire ou collaborative, e-business, etc ». Dans ce contexte de pandémie, elle précise que « l’innovation concerne enfin les pratiques pédagogiques, qui ont dû particulièrement s’adapter depuis un an avec l’enseignement à distance et les plateformes d’e-learning».

L’innovation est essentielle à l’amélioration continue des connaissances et de notre société rappelle Bernard Clerfayt. « Qu’elle soit technologique ou sociale, elle améliore notre productivité, notre économie, notre pouvoir d’achat, notre confort de vie, la qualité de nos emplois, etc. L’appétence pour l’innovation doit être largement partagée et, partant, l’appétence pour les formations aux STEIM - sciences, technologie, engineering, informatique, mathématiques. Ceux qui sortent de ces filières ont tous directement du travail de bonne qualité et pour longtemps. »

Au final, plus d’emplois grâce au numérique

« Parmi les 92 métiers proposés dans nos formations, pas un seul n’est épargné par la globalisation de la digitalisation. Nous intégrons dès lors les compétences numériques dans tous nos programmes. » précise Vincent Giroul

Bernard Clerfayt met en lumière des opportunités de création d’emploi : « La transition numérique doit être maîtrisée pour créer de l’activité économique. Agoria, la fédération des entreprises technologiques, a mis en évidence que la digitalisation créera bien plus d’emplois qu’elle n’en détruira. Toutefois, la fracture numérique est bien présente : selon une étude récente de la Fondation Roi Baudouin, 15 % des gens ne maîtrisent pas du tout les outils du numérique et près de 40 % les maîtrisent mal. Afin de remédier à cette situation, Bruxelles a développé un ‘plan d’appropriation numérique’ qui accompagne les publics les plus faibles. »

Les données : « une source de valeur ajoutée reproductible à l’infini »

Guillaume Boutin à propos des effets de la crise sanitaire : « […] on n’a jamais eu autant besoin de proximité et de contacts humains. […] Le besoin de proximité créera au contraire une relocalisation des outils de production et de l’Internet. C’est ici une énorme opportunité de réinvention des services digitaux du quotidien, de développement économique et de redéploiement des capitaux vers les filières locales. Un exemple : le boucher au coin de la rue deviendra demain un acteur du web car il sera capable de promouvoir son activité sur Internet. »

Le ministre de la Transition numérique Bernard Clerfayt rappelle la valeur ajoutée de l’exploitation des données. « La digitalisation amène en effet aussi à l’exploitation des données afin d’améliorer les services offerts. C’est ce qu’on voit entre autres avec les Mobility As A Service Platforms (MaaS), des applications qui permettent de trouver toute l’information nécessaire à une meilleure mobilité, entre autres en recourant à l’intelligence artificielle. Tout cela pose néanmoins la question de la sécurité et du caractère public de nos données. Je suis personnellement partisan d’une grande publicité des données, dans la mesure où elles sont inépuisables et qu’elles constituent une source de valeur ajoutée reproductible à l’infini. »

Dans ce domaine en particulier, Guillaume Boutin rappelle tout l’intérêt des partenariats. « La data nécessite une approche conjointe du monde du public et du monde du privé. La souveraineté de la data et les ‘coffres-forts numériques’ sont des sujets dont nous devons nous emparer tous ensemble extrêmement rapidement. Si nous ne le faisons pas, d’autres acteurs européens ou d’ailleurs le feront pour nous ! »

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* Cet article est une synthèse des propos recueillis par Philippe Van Lil pour Mediaplanet

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350 millions d'euros pour rénover proprement Bruxelles

Extrait de l'article publié par L'Écho

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Un nouveau centre de formation
Pour Bernard Clerfayt (DéFI), le ministre en charge de l’Emploi et de la Formation, cette stratégie va permettre de maintenir et développer l’emploi, dans la construction bien sûr, mais pas seulement. «Ce plan réclame des professionnels qui connaissent certaines techniques. On va inaugurer, sous cette législature, un pôle de formation pour le secteur de la construction», a-t-il annoncé. «Cette même stratégie va être menée dans d’autres pays, on va donc moins recourir à de la main-d’oeuvre étrangère. Il est essentiel de former les
Bruxellois.»

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