Ce mardi 28/09 dès 9h45, assistez en direct à la journée d’étude consacrée au bien-être animal

Le colloque consacré au bien-être animal aura lieu ce mardi 28 septembre, assister en ligne

Des avocats spécialisés dans le droit animalier et des acteurs du terrain exposeront leurs approches du bien-être animal sous différents aspects : le statut juridique de l’animal, la gouvernance, le commerce, la répression de la maltraitance animale, etc. Le colloque «De la domestication à la protection» est entièrement gratuit. Vous pouvez y assister en ligne ici dès 9h45.

Prélude au code bruxellois du bien-être animal

«Nous sommes toujours aux balbutiements du droit animalier. Néanmoins, de bonnes pratiques se mettent en place et notre rapport au vivant évolue. Il faut maintenant que cette évolution soit retranscrite dans des textes de lois», fait remarquer Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal.

Intitulé « De la domestication à la protection », ce colloque a pour ambition d’alimenter le futur Code bruxellois du Bien-être animal, au regard de ce qui est mis en œuvre en France et ailleurs.

Transférée dans le cadre de la 6ème réforme de l’état, la politique du bien-être animal est régie par une loi datant de… 1986. Cette journée d’étude devra donc permettre d’échanger sur les pratiques mises en place, les lois en vigueur, les marges de progression, etc.

L’animal a sa place dans nos vies

On compte en Région bruxelloise plus de 100.000 chiens et près de 100.000 chats. A ceux-ci, il faut ajouter également les nouveaux animaux de compagnie, lapins, hamsters, poissons, serpents, lézards ou encore oiseaux. « Les Bruxellois sont nombreux à posséder un animal domestique. Et les citoyens accordent une importance grandissante au sort réservé aux animaux. Et puisque le regard porté sur les animaux par la société évolue de manière significative, il est logique que le droit s’adapte à ces considérations », relève Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal.

Expérimentation animale : 6000 animaux de moins

6000 animaux en moins concernés par l'expérimentation animale

Une diminution de près de 10% en un an du nombre d’animaux impliqués dans les expérimentations, a été constatée en 2020. Cette diminution a concerné 6000 animaux de moins en un an. Si cette même année, 55.688 ont été utilisés, soulignons que leur nombre a diminué de 36% en cinq ans. On peut donc parler d’une tendance de fond, vers une réduction certaine des expérimentations animales.

Quels sont les animaux concernés ?

En 2020, 97% des animaux d’expérience étaient des rongeurs dont 91% des souris. On retrouve également quelques poules (1%) ou encore des poissons zèbres (0,6%). Comme en 2019, aucun chiens, chats, chevaux, ânes ou primates n’ont été utilisés pour la recherche.

Bernard Clerfayt soutient la recherche d’alternatives à l’expérimentation animale

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées par exemple sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ce type de méthodes mais aussi leur recensement et leur notoriété. Je soutiens donc à hauteur de 250.000 € un projet de la VUB qui a pour objectif de diffuser massivement ces alternatives au travers de la plateforme IC-3Rs », précise Bernard Clerfayt.

Des animaux, principalement utilisés pour la recherche fondamentale

Plus de la moitié (69,81%) des procédures expérimentales sur animaux en 2020 ont été réalisées pour la recherche fondamentale. Ces expériences concernent principalement les études en oncologie (34,10% des expériences de recherche fondamentale) et le système immunitaire (21,82% des expériences de recherche fondamentale).

L’expérimentation animale, une pratique fortement réglementée

Lorsqu’elles existent, les chercheurs doivent avoir recours aux méthodes alternatives à l’expérimentation animale. À défaut d’alternative, les animaux utilisés pour les expériences bénéficient d’une protection légale. Tous les établissements, agréés au préalable, sont soumis à des contrôles.

Exploiter des poneys ou autres équidés, c’est fini et en toutes circonstances !

Interdiction d'exploiter des poneys d'application en Région bruxelloise

Dès ce 25 septembre 2021, l’interdiction d’exploiter des poneys ou autres équidés de foire est d’application sur l’ensemble du territoire de la Région. Cette décision de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal, protège mieux et améliore le bien-être de ces animaux.

Une réglementation plus stricte était nécessaire

Depuis le 1er janvier 2019, les poneys ne pouvaient plus être exploités sur les fêtes foraines en Région bruxelloise. L'ordonnance votée alors par le parlement bruxellois allait dans le bon sens mais présentait des lacunes en raison d’un flou juridique. Elle ne visait que les fêtes foraines. Ainsi, il était encore possible de trouver un carrousel à poneys sur les marchés, les brocantes, etc. 

De plus, la réglementation ne concernait que les poneys et les chevaux. L’interdiction pouvait donc facilement être contournée en utilisant des ânes, des mulets, des bardots, etc. Enfin, seule l’activité de carrousels était visée.

Une interdiction généralisée grâce à une réglementation plus précise

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal, la nouvelle réglementation interdit donc les carrousels en tout lieu et les promenades de tous les équidés à l’occasion de différents types de manifestations.

« Plus que jamais, nous devons repenser notre relation avec le vivant et avec les animaux. Souhaitons-nous véhiculer une image d’animaux-esclaves auprès de nos enfants ? », s’interroge Bernard Clerfayt.

Face à la saturation des infrastructures sportives, Bernard Clerfayt débloque 50 millions d’euros

La Région de Bruxelles-Capitale investit dans les infrastructures sportives communales

« Il y a de nombreuses infrastructures sportives en Région bruxelloise. Mais force est de constater que celles-ci affichent complet. Il est donc parfois compliqué pour les Bruxellois de pouvoir pratiquer une activé sportive. Or, le confinement a rappelé à quel point la pratique d’une activité sportive contribue à notre épanouissement physique et mental », souligne Bernard Clerfayt.

4 années d’investissement dans les infrastructures sportives

Terrains de tennis, de football, de hockey, de basket, piscines, salle omnisports, gymnases…. On compte sur l’ensemble du territoire de la Région bruxelloise près de 1.000 installations sportives.

De quoi contenter de nombreux Bruxellois mais pas tout le monde… bon nombre d’infrastructures sportives affichent complet !

Face à ce constat, la Région bruxelloise, a décidé de soutenir financièrement les 19 communes afin d’augmenter l’offre d’installations sportives sur le territoire de la Région. 50 millions d’euros sont débloqués sur 4 ans.

Les communes ont jusqu’au 31 mars 2022 pour rentrer les projets d’infrastructures sportives communales qu’elles souhaitent mettre en place.

Une décision qui conforte la politique engagée

Après avoir annoncé la création ou la rénovation de 24 aires de sport de proximité (plaine de jeux, street workout, etc.), la Région bruxelloise débloque 50 millions d’euros sur 4 ans pour financer des projets d’infrastructures sportives communales. « En cette période de rentrée, de nombreux Bruxellois sont confrontés à un manque de places dans les clubs de sports. Grâce à ces 50 millions d’euros, j’entends renforcer l’offre sportive en Région bruxelloise et augmenter le nombre d’installations. Car nous voulons tous une ville qui combine activités récréatives, culturelles et sportives », conclut Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois des Infrastructures sportives communales.

Aides aux intermittents de la culture renforcées

Aides aux intermittents de la culture

« Les perspectives de réouverture ont été retardées et la reprise commence, timidement. Bruxelles n’attend pas et renforce même le montant des aides octroyées aux travailleurs intermittents en débloquant 5 millions d’euros », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

Voici les nouvelles aides aux travailleurs intermittents de la culture 

  • 3.000 euros dans le cas où le travailleur a bénéficié entre le 1er janvier 2021 et le 30 juin 2021 de revenus s'élevant à maximum 4.500 euros nets.
  • 2.250 euros dans le cas où il a bénéficié entre le 1er janvier 2021 et le 30 juin 2021 de revenus s'élevant à maximum de 6.000 euros nets
  • 1.500 euros dans le cas où le travailleur a bénéficié entre le 1er janvier 2021 et le 30 juin 2021  de revenus s'élevant à maximum de 8.000 euros nets.

La demande de prime se fait en ligne sur le site d’Actiris entre le 20 septembre et le 17 octobre 2021 au plus tard. Le montant sera versé au 30 novembre 2021.

Cette troisième salve concrétise la volonté du gouvernement bruxellois

Le troisième renouvellement de ces primes, s’inscrit dans une politique de soutien au secteur culturel. Cette politique volontaire vise à maintenir notre ville-région parmi les capitales européennes attractives. C’est un choix stratégique pour le maintien de l’emploi dans le secteur culturel. Un effet d’entraînement vers d’autres secteurs pourvoyeurs d’emplois comme l’Horeca, les services, le commerce de luxe, etc., est aussi visé.

La Région bruxelloise, première sur la balle

Au total, 7 millions d’euros sont débloqués pour soutenir un secteur aux abois et les intermittents de la culture. La Région bruxelloise a été l’une des premières à se mobiliser pour soutenir le secteur de la culture, tant ses travailleurs que ses structures.

En juillet dernier, la Région bruxelloise lançait, à destination des intermittents de la culture, une prime allant de 1.500 à 500 euros. Suite à la prolongation de la crise sanitaire, le Gouvernement avait relancé en octobre 2020, l’octroi de cette prime aux intermittents de la culture en augmentant les montants, ceux-ci variaient de 2.000 à 1.000 euros.

Les Bruxellois réclament plus d’aires de jeux pour les chiens

Les Bruxellois réclament des aires de jeux pour les chiens

15 jours avant la fin de la phase de consultation des citoyens à propos du bien-être animal, près de 1.900 avis ont déjà été récoltés. Une tendance émerge à ce stade : nombreux sont les Bruxellois qui souhaitent que les aires de jeux pour les chiens soient plus nombreuses.

Associer les citoyens

Avant l’été, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal lançait une campagne de consultation en Région bruxelloise afin de récolter les attentes des citoyens.

Cette phase doit permettre de faire naître un Code bruxellois du bien-être animal équilibré. Le Code bruxellois constituera la plus grande réforme menée en la matière. « Le bien-être animal est un sujet sensible qui fait souvent réagir les citoyens. Il était donc indispensable de les associer dans la refonte de la loi fédérale sur le bien-être animal», constate Bernard Clerfayt.

Une loi datant de 1986

Transférée dans le cadre de la 6ème réforme de l’état, la politique du bien-être animal est régie par une loi fédérale datant de 1986. Depuis, notre rapport aux animaux et les connaissances scientifiques ont considérablement évolué.

Résultats complets dévoilés en novembre

« Je dévoilerai les résultats de la consultation citoyenne dans le courant du mois de novembre mais déjà, je constate que de grandes tendances se dessinent. Les citoyens, en grande majorité, ont répondu que l’animal était un être vivant doué de sensibilité et que celui-ci était donc digne d’une protection particulière. Ils plébiscitent ainsi l’adoption de listes positives reprenant toutes les espèces animales autorisées à la détention chez les particuliers. Autre tendance, les espaces de liberté pour chiens. Ils sont nombreux à demander plus d’aires de jeux pour les chiens », détaille Bernard Clerfayt.

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Covid Safe Ticket : Il faut fixer des délais

Covid Safe Ticket

Rappelons quelques chiffres pour éclairer la question de la mise en place du Covid Safe Ticket en Région bruxelloise. Si les cas confirmés de Covid 19 stagnent en Belgique, les admissions à l’hôpital sont quant à elles, en hausse de 12%. Il s’agit de l’évolution relative pour cette semaine du 2 au 8 septembre, comparée aux chiffres de la semaine précédente (source Sciensano).

En Région bruxelloise, le taux d’incidence est plus de deux fois supérieur !

La courbe relativement maîtrisée au niveau national doit malheureusement être considérée au regard de la situation particulière de Bruxelles où le taux d’incidence, c’est à dire le nombre de nouveaux cas diagnostiqués pour 100.000 habitants, est de 575 alors qu’il est de 241 au niveau national (source Sciensano – 14 derniers jours, arrêtés le 5/9/2021).

Avec 606.177 personnes vaccinées ce 9/9/2021, Bruxelles atteint tout juste un taux de 50% d’habitants vaccinés, alors que la moyenne nationale dépasse les 70%.

Il est normal, au vu de ces données, que tous les regards soient braqués sur la Région bruxelloise. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Le gouvernement bruxellois doit donc prendre des mesures pour endiguer la montée du taux de contamination et protéger sa population – 40% des lits en soins intensifs sont déjà occupés.

Le gouvernement bruxellois réunit les conditions nécessaires pour la mise en place du Covid Safe Ticket

L’instauration du Covid Safe Ticket doit être considérée comme un incitant et un moyen de protection dans certains contextes, comme les lieux de rassemblement et les espaces confinés et densément fréquentés.

Dans cette perspective, le Gouvernement bruxellois a approuvé ce 9 septembre 2021 l’avant-projet d’accord de coopération concernant le traitement des données liées au certificat COVID numérique de l’UE et au COVID Safe Ticket, le PLF et le traitement des données à caractère personnel des travailleurs salariés et des travailleurs indépendants vivant ou résidant à l’étranger qui effectuent des activités en Belgique.

De même, les travaux de préparation de l’ordonnance qui complètera le cadre juridique nécessaire à la mise en œuvre du Covid Safe Ticket ont été lancés. Les modalités d’application, notamment de détermination de leur périmètre (secteurs, conditions particulières, durée) seront donc fixées lors de l’adoption de l’avant-projet d’ordonnance en première lecture, eu égard à la situation épidémiologique et vaccinologique en Région bruxelloise.  

Face à la circulation du virus en Région bruxelloise, la fixation de délais et d’un cadre précis sont importants

Le travail est donc en cours pour aboutir à l’adoption d’un cadre juridique au plus tôt. L’ordonnance, comme l’accord de coopération, devront bien entendu être soumis au Conseil d’État et à l’Autorité de Protection des Données, avant d’être adopté en deuxième lecture au gouvernement et soumis au Parlement.

Le Ministre Bernard Clerfayt considère qu’«il est important de fixer des délais dans la gestion du processus engagé par le gouvernement, tant pour la finalisation du travail législatif, que pour la mise à disposition des outils ». « Les critères sanitaires, comme par exemple le taux d’incidence, établissant les conditions d’arrêt du Covid Safe Ticket, doivent eux aussi être déterminées dès à présent », estime Bernard Clerfayt.

Liens utiles :

 

NOUVEAU : votre casier judiciaire sur IRISbox !

Votre casier judicaire sur IRISbox

Faciliter la vie des Bruxellois, un objectif qui chaque jour devient un peu plus réalité. Il est désormais possible d’obtenir un extrait de votre casier judiciaire sur IRISbox.

Cette fonction est déjà disponible pour les habitants des communes d’Evere, de Ganshoren, de Saint-Gilles, de Saint-Josse-ten-Noode et de Schaerbeek. D'autres communes suivront prochainement.

Comment accéder à votre casier judiciaire sur IRISbox ?

  1. Accédez au site IRISbox - https://irisbox.irisnet.be/irisbox/

    Accueil IRISbox
  2. Sous la rubrique « téléchargement rapide », cliquez sur le lien « Extrait de casier judiciaire.
  3. Vous êtes dirigé vers la page d’identification CSAM. Vous pouvez alors vous connecter avec un lecteur de carte d’identité, ou plus facile, avec votre smartphone après avoir téléchargé l’application « itsme » sur le store. Vous pouvez configurer cette application avec votre carte bancaire et votre digipass. D’autres moyens de connection plus ponctuels sont disponibles

    CSAM
     
  4. L’utilisation du lecteur de carte d’identité suppose que vous connaissiez le code PIN de cette carte et que vous ayez installé eID Viewer. Avec « itsme » vous introduisez votre N° de GSM, ouvrez ensuite votre application sur votre smarphone et confirmez votre connexion au site.
  5. Un peu de patience… vous arrivez sur votre page personnalisée : « Mes extraits du casier judiciaire ».

    IRISBOX - page votre casier judiciaire
  6. Cliquez sur le bouton « demande de casier judiciaire », choisissez le modèle.
  7. Votre document apparaît dans une fenêtre interne. En haut à droite du document cliquez sur le lien de téléchargement pour obtenir un fichier pdf que vous pouvez enregistrer sur votre PC et imprimer.

En plus de votre casier judiciaire sur IRISbox, bon nombre de documents sont disponibles en téléchargement rapide sur IRISbox : composition de ménage, acte de naissance, certificat de résidence, etc.

Les documents en ligne, la simplicité cachée

On pourrait se dire, quand on décortique les étapes comme nous le faisons ici, que ce n’est pas si simple. Mais le faire une fois, c’est l’adopter pour toujours ! C’est pour aider à passer cette barrière que le Ministre de la Transition numérique Bernard Clerfayt a lancé le plan d’appropriation numérique avec 66 actions concrètes.

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24 nouvelles aires pour les infrastructures sportives à Bruxelles

Nouvelles aires pour les infrastructures sportives à Bruxelles

2.000.000 d’euros pour l’aménagement ou la rénovation des infrastructures sportives à Bruxelles, c’est la proposition du Ministre des pouvoirs locaux en charge des infrastructures sportives Bernard Clerfayt.

Le Gouvernement bruxellois vient de marquer son accord : 24 nouvelles aires de sport vont voir le jour.

Objectif : compléter l’offre d’infrastructures sportives à Bruxelles

En février dernier, la Région bruxelloise lançait un appel à projets à destination des communes, pour créer ou moderniser des infrastructures sportives à Bruxelles. Au total, 15 communes ont introduit une demande de subsides pour 28 projets différents. 24 d’entre eux répondaient aux critères de sélection : combler un déficit d’offre sportive, élaborer en impliquant les citoyens et se trouver dans une zone de revitalisation urbaine.

Pour le sport aussi, nos pratiques et nos besoins changent

« Le Covid, et plus particulièrement le confinement, nous ont rappelé à quel point la pratique d’une activité sportive, même occasionnelle, contribue à notre épanouissement physique et mental. Augmenter le nombre d’infrastructures sportives de proximité, c’est permettre à plus de Bruxellois de faire du sport librement. En effet, les clubs et organisations sportives sont souvent pris d’assaut et affichent rapidement complet. Ces 24 nouvelles aires de sport permettent donc d’améliorer la qualité de vie en ville. Nous voulons tous une ville qui combine activités récréatives, culturelles et sportives », relève Bernard Clerfayt.

24 aires de sport en plus, dont 7 aires d'entraînement (street workout)

Les espaces d’entraînement dans l’espace public (street workout) ont la côte, on comptera 7 aires supplémentaires ce de type dont deux à Evere et à Anderlecht, une à Molenbeek, à Watermael-Boitsfort et Woluwe-Saint-Lambert. Schaerbeek installera un parcours d’accrobranche. Ou encore de nouvelles plaines de jeux à Molenbeek, Evere, Uccle et Woluwe-Saint-Pierre.

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Formations dans la construction : misez sur un avenir durable!

Orientez-vous vers une formation dans la construction grâce au pôle Emploi-formation Construcity

Vous voulez vous lancer dans l’écoconstruction ? obtenir une certification de chauffagiste ? la déconstruction et remise en œuvre vous tente ? le gros-œuvre, c’est votre affaire ? vous aimeriez vous former au montage de sanitaires et à l’installation de chauffage ? Voici toutes les infos utiles sur les formations dans la construction.

C’est la rentrée, il est temps de vous lancer !

Construcity.brussels, le pôle Formation-emploi du secteur de la construction en Région de Bruxelles-Capitale, vous oriente vers tous types de formations : en alternance, formation professionnelle à temps plein, de promotion sociale… C’est le moment de les contacter, ils organisent des séances d’information à propos des formations dans la construction.

Car Bruxelles aura toujours besoin de maçons

Environnement, innovations, technologies et construction circulaire : métiers et formations dans la construction évoluent sans cesse. Se lancer dans la construction, c’est découvrir un secteur passionnant dans lequel le travail ne manque pas. L’an dernier, le secteur de la construction a engagé plus de 1000 personnes.

On estime que la stratégie de rénovation du bâti existant à Bruxelles créera pas loin de 8000 emplois dans les années à venir !

Les défis sont énormes et chacun peut y trouver sa place.

Attention, formations indispensables !

Le secteur de la construction est ouvert à toute personne motivée, attirée par le travail bien fait et prête à se lancer dans une formation.

Bruxelles aura toujours besoin de peintres, carreleurs, menuisiers, couvreurs, terrassiers, ventiliste, conducteur d’engins de chantier, maçon, voiriste, coffreur, chauffagiste, plombier… Bruxelles aura toujours besoin de main d’œuvre qualifiée dans le secteur de la construction !

Liens utiles et exemples de formations dans la construction :