Transparence pour la gestion financière d’Actiris et de Bruxelles Formation

Actiris et Bruxelles Formation publient leurs informations financières sur openbudgets

La plateforme Openbudgets.brussels s’élargit. Actiris et Bruxelles Formation y publient désormais leurs données financières. Celles-ci ont été publiées sur la plateforme pour les années 2018, 2019 et 2020, une garantie de transparence pour la gestion financière d’Actiris et de Bruxelles Formation.

Lancé à la fin du mois de mai, openbudgets.brussels dévoile les différents subsides et les nombreux marchés publics lancés par les institutions bruxelloises. 

Toutes les administrations de la Région et les pouvoirs locaux concernés

Au total, les 18 administrations publiques ont publié leur dépenses : 720 millions en marchés publics et près de 500 millions d’euros en subsides en 2020. « Et ce n’est qu’un début. Le projet est dans sa phase de lancement mais à terme, je veux que l’ensemble des administrations et des pouvoirs locaux fasse la transparence la plus totale sur l’argent public qui leur est confié. C’est aussi un moyen de rendre des comptes aux citoyens », souligne le Ministre bruxellois.

« le droit de savoir est un des garants de notre démocratie »

La transparence des données est un objectif fondamental que s’est fixé la Région bruxelloise. Mais sans possibilité d’exploitation et de réutilisation des données par le citoyen, cet objectif n’était que partiellement atteint. En lançant openbudgets.brussels, la Région bruxelloise offre enfin un outil capable d’exploiter au mieux les données des flux financiers, et permet de répondre à la question « Qui donne combien à qui ? ».

Pour Bernard Clerfayt, Ministre de la Transition numérique et de la Simplification administrative, ce principe de transparence est d’ailleurs fondamental. « La publicité, c’est la sauvegarde du peuple. Cette phrase, prononcée en 1789 par le premier président de l’Assemblée nationale en France, implique que tout ce qui concerne le sort du peuple doit lui être révélé. Autrement dit, le droit de savoir est un des garants de notre démocratie. C’est l’objectif poursuivi par openbudgets : dévoiler ce qu’il advient de l’argent public. »

Plus de 1000 marchés publics concernés

Pour l’année 2020, Actiris a passé plus de 500 marchés publics et alloué plus de 300 subventions pour un montant de 338.244.328,53 euros. Quant à Bruxelles Formation, l’institution a contracté près de 600 marchés publics et une centaine de subventions pour 2020, pour un montant de 19.137.741,29 euros.

Nouveau code du bien-être animal : donnez-nous votre voix !

Donnez-nous votre voix !

Pour le bien-être des animaux et leur protection, il existe une loi datant de…1986. Depuis, les connaissances scientifiques ont évolué et les préoccupations des citoyens se sont renforcées. Un nouveau code du Bien-être animal est indispensable.

« Le bien-être animal est un sujet sensible qui fait souvent réagir au sein de la société qui est de plus en plus attentive aux besoins des animaux », relève Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal.

Un code du Bien-être animal : avec les Bruxellois !

Pour récolter l’avis des citoyens, la Région bruxelloise lance la campagne « Donnez-nous votre voix ! ». Celle-ci se déroulera principalement en ligne sur le site www.donneznousvotrevoix.brussels. Pas à l’aise avec les documents en ligne ? Vous trouverez des formulaires papiers et des urnes dans votre commune. Vous pouvez participer jusqu’à la fin du mois de septembre 2021.

Ensuite, les questionnaires seront dépouillés et analysés . L’objectif est d’adopter ce nouveau code en première lecture au deuxième semestre 2022.

« Cette phase de consultation populaire mais aussi des secteurs en lien avec le bien-être animal doit permettre de faire naître un Code du bien-être animal équilibré. D’autant que ce Code constituera la plus grande réforme menée en matière de bien-être animal. Il a pour ambition d’assurer la protection et le bien-être des animaux, en tenant compte de leurs besoins physiologiques et éthologiques », conclut Bernard Clerfayt.

Mais sur quoi attend-t-on votre avis exactement ?

Sur tous les aspects du bien-être animal : votre perception du bien-être animal, le commerce d’animaux, l’expérimentation animale ou encore les sanctions à l’encontre des auteurs de maltraitance animale.

Dans la partie « boîte à idées », vous pourrez exprimer des attentes et suggestions. Grâce à votre participation, c’est une opportunité unique de donner de la voix à ceux qui n’en ont pas.

Une ancienne législation à dépoussiérer

Transférée aux Régions dans le cadre de la 6ème réforme de l’État, la politique en matière de bien-être animal est régie par une loi datant de 1986.

« Il est temps de dépoussiérer la loi de 1986. 35 ans après son adoption, une refonte de cette législation est plus que nécessaire. Ce travail, nous l’entamons dès aujourd’hui. Mais je ne veux pas le faire seul. Je souhaite associer les citoyens, les consulter, les questionner, les écouter. Parce que le fondement même de la démocratie, c’est la participation », rappelle le Ministre bruxellois.

Des animaux de compagnie nombreux et diversifiés

Qu’ils s’appellent Max, Simba, Pacha, Bella ou encore Lola. Que ce soient des chiens, des chats ou des NAC (nouveaux animaux de compagnie), les Bruxellois sont de plus en plus nombreux à posséder un animal de compagnie. Chats et chiens tiennent évidemment le haut du panier puisqu’on en compte respectivement 88.180 et 27.606 enregistrés dans les bases de données DogID et CatID. Mais lapins, hamsters et aussi serpents ou araignées ont de plus en plus la cote auprès des Bruxellois.

30 actions pour apprendre Internet et les services en ligne en Région bruxelloise

Apprendre à utiliser Internet

30 projets pour apprendre Internet et les services en ligne seront mis en place dans le courant de l’année 2021, pour une durée d’un an. Ils ont été sélectionnés par un jury d’experts indépendants à la suite de l’appel à projets Digital Brussels.

Objectif des activités : faire du numérique un vecteur d’intégration et de participation à la vie en société. Certains projets organisent le déplacement d’équipes sociales mobiles, d’autres vont chercher des publics en difficulté pour leur offrir un accompagnement dans les Espaces Publics Numérique (EPN), d’autres encore créent des réseaux d’amis et de pairs aidants…

Apprendre à utiliser Internet et les services en ligne, utile pour la vie privée et professionnelle

Imaginez une Région où TOUS les citoyens seraient dotés des compétences numériques de base et auraient accès aux technologies numériques !

« L’avenir sera numérique. Le succès de cet appel à projets confirme la pertinence d’un projet d’accompagnement des citoyens à une meilleure utilisation des appareils et des services numériques pour la vie privée et professionnelle. Ces initiatives nous permettront de faire un grand pas en avant vers l’accomplissement du potentiel de tous les Bruxellois », déclare le Ministre bruxellois de la Transition numérique, Bernard Clerfayt.

Les activités proposées concernent notamment les jeunes, les chercheurs d’emploi, les personnes porteuses d’un handicap, les enfants malades suivant les cours à distance, les seniors, occupants de logements sociaux, les femmes issues de l’immigration…

132 projets proposés

Lancé par la Région bruxelloise, en partenariat avec la Fondation Roi Baudouin et la Coordination Inclusion Numérique, l’appel à projets Digital Brussels a abouti à une sélection de 30 lauréats (24 dossiers FR et 6 dossiers NL) parmi 132 projets proposés pour apprendre à utiliser Internet et les services en ligne. Chaque projet bénéficie d’un soutien financier allant de 5.000 à 15.000 euros, pour un montant total de près de 390.000 euros.

3 axes de travail avaient été définis pour les porteurs de projets

Les projets proposés dans le cadre de l’appel Digital Brussels devaient répondre à l’un des trois axes suivants : l’accessibilité à l’outil numérique, la formation dès le plus jeune âge et l’accompagnement de la société vers une transformation digitale accessible à tous les publics, y compris les plus précarisés. Car la vulnérabilité numérique touche plus particulièrement certains profils, dont les personnes avec des faibles revenus et un niveau de diplôme peu élevé.

Fibre optique : une initiative dans le droit fil de la politique régionale

Le réseau de fibre optique en Région de Bruxelles-Capitale

Dans le contexte de la première semaine belge de l’Intelligence Artificielle le Ministre de la Transition numérique Bernard Clerfayt soulignait l’importance de la performance de nos réseaux et la place centrale de la fibre optique pour garantir stabilité et vitesse.

La Région bruxelloise a un plan ambitieux de déploiement de la fibre optique. Elle gère d’ailleurs le plus grand réseau, long de 400 km, actuellement utilisé par les administrations régionales et locales.

Mutualisation des infrastructures

Aujourd’hui, l’opérateur Orange annonce installer dans plusieurs communes une nouvelle génération de réseaux de fibre optique baptisée « Fiber-to-the-premise ». Ceux-ci seront ouverts et « accessibles au niveau passif, à tous les opérateurs de télécommunications intéressés, qui pourront s’y connecter et s’appuyer sur leurs propres équipements de réseau actifs » annonce l’opérateur.

Cette nouvelle va dans le droit fil de la politique que veut mener Bernard Clerfayt dans ce domaine. Non seulement il souhaite une ouverture du réseau public, mais de plus, d’après un cadastre précis des différents propriétaires de réseaux, il veut aller vers une mutualisation des infrastructures. En ce qui concerne le Réseau IRISnet, l’objectif est de commercialiser l’accès au réseau dans le cadre d’un marché public.

Cette concrétisation active les technologies de demain

Les chantiers prévus, comme celui annoncé aujourd’hui par Orange, s’inscrivent déjà dans la perspective de la coopération voulue par le Ministre. En effet, dans son communiqué de presse Orange annonce que « Les opérateurs de télécommunications pourront connecter leur propre équipement actif au réseau ouvert ou s’appuyer sur celui d’autres opérateurs, comme celui d’Orange Belgium. »

Plus que des intentions et des prouesses technologiques, on retiendra surtout que cette initiative s’inscrit dans un contexte très favorable pour optimiser l’expérience des utilisateurs finaux et des entreprises, de même que l’accès à de très hauts débits pour les applications technologiques de demain.

Une nouvelle formation pour devenir Youtubeur!

Formation Youtubeur

Startup Vie et Bruxelles Formation s’associent pour lancer la formation inédite « Devenir Youtubeur pour soi ou son entreprise » avec la crème de la crème des youtubeurs et des startups belges !

Cette première formation Youtubeur, unique en son genre, débutera le 28 septembre prochain et accueillera, pendant 12 semaines, 15 chercheurs d’emploi bruxellois. La formation s’articule autour de 4 axes : vidéo, audio, streaming et digital marketing.

La formation s’adresse aux personnes qui souhaitent développer leur chaine Youtube ou devenir Youtubeur d’entreprise afin de produire du contenu pour les entreprises.

« Les nouveaux media internet comme Youtube deviennent incontournables aujourd’hui. 70% des consommateurs en ligne vont vers ce format pour découvrir un produit ou un service. Un constat qui justifie largement la création et le lancement de la formation Devenir Youtubeur. Bien plus qu’un gadget, la vidéo est l’avenir de la communication d’entreprise. Cette nouvelle formation de pointe et de courte durée répond donc à un besoin de plus en plus important et ouvre de nouvelles opportunités de carrière aux chercheurs d’emploi » souligne Bernard Clerfayt, Ministre du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale, chargé de l'Emploi et de la Formation professionnelle.

Ils seront présents !

Au cours de la formation, des  grands youtubers belges comme Math se fait des films (1,58M d'abonnés), ExVSK (523k abonnés), Silent Jill (385k abonnés) ou encore Valentin Verthé (474k abonnés) seront présents pour partager leur expérience, leurs conseils pour décoller ou encore leurs meilleures astuces pour négocier des partenariats.

Une opportunité unique pour apprendre les bases de la création de podcasts, de montages de clips courts, de techniques de streaming. « Notre formation, c’est Becode pour les créateurs audios et vidéos » Thierry Huart-Eeckhoudt, CEO de Startup Vie.

Youtubeur pour entreprise ?

Un nouveau métier est en train de naître, celui de Youtubeur d’entreprise, nouveau profil qui aide l'entreprise à raconter son aventure plutôt qu'à se vendre.

En pleine période de relance, il est important pour les entreprises de raconter leur aventure entrepreneuriale grâce aux nouveaux formats de vidéos, de podcasts et de streaming.

« A travers cette nouvelle formation, Bruxelles Formation entend casser les codes en permettant à des chercheurs d’emploi sans grand bagage académique d’exercer une fonction en devenir dans le marketing digital. Plusieurs entreprises et startups ont déjà montré leur intérêt en souhaitant les accueillir en stage de fin de formation. Nous avons hâte de voir les prouesses de nos futurs youtubeurs ! », déclare Olivia P’tito, directrice générale de Bruxelles Formation.  

La formation Youtubeur se clôturera par un stage en entreprise de 8 semaines.

Nos meilleures startups belges accueilleront les stagiaires et parmi elles nous retrouvons notamment Listminut, Univercells, Efarmz, Poppy, Sortlist, Easyvest, Beinfluence ou encore Foodiz.

Les chercheurs d’emploi participants pourront conserver leurs avantages sociaux et bénéficier d’une prime à la formation.

Cet automne verra revenir le Printemps Numérique

Le printemps numérique aura lieu cet automne au Palais 11

Du vendredi 15 au dimanche 17 octobre 2021 inclus, Bruxelles accueillera une nouvelle fois le Printemps Numérique. L’événement entièrement gratuit se déroulera au palais 11 de Brussels Expo et mettra la créativité numérique à l’honneur. Un appel à projets est d’ailleurs lancé.

Des ateliers et créations numériques accessibles pour tous

Cette initiative s’inspire du Printemps Numérique de Montréal, partenaire de l’événement bruxellois. L’édition de cette année a été reportée à l’automne en raison des mesures sanitaires.

L’accès est entièrement gratuit. L’objectif du Printemps Numérique est de familiariser un maximum de personnes avec les différentes technologies et créations numériques. Pendant l’événement, les visiteurs peuvent découvrir de multiples expositions, ateliers et expériences numériques. Le Printemps Numérique s’adresse tant aux jeunes qu’aux moins jeunes.

le Printemps Numérique peut révéler les talents

« Le Printemps Numérique, c’est l’occasion de montrer tout ce qui se fait de mieux en matière de Smart City. Dans ce cadre, les services publics numériques n’ont pas à pâlir des projets qui ont été mis en œuvre ces dernières années, ceux-ci bénéficieront d’ailleurs d’un éclairage particulier durant l’événement. Mais le Printemps Numérique permet aussi de sensibiliser les citoyens à l’importance du numérique et qui sait de susciter des vocations. Car ces profils IT vont être de plus en plus recherchés sur le marché de l’emploi» déclare Bernard Clerfayt, Ministre de la Région de Bruxelles-Capitale chargé de la Transition numérique.

Le Printemps numérique est une organisation de visit.brussels et du CIRB pour la Région de Bruxelles-Capitale.

1,6 millions pour le sport dans les communes

Soutien au sport dans les communes

Piscines fermées et stades à l’arrêt ont privé les communes de rentrées. Et durant toute la période de crise sanitaire, les charges des infrastructures sportives (entretien, assurance,…) ont perduré. C’est un coup dur pour le sport dans les communes.

Pour soutenir les 19 communes bruxelloises et leur permettre de préparer la reprise des activités, le gouvernement bruxellois s’est engagé à débloquer 1,6 millions d’euros.

Pour relancer le sport dans les communes

«  La pratique d’un sport apporte de nombreux bienfaits et permet de défendre des valeurs de vivre-ensemble. En soutenant le sport dans les communes, nous permettons à de nombreux Bruxellois de continuer à bénéficier d’infrastructures sportives de qualité pour se détendre et se défouler après des semaines de confinement », explique Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois des Pouvoirs Locaux.

Répartition de la subvention

Ce montant sera octroyé aux communes et réparti selon la clé de la Dotation Générale aux Communes (DGC) qui détermine la répartition des moyens alloués par la Région de Bruxelles-Capitale aux communes.

L’affectation des montants est laissée aux communes qui pourront les utiliser par exemple pour octroyer un chèque-sport, maintenir les prix d’entrée et de location des infrastructures sportives, etc.

« Le réseau des échevins bruxellois des sports se réjouit de cette bonne nouvelle. Grâce à ces nouveaux moyens nous pourrons entamer la saison 2021-2022 plus sereinement », indique Benoît Gosselin, Échevin des sports à Jette et Président du réseau des échevins bruxellois.

Un métier pour chacun? Misons sur l’orientation professionnelle !

La cité des métiers à Bruxelles

Ces 2, 3 et 4 juin a lieu la Spring School. Cette université de printemps est organisée conjointement par le Réseau international des Cités des métiers et par la Cité des métiers de Bruxelles. Des visio-conférences sont organisées à Bruxelles et à Paris notamment.

« L’orientation professionnelle au cœur des enjeux européens » est  le thème central. Le Ministre de l’Emploi bruxellois Bernard Clerfayt intervient pour sa part ce jeudi 3 après-midi dans le cadre d’une journée centrée sur la thématique « Les Cités des métiers : une solution innovante pour répondre aux enjeux européens en matière d’orientation tout au long de la vie ? »

Aider à faire le bon choix

Le Ministre a d’abord voulu souligner le caractère déterminant de l’orientation professionnelle, condition d’une insertion ou réinsertion réussie. « Dans un contexte de mutation des métiers, d’émergence de nouveaux métiers, de développement de nouvelles compétences, un lieu-ressource et un accompagnement de qualité s’avèrent indispensables ! C’est cela une Cité des métiers : un service pour aider à faire le bon choix ! »

« Aujourd’hui, nous avons la bougeotte, tantôt étudiants, tantôt salariés, tantôt en formation pour devenir chef d’entreprise, … » Dans ce contexte la Cité des métiers s’impose comme le partenaire privilégié pour accompagner et guider tous les publics dans ces choix de carrière. 90% des visiteurs déclarent avoir trouvé à la Cité des métiers les réponses à leurs questions.

Rebond.brussels c’est la relance par l’orientation professionnelle et la formation

« Pour les travailleurs touchés par les conséquences de crise Covid, nous avons lancé Rebond.brussels » rappelle le Ministre de l’Emploi. Ce service accompagne les travailleurs licenciés pour viser un retour à l’emploi le plus rapide possible.

Comment les compétences acquises peuvent-elles être utiles et exploitables dans un autre secteur ? L’objectif est bien d’orienter ou de réorienter les travailleurs le plus rapidement possible sur le marché de l’emploi. Peut-être cela passera-t-il par une formation.

Encore une fois, le rôle de la formation est déterminant. Bernard Clerfayt a rappelé que « l’orientation professionnelle doit se poursuivre avec l’offre de formation ». Et les formations doivent répondre à des besoins socio-économiques.

Pôles Formation-Emploi, traits d’union entre services publics et secteurs

« En Région bruxelloise, nous avons développé des outils inédits et innovants : les Pôles Formation-Emploi. » En unissant les moyens du public et du privé, la Région augmente la qualité et la quantité de formation.

Surtout, ces Pôles ont un rôle de veille. Ils sont chargés d’anticiper les besoins du marché de l’emploi, d’avoir un positionnement prospectif pour identifier les compétences attendues par les employeurs. Et donc de former chercheurs d’emploi et travailleurs en conséquence.

Actuellement, on compte 4 Pôles Formation Emploi. Technicity, dédié aux métiers des techniques industriels, Digitalcity, pour les métiers du numériques, Logisticity pour le transport et la logistique et enfin Construcity pour le secteur de la Construction

« Il y a dans nos sociétés un métier pour chacun. Mais que le choix de ce métier, il passe d’abord par une bonne orientation » a conclu le Bernard Clerfayt.

Bien-être animal : Les NAC, au centre de l’attention de la Région bruxelloise

Les NAC, nouveaux animaux de compagnie, ici un lapin nain

Depuis le début de la législature, le Ministre Bernard Clerfayt a démontré sa volonté de promouvoir le Bien-être animal et de faire de cette compétence une priorité à part entière : augmentation du budget de 33%, liste positive des reptiles admis, préparation d’autres listes positives, préparation du code bruxellois du Bien-être animal, préparation de nouvelles réglementations pour la détention des nouveaux animaux de compagnie (NAC).

Les recommandations des parlementaires sont déjà en application, y compris en ce qui concerne la détention des NAC

Plusieurs députés de l’opposition ont déposé une proposition de résolution demandant au gouvernement bruxellois d’avancer sur la commercialisation, l’identification et la détention des NAC qui a été débattue ce matin en commission. Une demande qui entre pleinement dans les intentions du gouvernement bruxellois.

«Si les intentions des députés de l’opposition sont louables, il faut savoir que toutes leurs recommandations sont soit déjà d’application, soit en cours d’élaboration ou de réflexion. Les NAC sont très tendance mais cela reste relativement nouveau. Il nous faut donc adapter la législation les concernant. Cela demande de la méthode, l’appui d’experts et du temps», signale Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du bien-être animal.

La proposition de résolution des parlementaires encourage notamment le gouvernement bruxellois à octroyer davantage de moyens au bien-être animal. Une demande qui a déjà été rencontrée puisque le budget consacré au bien-être animal a augmenté de 33% en 2021. Ces moyens supplémentaires permettront de renforcer notamment le service d’inspection et les contrôles.

La mise au point des listes positives d’espèces autorisées demande du temps

Ensuite, l’opposition demande d’avancer sur les listes positives permettant de définir les espèces qui peuvent être détenues par des particuliers. Là encore, le gouvernement n’a pas attendu cette proposition de résolution pour prendre des décisions. Une liste positive des reptiles a été définie et est d’application depuis ce 1er juin. Parallèlement, la Région bruxelloise travaille sur une liste positive des oiseaux, des amphibiens et des poissons. Mais le nombre d’espèces concernées est à ce point important que le travail est long et demande du temps.

Openbudgets.brussels : transparence des finances publiques

Openbudgets.brussels, la transparence des finances publiques en Région de Bruxelles-Capitale

« La publicité, c’est la sauvegarde du peuple. Cette phrase, prononcée en 1789 par le premier président de l’Assemblée nationale en France, implique que tout ce qui concerne le sort du peuple doit lui être révélé. Autrement dit, le droit de savoir est un des garants de notre démocratie. C’est l’objectif poursuivi par openbudgets.brussels : dévoiler ce qu’il advient de l’argent public. » En citant ce principe de droit à l’information évoqué en 1789, Bernard Clerfayt, Ministre de la Transition numérique et de la Simplification administrative, rappelle tout son attachement au principe de la de transparence des finances publiques.

Un outil aux multiples avantages

La Région bruxelloise lance ce site web pour permettre une vraie transparence des flux financiers des administrations publiques bruxelloises. Baptisé openbudgets.brussels, ce site recense plus de 245.000 lignes de données et offre plusieurs avantages.

La nouveauté : la facilité d’exploitation et de réutilisation des données par le citoyen. Openbudgets.brussels répond à la question « Qui donne combien à qui ? ».

On devance la demande des citoyens tout en respectant la législation sur la vie privée.

A la différence du cadastre des subsides de la Fédération Wallonie-Bruxelles (qui ne reprend que les données de l’administration centrale), openbudgets contient les données de 16 administrations distinctes. Dans le contexte bruxellois, c’est une prouesse organisationnelle et technique.

La Région bruxelloise dépasse la promesse d’un cadastre de subventions et propose un des outils les plus complets en Belgique. Il s’agit d’un outil évolutif. S’il marque une première étape dans la transparence financière en Région bruxelloise, il pourra encore s’étoffer, notamment en intégrant les données des pouvoirs locaux (communes et CPAS).

Que trouve-t-on sur openbudgets.brussels ?

Openbudgets regroupe toutes les données budgétaires encodées par les administrations publiques régionales dans les systèmes comptables et publiées sur la plateforme régionale data.brussels.

L’onglet Visualisations de la plateforme permet en un clin d’œil de voir les chiffres clés de l’année écoulée. À combien s’élèvent les montants versés dans le cadre de subventions ? Quelles sont les ASBL et entreprises ayant perçu le plus de subsides ? Etc.

Les données brutes sont également mises à disposition et peuvent être consultées, filtrées, croisées. Les recherches peuvent s’effectuer par le numéro de la Banque Carrefour des Entreprises, la forme légale ou encore le code postal.

On y retrouve, notamment, les entreprises bénéficiaires des primes Covid en 2020, les subventions de soutien aux entreprises dans le cadre de la politique d’innovation, les dépenses pour la rénovation des infrastructures routières, le soutien aux ASBL actives dans la lutte contre le sans-abrisme…

« Openbudgets est un des projets les plus avancés dans la transparence des dépenses publiques en Belgique et en Europe. Rendre les données des flux financiers accessibles et exploitables, c’est rendre possible le contrôle démocratique. Et c’est essentiel », conclut le Ministre bruxellois.

Quelques chiffres 2020

  • 41.498 organisations publiques ou privés ont bénéficié d’un subside ou remporté un marché public
  • 668.865.208 € ont été consacrés à des marchés publics
  • 332.461.848 € ont été distribués aux entreprises privés sous forme de subsides
  • 162.096.450 € de subsides ont été versés aux asbl