Semaine européenne de l’intelligence artificielle

Semaine européenne de l'intelligence artificielle

Ce 27 mars, le ministre de la transition numérique Bernard Clerfayt a inauguré la semaine de l’Intelligence artificielle. « AI4belgium » s’inscrit dans la dynamique européenne pour la convergence technologique. Du 27 au 31 mars, le Service public fédéral BOSA ouvre ses portes aux acteurs professionnels du secteur et aux citoyens. Ci-dessous, accès au programme et billets d’entrée, l’inscription est obligatoire.

Une semaine de l’intelligence artificielle pour quoi faire ?

Avant tout pour découvrir l'influence et le potentiel des technologies numériques dans notre société, dans votre vie privée et professionnelle. Pour aujourd'hui et pour demain. Des conférences (gratuites), des ateliers, des initiatives belges ou européennes permettront de comprendre comment l’intelligence artificielle peut améliorer nos conditions de travail et de vie. Aide à la préparation de contenus (ChatGPT), assistance dans les tâches pénibles (exosquelettes), etc. Découvrez les multiples applications qui apportent plus de connaissances, de plus confort et plus de sécurité.
La Semaine européenne de l'IA, vers la convergence technologique est organisée pour la Belgique par le SPF BOSA et ses partenaires. La Belgique, ses régions et de nombreux partenaires européens issus de divers écosystèmes rassemblent tous les acteurs clés, les institutions et les citoyens dans une dynamique ascendante et co-créative.
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Les communes invitées à interdire TikTok

Les communes de la Région de Bruxelles-Capitale sont invitées à interdire TikTok

L’utilisation et l’installation de l’application TikTok sont désormais à interdire sur tous les appareils professionnels des agents des Pouvoirs locaux. Le Ministre des Pouvoirs locaux Bernard Clerfayt a décidé d'inviter les communes à interdire TikTok afin répondre aux exigences de protection des données dans les services publics.

« Il est tout à fait logique que les autorités locales suivent les recommandations en termes de cybersécurité. Nous devons protéger nos institutions bruxelloises de toute tentative d’espionnage ou de fuite de données. J’invite donc les communes à mettre rapidement ces directives en application », déclare Bernard Clerfayt.

Décision initiale de la Commission européenne

Face à cette inquiétude d’un risque pour la protection des données personnelles, la Commission européenne avait annoncé, ce 23 février 2023, interdire l’utilisation et l’installation de l’application sur tous les appareils professionnels de son personnel. Une semaine plus tard, c’est le Parlement européen et le Conseil européen qui suivait le mouvement. Le Gouvernement bruxellois a fait de même.

L’application des directives

Le Gouvernement a décidé de suivre les recommandations du Centre pour la Cybersécurité Belgique (CCB) et de publier une circulaire relative à l’interdiction temporaire d’installation et d’utilisation de TikTok pour le personnel des autorités publiques bruxelloises.

Bernard Clerfayt, a décidé de transmettre un courrier à destination des 19 communes, en les invitant à :

  • Interdire à leur personnel l’installation et l’utilisation du réseau social TikTok, sur les appareils appartenant aux pouvoirs publics ou dont les frais d’abonnement sont pris en charge par ces derniers.
  • Supprimer toutes les applications TikTok existantes sur les appareils de service.
  • Recommander la désinstallation sur les appareils personnels.

« Branche ton école » démocratise le numérique

Ce 23 mars, une délégation composée du Secrétaire d’Etat pour la Relance et les Investissements stratégiques, Thomas Dermine, du Ministre bruxellois de la Transition numérique, Bernard Clerfayt et de la Directrice-Générale de la Task force pour la reprise et la résilience de la Commission européenne, Céline Gauer, a visité l’école Sainte-Marie La Sagesse à Schaerbeek.

Ce 23 mars, une délégation composée du Secrétaire d’Etat pour la Relance et les Investissements stratégiques, Thomas Dermine, du Ministre bruxellois de la Transition numérique, Bernard Clerfayt et de la Directrice-Générale de la Task force pour la reprise et la résilience de la Commission européenne, Céline Gauer, a visité l’école Sainte-Marie La Sagesse à Schaerbeek. Le but ? Découvrir le projet « Branche ton école » et ses nombreux avantages pour les élèves bruxellois et leurs enseignants.

Équiper 240 écoles

La Région bruxelloise répond à la volonté européenne de faire du numérique une priorité, avec le projet « Branche ton école », labellisé «NextGenerationEU». Comment ? En favorisant notamment l’apprentissage des jeunes au numérique. « Branche ton école » a été lancé par Bernard Clerfayt, le Ministre bruxellois de la Transition numérique. L’objectif est double : équiper les 240 écoles secondaires bruxelloises du wifi et mettre à disposition du matériel informatique performant.

Dans le cadre du plan de relance européen, un budget exceptionnel de 5,2 millions d’euros soutient l’équipement numérique des élèves et des écoles. Priorité est donnée aux quartiers à l’indice socio-économique plus faible.

Intégrer un maximum d’établissements au processus

Les résultats sont encourageants. Plus de 200 écoles secondaires bruxelloises ont été sollicitées dans le cadre du projet « Branche ton école ». 63 établissements disposent actuellement du wifi et 40 seront contactés prochainement pour être intégrés au projet. « En quelques années, le numérique a investi tous les pans de notre société. L’école ne fait pas exception. L’urgence d’offrir un accès à internet sécurisé est donc réel. D’autant plus que le numérique à l’école offre de nombreux avantages tant aux élèves qu’aux professeurs », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique.

Se former c’est voir plus loin et plus large

Se former c’est voir plus loin et plus large

La formation qualifiante augmente de 17% les possibilités de trouver un emploi. Deux ans après leur entrée en formation, 71% des chercheurs d’emploi ont quitté le chômage vers l’emploi, contre 54%, en l’absence de formation professionnelle. 

Une étude qui confirme la priorité donnée à la formation professionnelle

A titre d’exemple, en deux ans, la formation qualifiante fait passer le taux de sortie du chômage vers l’emploi des femmes de 45% à 68% (soit, une différence de 23 points) ; chez les hommes, ce pourcentage passe de 60% à 72% (une différence de 12 points).

Se former, un investissement payant

« Pour la première fois, nous objectivons, grâce à une étude, ce dont nous nous doutions déjà : se former augmente considérablement ses chances de décrocher un emploi ! Se former, c’est un investissement payant. Son impact est d’autant plus positif pour certains groupes très éloignés du marché de l’emploi. La formation est donc un, sinon le levier efficace à activer pour permettre à plus de Bruxellois de décrocher un emploi. » rappelle Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle.

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Dans chaque commune, choisir son bureau de vote

Simplifier encore le vote électronique.

Les citoyens d’une commune pourront voter dans le bureau de vote de leur choix pour autant qu’il se trouve sur le territoire de la commune. C’est notamment ce que propose le projet d’ordonnance visant à moderniser le Code électoral communal bruxellois.

Test concluant

Lors des élections de 2012, un nouveau système informatique de vote avait été testé à Saint-Gilles et Woluwe-Saint-Lambert. Plus simple d’utilisation que la version précédente, ce système a été généralisé à toutes les communes bruxelloises pour les élections de 2018.

Néanmoins, il est encore possible de moderniser le processus électoral grâce à la numérisation de toute une série de procédures. C’est l’objectif du nouveau Code électoral communal bruxellois.

Fin des listes manuelles dans les bureaux de vote

Principale avancée : le pointage électronique centralisé des électeurs. Ce système permettra, lors des prochaines élections communales, via une base de données centrale, de cocher les électeurs lorsqu’ils se présentent au bureau de vote. Cet enregistrement électronique met donc fin à l’obligation de tenir manuellement des listes de pointage papier. Cette numérisation offre plusieurs avantages pour les pouvoirs publics : garantie de circulation plus fluide dans le bureau de vote, économie de papier, simplification du travail et réduction des coûts.

Un seul bureau pour les votes par procuration

« La technologie pour la technologie n’a que peu d’intérêt. Mais elle prend tout son sens, lorsqu’elle est au service des citoyens. Ici, numériser toute la procédure de vote permet aux électeurs de se rendre dans le bureau de vote de leur choix. Je pense notamment à ceux qui ont des procurations, ils ne devront plus faire différents bureaux de vote et pourront s’acquitter de leur devoir au même endroit », conclut Bernard Clerfayt.

Noms préférés pour les chiens et les chats

Les noms préférés pour les chiens ou les chats en Région de Bruxelles-Capitale

Les références aux personnages de dessins animés restent très tendance. Voici quelques noms préférés pour les chiens et les chats. Pour les mâles, Max, Snoopy, Toby, Simba et Rocky. Et pour les femelles, Luna, Lola, Bella, Nala et Maya. Du côté des chats, la race la plus commune reste le chat de type européen, parfois appelé chat de gouttière. Les noms préférés de Bruxellois pour les chats en 2022 sont Simba, Tigrou, Cookie, Caramel et Snow pour les mâles. Tandis que les femelles portent essentiellement les noms de Luna, Nala, Bella, Mia et Maya.

Les chiens plus nombreux dans certaines communes

Du côté des races de chiens les plus populaires en 2022, il y a du changement. Pour la première fois, c’est le canis vulgaris, le « bâtard », qui tient le haut du classement. Exit donc le chihuahua qui figurait en pole position depuis 2016. Il se retrouve à la seconde place, suivi par le labrador Retriever et le border collie qui font tous les deux leur entrée dans le classement. Enfin, le teckel figure en 5ème position.

C’est à Uccle, Anderlecht et Schaerbeek que l’on dénombre le plus de chiens avec respectivement, 10.198, 9.851 et 6.496 chiens enregistrés.

Les communes accueillant le plus grand nombre de chats sont par ordre d’importance : Anderlecht (1.456), Schaerbeek (1.071) et Ixelles (716).

47.145 chats et 89.167 chiens

C’est un fait : les Bruxellois apprécient la compagnie des animaux domestiques. En 2022, on dénombrait 47.145 chats et 89.167 chiens enregistrés en Région bruxelloise dans les bases de données DogID et CatID. Les chiens et les chats restent sans conteste les animaux de compagnie préférés des Bruxellois.

Identifier votre animal, c’est pouvoir le retrouver

« Qu’il s’appelle Max ou Simba, votre animal est une source de bonheur intarissable. Et cela s’accompagne de grandes responsabilités : le nourrir, le soigner, le divertir mais aussi l’identifier ! C’est le moyen le plus sûr de pouvoir le retrouver si les aléas de la vie l’éloignent de vous. Et, je ne répéterai jamais assez qu’un maître responsable, c’est celui qui fait stériliser son chat », rappelle Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal.

Salon de la formation 2023

Le Salon de la formation est organisé par Bruxelles Formation à Tour & Taxi

Ces 21 et 22 mars, Bruxelles Formation organise le Salon de la formation. Pas toujours évident de trouver sa formation dans l’offre des différents organismes et partenaires en Région de Bruxelles-Capitale. Derrière la complexité apparente, le candidat apprenant découvrira ainsi la richesse de l’offre. L’organisme bruxellois de formation professionnelle veut aider chaque chercheur d’emploi à mieux s’orienter pour trouver sa formation.

Entrée gratuite, inscription obligatoire

Le Salon de la formation sera ouvert ces deux journées de 9h à 17h à Tour et Taxi (Shed1). L’accès est gratuit et l’inscription obligatoire (ci-dessous). Une vingtaine de secteurs professionnels sont présents et 80 stands accessibles.

Un choix qui mérite de l’expertise

Trouver la formation qui convient, pas si simple. Il y a bien sûr et avant tout l’étape de l’orientation, elle est décisive pour se donner un maximum de chances de trouver le métier qui convient. Les paramètres à considérer sont nombreux : le marché du travail, vos compétences acquises, etc. Et puis, surtout, le bon métier est celui que l’on aime faire. Le choix d'une formation mérite donc de l’expertise.

Les infos pratiques

Lieu : Tour & Taxis (Shed 1)
Accès piétons : avenue du port, 86C ou rue Picard, 3 à 1000 Bruxelles.
Accès voitures : avenue du Port, 88 à 1000 Bruxelles.
Horaire : accès au public de 9 à 17h

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Photo : Bruxelles Formation

Se former en travaillant à la Défense

Se former en travaillant à la Défense

Les chercheurs d’emploi âgés de 18 à 30 ans motivés par une carrière au service du pays peuvent être intéressés par cette proposition de formation en alternance. Ils ont jusqu’au 24 mars pour inscrire leur candidature. Les épreuves de sélection se dérouleront entre mars et mai pour un programme qui débutera fin juin de cette année.

Deux formations programmées

L’organisme de formation en alternance de la Région bruxelloise, efp-sfpme, propose deux premières formations pour cette année 2023-2024 :

  • Logistique : chef magasinier et gestionnaire des approvisionnements ;
  • Alimentation : cuisinier de collectivité.

Les modalités pratiques

Les candidats auront l’opportunité d’apprendre un métier auprès de professionnels du secteur, mais également de découvrir l’armée belge tout en étant rémunéré à hauteur de 2448,8€ Brut/mois maximum pour 20 jours de prestation. De plus, au terme de la formation et du stage, ils pourront postuler pour un emploi de militaire de carrière et intégrer la Défense à temps plein.

Agenda

  • Réception des candidatures jusqu’au 24 mars 2023
  • Épreuves de sélection de la Défense entre mars et mai 2023
  • Incorporation le 29 juin 2023
  • Phase d’initiation militaire (PIM) du 3 au 14 juillet 2023
  • Début des cours à l’efp ou à l’ifapme en septembre 2023

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La Région de Bruxelles-Capitale a son annuaire de l'inclusion numérique

L'annuaire de l'inclusion numérique facilitera l'orientation des citoyens pour un service plus adapté à leur besoins

C’est l’une des actions du Plan d’Appropriation Numérique (PAN) du Ministre Bernard Clerfayt. L’annuaire de l'inclusion numérique est désormais disponible.

Un outil pour relier les services existants

Dédié plus spécifiquement aux agents des services publics, aux travailleurs sociaux, animateurs, éducateurs et formateurs, l’annuaire facilitera les échanges. L’objectif : un service plus performent pour le citoyen qui se verra ainsi orienté vers les solutions les plus adaptées à sa demande.

Plusieurs clés pour trouver les bonnes informations

L’annuaire de l’inclusion numérique rassemble toutes les informations sur l’accès au matériel, à Internet et à la formation. Il reprend également des interviews d’acteurs de l’inclusion numérique de premier plan, ainsi que des listings d’acteurs détaillant leurs activités et leurs coordonnées.
Les services sont référencés en fonction des publics-cibles qu’ils accompagnent, des besoins, mais également selon la commune où ils sont établis. On y trouve les informations de base sur chaque association présente en Région de Bruxelles-Capitale ainsi que les coordonnées de contact avec les responsables.

L’indispensable travail de coordination

L’annuaire de l’inclusion numérique résulte du travail de la Coordination Inclusion numérique au sein de paradigm.brussels, le service informatique de la Région. Cette coordination fait le lien avec le secteur associatif et crée un large écosystème des acteurs de l’inclusion numérique.

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Pour des embauches plus inclusives

La première discrimination à l'emploi est celle liée au handicap

Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi, a proposé de renforcer les tests de discrimination à l’embauche pour les rendre plus simples et plus proactifs. Il sera désormais possible d’effectuer des tests sur place. Une meilleure protection des inspecteurs est également prévue. Le projet d’ordonnance a été approuvé en troisième lecture par le gouvernement.

Allègement de la procédure

Les tests pourront être utilisés sur base de signalements ou de plaintes mais aussi et ce sera nouveau, de suspicion raisonnable de discrimination sans devoir obtenir l’accord préalable d’un magistrat.

Ciblage selon des données objectives

Si une étude académique démontre une suspicion de phénomènes de discrimination dans un secteur d’activité, les inspecteurs régionaux de l’emploi pourront réaliser des tests, avec l’accord préalable de l’Auditorat du travail. Cela rencontre d’ailleurs la demande d’Unia. L’institut appelle à multiplier les tests de situation sur la base d’indications objectives grâce à des « algorithmes qui recherchent systématiquement les éventuelles pratiques discriminatoires dans les bases de données ou, plus simplement, en comparant la composition du personnel d'une entreprise à la composition moyenne des travailleurs du secteur, un service d'inspection pourrait ensuite effectuer des contrôles ciblés ».

Protection des inspecteurs et échange d’informations

Enfin, les inspecteurs pourront, quant à eux, effectuer des contrôles sur place sous un nom d’emprunt tout en étant exemptés de toute sanction pénale à cet égard.

Actiris jouera également un rôle essentiel dans ce projet, puisque l’organisme public devra dorénavant échanger des informations avec l’Inspection Régionale de l’Emploi (IRE), en communiquant notamment les différents signalements rapportés par les chercheurs d’emploi.

« La discrimination à l'embauche reste un problème omniprésent »

c’est ce que conclut une récente étude de l’Université de Gand. Cela vaut aussi pour la Région bruxelloise où les cas de discrimination à l’embauche basées sur l’âge, l’origine ethnique, le genre ou le handicap sont toujours trop nombreux. L’étude révèle d’ailleurs que la première discrimination à l'emploi est celle liée au handicap. Dans ce cas, les chances de recevoir une réponse positive chutent de 41% par rapport à une personne dite valide. On trouve ensuite la faible attractivité physique, avec 37% de réponses positives en moins, puis l'âge avancé (34% en moins), les orientations LGBTQIA+ (30% en moins) et enfin sur base de l’origine ethnique (29% en moins).

La discrimination à l’embauche, un gaspillage social

« Depuis l’adoption en novembre 2017 de l’ordonnance qui a permis l’introduction des tests de discrimination, la Région bruxelloise est pionnière en Belgique et en Europe dans la lutte contre la discrimination à l’embauche. Car, il n’y a pas de place pour de tels actes à Bruxelles. Et vu les manques de main d’œuvre dans de nombreux secteurs d’activité, personne ne peut se permettre ce gaspillage social », déclare Bernard Clerfayt.