Bernard Clerfayt veut faciliter vos démarches administratives

Simplification administrative

Des formulaires plus simples, plus faciles à compléter, intégrant les données connues et déjà authentifiées, ce sont les principaux souhaits des Bruxellois en matière de simplification administrative.

Pour y répondre, le Ministre Bernard Clerfayt a élaboré un avant-projet d’ordonnance visant généraliser la collecte unique de données (Only once) et leur réutilisation depuis une source authentique telle que le Registre National ou la Banque Carrefour des Entreprises.

« Le rôle d’un service public est d’être au service du public. Or trop souvent encore, on entend les Bruxellois se plaindre tantôt des lenteurs de l’administration tantôt de ses lourdeurs. Nous devons améliorer le service offert au citoyen. Grâce au principe du « Only once » - à Bruxelles, nous dirions plutôt “une fois, seulement“ , nous simplifions la vie des Bruxellois et faisons évoluer les services publics bruxellois vers des administrations 2.0». Bernard Clerfayt confirme donc son ambition : concilier la prise en compte des besoins des citoyens et des entreprises et la gestion efficace des services publics.

La future ordonnance « Only once » sera élaborée dans une contexte favorable puisque le Ministre est en charge de la simplification administrative et de la transition numérique.  «Il  y a des synergies à développer entre simplification administrative et transition numérique. L’informatisation nous offre l’opportunité de simplifier la vie du citoyen en évitant de lui demander des informations que nous possédons » explique-t-il.

Concrètement, les services publics bruxellois devront utiliser le numéro de Registre national ou le numéro d’entreprise pour l’identification des personnes physiques ou morales.  De plus l’utilisation des formulaires électroniques sera renforcée en leur conférant une valeur égale aux formulaires papier.

Évaluation du système des titres-services en Région bruxelloise

Rapport d'évaluation du système des titres-services

Les titres-services connaissent un succès grandissant auprès des ménages bruxellois. Dans sa dernière étude, commandée par la Région bruxelloise, Idea Consul révèle que 20% des ménages bruxellois ont aujourd’hui recours aux titres-services, que le nombre d’utilisateurs a connu une augmentation de 2,5% en 2018 et que c’est la tranche d’âge des moins de 35 ans qui connaît la hausse la plus significative: +6,5%.

Dans le même temps, on y apprend que la professionnalisation du secteur s’est encore renforcée, avec une diminution de 7% du nombre d’entreprises agréées, sans perte d’emploi. Les firmes dont le siège social se situe à Bruxelles sont les mieux loties avec une marge bénéficiaire de près de 0,65€ par titre-service. Les entreprises basées en Flandre mais actives à Bruxelles disposent, elles, d’une marge moyenne de 0,45€ par titre-service, tandis que ce montant tombe à 0,20€ dans le cas des entreprises localisées en Wallonie.

C’est donc dans un contexte favorable que s’inscrira la réforme bruxelloise des titres-services attendue en 2020. Toutes les options sont sur la table : indexation du prix des titres, déductibilité fiscale, nombre de chèques par ménage. La qualité du travail dans le secteur sera l’un des grands enjeux de cette réforme.

Voici le rapport complet d’évaluation des titres-services pour les emplois et services de proximité en Région de Bruxelles-Capitale en 2018.

0800 35 089 : le nouveau numéro vert d'Actiris Inclusive

Actiris lance le numéro vert anti discrimination

Actiris lance un nouveau service anti-discrimination. Le numéro vert 0800 35 089 est désormais dédié à la discrimination à l’embauche. Et un nouveau formulaire de signalement des discriminations en ligne a été mis en place.

Le Ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle Bernard Clerfayt a inauguré Actiris Inclusive.  Il a rappelé à cette occasion l’écart important entre le taux d’emploi des Bruxellois d’origine belge (71%) et celui des Bruxellois d’origine étrangère (40%)

Des écarts de ce type sont aussi constatés pour les chercheurs d’emploi « trop jeunes » ou « trop âgés », pour les personnes avec handicap et selon le genre. Ces facteurs de discrimination sont malheureusement parfois cumulés. Nous devons alors faire face à des situations dramatiques qui entravent les parcours professionnels.

C’est pourquoi, en rendant plus visible le service anti-discrimination, le Ministre bruxellois veut faciliter les démarches des personnes victimes et renforcer leur accompagnement : écoute, accès aux droits, orientation vers des organismes de promotion de l’égalité des chances.

Le rôle d’UNIA et de l’institut pour l’Egalité des Femmes et des Hommes va également être renforcé. Actiris identifiera les cas nécessitant leur intervention. Ils pourront dès lors tenter une médiation entre les parties prenantes, voire transmettre une plainte à l’Inspection régionale de l’Emploi qui mènera alors des tests de situation ou des mystery calls.

Formation en alternance : + 14% pour les premières inscriptions

La formation en alternance : accompagner les entreprises pour qu'elles s'engagent dans la formation des jeunes

Entre école et entreprise, la formation en alternance s’installe en Région bruxelloise. Le nombre de premières inscriptions a augmenté en 2019, de nouvelles formations sont créées chaque année pour répondre aux besoins des employeurs. Pourtant, certains peinent encore à trouver un patron pour entamer leur formation pratique.

« La formation en alternance est reconnue comme la plus efficace de toutes. Pas moins de 85% des personnes qui sortent de l’alternance trouvent un emploi. Pourtant, certaines filières de formation ne parviennent pas à trouver de patrons formateurs. En Allemagne, l’alternance est intégrée dans la culture des entreprises ! Nous devons en faire de même à Bruxelles. Il faut accompagner les entreprises pour qu’elles s’engagent dans la formation des jeunes », indique Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle.

L'alternance, c’est du concret. C’est une manière d'apprendre, qui articule la théorie à la pratique. C’est aussi un type de formation qui permet de rencontrer les besoins des entreprises en terme de main d’œuvre qualifiée.

Le précédent gouvernement bruxellois a mis en place tout un arsenal pour booster l’alternance : de la gratuité pour les chercheurs d’emploi à la prime aux entreprises, en passant par l’accompagnement des stagiaires. Les chiffres 2019 montrent d’ailleurs une augmentation du nombre d’inscriptions. 

Au 31 octobre dernier, on dénombre 4787 inscriptions à l’EFP, l’organisme en charge de la formation en alternance en Région bruxelloise, dont 4120 concernent les personnes de plus de 18 ans. Parmi ces dernières, 2851 se sont inscrites pour la première fois, soit une augmentation de 14%. Ceci démontre l’attractivité de la formation en alternance. Dans les métiers liés au secteur de la construction, cette augmentation atteint même 37%.

Et si certains patrons proposent encore des places de stage et sont à la recherche de stagiaires désirant commencer une formation en alternance – c’est le cas de la restauration, de la coiffure ou encore de l’entrepreneur de jardins – d’autres peinent à trouver des patrons formateurs. C’est principalement le cas des formations du secteur numérique : assistant développeur, community manager, designer UX/UI ou encore infographiste.

60% des Bruxellois candidats à l’expat préfèrent le Québec

S'expatrier au Québec, une option envisagée par bon nombre de Bruxellois

« Depuis le début de l’année 2019, le taux de chômage au Québec s’établit en moyenne à 5%. Le nombre d’emplois a également augmenté de plus de 70.000 postes de travail », observe Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle.

C’est dans ce contexte favorable que la Région bruxelloise et le Québec officialisent leurs collaborations via une lettre d’entente, pour le recrutement de chercheurs d’emploi bruxellois par des employeurs québécois. L’objectif : capter toujours plus d’offres d’emploi au bénéfice des chercheurs d’emploi bruxellois.

D’autant que les chercheurs d’emploi bruxellois sont de plus en plus nombreux à vouloir partir au Québec. Parmi ceux qui souhaitent travailler à l’étranger, 60% indiquent le Québec comme destination, soit 11.550 personnes. Un choix judicieux puisque le marché de l’emploi québécois se porte bien et est à la recherche de talents.

Concrètement, cette lettre d’entente va permettre à Actiris de continuer à développer son réseau de partenaires au Québec, de capter toujours plus d’offres d’emploi correspondant aux profils des chercheurs d’emploi bruxellois et ainsi stimuler la mobilité internationale.

« Récemment, un employeur situé à Québec, a fait appel à Actiris International pour recruter des aides-soignants. En seulement quatre jours, nous  avons réussi à présélectionner des candidats qui ont été immédiatement engagés, avec à la clé, des contrats de longue durée », indique Grégor Chapelle, directeur général d’Actiris.

Ceci peut vous intéresser :

Le salon du SIEP a présenté plus de 500 formations !

L'indispensable salon du SIEP 2019

Dans quel secteur souhaites-tu travailler ? Quelles sont les matières qui t’intéressent ? Qu’est-ce que tu aimes faire ? Es-tu plutôt manuel ?

Le choix d'une orientation professionnelle suppose bien des questionnements. C'est pour accompagner cette première décision d'une future vie professionnelle qu'est organisé chaque année le salon SIEP. Cette année, 95 stands accueillaient les futurs étudiants et plus de 500 formations y étaient présentées.

C'est clairement sur la nécessité d'écouter le monde économique pour développer des formations sur mesure que le Ministre de l'Emploi et de la formation professionnelle Bernard Clerfayt a insisté "afin de former les chercheurs d'emploi aux dernières technologies", "en lançant de nouvelles formations".

Lors de son intervention le Ministre a également souligné l'indispensable dépassement des stéréotypes genrés et des a priori qui dévalorisent certains métiers manuels.

"Je profite de ce salon SIEP aujourd’hui pour saluer le travail et la disponibilité des nombreux acteurs qui accompagnent nos jeunes dans leur choix de carrière : les agents PMS, les conseillers en formation professionnelle ou en emploi ainsi que tous les enseignants.". En concluant ainsi son propos, le Ministre a voulu insister sur l'indispensable accompagnement pour l'orientation. Une orientation qui peut s'avérer nécessaire à plusieurs étapes de la vie professionnelle, "car la mobilité professionnelle est devenue une réalité".

Promouvoir des méthodes alternatives à l'expérimentation animale

Subsidiation de la recherche pour lutter contre l'expérimentation animale

«Je souhaite autant que possible éviter la souffrance des animaux d’expérience. Cela peut se faire en développant, en stimulant mais également en soutenant le recours à des méthodes alternatives. Si aujourd’hui, on connait avec exactitude le nombre d’animaux utilisés pour la recherche scientifique, il me semble essentiel d’agir pour réduire ce nombre.» Bernard Clerfayt a de cette manière indiqué son intention de lutter contre la souffrance des animaux d’expérience.

Première concrétisation : un montant de 50.000€ a été accordé à la Vrije Universiteit Brussel pour poursuivre la réalisation d’un cadastre des méthodes alternatives à l’expérimentation animale et sa publication sur le site www.re-place.be

Trop d’expérimentations sur les animaux

En Belgique, plus de 538 000 animaux sont utilisés dans les laboratoires chaque année. Ils sont soumis à toutes sortes de tests de toxicité, de recherche fondamentale, etc. A Bruxelles, on compte 90 laboratoires et une centaine de projets sont autorisés chaque année. Ceux-ci sont strictement réglementés. Les animaux utilisés pour les expériences bénéficient d’une protection légale et tous les établissements, agréés au préalable, sont soumis à des contrôles.

Réduire l’expérimentation animale...

Conformément à la Déclaration de Politique Régionale, la Région Bruxelloise entend réduire drastiquement l’expérimentation animale. Cela passe notamment par la réalisation d’un cadastre des méthodes alternatives. C’est pourquoi un subside d’un montant de 50.000€ a été accordé à la VUB. Ce projet, également soutenu par la Flandre, permet non seulement une connaissance exhaustive de ce qui existe mais stimule également le développement de nouvelles méthodes alternatives. A terme, cela contribuera à réduire le nombre d'animaux de laboratoire utilisés.

et mettre en œuvre des méthodes alternatives

Lorsqu’on parle de méthode alternative, on vise l’utilisation de méthodes in vitro telles que les cultures de cellules et de tissus humains et de modèles in silico via des simulations informatiques.

Un exemple très récent d’une méthode alternative en cours de développement concerne l’étude de la toxicité des vapeurs produites par la cigarette électronique. Des chercheurs tentent de combiner le recours à des cellules pulmonaires et des cellules nerveuses cultivées en laboratoire en vue de remplacer les études d'inhalation de vapeurs toxiques sur des animaux vivants.

© Photo : Rama — Travail personnel - licence CeCILL.

Partenariat Proximus-MolenGeek : imbriquer formation et emploi en Région bruxelloise

Stefaan De Clerck, Ibrahim Ouassari et Bernard Clerfayt ont officialisé de partenariat entre Proximus et MolenGeek

Aujourd’hui, MolenGeek et Proximus ont annoncé un nouveau partenariat visant à créer de nouvelles opportunités d’emploi dans le domaine du numérique. MolenGeek est un centre de formation numérique et un incubateur de start-ups.

Le Ministre Bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle Bernard Clerfayt veut encourager ce type de partenariat en Région bruxelloise. Les entreprises doivent être les partenaires privilégiés des acteurs de la formation et de l’emploi. Et, on le sait, le digital va entraîner une importante création d’emploi avec la naissance de nouvelles compétences. Il faut préparer les chercheurs d’emploi à occuper ces nouveaux postes de travail.

Ce type de partenariat, va dans le bon sens pour rapprocher le monde de l’entreprise de celui de la formation. En proposant des formations sur-mesure, répondant aux besoins des entreprises dans le cadre de la digitalisation de notre économie, nous formons des chercheurs d’emploi bruxellois à des métiers d’avenir, des métiers durables et de qualité.

« C’est un signe de la reconnaissance du secteur privé des atouts de la Région bruxelloise. Pour maintenir cette tendance positive et attirer ou faire émerger dans notre Région des start-ups, il faut répondre à leurs besoins en main d’œuvre qualifiée.» a fait remarquer Bernard Clerfayt.

Cultiver et consommer local en Région bruxelloise, c'est bon aussi pour l'emploi

Alimentation durable, cultures et emplois en Région bruxelloise

Dans les 10 à 15 ans à venir, on estime que l’emploi pourrait doubler dans le secteur de l’alimentation durable et créer près de 3.000 emplois supplémentaires. La croissance de ce marché est la plus forte à Bruxelles. Actuellement on estime que le nombre d’emplois dans ce secteur se situe entre 2500 et 3500.

Ce mercredi 6 novembre, le Ministre de l’Emploi et de la formation professionnelle Bernard Clerfayt participait aux Rencontres durables,  une après-midi d’échanges entre employeurs et futurs travailleurs du secteur de l’alimentation durable.

De plus en plus de Bruxellois.e.s se dirigent déjà vers une alimentation plus durable pour avoir accès à une nourriture de qualité, respectueuse de la santé, de l’environnement et des hommes. Un tiers de notre impact sur l’environnement est lié à ce qu’il y a dans notre assiette !

Cette alimentation assure des emplois locaux, non délocalisables, indispensables pour lutter contre le chômage des Bruxellois. Du maraîchage à la gestion des déchets, en passant par la transformation, la distribution ou encore l’Horeca, l’alimentation durable est un secteur d’avenir.

Bernard Clerfayt a rappelé à cette occasion que des centaines d’hectares étaient disponibles en Région bruxelloise, et que l’aquaponie se développe et offre de nouvelles possibilités de cultures. On a à y gagner sur tous les plans : environnement, santé et emplois locaux.

Cultiver et consommer local en Région bruxelloise

Rencontres durables, pour promouvoir l'emploi local dans le secteur de l'alimentation en Région bruxelloise

BeCentral : le numérique au centre de Bruxelles

BeCentral rencontre le Ministre Bernard Clerfayt

Le campus digital BeCentral, c’est l’un des lieux de convergence pour tous les professionnels et passionnés du développement numérique en Région Bruxelloise. Du haut de la Gare centrale, plus de 60 initiatives déjà : formations, startups, associations et ONG.

BeCentral vient de souffler ses deux bougies, l’occasion idéale pour le Ministre de la Transition numérique Bernard Clerfayt de rencontrer quelques acteurs de cette communauté particulièrement productive.  Chaque jour, ce sont 250 professionnels qui y travaillent pour le compte de 50 organisations différentes.

Au cours des 24 premiers mois d’activités multiples, la communauté de BeCentral aura formé, inspiré, ou sensibilisé pas moins de 48 .555 personnes. 

Le train BeCentral tourne désormais à plein régime, avec la volonté de tripler sa superficie en 2 ans et d’accueillir début 2020 un espace dédié à la formation et à la certification numérique exploité par Bruxelles Formation.

Coder en jouant pour les enfants de 8 à 12 ans ? utiliser les interfaces de programmation pour enrichir vos contenus ? aborder les techniques de développement de l’intelligence artificielle ? Les propositions ne manquent pas chez BeCentral